Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle bourriquet et j'ai 145. Je suis un seigneur du tempsk et j'ai connu le forum grâce à mon TARDIS.  Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise andre bentzer comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par aurelie, bazzart. Je fais environ 400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par moi.

Mot de la fin ? ▲ Jeffrey, remets nous des glaçons.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Tu es là, étendu sur le dos, le sable chaud te brûlant légèrement la peau. En fermant les yeux, tu arrives presque à sentir le vent du bord de la tamise. La houle se lève à peine et les premières vagues viennent s'échouer sur la plage ou s'écraser contre la roche. Tu as toujours aimé le bruit des vagues, celui de l'eau. C'est comme ton élément, depuis gamin tu allais au bord de la mer pour te calmer, pour oublier tes peines. La plupart du temps ça t'aidais à faire le vide, à méditer. Comment un gamin comme toi es arrivé là hein ? tout le monde disait que t'allais tout lâcher pour sauter ou nager. Tu ne demandais que ça quand t'étais jeune puis tu as eu ce dé-clique de maturité.

Tu te souviens comme ta mère adoptive a été surprise de t'entendre dire que tu partais pour Harvard. « Tu es sur ? » elle ne pensait qu'un jour tu puissse décider de partir d'ici, que t'allais continuer aussi loin en plus dans ce domaine, c'était un peu étonnant de part. Il faut dire que tu surprends trop souvent ton entourage, tu aimes prendre tes propres décisions « Certain, mon ambition ne s'arrête pas à mon plongeoir. » tu avais dû prononcer cette phrase, c'est ton genre, puis sans oublier avec ton minois d'ange Elle vient se serrer contre toi pour féliciter ton choix d'aller de l'avant, ce n'était pas évident. Tu as deux facultés, celle d'exceller dans l'eau plus particulièrement lorsqu'il s'agit de sauter, et le deuxième c'est le concept du dessin-design. Beaucoup t'ont jalousé dans ta jeunesse car tu avais le choix, mais toi tout ce que tu voulais s'était être au contact de l'eau. De sentir l'adrénaline t'envahir lorsque tu sautes. Que c'était dur de te tenir enfant, tu voulais toujours aller à la piscine. Ta mère a toujours pensé qu'un jour tu allais préférer partir à la recherche de tes parents adoptifs, que tu allais tout plaquer. Malgré que tu leur fasses comprendre que c'était eux tes parents et que tu n'allais jamais les abandonner.

Quand tu rentres dans la vie de quelqu'un c'est étrange mais tu y laisse une marque, tu manques facilement aux gens et tu ne t'en rends pas forcément compte. Ca doit venir de ta manière de sourire, et cette lueur dans ton regard, c'est remarquable cette bienveillance que tu as dans les yeux. Ce foutu sourire rempli de joie qui te rend si adorable, et parfois t'en abuse pour te faire pardonner. Il est tellement dur de t'en vouloir même lorsque tu fais des bêtises, des actions désobligeantes. Car oui tu n'es pas un amour, tu n'y es pas loin, mais tu as tes défauts comme tout le monde. Tu détestes par exemple les adieux, tu as dit que tu partais mais tu n'as jamais divulgué la date. Un matin tu t'étais envolé pour Cambridge. Ton arrivé ici a été dur, loin de tout, de tes kangourous et koala. Mais ta gueule d'ange t'as sauvé, comme toujours, tu as fini par ne plus être un poisson. Tu t'es bien vite adapté, et on t'apprécie facilement avec une telle gueule les gens on tendance à vite te faire confiance.

A chaque fois que tu plonges ton coeur explose dans ta poitrine. Lorsque tu t'élances dans le vide, c'est comme si rien autour de toi n'existais, tu ne pensais qu'à une chose, exécuter le saut parfait. Tu ne te lasseras jamais de cette sensation de liberté au moment d'un saut. Tu es nés pour plonger, nager, être dans l'eau. Même si t'es doué pour autre chose, on ne te retira jamais ta passion de sauter.

Tu essayes de te demander si ta vie à Harvad aurait pu être différent qu'aujourd'hui, tu n'es pas as plaindre, t'es même heureux. Même s'il y a cette fille qui te hante un peu et te maltraites. Oh oui elle, un rictus sur tes lèvres se dessine quand ta pensée ce termine surs ses lèvres. De tes doigts effleurant sa peau à moitié nue, les laissant glisser épousant les courbes de son dos, les fines mèches de cheveux y vagabondant aussi.Tu l'admirais toujours, les cheveux de la belle retombait sur son visage paisible, ses yeux clos, ses fines lèvres entrouverte, laissant l'espace de laisse passer qu'un simple souffle.

Lorsque que tu as croisé ses prunelles la première fois, ton coeur s'est mis à battre si fort dans ta poitrine, que tu te demandais si tu n'étais pas en train de crever. C'est vrai que tu n'as jamais été du genre à tomber amoureux, c'est plutôt l'inverse les filles t'aiment trop alors que toi tu ne les aimes pas assez. Tu es loin d'être un bourreau des coeurs, justement tu leur dis que tu ne peux être plus que leur ami. Il est vrai que tu as eu pas mal de petites amies, mais au moins contrairement à certain, tu gardes plus de quelques mois. Toi tu t'es souvent contenté d'un léger sentiment d'attache, tu disais que tu étais jeune et ce n'est pas à cet âge qu'on aime une personne.
Elle n'a fait que passer à côté de toi, en te jetant un regard comme beaucoup de femmes font lorsque tu croises leurs routes, cest vrai que tu as une belle gueule. Mais bordel, cette fille, elle t'avait fait de l'effet, un coup de foudre. Jamais tu n'avais ressenti cette sensation pour une fille et encore moi pour une inconnue traversant les couloirs. « He gars tu veux mes yeux. » ton ami t'avais tapé sur l'épaule, alors que tu observais la belle. « Cette fille tu l'auras jamais, c'est la pire des garces. ». Puis vous vous êtes rapproché à cette soirée organiseé par les mather house, t'étais incroyablement beau, tu l'es toujours quand tu sors. Et elle éblouissait la piste, alors tu as décidé d'endosser le rôle d'homme qu'elle aime, ceux qui ne s'attachent jamais. Toi, t'es un bon comédien tu sais faire paraître ceux que les gens veulent voir de toi. Alors tu t'étais rapproché d'elle, elle t'a dévoré des yeux et s'est collé à toi, bougeant ses hanches. Vous étiez si proche, tu sentais son souffle sur tes lèvres, ton coeur allait exploser. Tu voulais tellement la sentir contre lui. Alors t'as fini par la plaquer contre un mur alors qu'elle tentait de te faire perdre la tête, tu dévorais ses lèvres un instant, ses mains passaient dans tes cheveux, te décoiffant complètement. « Je t'aime. » lui avais-tu dis comme un con, plongeant ton regard dans le sien, elle s'était mise à rire, c'était normal, tu étais encore jeune et con. Elle avait passé ses doigts vernis de rose dans ta nuque et elle t'avait encore offert le genre de baiser qui te rend encore plus amoureux d'elle. Tes lèvres avaient parcouru son corps brûlant de désir, tes mains caressant ses courbes délicates, tu avais sentis ses ongles s’étaient enfoncés dans ta peau. Tu en avais tellement attendu pour toucher enfin ce corps, sentir sa peau sous tes mains. Alors, tu te contentais de ce qu'elle te donnait, son corps et le droit de rester dormir dans sa chambre. Les matins sont souvent les mêmes avec ell: Ses lèvres se posent contre ton menton, entre-ouvrant les yeux quand tu la sens se redresser. A cette image si parfaite tu lui souris. Elle vient alors se mettre à califourchon sur toi en glissant tes mains sur ton torse, toi tu lui souris comme toujours. Un de ces matins, tu lui as emprisonné sa main. « Ne me réveille pas de cette façon si tu ne veux pas... » elle te stoppe en posant sa main sur tes lèvres, elle secoue la tête, tu continues quand même tu ne veux pas être son esclave, ça assez duré ce jeux entre vous. Mais elle finit toujours par te dire « Dégage Milo je t'ai assez vu. » et toi tu la fixe, soupire et te laisse tomber sur le côté. Elle te traite toujours de cette façon, à chaque fois qu'elle a eu ce qu'elle voulait, elle te jette. Alors tu finis par te lever et te rhabiller. « Que personne ne te vois sortir d'ici. » dit-elle d'un ton sec en te balançant un de tes vêtements. « Bonne journée. » que tu lui ditla plus part du temps, tu viens toujours poser tes lèvres sur ta jouer, tu ne peux pas t'empêcher d'être aussi adorable avec elle, tu l'es souvent avec les filles.
Personne ne sait pour votre relation, elle veut que cela reste secret, que tu restes son jouet privé.

Tu la vois souvent jouer avec tes sentiments et tes nerfs, elle se colle souvent à d'autres hommes en te lançant des regards provocateurs avant de les embrasser. Elle le fait exprès, à chaque fois qu'elle te voit elle attrape un de ces mecs pour l'embrasser avec vivacité. La garce, ça lui plait de voir que ça te blesse. Toi tu l'observes toujours se déhancher avec d'autres, et ça te fait un mal de chien à chaque fois. Puis lorsqu'elle disparaît, que tu sais qu'elle est partie avec un autre, tu te casses en lançant l'excuse que t'es fatigué. C'est toujours étonnant de te voir partir avant la fin, ça amène des rumeurs, des inquiétudes mais tu finis toujours pas trouver une excuse. Cette fille elle te fait souffrir et tu continus a coucher avec elle lorsqu'elle en a besoin. Tu y es trop attaché.

« Qu'est-ce que tu fais tout seul? » un sourire imperceptible se dessine sur tes lèvres, elle vient s'asseoir à côté de toi. Elle vient de rompre ton repos, c'était peut-être mieux ainsi car tu te rendais compte que tu n'étais qu'un sombre crétin qui se laissait berner par une fille. Tu te redresses, tu poses tes prunelles dans les siennes, tu vois qu'elle est heureuse de te voir. « J'erre » dis-tu avec ton air de gamin avant de te lever, tu lui tends une main pour l'aider. « Tu viens à la fête de ce soir ? » tu acquiesces et tu lui dis alors que tu la verras là-bas. Tu t'es finis par te dire que si elle s'amusait avec d'autre, que tu pouvais faire la même chose. Mais ça ne t'allait pas, tu n'étais pas de ce genre, pourtant tu le faisais quand même juste pour l'oublier, trouver une autre fill.
Entre études, fêtes et entrainement, tu essayes de trouver le juste milieu. Tu as toujours eu l'habitude de vivre a deux cents à l'heure, mais entre amour, passion, fête et cours tu devras abandonner quelque chose.


.