J'étais maintenant dos contre le mur, Elysia collée à moi, me demandant ce qu'elle pensait de la « théorie » qu'elle avait entendu. Ses doigts commençaient à se glisser sous mon haut, le froid me donnant des frissons. Je pensais alors à ce qui m'attendait dans quelques minutes, à moi lui faisant sauvagement l'amour et l'excitation commençait à monter en moi, mon entrejambe en témoignant. Un sourire en coin, je répondis, rapprochant mes lèvres de siennes : « Je pense qu'il n'y a qu'un seul moyen de le savoir ». Sans hésiter une seconde, je passais une main derrière son dos pour ouvrir la fermeture éclair et ainsi commencer à la débarrasser de sa robe tandis que mon visage plongeait vers son cou, mes lèvres descendant de plus en plus bas. Elysia était une joueuse je le savais, j'espérais donc qu'elle ne me rejetterait pas pour s'amuser, qu'elle ne profiterait pas de la situation pour me mettre un vent.

Mon corps contre le sien, j'aime le sentir proche de moi et ça ne le laisse pas si indifférent, j'en joue un peu oui. Mes doigts glissent doucement sous son t-shirt, un sourire au coin des lèvres, mon regard dans le sien. Je ne pensais pas le sentir faire glisser la fermeture éclair de ma robe, le froid s'engouffre sous le tissu ce qui me provoque un frisson. Ses lèvres dans mon cou, je m'en mords la lèvre, je profite de ce rapprochement un moment avant de relever son visage pour venir frôler ses lèvres. L'endroit est assez atypique, on est dehors, il peut y avoir des passants, les probabilités sont faibles, car c'est une petite rue, il fait froid, mais ça peut nous réchauffer Tu penses que c'est une bonne idée? Dis-je faiblement contre ses lèvres