si ! j'peux même plus te surprendre ! tu sais ce qu'il faudrait que je fasse un jour ? un quizz sur qui me connais le mieux entre toi et sim. j'suis sur que ça pourrait être super drôle ouais c'est un truc à faire ça, je suis persuadé qu'on pourrait se marrer. j'essaie quand même de faire une petite vanne sur ta poitrine que tu pourrais me montrer mais visiblement t'es pas ok pour me les montrer et en réalité ça me fait rire. je crois que je me retrouverais comme un con si tu soulevais ton t-shirt, je me cacherais les yeux en te disant que c'est bon j'en ai assez vu. petit pervers que tu lances en rigolant et moi je suis juste complètement gaga de ton rire. et quand tu me demandes ce que je vais faire pour t'empêcher de rester assise ici, quand je te vois joueuse comme tu l'es, quand je lis dans tes yeux que t'as envie d'être proche de moi, j'ai pas du tout envie de te repousser. je veux te sentir contre ma peau. c'est ce que je choisi de faire quand je t'attire contre moi pour t'embrasser. y a rien de doux ou même d'innocent. c'est immédiatement intense. tes mains se placent de part et d'autre de mon visage et je sens ta langue caresser la mienne. ce baiser est passionnel, langoureux, il appel à plus et pour le moment je suis incapable de dire non. t'en demande encore et mes mains glissent le long de tes cuisses pour agripper tes hanches et te presser contre moi. sauf que je remarque à nouveau que je deviens vraiment dur. j'suis désolé que je glisse contre tes lèvres.

tu regardes Val, un grand sourire aux lèvres. le résultat pourrait te surprendre. je suis sûre d'avoir mes chances contre Sim. ça paraît impossible de mieux le connaître que son frère jumeau, pourtant t'es convaincue que tu pourrais gagner. parce que vous êtes tellement fusionnels lui et toi que tu le connais trop bien. tu l'aimes tellement que t'as passé des années à l'observer, à apprendre comment il est, ce qu'il aime et déteste. et t'apprends à le connaître autrement ce soir. vous avez déjà fait exploser cette limite au spring break lorsqu'il t'a embrassé sur le bateau, mais c'est différent cette fois. parce qu'il y a cette envie et cette fougue qui font taire le peu de retenue que vous pourriez avoir. pas de mur ce soir. juste vos lèvres qui se dévorent, vos langues qui dansent sensuellement et l'envie qui prend le dessus. et tu n'as pas envie de te contenter d'un seul baiser alors tu le supplies de continuer, de ne pas s'arrêter là. il réalise ton vœux en faisant glisser ses mains sur tes cuisses, jusqu'à ta taille, et tu colles ton corps contre le sien, ta poitrine contre son buste, et ton bassin sur le sien. tu sens à quel point il devient dur, et il te faut un effort surhumain pour ne pas te frotter à lui et ne pas le titiller davantage. t'en fais pas. j'aime sentir à quel point je te donne envie. parce que t'en as presque douté face à ses refus. tu te laisses tomber en arrière sans le lâcher pour qu'il se retrouve au-dessus de toi. tu le regardes un instant, les yeux brillant de désir et de sentiments, avant d'emprisonner ses lèvres une nouvelle fois.

t'oublies le truc des jumeaux c'est inexplicable d'ailleurs. c'est pas une voix, la télépathie n'existe pas qu'on soit bien d'accord. c'est comme une sensation commune à un instant T. c'est comme se regarder dans les yeux et comprendre l'autre immédiatement. une connexion particulière que j'avoue avoir aussi déjà eu avec toi, parce qu'on passe notre temps ensemble, parce qu'on se connait par coeur. pourtant parfois j'ai l'impression de chercher un tout petit objet dans une immense pièce noir. je perds mes repères, je ne sais plus si je dois avancer ou reculer. tu me perturbes, comme ce soir, comme maintenant quand tu t'assois sur moi, que tu me cherches, que tu joues. et moi, homme faible que je suis, je ne réussis pas à te dire non. parce que j'en ai clairement pas envie. alors mes lèvres attrapent les tiennes, ma langue se délecte de la tienne. c'est pas un baiser chaste qu'on se donne là, bien au contraire. c'est langoureux, sensuelle, c'est de plus en plus intense à tel point qu'on pourrait faire rougir les regards trop curieux. mon souffle se fait de plus en plus bruyant, mélanger au tien, on entends que ça dans la pièce, ça et le bruit de nos bouches. sauf que là j'ai beaucoup trop envie et d'ailleurs tu peux encore plus le sentir quand tu te laisses tomber en arrière et que cette fois je le retrouve au dessus de toi, entre tes cuisses. mon bassin s'appuie contre le tien et là.. je suis complètement dur et serré dans mon boxer. mes lèvres glissent le long de ta mâchoire avant de s'aventurer dans ton cou. sans trop vraiment m'en rendre compte, mon bassin se met à avancer, se pressant contre toi avant de relâcher la pression et de recommencer une seconde fois, puis une troisième.

c'est vrai qu'il y a ce fameux truc des jumeaux qui compliquera ta victoire, mais tu n'es pas prête à t'avouer vaincue. ouais mais nous on a le truc de val et pia. et franchement c'est tout aussi bien, bien que très différent. vous êtes connectés aussi, d'une manière qui a intrigué vos parents, agacé vos frères et sœurs par moments, et rendu jaloux ceux qui s'intéressaient à vous. vous avez toujours vécu dans votre bulle. bulle qui menace d'exploser depuis quelques semaines avec vos innombrables disputes, les sentiments non assumés et les rejets parfois violents. mais ce soir t'oublies tout ça, tu as juste envie de l'avoir contre toi, de profiter de ce baiser que t'as tant espéré après le premier des semaines auparavant. baiser qui n'a rien de chaste, qui balaye les promesses de ne rester que meilleurs amis. tu veux plus ce soir. il en a beaucoup trop envie, la bosse dure dans son caleçon en est la preuve, et peut-être que vous devriez arrêter là. pourtant t'es pas prête à le laisser partir et tandis que ses lèvres quittent les tiennes pour s'aventurer dans ton cou que tu étends en fermant les yeux, tes mains se baladent sur son dos nu. les doigts glissent sur ses épaules, puis entre ses omoplates, tracent un trait le long de sa colonne vertébrale jusqu'à l'élastique de son caleçon. t'as envie de passer ta main sous le coton, mais tu sais que c'est une très mauvaise idée. et puis tu n'as pas envie qu'il arrête ce qu'il fait, ces vas et viens qui appuient entre tes cuisses et te donnent des papillons dans le bas ventre. val... que tu soupires. bon sang ce que t'as envie de lui.

c'est vrai qu'on a ce truc et qu'il est plutôt balèze. qui pourrait même concurrencer Sim parfois. je note ça dans un coin de ma tête, l'idée du test de connaissance entre toi et lui. je vais organiser ça et on va bien se marrer. pour le moment je suis obnubilé par toi, ton corps, ton odeur et la douceur de tes lèvres contre les miennes. t'as un gout sucré et j'aime ça. une fois sur toi, ma bouche embrasse ardemment ta mâchoire avant de glisser dans ton cou pour le mordiller doucement. ma respiration qui se saccade, se mélange à ton souffle quand nos lèvres se retrouvent. bordel j'ai tellement envie de toi Pia. je dois prendre sur moi, me retenir pour ne pas glisser mes mains sous ton t-shirt pour caresser ta poitrine. je dois me faire violence pour ne ma t'arracher ton short. j'essaie de me calmer, de calmer ma respiration pour ne pas trop m'emballer. mais j'en rêve, de ta peau contre la mienne. je sens tes doigts caresser mon dos, dessiner des traits contre ma peau. jusqu'à ce qu'elles se stoppent à l'élastique de mon boxer. je suis tellement concentré sur tes caresses que je ne me rends pas compte que je continue ces aller à retour en tes cuisses qui me rendent de plus en plus dur. c'est quand j'ouvre les yeux au son de ta voix et que je vois ton corps sous moi qui bouge que je percute. je m'arrête, soufflant doucement et riant en même temps. merde je faisais pas exprès bordel mais qu'est-ce qu'on fou

ce truc spécial entre vous a été mis a rude épreuve ces derniers temps, et vous continuez d'en tester les limites ce soir. t'es consciente que c'est pas une bonne idée, que ça risque de rendre encore plus compliqué la relation qui vous lie, de vous séparer encore plus. mais là toute de suite tu as juste envie d'être plus proche de lui, de partager ce moment dont vous avez tout les deux cruellement envie. tu as besoin de céder aux pulsions que tu retiens à chaque fois que t'es avec lui, comme dans cette chambre d'hôtel il n'y a pas longtemps. et surtout tu as besoin de savoir qu'il y a encore une chance, même infime, qu'il finisse par te choisir toi. ta respiration s'accélère lorsqu'il embrasse ta mâchoire et mordille la peau délicate de ton cou. le palpitant affolé cogne sans vergogne dans ta cage thoracique et t'es sûre qu'il peut le sentir. tu as envie de lui, de retirer son caleçon, de le laisser se débarrasser de ton pyjama, rempart entre ta peau et la sienne. tu repenses à tout ce que vous vous êtes dit par messages, ces envies que vous avez partagé et que t'as désespérément envie de tester ce soir. et les mouvements de bassin de valentin, son membre dur qui frotte contre toi, n'aident en rien à retrouver la raison. il te fait perdre la tête. et tu souris en entendant son rire qui pourrait te faire fondre. c'est ton bruit préféré. l'une de tes mains remonte de l'élastique de son boxer jusqu'à l'une de ses joues que tu caresses tendrement. c'est rien, tu me donnes juste horriblement envie de plus.

on est clairement en train de faire une énorme connerie. on flirt avec les limites, on est à deux doigts de dépasser les bornes et de ne plus pouvoir faire marche arrière. pourtant sur le moment c'est presque impossible à comprendre. je me dis que c'est encore pas grand chose, que je peux encore pousser un peu sans qu'il n'y ait de conséquences. je compte surtout toi aussi pour arrêter les choses si ça va trop loin. mais quand je te vois fermer les yeux, me laisser un accès totalement libre à ta peau et quand je sens tes doigts descendre le long de mon corps.. je comprends très vite que tu n'arrêteras rien du tout. putain de merde Pia.. mon bassin qui frappe une dernière fois contre le tiens avant que je le souffle entre tes lèvres comprenant le mouvement de mon corps et riant de ce manque flagrant de contrôle. faut qu'on arrête ça tout de suite que je dis alors que ma langue caresse doucement ton cou, puis descend jusqu'à ton épaule puis ta clavicule. faut vraiment arrêter ça je mordille doucement ta peau. arrête moi Pia mes lèvres qui rejoignent les tiennes pour t'embrasser langoureusement à nouveau.

tu te délectes de cette proximité toute nouvelle, que t'attendais pourtant. tu sais que vous ne devriez pas, que c'est probablement une connerie monumentale. mais vous ne faites rien de mal le temps que ton pyjama et son boxer empêchent l'irréparable. irréparable dont tu crèves d'envie, et tu ne t'en caches pas. tu laisses le champ libre à ses lèvres pour parcourir ta peau de porcelaine, profitant aussi de pouvoir toucher le corps que tu n'as jusqu'à présent pu qu'admirer furtivement. ouais il faut qu'on arrête... pourtant l'une de tes mains se pose sur sa nuque pour l'inciter à continuer de posséder ton cou. tu n'as aucune envie de l'arrêter, tu veux continuer à profiter de cette instant de faiblesse. vos lèvres se retrouvent et se dévorent à nouveau. et pour t'assurer qu'il n'aie pas subitement l'idée de tout arrêter, tu passes tes bras autour de son cou, t'encercles sa taille de tes jambes nues et tu colles ton corps au sien le plus possible. un sourire victorieux naît sur tes lèvres entre deux baisers. t'avais pas prévu de me mordre pour je ne sais quelle raison ? tu joues avec le feu Pia.

t'es mon dernier espoir, étant donné que moi je suis incapable de m'arrêter. je n'arrive pas à décoller mes lèvres des tiennes, à éloigner mon corps du tiens. ma bouche se balade un peu, dans le creux de ton cou, contre ton épaule, mordille doucement ta clavicule avant de l'embrasser doucement, presque tendrement. tu me rends fou Pia, c'est vraiment pas une bonne idée. pourtant je te laisse enrouler tes bras autour de mon cou et tes jambes autour de ma taille. je me laisse presque aller sur toi, tout en forçant sur les muscles de mes bras pour ne pas non plus t'écraser. si j'avais prévu en effet. mais vu la situation j'suis pas sur que ce soit une excellente idée ouais je dis enfin un truc de sensé bordel. pourtant à ces mots je viens t'embrasser à nouveau.

tu ne contrôle plus rien, ni la situation qu'il aurait été bon d'éviter, ni ta raison qui a foutu le camp dès que vos lèvres se sont touchées. t'en veux plus : plus de contact, plus de baisers, plus de vous. alors tu fais tout pour ne pas le laisser partir, passant tes jambes et tes bras autour de son corps, le maintenant au-dessus de toi. il pourrait t'écraser quand t'en trouverais une réelle satisfaction. tu ne veux plus jamais avoir à quitter ses lèvres délicieuses ou à stopper cet énième baiser qui pourrait bien être l'un des derniers lorsque les consciences viendront vous arrêter dans votre élan. tu sépares vos lèvres pour souffler t'es pas drôle. il est plus sérieux que toi qui ne pense qu'à jouer ce soir. et si c'est moi qui le fait, tu m'en empêcherais ? t'es sadique et t'attends de voir s'il aura la force de te repousser.