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Horace DawsonFire Starter
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Arrivée
Multicomptes
Crédits
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Pseudo & pronom IRL
Informations
Âge : 27
Lieu de naissance : Bristol
Quartier.s d'habitation & Colocation : nouvellement en coloc avec riley et sienna (little italy)
Situation sentimentale : emmêlé dans les draps, le corps à disposition
Études & Métiers : sans diplôme, escort au dionysos, apprenti créateur de robes dans sa chambre
Date d'inscription : 09/04/2021
Pseudo & pronom IRL : GLEEK! (Annabelle)
Icon :
Avatar utilisé : Timothée Chalamet
Crédits : killing boys (profil), poets dept (avatar), astra (signa)
Multicomptes : Jasper & Billie
Description un :
HORACE DAWSON⌜ · character and all · ⌟
anglais de souche, né et élevé à Bristol, bostonien depuis cinq ans ● étudiant raté, en raison d’une dyslexie qui avorte tous ses rêves de longues études, et notamment d’Harvard ● hétérosexuel ● sa mère bosse dans une boutique de vêtements, et est une couturière talentueuse ● sa petite sœur et lui ont toujours servi de mannequins pour ses œuvres, ce qui a développé son sens de la mode, et particulièrement des couleurs ● son père s’est barré à la naissance de sa petite sœur ; musicien médiocre ● élevé dans un appartement miteux, rêve de réussite, et d’aider sa sœur et sa mère restées en angleterre ● ses yeux sont d’un mélange subtile de bleu, vert, marron et or, tout dépend ce qu’on veut y voir ● colore parfois ses ongles, ses paupières, enfile aussi bien des robes que des costards, la vie est un défilé chez les dawson ● danse, courre, gigote constamment ● son rire est contagieux et sonore ● profondément complexé par ses années redoublées, et son intellect qu’il juge limité - à tords ● pas foutu d’écrire sans mélanger les lettres, il est un dessinateur doué, particulièrement en portrait, et en âme ● a enchainé les boulots minables à boston, jusqu’à trouver une place comme homme de ménage dans la clinique rylon ● ses nuits sont occupées par le Sidh, où il fait office de gigolo, particulièrement pour quelques femmes riches plus âgées ● apprécie la compagnie de ces femmes, et se captive de leurs récits de vie – tout en se laissant entretenir ● délicat, et d’une bonté qu’on ne fait plus ● le cœur pur, et le corps abimé des aiguilles plantées, traçant des tatouages toujours plus présents sur la peau ● trop atypique, trop bruyant, trop féministe, trop coloré, trop petit et trop mince ; il se moque des rictus sur son passage, mais les entends encore parfois, la nuit tombée ● éternel optimiste, se mure dans un monde coloré qui n’existe que dans son esprit ● propose ses services gratuitement aux femmes coincées dans un squelette brisé, ou à l’esprit torturé ● solaire, le corps danse et la langue suit, la gorge gueule et le rire se déploie, ses rayons attirent facilement les plus abimés ● son amitié est multiple, généreuse et loyale ● impudique, le corps en œuvre d’art, exposée à ceux qui veulent s’y frotter ● dépense l’excès d’énergie dans tout et n’importe quoi, de la salle aux sports extrêmes ● maladroit, ses prestations sont tarifiées, si bien qu’il se perd quand elles ne le sont pas, et qu’il faut séduire sans billet ; peu doué dans l’art de déclarer ses intentions, et clairement conscient que ses activités ne sont pas compatibles avec une relation durable ● excessif et auto destructeur, sa consommation d’alcool, de drogues, de rêves loupés s’effondre ; s’il aime les autres, son ombre, beaucoup moins.⌜ · the end lala · ⌟
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HORACE DAWSON
anglais de souche, né et élevé à Bristol, bostonien depuis cinq ans ● étudiant raté, en raison d’une dyslexie qui avorte tous ses rêves de longues études, et notamment d’Harvard ● hétérosexuel ● sa mère bosse dans une boutique de vêtements, et est une couturière talentueuse ● sa petite sœur et lui ont toujours servi de mannequins pour ses œuvres, ce qui a développé son sens de la mode, et particulièrement des couleurs ● son père s’est barré à la naissance de sa petite sœur ; musicien médiocre ● élevé dans un appartement miteux, rêve de réussite, et d’aider sa sœur et sa mère restées en angleterre ● ses yeux sont d’un mélange subtile de bleu, vert, marron et or, tout dépend ce qu’on veut y voir ● colore parfois ses ongles, ses paupières, enfile aussi bien des robes que des costards, la vie est un défilé chez les dawson ● danse, courre, gigote constamment ● son rire est contagieux et sonore ● profondément complexé par ses années redoublées, et son intellect qu’il juge limité - à tords ● pas foutu d’écrire sans mélanger les lettres, il est un dessinateur doué, particulièrement en portrait, et en âme ● a enchainé les boulots minables à boston, jusqu’à trouver une place comme homme de ménage dans la clinique rylon ● ses nuits sont occupées par le Sidh, où il fait office de gigolo, particulièrement pour quelques femmes riches plus âgées ● apprécie la compagnie de ces femmes, et se captive de leurs récits de vie – tout en se laissant entretenir ● délicat, et d’une bonté qu’on ne fait plus ● le cœur pur, et le corps abimé des aiguilles plantées, traçant des tatouages toujours plus présents sur la peau ● trop atypique, trop bruyant, trop féministe, trop coloré, trop petit et trop mince ; il se moque des rictus sur son passage, mais les entends encore parfois, la nuit tombée ● éternel optimiste, se mure dans un monde coloré qui n’existe que dans son esprit ● propose ses services gratuitement aux femmes coincées dans un squelette brisé, ou à l’esprit torturé ● solaire, le corps danse et la langue suit, la gorge gueule et le rire se déploie, ses rayons attirent facilement les plus abimés ● son amitié est multiple, généreuse et loyale ● impudique, le corps en œuvre d’art, exposée à ceux qui veulent s’y frotter ● dépense l’excès d’énergie dans tout et n’importe quoi, de la salle aux sports extrêmes ● maladroit, ses prestations sont tarifiées, si bien qu’il se perd quand elles ne le sont pas, et qu’il faut séduire sans billet ; peu doué dans l’art de déclarer ses intentions, et clairement conscient que ses activités ne sont pas compatibles avec une relation durable ● excessif et auto destructeur, sa consommation d’alcool, de drogues, de rêves loupés s’effondre ; s’il aime les autres, son ombre, beaucoup moins.⌜ · the end lala · ⌟
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JUST WORDS...
Warning : prostitution, propos vulgaires, sexe, autodestruction (consommation abusive d'alcools et drogues en tout genre), relation toxique
RPS : 94
Messages : 5491
Lien du postDim 21 Avr - 22:59
@Circé Hastings J’essaye de trouver les armes qui te siéent le mieux. Moi, la guerre, ce n’est pas vraiment ma spécialité ; j’aurais été une catastrophe sur un champ de bataille. Mon corps n’est pas fait pour se battre, et mon esprit encore moins. J’aurais confectionné les tenues au mieux, au pire, pansé les plaies. J’aurais été le bouffon du groupe, celui qui sert à réparer le moral, et trouver de quoi planer suffisamment pour oublier l’enfer du reste. Alors, en armurier particulier, je te dévoile ce que je vois pour toi. Un coup de ciseaux, franc, le premier, le plus symbolique. “Je crois qu’au pire, ça ne te fait rien. Au mieux, ça apaise un peu.” Pas un pansement pour dissimuler la plaie, juste le passage d’un baume pour rendre la cicatrice plus jolie, moins douloureuse. Mes épaules sont haussées légèrement, le choix t’appartient. Je n’aurai, moi, aucun scrupule à tailler dans tes souvenirs pour en ôter les parties nécrosées. Mais, pour l’instant, je te confie une autre mission. A ne plus savoir qui aide l’autre. Ma robe, que je te file à travers le rideau, commencant déjà à expliquer la démarche. Me justifier. J’ai anticipé les critiques, celles qu’on m’enverra surement en pleine gueule à la présentation. Sauf que j’crois que l’avis d’une vraie princesse de Disney, compte davantage que celui d’une commerciale. J’veux qu’elle plaise à quelqu’un qui rêve, ou a rêvé de blanc, d’amour et tout ce qui va avec. J’veux qu’elle plaise à quelqu’un pour qui, tout ça, a vraiment une importance. J’en entame ma lèvre inférieure, la respiration prenant une tournure plus profonde. Vraiment pas d’un naturel stressé, mon bide se surprend à se compresser. Ma mariée est libre, rebelle, impulsive, amoureuse, passionnée. Ma mariée danse, court, oublie l’heure et s’agrippe aux hanches de son autre. Bordel, faites vivre vos vêtements. Ma mariée sort de derrière le rideau, et j’en échappe un “Oh.” Qui m’redonne un souffle immédiat. Le sourire, grandiose sur les traits gamins. C’est quelque chose de dessiner, d’imaginer, de couper et coudre, s’en est une autre de voir l’imaginaire prendre vie sur la peau. Mes doigts se hâtent à refermer les boutons doucement dans ton dos, et réajuster le tissu qui mériterait d’être légèrement repris. Bouche pincée, laisse à nouveau passer un éclat, alors que je m’écarte d’un pas, pour ne pas gâcher l’image du miroir. “T’es..” Chercher les mots, quand on a pas un vocabulaire extraordinaire. “vraiment, vraiment belle.” La robe semble avoir compris son rôle, et vient coller ta peau, comme un pansement qu’on avait pas voulu mettre tout à l’heure. La fille et la robe, les deux ensemble. “Genre, magnifique.” Si t’avais pas compris, j’étoffe mon langage, tout en faisant le tour de ta zone d’essayage. Le regard sur les coutures, les défauts à rectifier, et le tombé. “Elle te va super bien.” J’en ai un nouveau rictus, gosse heureux qui voit l’accomplissement d’heures de boulot. “Tu peux bouger ?” Je te tend le bout de mes doigts, comme pour t’inviter au mouvement. Mes orbes accrochées aux tiennes. “Marche, danse, saute, n’importe quoi.” Tant que le tissu bouge, s’adapte à tes gestes ou les contraint, je veux tout savoir, tout voir, tout ressentir.
enfant sauvage ☽ mon drame c'est mon ombre, une ombre profonde comme la nuit, qui gronde et ronronne quand je lui donne ma peur d'être seul, ma peur d'échouer. mon drame c'est mon ombre, qui grimpe et qui pousse le long de mon corps, comme du mauvais lierre ; elle, c'est le diable qui l'a cousue à mes pieds - c.luciani.
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