Your free to leave me Just don't deceive me

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feat. Silonidas

« Tu sais quoi je la prends mais je ne vais pas la remettre, je vais voir combien de temps tu peux tenir avant de me demander de la remettre. » D'accord il t'avait rendu ta petite culotte parce que lui même en convenait il était jaloux et ne saurait sans doute pas tolérer que tu te balades de la sorte autours de tous ses hommes ce soir. Pourtant la joueuse qui dormait en toi, était d'humeur espiègle et tu lui lançais un défi, tenir le plus longtemps possible en la sachant sans petite culotte. Tu voulais lui faire plaisir, rendre les choses plus érotiques qu'elle ne l'était déjà alors tu mettais ça en jeu pour qu'il puisse tout de même en profiter. Tu ne pouvais être qu'amusé alors qu'il s'avouait vaincu parce qu'il détestait ça et de plus en plus il y avait un pied d'égalité entre vous deux. Tu commençais à être à la hauteur de maître, pour avoir fréquenter cet homme durant deux années tu savais comment le prendre, savoir déchaîner sa colère autant que son désir, tu te jouais de lui aussi bien qu'il se jouait de toi et ça rendait l’enjeu encore plus désirable. Tu te retrouvais dans ses bras, douce chaleur avec la fraîcheur de la nuit, après la chaleur qui s'était emparé de toi durant vos ébats tu te sentais soudain envahit par le froid de la nuit. Tu déposais un baiser dans son cou, avant de poser ta tête contre son buste. « J'en profite, toi par contre tu bougonnes encore. » Dis tu en encerclant son corps de tes bras, tandis qu'il était un peu tendu par toute ses marques d'affection qu'il te donnait. Finalement, se rendant compte que tu avais froid, sa veste se retrouva sur tes épaules et tu venais le regarder dans les yeux alors que quelques part tu te sentais responsable de ce qui se passait en lui, ces changement qu'il te mettait sur le dos parce que c'était tellement plus facile que d'avouer qu'en ta présence il passait un moment agréable. « Je veux pas que tu te sentes obligé de quoi que ce soit. » Finis tu par dire comme pour lui rappeler qu'il n'avait aucune obligation envers toi, tu ne l'obligerais jamais à ce comporter de la sorte si il n'aimait pas ça. Puis comme pour se tranquillisé il changea de sujet et lorsqu'il évoqua Marin c'est toi qui te crispait. « Je l'ai vu. Comment il se porte ? Oh comme un connard de première. » Tu repensais à votre dispute dehors puis à cette guerre lancé entre vous à présent, tout ce que tu espérais dans ce mariage c'était apprendre à le connaître devenir complice car ça aurait pu être amusant mais à la place tu t'étais fait un ennemi, il t'avait sous estimé et t'avais décidé de le lui payer. « Crois moi bien que ce soir, mon mariage ne sera plus un secret pour personne. »

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MACFLY