Khalilah Rosie.

Normalement aujourd’hui devait être une belle journée, les cours m’appellaient depuis un petit moment, la vie passait tout doucement quand soudain ma sœur a eu un accident en faisant de l’escalade en plein Summer Camp ce qui a tout chambouler… aujourd’hui, elle va mieux mais moi, j’ai besoin de me changer les idées pour essayer d’avancer même si ce n’est pas moi qui a été touché de plein fouet en allant faire un peu de shopping dans un grand magasin possédant un petit ascenseur.  

Alors que j’étais dans mes pensées tranquillement, je pouvais sentir un petit sursaut de l’ascenseur puis mes yeux se dirigèrent vers le panneau qui commençais à afficher n’importe quoi « Oh non… » je pense avoir dit tout haut ce que je pensais mais je m’en fiche pour le moment, je respirai tout doucement afin de pouvoir rester calme même si ce n’est pas facile soudain, je pouvais voir que je n’étais pas toute seule dans l’ascenseur. J’ai l’impression que le sort s’acharne contre moi, déjà Anastasia qui se retrouve à l’hôpital puis là, il faut que je me retrouve coincée dans un ascenseur avec une jeune femme que je ne connais pas du tout… il faut que je me concentre sur elle, sans doute a-t-elle aussi peur que moi. Si j’avais été un chat, je nous aurais sorti de là sûrement mais combien de temps allons-nous rester coincées ici.

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Faire du shopping aurait dû me remonter le moral, d'une façon ou d'une autre je pense. J'aime la mode, j'aime les boutiques et les marques américaines, les centres commerciaux où tu ne croises pas une seule femme sans, au moins un sac de course à la main. Oui tout cela, m'a donné le sourire aux lèvres lorsque j'ai franchi les portes, lorsque j'ai fait une ou deux boutiques, réussissant à m'acheter quelques tenues malgré tout, mais mon arrivé à Zara m'a fait perdre mon sourire. Une simple rencontre, une femme croisée que je ne connais même pas. Même pas une parole prononcée, juste un regard sur son ventre arrondi ; je me suis senti déglutir avant de filer sans demander mon reste. Elle ne m'a rien fait, mais cette simple vision m'a déconcerté, m'a ramené brutalement à la réalité . Je sors du magasin et me dirige directement vers l'ascenseur ; ne sachant pas vraiment où je vais aller . Je pousse un léger soupir, passant une main dans mes cheveux avant de sortir mon téléphone portable lorsque je monte dans l’assesseur. Une jeune femme monte peu de temps après moi. Je la laisse choisir l'étage ou le sous-sol, ne sachant pas vraiment où je souhaite aller : rentrer ou essayer d'oublier cette image en dépensant tout le fric de papa ! D'ailleurs j'en profite pour envoyer un message à l'une de mes sœurs, cette dernière m'ayant demandé plus tôt dans la journée si je souhaitais faire une soirée ( enfin pour moi ce sera plutôt un milieu de nuit) skype, avec le reste de ma famille. Mais la lumière s'éteint brusquement dans l'ascenseur nous laissant pour seul source de lumière le voyant d'alerte qui clignote rouge. Je relève les yeux vers ce dernier « qu'est-ce qui se passe ? » demandai-je malgré tout, tandis que je grimace, me tenant à la barre de sécurité pour ne pas tomber, tandis que ma respiration se fait plus lente. Non ne panique pas, ça sert à rien.

Khalilah Rosie.

Le shopping est un des moyens qui me permet de me changer les idées après tout ce qui s’est passé au Summer Camp… J’aurais pu très bien me détendre dans ma confrérie mais non, l’envie de sortir était plus forte que tout. L’appel des magasins est trop fort même si au final, je n’ai pas acheté grand-chose mais le fait de sortir me fait du bien. Une jeune femme ressemblant à ma sœur passa à côté de moi, j’aurais pu lui sauter dessus mais ça ne peut pas être elle vu qu’elle est dans un lit d’hôpital et on m’aurait pris pour une folle sans doute.

Je me dirigeai vers l’ascenseur rapidement pour aller à l’étage, les portes de l’ascenseur risquait de se fermer d’une minute à l’autre et franchement, je n’ai pas envie d’attendre le prochain ni de monter les escaliers donc je poussai tout doucement un petit groupe qui était rester en plein milieu du passage comme par hasard. J’ai eu chaud car les portes se sont refermés quelques secondes après que je sois rentrée dedans, je pouvais remarquer qu’une jeune femme se trouvait en ma compagnie.

Soudain la lumière s’éteint puis je vois le tableau de commande faire n’importe quoi, mon dieu c’est vraiment pas ma journée et en plus il a fallu que je dise Oh non… Il faut que j’essaye d’être calme pour pouvoir rassurer la seule femme qui est avec moi. « Je crois que l’on a un petit problème mais tout va s’arranger » Je me mis à m’assoir près de la jeune femme qui semblait pas bien du tout, j’allais essayer de rassurer un peu. « Je m’appelle Rosie et vous ? J’aime les animaux surtout les chats »

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Mon regard se perd dans l'horizon des boutiques, passant au travers des corps se pressant dans les galeries marchandes, tandis que je cherche du regard l’ascenseur pour retourner soit au sous-sol, soit à l'étage . Je ne sais même pas où allait à vrai dire, mais le plus loin possible de cette femme enceinte, qui me rappelle trop ma situation actuelle. Je suis totalement perdue, au sens propre, comme au sens figuré. Je trouve finalement l'ascenseur et me dirige vers ce dernier, laissant les portes se refermer d'elle-même lentement, je ne sais même pas sur quel bouton je veux appuyer. Mais une jeune femme réussit à se faufiler entre les portes avant qu'elle ne se referme, elle se chargera d'appuyer sur le bouton qu'elle souhaite, et ainsi choisir innocemment pour moi . Je baisse les yeux sur mes chaussures avant de sortir mon téléphone portable, consultant mes messages et mes derniers mails. Ma famille me contactant tous les jours ces dernières semaines, préparant mon retour au pays pour les vacances d'octobre . C'est l'histoire de quelques jours, mais la famille reste sacrée, passant avant tout , et ces derniers n'ont pas eu l'occasion de me voir depuis février. Cette attente devrait être un véritable moment de joie qui est pourtant gâchée par cette grossesse inattendue, et qu'importe la décision que je prendrai, ma famille me reniera en apprenant la nouvelle, que ce soit parce que j'ai avorté et sacrifié une vie, ou que je garde cet enfant qui ne sera qu'un bâtard, car né hors mariage, tout comme moi qui n'aurait pas respecté les règles de ma religion. Dans tous les cas je redoute ces retrouvailles. Je pousse un léger soupir à cette pensée avant de relever brusquement le regard lorsque la lumière s'allume nous plongeant toutes les deux dans les ténèbres. Ok pas de panique, me dis-je en tentant de contrôler ma respiration, a faute de pouvoir contrôler mon rythme cardiaque. Tout va s'arranger . Je finis par m'asseoir au sol, ce sera plus simple pour moi, je préfère m'asseoir directement que de perdre l'équilibre dans une crise de panique, qui commence à pointer le bout de son nez . Ayant toujours mon téléphone à la main, j'en profite pour mettre en route la lampe torche, évitant de faire tomber mon téléphone avec mes mains tremblantes . Cette petite lumière a le don de me calmer légèrement, soufflant légèrement « euh Khalilah. » dis-je en fermant un peu les yeux, en fronçant un peu les sourcils. Oh si je suis tombé avec une femme qui peut pas s'empêcher de parler, ça va être encore plus compliqué. « Ah...j'aime bien les animaux aussi … j'ai un très gros chat qui s'appelle Bengale » Gros chat, c'est le moins qu'on puisse dire pour décrire mon tigre ! « Il y a… un bouton pour appeler des secours ? »

Khalilah Rosie.

Génial c’est quand on est pressés en quelque sorte que les gens ne se poussent pas… je viens de le remarquer quand il faut vite que je prenne l’ascenseur afin qu’il ne se referme pour me laisser prendre les escaliers… Je décidai de pousser légèrement un petit groupe pour accéder rapidement à l’ascenseur avant que les portes ne se referment sur moi. Une fois arrivée dans l’ascenseur, je me mis enfin à respirer un peu même si je pouvais constater que je n’étais pas toute seule.

Alors que je reprenais bien mon souffle, il faut que cette foutue cage de fer fasse des bêtises et bien, la journée continue bien… Faut mieux que je reste assise par terre au moins, j’allais essayer de rassurer la jeune femme qui se trouve avec moi mais d’ailleurs je ne connais pas son prénom ça sera plus simple pour la suite des événements, avant ça je mis aussi mon portable en mode torche pour mieux voir « Enchantée » Il faut absolument que je me rappelle de la mission que l’on m’a confier au niveau de mon bizutage afin de pouvoir intégrer les Quincy en tant que membre à part entière… « Il doit être mignon je sais que c’est complétement idiot mais un jour, j’aimerais bien être un chat pour voir ce que ça fait » Oh oui, qu’est-ce que j’aimerais être un chat roux par exemple. « Je vais appuyer dessus, ne bougez pas » Ce n’est pas la première fois que je prends l’ascenseur donc j’ai eu le temps de mémoriser un peu les boutons de cette cage de fer. Je me relevai tout doucement et appuya sur un bouton puis je me mis à parler rapidement avec une personne. « On est coincées dans l’ascenseur, aidez-nous » Une personne me répondit qu’il allait faire leur possible rapidement pour nous sortir de là puis je me rassis à côté de Khalilah « Ils vont faire leur possible pour que l’on sorte de là rapidement… »

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Je ferme les yeux, me concentrant sur ma respiration, inspirer, expirer. Dans des moments comme celui-ci, cela est plus compliqué que l'on peut le penser. Toute sorte de pensée traverse mon esprit. Le noir, associé au vide, à la non-existence… peut-être un peu à la mort, des pensées noires envahissent mon esprit, je par tous mes repères, ne distinguant même plus mes mains que j'essaie de bouger, est-ce-que j'y arrive d'ailleurs . Je sens le contact de mon téléphone contre ma paume, mais ce que je fais d'ordinaire à la lumière du jour, me semble tellement lointain, ayant l'impression de mettre une éternité pour appuyer sur le bouton de déverrouillage, laissant apparaître une silhouette fantomatique à mes côtés : la jeune femme présente avec moi dans l’ascenseur. Je tourne mon regard vers cette dernière, essayant de me concentrer cette fois-ci sur sa voix, pour comprendre ce qu'elle me dit, me parlant les chats … oui très bonne conversations tiens! Je souffle doucement, laissant mon regard se poser sur les faisceaux lumineux que je viens d'allumer sur son téléphone portable, reprenant lentement une respiration normale. « Oh oui il est très beau, mais disons qu'il ne faut pas qu'il vous approche de trop près si vous tenez à la vie. » dis-je en passant une main dans mes cheveux avant de poser de nouveau mon regard vers elle en soufflant légèrement. « Bengale est un tigre. » dis-je avec un petit sourire, attendant de voir si la jeune femme va avoir cette réaction de surprise que j'ai l'habitude de voir sur le visage de mes interlocuteurs lorsque j'annonce l'espèce de mon gros chat ! Je la regarde se lever pour aller demander de l'aider, tandis que je ramène mes propres jambes contre ma poitrine, la sensation de froid commençant doucement à m'envahir. « être un chat . Pourquoi un chat ? Autant être un animal capable de se défendre seul... » mais un chat peut voir dans le noir il est vrai… Je hoche doucement la tête lorsqu'elle m'explique qu'ils vont rapidement venir . «  Mais si on est coincé entre différents étages… comment ils vont faire ? »

Khalilah Rosie.

D’habitude je n’ai pas tellement peur mais il faut que je me concentre sur ma respiration pour pas céder à la panique ce qui aurais le don de faire peur à la jeune femme se trouvant à mes côtés. Je sortis mon téléphone de mon sac à main afin de nous éclairer un peu, il est hors de question que l’on reste dans le noir surtout que je sens Khalilah pas très bien sûrement qu’elle a peur, c’est tout à fait normal. Pour essayer de détendre l’atmosphère et pour passer le temps, je me mis à parler de chat qui est mon animal préféré mais également, je me souvenais de ma mission au niveau de mon bizutage pour intégrer à part entière les Quincy qui sera bientôt ma confrérie. Je me mis à sourire quand elle me dit que Bengale est un tigre, ça me rappelle un peu des chats c’est mes parents c’était une espèce de tigre mais qu’est que je l’aimais ce gros chat d’amour. Je sortis rapidement de mes pensées car sans doute que personne n’aura remarquer de l’ascenseur est en panne et que nous sommes coincées dedans donc je me levai tout doucement et appuya sur le bouton pour demander de l’aide afin de nous faire sortir d’ici. « Oui, c’est vrai mais en tant que chat, j’adorerais avoir pas mal de câlins mais ça serait bien de voir la nuit aussi » Je pouvais soudain remarquer Khalilah entrain de frissonner donc j’enleva ma veste de mes épaules et l’a passa sur les épaules de la jolie brune pour qu’elle puisse se réchauffer un peu. « Tiens sans doute que tu aura un peu plus chaud » Oui, sans doute mais il faut vive que l’on sorte d’ici… d’ailleurs je n’imagine pas ce que ça aurait été si l’une de nous aurait être claustrophobe. « Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer » je l’espérais tout simplement

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Je lève lentement les deux vers le plafond de l'ascenseur, espérant peut-^tre voir une lueur d'espoir, où quelque chose pouvant s'y rapprocher. Malheureusement non, le noir englobe totalement cette partie, m'empêchant de me raccrocher à quelque chose. Je laisse un soupir s'échapper de mes lèvres tandis que je la jeune femme avec qui je partage la cabine, essaye certainement de se changer les idées et les miennes par la même occasion, me parlant de... chat. La première réaction que j'aurai dû avoir aurait été de relire,'essayer de trouver un sens à cette conversation, mais non ! Je préfère évoquer mon tigre, que je possède depuis de nombreuses années à présent , depuis cette fameuse visite au zoo, où je suis tombé en adoration devant ce bébé tigre . Par conte je ne rêve absolument pas de me réincarner en ces petites boules de poils., avoir justement des boules de poils dans la gorge non merci. Je préférerais de loin être une espèce capable de se défendre, d'effrayer peut-être un peu l'homme, pour leur rappeler que la nature ne leur appartient pas. Qu'il ne sert à rien de vouloir tout domestiquer comme certains le fond. « Oui voir la nuit, mais en noir et blanc. » dis-je avec une légère grimace ; ne pas pouvoir discerner les couleurs, les beautés de ce monde serait certainement difficile pour moi « Je ne sais pas en quoi j'aimerais me réincarner. » dis-je finalement en haussant les épaules, mais la question n'est pas vraiment là de toute façon, plutôt au moyen de trouver une façon de sortie d'ici. À présent que nos téléphones portables sont allumés, libérant une source de lumière non négligeable, je retrouve une respiration correcte, le rythme de mon coeur ayant repris un rythme constant. Je souffle un coup, la crise de panique ayant réussi à être évacué rapidement grâce à ces petits technologie «  ça va aller. » dis-je en la remerciant pour sa veste , ne voulant pas qu'à son tour elle est froid mais je refuse de rester assise sans rien faire. Je finis par me relever, vérifiant que j'ai assez de force pour tenir sur mes jambes, récupérant mon téléphone par terre et le dirigeant vers le plafond. «  il y a une trappe, on peut , peut-être, essayer de l'atteindre ... »

Khalilah Rosie.

La seule chose à faire dans ce cas-là est d’attendre que l’on nous chercher mais il est hors de question que l’on meurt ici dans cette cage de fer... J’essaya de changer les idées à Khalilah pour ne pas qu’elle panique encore plus, je suis contente d’être tombée sur elle car au moins elle me prend pas pour une folie de chat enfin je le pense. Je rêve de me réincarner en ces petits boules de poils trop mignonne sur lequel je craque complétement quand j’en vois une « C’est utile pour se diriger n’empêche. Qu’est-ce que j’aimerais être un chat » Oh que oui, j’aimerais être un chat. « Tu trouveras le moment venu » Je sortis rapidement de mes pensées en allumant l’option torche mon portable ainsi que celui de Khalilah… on allais pouvoir me voir si une sortie se présentait à nous. Je lui tendis ma veste pour ne pas qu’elle ait froid mais elle l’a refusa sans doute qu’elle pensais à ma santé aussi ce qui a le don de me faire sourire un peu puis je l’entendis dire qu’il y a une trappe… on allait surement sortir de là sans l’aide des réparateurs qui tarde à venir « On va faire la courte échelle sinon on n’y arrivera pas » Oui, c’est la seule solution pour y arriver et aussi pour respirer l’air frais ainsi que regagner la terre ferme…

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Combien de temps risques t-on d'attendre ici, une demi-heure ? Une heure… 3 heures ? L'attente est quelque chose d'effroyable, nous laissant tout le temps nécessaire pour nous remettre en question, nous notre propre vie, de laisse nos pensées vagabonder dans notre esprit sans autre occupation pour les y en chasser. Je souffle doucement, tournant mon visage vers cette jeune femme qui me tient compagnie, t qui tente de me changer justement les idées, de chasser ses pensées morbides qui me viennent en présence de l'obscurité, pour me parler d'animaux et de réincarnation. « faut-il encore croire en la réincarnation ». dis-je en haussant les épaules. Ce n'est pas un concept qui me vient à l'esprit quand je pense à la vie après la mort. Je ne sais pas ce qu'il y a après, qui le sait vraiment à vrai dire ? Mais je préfère croire en une sorte de paradis, un endroit où la paix règne en maître , où les ordures de ce monde n'ont pas accès. Je passe notamment à ce qu'il y a peut-être à l'intérieur . À ce que je porte peut-être. Aurai-je le droit à ce bonheur si je suis enceinte ? Enceinte hors mariage, sans avoir respecté les règles de ma religion. Je souffle un coup, voilà le genre de pensées que j'aurais préféré éviter. Je finis par me lever, cherchant une issue possible. Il n'y a qu'un sous-sol, un rez de chaussé et un premier étage, il y a forcément un moyen de sortir d'ici d'une manière ou d'une autre selon moi. Je finis par lever les yeux vers le faux plafond, distinguant ce qui ressemble à une trappe, je pose mon regard vers Rosie, lui adressant un petit sourire lorsqu'elle propose de faire la courte échelle, ayant eu peur qu'elle trouve cela stupide de ma part et qu'elle souhaite attendre les secours. « Ok alors euh, tu vas monter sur mes épaules? »dis-je en fronçant légèrement les sourcils. C'est comme ça qu'on fait la courte échelle ? «  ou tu préfères que je monte, comme tu veux. » dis-je en haussant les épaules, même si je pense qu'une fois la haut, je flipper plus qu'autre chose s'il fait noir.