J’en pouvais plus du tout, y avait vraiment un réel soucie avec son Wade, son petit prince comme je l’appelle. Je devais supporter tout ça, j’étais sûr qu’elle le voyait sans me le dire, elle a beau ne pas me mentir, je n’aimais pas cette relation avec lui. Rien que l’appel qu’on a eu, j’ai dû rester à l’hôpital pour des mesures de précaution elle en a eu rien à foutre. Je viens de rentrer, un bandage entourant ma taille. Quand j’étais arrivé à la maison y avait personne du coup je me dis qu’elle devait être à son lieu de travail pour réaliser un de ses articles. Si elle y est pas alors je ne savais pas où elle était et si elle n’est pas là-bas et bien je vais partir moi aussi sans rien lui dire. Elle aura qu’à retrouver son petit prince afin de pouvoir l’embrasser de nouveau vu qu’elle est partagée entre nous. Je m’étais arrêté pour prendre chinois, la connaissant elle devait y être depuis l’après-midi.

Arrivant dans le bureau je la trouve effectivement devant son ordinateur, des bouquins et puis des feuilles un peu éparpiller, je boite un peu il faut dire et viens m’asseoir à côtés d’elle, posant bruyamment la bouffe sur le bureau « Salut, je t’ai apporté de quoi manger, te connaissant tu as dû passer l’aprèm ici. » Je sors une boite de médicament de ma poche et les fais rouler sur la table, je la regarde m’affalant sur un des fauteuils « t’es toujours énervé pour hier ? » La fixant le nez toujours dirigé vers son écran, venant passer une main dans ses cheveux blond, lâchant un petit gémissement de douleurs, rien qu’à faire ce mouvement.

Comme je me doutais bien, elle était encore furieuse et s’en battait les steaks de la raison du fait que je n’étais pas là hier soir ou encore de ce qui avait pu m’arriver. Je sentais que je devais alors faire un effort dans sa relation avec cet idiot si je tenais vraiment à elle. Comment ne pas réagir face à cela aussi ? N’importe quel homme ferait la même chose que moi… enfin j’aime Ivy, je ferais n’importe quoi pour elle, mais les limites ne doivent pas être franchi, enfin. Quand elle se décale pour éviter que je lui caresse les cheveux, cela me blesse, la colère était vraiment grande, juste parce que je lui ai pas fait confiance pour Wade, j’ai mes raisons de ne pas l’être, après tout un baiser peut-être vite donné. Je savais qu’elle mourrait de faim, malgré qu’elle dise le contraire, je la connais assez pour savoir c’est petite chose « très bien, j’ai faim moi en tout cas. » Je prends le sac et sort le paquet de nouille chaude, encore fumante que j’avais chié à aller chercher en moto, j’en sors un pour elle et un pour moi, de la glace était aussi présente, je la regarde « Tu vas louper quelque chose alors que t’es morte de faim, tu bosse depuis ce matin je suis sur… » J’ouvre le paquer et prend mes baguette, faux mouvement me les faisant tomber « aie… » Je tente de les ramasser avec difficulté. Je la regarde prenant des nouilles, puis soupire « je suis désolé pour hier, je n’aurais pas dû m’emporter au téléphone. J’ai confiance en toi, mais pas en lui c’est tout et ça ne changera jamais. Tu es bien jalouse de Nem après tout alors que c’est pareil sauf que je suis pas amoureux d’elle » Je souffle sur les nouilles doucement et en mange un peu.

Avais-je raison ou avais-je tort ? Je ne savais plus trop en fait. J’étais totalement perdu dans tout cela. Les cours avaient repris je m’étais totalement isolé des autres personne voyant par moment Nem et Matty qui était plus là. Je n’avais plus personne a part Ivy, enfin elle était là sans vraiment être là vu que son esprit était occupé à savoir comment Wade allait vu qu’elle s’était éloigné de lui pour… moi. J’avais mis en avant ma relation avec Nem, mais ça je me doutais qu’elle allait dire quelque chose et ça arriva. Oui je me suis fait un film et je ne l’ai pas cru, oui elle n’avait plus vu Wade depuis un moment et comme elle l’a dit il lui manque horriblement, est-ce que moi je lui manquerais autant qu’i lui manque. Elle était furieuse et elle avait raison, mais est-ce qu’elle savait comment j’étais à l’intérieur ? Non je ne pense pas. Genre ça la faisait souffrir de ne pas voir ce crétin… Elle continue en disant qu’elle allait me demander comment j’allais, attend quand t’es fiancé ce n’est pas la première chose que tu demandes ? La perdre ? Peut-être que c’est elle qui me perdra, mais elle serait malheureuse pendant quelque temps vu qu’elle aura son Wade avec elle. Je ne supporte plus cela aussi et je fais comment ? Elle revient aussi sur le fait qu’elle l’ait embrassé… Il n’a donc pas répondu… Elle me foutait en rogne, alors qu’elle se lève, je serre les dents, sentant mon cœur s’emballer, je ne pensais pas que la blessure à la poitrine pourrait me faire autant mal alors que je craignais rien. Je me lève difficilement et m’approche d’elle « Maintenant écoute moi bien, ta relation avec Wade est malsaine que cela soit pour toi ou pour nous. Tu dis qu’il à rien engendrer ? Donc tu étais seule à l’embrasser, il t’a laissé faire comme un mec sympa pour que tu le fasses souffrir. En tant que fiancé me demander comment j’allais est censé être la première chose que tu aurais dû me demander, malgré ta rage envers moi, car je te signale que tu m’aime  et que je suis censé passer un minimum avant le reste. Tu souffres autant de ne pas voir un type qui souhaite qu’une chose t’enlever à moi et t’avoir rien que pour lui ? Ok arrête de me rassurer alors et cours dans ses bras dans ce cas. Je le déteste comme il me déteste, il me pourrit ma vie j’ai qu’une envie te le foutre en taule son meilleur Am… » Je sens la cote me faire mal alors je me tiens le côtés tout en la regardant, cela allait partir en dispute éncore " tu as raison, j'arrête d' être comme ça , tu as qu'a allé le voir vu qu il te manque autant et t'apporte un vide dans le cœur" je retourne a ma chaise et reprend mes nouilles.

Je pense que j’exagérais un peu trop, elle avait raison. On s’aimait, mais y aura toujours un obstacle entre nous. Je la regarde alors que je suis assis sur ma chaise, moi aussi j’étais fatigué de cette situation, j’étais la cause de notre prise de tête et je devrais remédier à cela. Je l’écoute dire que je me faisais passer avant elle, c’est vrai que je n’ai pas demandé de savoir pour son passé alors qu’elle l’avait fait pour le mien, je ne sais pas ce qu’elle a vécu. Comment tout cela est arrivé ? C’est vrai que j’ai demandé aussi. Oui j’étais certains et je le suis encore aujourd’hui sinon je lui aurais pas pardonné et j’aurais rompu nos fiançailles. Je pense comme elle parce que j’ai peur que cela recommence, j’ai juste peur. Ai-ce que je n’ai pas le droit d’avoir peur ? Non je ne doute pas de son amour envers, je doute juste de ce qu’elle ressent alors qu’il n’est pas loin. Quand elle dit le mot pause cela me fit quelque chose, si elle voulait une pause elle devait rompre les fiançailles, car nous étions plus en couple. Je sais que c’est une partie d’elle, son premier amour, mais de là à être une obsession. J’ai bien réussi à ne plus faire une fixette sur ma meilleure amie même si elle n’est plus de ce monde. Je pose mon paquet nouille sur la table et me tourne difficilement vers elle « Ecoute moi bien, je sais dans quoi j’ai mis les pieds, je sais pourquoi je t’ai dit oui pour qu’on ait ces bagues. Je doute absolument pas de ton amour pour moi, je me demande juste pour qui ton cœur chavire le plus… Je n’ai pas le droit d’avoir peur ? De me demander des choses ? Je suis jaloux, j’y peux rien c’est comme ça. Je contrôle plus rien, tu ne me porte plus vraiment d’intérêt comme tu le faisais avant, tu as presque que lui à bouche, car il te manque. Tu crois que c’est agréable pour moi ? J’ai fini aussi de m’énerver pour ça, je veux retrouver le couple qu’on était l’an dernier. Pour ta pause comme tu dis, si tu la veux vraiment tu dois rompre les fiançailles, car tu ne peux pas dire je veux pause et partir, car même si tu pars on est toujours l’un a l’autre avec ces bagues. Je me bats chaque seconde pour toi tellement je t’aime, je suis pire que tu puisses le penser. Tu as qu’à me raconter l’histoire alors et ensuite je partirais si c’est ce que tu souhaites. Alors maintenant je te demande de me raconter, parles-moi du commencement, de qui tu étais avant, les conneries que tu as pu faire, les moments où tu as été heureuse. Si tu veux bien me les raconter bien entendu. » J’attrape mon flacon et prend un autres cachet, ce n’était pas bon, c’était le troisième en même pas 2h.

Toujours assis sur ma chaise, j’avais parlé si elle n’avait vraiment pas aimé que je la connaisse plus alors elle a qu’à me parler maintenant, mais apparemment cela est trop tard et bien soit je ne saurais pas pour l’instant qu’elle fille éperdument amoureuse qu’elle était. C’est vrai qu’en fait j’attendais qu’elle vienne me parlait d’elle, mais j’avais aussi eu tort de ne pas lui demander comme elle me la demandé l’autres soir pour mon passé. Oulà elle use de mon prénom en entier, fallait vraiment que sois je calme les choses soit je m’en aille. Je ne suis pas un fuyard si elle voulait vraiment me hurler dessus je resterais là. Je fus étonné qu’elle parle de chantage, cela n’en était pas, mais une réalité je pensais que cela était logique qu’on ne pouvait pas faire une pause alors que nous étions fiancés, après j’ai peut-être pas usé des bons mots une fois de plus. Je continue de l’écouter, apparemment j’étais méchant, c’est vrai que je m’entends pas parler. Alors quand elle balance que je la traite d’idiote, je me dis que c’était pourtant minime comme méchanceté, est-ce mes années dans l’armée qui m’ont rendu comme cela ? Pourquoi elle parle de son âge ? C’est une femme pas une gamine qui est au secondaire, je sais que je fais sans faire exprès de l’engueulais comme un père, mais je ne contrôle pas cela, je sais même pas comment je fais… Pour Nem, on en a discuté et non elle n’a pas de pensé comme cela, mais Ivy est jalouse, mais elle contrôle mieux sa jalousie que moi. Oh si je savais ce que ça lui faisais, mais je me taisais, je n’aime tellement pas Wade que je m’étais retenu de lui dire d’aller le voir, mais je préférais le silence que d’avouer une telle chose. On dirait que j’ai l’air d’un monstre qui ne fait pas attention à elle alors que l’autre est au petit soin. Tiens elle était claire maintenant. J’en revenais pas qu’elle me parlait de la porte, je l’ai blessé et là elle venait de me blessé aussi. Je l’avais écoutais attentivement « Je savais… Je savais que tu chantais plu, tu ne fais qu’écrire tes chansons dans ton cahier, je t’ai vu une fois dans la chambre écrire, même pas tu chantonnais, même pas tu marmonnais alors qu’avant tu le faisais, tu avais le rythmes là c’était comme si tu étais vide. Au départ je pensais que c’était parce que… parce que on l’avait perdu que tu arrivais plu à chanter… Du coup je me suis poser des questions et j’ai compris que c’était lui… Plus d’une fois je voulais te donner le téléphone ou même te dire d’aller le voir, mais je le déteste tellement que je ne voulais pas avouer qu’il pouvait t’apporter autant de manque. Je ne compte ni prendre la porte ni rompre avec toi, tu sais pourquoi ? » Je lui montre la bague « Je t’aimerais jusqu’à qu’on me tue ou que tu vire de ta vie point quitte à souffrir… » Je prends un autre médicament tellement j’avais mal « Ensuite, je t’empêcherais rien… j’ai confiance en toi et je vais faire les efforts qu’il faut, je suis devenu parano c’est vrai parce que je le hais et je suis fou de toi voilà pourquoi ? Tu ne sais pas de quoi est capable un homme quand on se met au travers de son couple, tu as été capable de te priver, de supporter du mal… Moi je serais capable de tuer pour qu’on ne te prenne pas à moi. J’ai l’air fou? Tu as peur? Tu dois avoir raison. Vu que tu ne veux pas m’en parler, je trouverais un autres moment pour te demander, mais je ne t’ai pas tout dis sur moi. Maintenant si tu veux aller voir Wade maintenant ou je parte, dis le moi et je m’en vais dans le cas contraire je reste avec toi, car tu m’as manqué hier soir et je me demandais où étais ma petite amis alors qu’on me dit que j’ai failli avoir le poumon perforé »