tw: alcool
Corps qui bouge comme un dingue au milieu de la piste, une autre gorgée du liquide brûlant s'étend dans tes entrailles et tu éludes mentalement l'image de Zaian. Entre cette putain d'adrénaline qui te noue les tripes et cette chaleur qui se répand dans ton ventre, tu commences à te demander si ton corps n'a pas décidé de se rebeller. Ton attention se reporte sur lui. Ton regard s'attarde sur le tracé de son visage, sur la courbe de ses lèvres. Un éclat de rire soudain de ta part. — Tu danses comme un pied, c'est dingue ! Tu te moques ouvertement. Nouvelle gorgée parcourt de nouveau tes veines. Tu es déjà bien pompette Fallon, mais tu remarques quand même son regard fou qui désir se consumer dans les flammes de l'ivresse. Ta main serpente sur son torse, vient tenir sa nuque pour la relever vers toi. — Suis-moi... Simple murmure avant de relâcher ton étreinte et de courir vers la sortie. Portable que tu fourres dans la poche arrière de ton jean. Franchis le pas de la porte, mais hélas, il tombe des cordes dehors. Combien de temps se sont écoulés ? Tu n'as point senti l'heure passer. Suivie de près par ton acolyte du soir, un sourire narquois naît en coin, celui d'une sorcière qui s'apprête à transformer sa proie en crapaud. Glisses derrière lui et tu le pousses volontairement sous la pluie. Index appuyé contre le bas de ton œil, lui tires la langue. — Quoi de mieux qu'une bonne douche au naturel ? Croises les bras contre ta poitrine en explosant de rire. Toi t'es bien au chaud sous l'toit de l'enceinte de la boîte. Tu t'amuses même à le narguer d'une danse de canard.

@Zaian Escamilla

elle a l'air cool, fallon. tu veux t'amuser toi, elle t'a promis la danse sur le bar et de ne pas pouvoir la suivre. il t'en faut pas autant pour être convaincu. un peu d'alcool comme si l'eau n'existait pas. comme si tu pouvais banaliser le fait de toujours trop boire. pourtant t'es là, le sourire aux lèvres. l'allure d'un robot, toujours. le corps désinhibé par els effluves aux pourcentages trop élevés. l'amer te rendra pas meilleur danseur, pourtant, t'essayes toujours. elle t'attire vers la sortie. silhouette qui se dissipe rapidement, et toi qui suit son chemin. météo maussade au contraste imparfait avec vos âmes qui s'agitent dans l'innocence des murs sombres. le pas qui s'arrête avant de sortir, encore abrité. depuis quand il pleut ? des heures peut être. probablement même quand vous êtes arrivés. t'en sais rien, toi. t'as pas compté les verres, les heures encore moins. jeune femme trop habile, passe derrière toi. le corps poussé en avant, manque de foirer un pieds devant l'autre. reste droit, par miracle de ton équilibre zéro. cordes d'eau qui s'écrasent sur toi. les bras qui se décollent du corps en l'a regardant, mimant la surprise. je pue ? très probablement. quelque chose comme le chorizo consommé à l'excès, qui macère sous tes dessous de bras. en mélange subtil avec l'alcool de la soirée. cocktail tue l'amour. visage qui tombe en arrière, nuque cassée un instant. la bouche qui s'ouvre face à la pluie. t'essayes de rattraper la déshydration qui te guette ? en fait t'es pas folle que ça ? connerie is coming. tu pourrais.. visage qui réfléchit, regard sur l'environnement. tu pourrais te rouler dans cette flaque là ! ton doigt qui pointe par terre. la voix qui se lève pour parler au dessus de la pluie, du fracas des gouttes polluées sur les toits.

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tw: alcool
Vision parfaite devant toi. Le garçon sous une pluie torride, sort la langue pour cueillir quelques gouttelettes. Discrètement, tu sors ton portable, immortalises ce moment, puis le ranges aussitôt. La vie, ce n'est pas d'attendre que l'orage passe, mais plutôt d'apprendre à danser sous la pluie. Défi lancé par le garçon, tu suis la pointe de son doigt qui te guide sur cette grande flaque d'eau. Il faut savoir une chose, même avec tout l'alcool du monde dans les veines, tu ne seras jamais obéissante. Retirant tes bottines, tu tends une jambe sous la pluie et fais danser tes orteils. Cette sensation familière des gouttes d'eau qui s'écrasent sur ta peau. C'est un des points positifs de ce monde que tu apprécies. — C'est un ordre ou un défi ? Finalement, c'est tout ton corps qui se glisse sous les gouttelettes. Les cheveux et la robe rapidement trempés, tu t'avances vers cette flaque et lui tournes le dos un instant. Un regard en direction de ton acolyte avant de lever la tête vers le ciel et de te laisser volontairement tomber. La flaque amortie ta chute et t'empêche d'avoir mal, par contre le bruit que ça fait, t'arrache un éclat de rire. Bras tendus de chaque côté, les paupières qui se ferment machinalement pour éviter d'avoir des gouttes dans les yeux. Tu t'imagines t'envoler dans le ciel, passer à travers les gouttes d'eau qui tombent autour de toi... — J'aimerais me liquéfier pour devenir une goutte d'eau ! Ça doit être super drôle et intéressant. Oula, tu recommences à raconter du n'importe quoi. La robe te collant à la peau, tes cheveux dégoulinent, trempant ton dos une deuxième fois. Finalement, tu te redresses d'un coup et cours vers le garçon avec cette lueur de gamine dans les yeux. — Fais-moi un tour de magie ! Transforme-moi en goutte de pluie ! Excitée, tu sautilles face à lui, puis tu termines par tourner sur toi-même autour de lui, laissant le vent violent te faire tourbillonner, t'emporter dans une spirale toujours plus enivrante. Le rire qui ne s'éteint plus. Tu manques de t'écraser à plusieurs reprises, mais te rattrapes étonnamment.

@Zaian Escamilla

elle t'a vendu du rêve, fallon. bout de femme intrépide quand l'alcool touche son sang, il parait. et toi, gamin qu'on ne sait plus arrêter. l'alcool qui ne fait qu'amplifier les effets de ta connerie innée. les billes qui l'observent, ses chaussures qu'elle enlève. son corps mouillé par les gouttes d'eau qui perlent sur le tissus de sa robe. t'as les sourcils qui se lèvent, t'attends la dinguerie. sans même parler. prêt. le corps qui tombe dans l'eau, à la renverse. coccyx inexistant. tes lippes qui restent entre ouverte quand tu découvres son corps a moitié noyé dans la flaque troublée de la saleté du macadam. ressort d'entre tes lèvres ce petit gloussement de surprise. la flaque fait la taille de ton corps ! les pensées random qui s'emboitent dans la discussion. t'es comme une truite dans la rivière. mais encore ? bout de femme qui se relève, tourne autour de toit. pieds nus sur le sol. robe moulante, maquillage qui commence à tracer les mauvaises traces sur son visage. heu okay.. mais j'sais pas si j'vais avoir assez de pouvoir, faut que j'en invoque. toi aussi, tu sautilles sur place, maintenant. bras tendus vers le ciel, murmure des paroles sans aucuns sens. invocation aléatoire. presque capable de réellement provoquer quelque chose d'inexplicable. sur un malentendus, maybe ? scénario stoppé le klaxonne de la voiture, appel de phare derrière vous. vous êtes sur la route, passage bloqué. ça vaaaAAa, on invoque le dieu de la liquéfaction MOnsieur ! ton doigts qui se pointe vers la voiture, dénoncer ce manque de tolérance envers vos croyances d'un soir. tes bras qui entourent la taille de l'étudiante avec toi. corps qui se rapprochent, les bras qui forcent pour la soulever de terre. pieds qui quittent le sol, les tiens qui s'avancent sur le côté. voiture qui passe une fois le chemin libéré. tissus de vos vêtements qui s'agrippent entre eux, l'eau comme colle parfaite.

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tw: alcool
Les pensées ne sont plus tiennes. Fallon, à cet instant, tu n'es plus celle que tu étais il y a quelques heures. Tu es cette gamine totalement disjonctée qui fait preuve d'une innocence presque déconcertante quand on connaît réellement ton caractère. — Mh, une truite sauvage alors ? Je suis mangeable avec un peu de jus de citron et du sel ! Miam. Plongeant carrément dans son délire, c'était peut-être une moquerie, mais la référence t'arrache néanmoins un rire. De plus en plus trempée, tes cheveux te fouettent le visage et tu prends soudainement conscience que t'étais tellement bien, à tourner comme ça sous l'orage. Éprise d'une sorte d'ivresse incontrôlable, elle te pousse à tourner, tourner, et encore tourner, sans savoir comment t'arrêter. Cependant, un klaxon de voiture vient gâcher ce moment parfait. Votre petit rituel est mis en pause, tes pas stoppent, ton corps pivote brutalement et fait voler ta robe. Lances tes orbes sombres en direction de cette voiture. Grogne presque d'énervement. — Franchement... On ne peut même plus invoquer en toute tranquillité, où est-ce qu'il a eu son foutu permis ? Il n'est même pas sur la route ! Hurles-tu pour couvrir le bruit de l'eau clapotante sur la voiture. En réalité, c'est vous qui êtes au beau milieu de la route et Zaian te le fait savoir en se rapprochant de toi. Prunelles qui suivent la trajectoire de ses mains jusqu'à ta taille. — C'est une invitation à danser ? La malice au coin des lèvres, tu ne t'attendais pas du tout à ce qu'il te porte pour t'emmener à l'écart. Quelques secondes passent et le garçon ne te fait toujours pas descendre. Vos corps se touchent, s'emmêlent, une pulsion vient de tu ne sais où, sans doute de ton imagination un peu trop débordante et elle te pousse à glisser une main contre sa nuque. — Être fouetté par une averse est aussi agréable sur le moment, n'est-ce pas ? Battements réguliers de cils pour empêcher les gouttes de brouiller ton regard, plongeant instantanément tes prunelles dans les siennes. — Hum... J'suis pas trop lourde pour tes p'tits muscles ? Fuis cette pulsion par la provocation. — Ou bien... Laisse cette phrase suspendue à ta serpentine tandis que ton imposante poitrine qui se presse contre son torse. Lèvre pincée entre tes dents, tu fais tourner ton index comme une précieuse baguette magique devant ses yeux. — Abracadabra transformes toi en crapaud ! Connerie aussitôt balancée, tes lèvres s'accrochent à sa pomme d'Adam. Cette bosse en haut de sa gorge qui bouge à chaque déglutition. C'est le monde à l'envers chez toi. D'abord, on embrasse le crapaud pour qu'il devienne prince et non le contraire, secondo, le point d'ancrage aurait dû être ses lèvres. Le baiser donné, tu recules la tête accompagnée d'un sourire espiègle, débattant maintenant pour qu'il te te lâche.

@Zaian Escamilla

danser ? toi tu sais aps danser. robot, balai dans le cul. tout ce qui est synonyme d'un corps trop rigide pour bouger d'une façons un minimum élégante. le twerk ? t'as essayé. immondicité que la terre ne veut plus revoir de ses yeux omniprésents. noon j'te pousse sur le côté pour pas que tu deviennes un dos d'âne ! un minimum de lucidité, étonnant. et il y a sa main, dans ta nuque. ses yeux qui t'observent. tes bras qui l'a portent encore, sans raisons. laisses lui retrouver le sol, un jour ? bug system. sa peau contre la tienne. l'error se trémousse dans ton corps. bloque le système nerveux, plus rien ne bouge. ses doigts qui s'agitent sous tes yeux. prunelles qui louchent, tentent de suivre le mouvements des ongles. impossible. à t'en donner la migraine, pourtant. ses lèvres qui trouve ton cou. mais ??! les pieds qui tentent de se rattraper. la tête qui tourne, les billes qui se regardent et fallon qui embrasse l'avant de ton cou. tu réussis à ne même pas tomber, encore. record, un exploit inégalé, maintenant. les bras qui l'a relâchent cette fois. tu sais pas où est ma bouche ou quoi ? deux mains masculines qui encadrent son visage. ses lèvres légèrement pincées en avant. captures ton pokémon avec tes lippes qui trouvent les siennes. la langue qui ressort pour s'aventurer sur le bord de ses lèvres. hé mais ? ça à le gout d'une fraise tagada ! la curieuse qui parcoure sa bouche, glamour inexistant.

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Faut avouer que tu ne sais absolument pas viser et encore moins sous effets d'alcool. Cependant, sa remarque t'arrache un éclat de rire. Rire que tu n'arrives pas stopper, rire qui te tord presque l'estomac. — Elles sont si fines, qu'elles sont inexistantes. Évidemment là, c'était un gros traquenard, sa bouche était tout sauf invisible, mais comme tu n'avais pas envie de mourir en croquant ce fruit défendu, ton choix s'est porté ailleurs. Et là où toi, tu te retenais, lui, se lâchait. Prunelles qui s'écarquillèrent lorsque vos pulpeuses s'entrechoquaient. Pression qui t'oblige à faire un pas en arrière afin de garder un certain équilibre. Le garçon te bouffe presque la bouche. — Tu veux de la crème chantilly avec ? Murmure laissé entre les lèvres du garçon. Profitant de l'inattention, tu te laisses tomber à quatre pattes, passes entre ses jambes afin de te redresser dans son dos et le pousser contre le mur face à vous. — Prendre mes lèvres pour des fraises... Je préfère encore le fruit du dragon ! Revêtis le rôle d'une vexée, jeu d'actrice parfait. Tes mains s'écrasent fermement contre le mur de chaque côté de sa tête le gardant ainsi prisonnier, ton nez vient se frotter au sien qu'une petite seconde pour détourner son attention. Ta tête se penche légèrement vers le côté et tes lèvres touchent les siennes pour les attraper la seconde qui suit. Tu l'embrasses à pleine bouche, serpentine qui franchit la limite pour aller valser contre sa jumelle. Une main glisse sur la peau de sa nuque, doigts qui s'enfoncent légèrement dans sa chair pour intensifier le baiser. Baiser qui se mélangent d'ailleurs aux gouttes de pluie tandis que tu plaques ton corps entier contre le sien. La chaleur masculine qui envahit ton enveloppe corporelle, réchauffe ta peau. Être sous la pluie donne une touche humide à votre rencontre. Le corps recule soudainement, met fin brutalement au baiser. — C'est comme ça qu'on embrasse avec classe ! La main glisse dans tes cheveux pour les repousser en arrière tandis que tu exploses de rire en voyant ton reflet dans la déco miroir face à la vitre de l'enceinte. — J'ai un air d'Harley Quinn avec mon maquillage qui dégouline. C'est mooooooche ! Tentant d'effacer les traces en usant du dos de ta main.

@Zaian Escamilla

le corps contre le mur, ses mains de chaque coté de ta tête et tes yeux aux mélanges subtiles de marrons et de verts qui se plongent dans son regard. presque un miracle que tu ne louches pas, cette fois. pourtant, c'est ses billes que tu admires. dans un élan trop tactile. l'âme noyée dans l'alcool de la soirée. les lèvres qui ont trouvés les tiennes, vrai baiser, cette fois. langues qui dansent ensemble. tes mains qui attrapent sa taille, ramener vos corps en symbiose encore plus unique. mais elle recule, s'échappe. et tu laisses ce rire nerveux ressortir d'entre tes lèvres encore humide de son baise endiablé. j'dirais pas que c'est classe.. j'dirais que c'est.. sexy ? l'alcool dragueur ou l'alcool désinhibant ? les deux ? un pas qui s'avance à côté d'elle, ton reflet déformé dans le retour de la vitre. phalanges dans tes cheveux pour les ébouriffer, un peu plus. ouaaaais, mais harley quinn elle fait peur un peu. moi j'saute pas dans de l'acide c'est mooort. ton corps qui passe devant le sien, face à face. billes qui admirent les tracés picassos de son maquillage sur le visage. attends, que tu dis en relevant de ta main, le bas de ton t-shirt. torse à moitié découvert, abdos et tatouages laissés sous on nez quand ton tissus blanc viens à hauteur de ses yeux, essuyer les traces coulantes.

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Même dans la luxure de l'alcool, tu restes charmante à ta façon. Et tandis que vos lèvres s'embrasent dans un ballet sensuel, Zaian vient attraper ta taille pour te serrer un peu plus contre son corps. Malheureusement, cette pluie gâche ce moment, car il est difficile de pouvoir en profiter pleinement sans que les gouttelettes s'incrustent à votre échange et t'oblige à reculer. Bien que la raison préfère restée accrochée à ses pulpeuses. — Sexy au point de ? Tu ne termines pas ta phrase, tu veux que ce soit lui qui la complète, bien que ton reflet dans la glace te rappelle à l'ordre. Ton rire éclaté s'invite à ton faciès pour se joindre au brouhaha du tonnerre. — Elle ne me fait pas peur à moi, au contraire, je la trouve plutôt cool avec son humour sombre ! T'sais quoi ? J'crois que j'ai un penchant pour les viliains. Sourcil arqué, le garçon se positionne face à toi. C’est vraiment génial quand quelqu'un embarque dans votre délire. C’est ce qui crée des moments plus que mémorables. Plus qu'intéressants. Qui aurait pu croire qu’une première rencontre prendrait de telles tournures ? Un Zaian qui vient carrément retirer sa chemise au beau milieu de la ruelle. Lèvre mordillée, tes prunelles dardent lentement son torse pendant qu'il t'essuie les traces honteuses à l'aide de son chemisier. — Wow... Distance rompue de nouveau. Index qui vient compter ses tablettes de chocolat. — 1...2...3... Le décompte s'arrête à huit. — Ça m'donne envie d'croquer. De nouveau, tu rigoles avant d'admirer ses tatouages. — Joli. Cet oiseau. Doigts qui caressent le tatouage sur le muscle de son bras droit. — Par contre, comment faites-vous pour supporter la douleur ? J'en ai chialé à me faire ce tout petit là... La paume qui agrippe le tissu de ta robe, la remonte le long de ta jambe droite jusqu'à la naissance de ta cuisse. Doigts qui poussent légèrement la bordure à dentelle de ton string pour laisser place au tatouage.

@Zaian Escamilla

sexy comme elle. sexy comme sa langue avec la tienne. sexy comme son corps qui colle le tiens. sexy comme l'odeur de son parfum que t'arrives à sentir malgré ton haleine de chacal. t-shirt relevé laissant apparaitre le bas de ton torse. phalanges glissées sur le revers du tissus. coton de fortune pour essuyer ses yeux. maquillage qui se retire bien, mélange subtile de la pollution dans les gouttes d'eaux. eau micellaire parfaitement notée sur yuka.  concentré à ta tâche, le corps qui se recule, légèrement. abdos qui se crispent avec ses doigts sur ta peau. tu fais chatouilles là ! que tu lâches les doigts toujours vers ses joues pour retirer toutes les traces noires. tu ricanes à ses mots, sur els tatouages. douleurs où toi, chochotte de base, tu t'es accommodé, paradoxe. parce que ça fait pas mal comparé à mon ex. que tu lâches en rigolant. l'inconscience dans tes mots. la langue qui ressort d'entre tes lèvres pour marquer cette concentration inexpliquée. tu bouges trop ! c'est toi qui vises mal. voilà ! t'admires, le chef d'oeuvre. elle, son visage. tes doigts qui englobent sa mâchoire, avancer ses lèvres en avant. t'es toute belle, mieux qu'un panda bizarre.

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