Nos échanges sms sont passés de la colère à la passion, un mélange de sentiments qui m'a envahit et je me pose encore milles et une questions en tête décidément j'ai l'impression que ça ne va jamais cesser. J'ai passé la soirée à prendre une douche froide pour tenter de m'apaiser sans grand succès, je me suis enfiler un sandwich et j'étais sur mon pc en train de mater une série. Puis je me suis confier à toi sur Lena, parce que ça me trottait en tête, parce que j'avais besoin d'en parler à quelqu'un et que je me sens totalement paumé. Tu es à la Kirkland, moi à la Dudley et je m'empresse de mettre mes baskets ainsi que ma veste pour venir te voir. La bonne météo n'est pas au rendez-vous, le froid est présent mais ce n'est pas ça qui m'arrête pour sortir de ma confrérie et entré dans la tienne. Arrivé devant la porte de ta chambre je toque en espérant que tu sois réellement la.

C’EST TOI ET MOI MAINTENANT
@Noah Hawkins & @Joan Brekker

Dans ma chambre à la Kirkland, je profite d’être seule pour me remettre du wk. J’ai calé une série Netflix forcément qui parle d’amour et je mange mes popcorns en solo. Mon téléphone qui sonne et je peux plus me contrôler. Les sms s’enchaînent alors que je suis folle de jalousie. Lena sérieux ?! Les sms qui finissent par changer et le cœur qui parle pour moi, je suis pleine de sous entendues, mais on s’est comprit. D’ailleurs tu viens alors que j’ai le coeur au bord des lèvres essayant de me réfréner. Je sais juste qu’il faut que je te vois maintenant. J’ouvre la porte quand tu frappes et je te regarde fixement, je suis à toi putain et j’ai juste envie de te le hurler là. — " Noah.. “ Ton prénom qui quitte mes lèvres et tout ce que je voudrais te dire.

Le week-end au ski c'était bien, mais je n'aurais jamais cru revoir mon ex et avoir une conversation avec elle. J'avais prévu ça sur Boston donc ça m'a un peu déstabiliser. Mais finalement je me suis bien amusé aussi sur les pistes de ski et avec toi surtout. D'ailleurs on a ce besoin irrésistible de se voir ce soir et heureusement que tu es disponible sinon ça m'aurait rendu fou. Je me dépêche de marcher dans le froid pour venir te voir, je toque à ta porte et un sourire étire mes lèvres quand tu apparaît devant moi. Je suis la je m'approche de toi pour te prendre dans mes bras car j'en ai besoin, je te veux tout contre moi. Je te fais reculer pour fermer la porte de ta chambre avec mon pied puis mon regard se pose sur l'écran Netflix et les pop corns. Une soirée à l'eau de rose je présume ? je sais que tu adore ce genre de film.

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Il faut que je te parle sans doute, que je te dise une fois pour toute ce que je ressens, mais je bloque. Je bloque alors que pourtant par sms c’était bien parti. Je veux juste que tu sois là ores de moi. Je veux t’embrasser. Je veux te sentir contre moi. J’ai toujours le cœur qui bat rapidement. J’essaie d’oublier que Lena est venu se mettre entre nous. Que tu la désires parce que ça va encore me rendre folle de jalousie. Je te sers dans mes bras et je sens ton odeur. Elle m’ennivre et je ressers mes doigts au tours de toi. Je te lâche quand tu remarques que j’étais posée et je souris en me ponçant les lèvres. — " Ouais je voulais faire taire mes frustrations.. “ Je repose les yeux sur toi et je me demande si on va vraiment faire comme si il venait rien de se passer par message.

C'est dur de se dire les choses en face tout est plus facile derrière un écran. On peut dire ce que l'on veut sans être vu, on peut se cacher facilement de l'autre. Une fois en face ça bloque, parce qu'on a le regard de l'autre, parce qu'on devient plus pudique aussi sur ce qu'on ressent vraiment. Je sais que je veux te prendre dans mes bras à cet instant précis et ne pas te lâcher. J'ai peur de dire une bêtise, de te faire fuir, de me faire fuir. Est ce que je suis prêt ? J'en sais rien alors je préfère parler de ta soirée à l'eau de rose. Généralement quand une nana regarde ce genre de film c'est ce qu'elle aimerait avoir dans la vraie vie. Et effectivement ça la console aussi. ton regard sur moi je hausse les épaules. Je connais ça via ma sœur ou des amies. Je suis désolé Jo.. desolé de t'avoir parler de mon ex alors que tu ne la supporte pas à cause du fait que tu as du me ramasser à la petite cuillère après ma rupture. Et je me sens trop con d'avoir ressenti à nouveau de l'attirance pour elle.

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Je suis un peu paumée. Je sais qu’il faut désamorcer la bombe en moi avant que je n’explose. Il faudrait que je te dise ce que j’éprouve pour toi. Ou au moins revenir sur ce petit jeu ou c’est pas moi cette fille dont on parlait. Je reste coller à toi une fois que tu me parles de la projection de la série que je voudrais que ça m’arrive et je hoche la tête. — " J’aurais peut être jamais ce que je veux tu sais.. “ Je te lâche et je viens m’asseoir sur mon lit alors que tu finis par t’excuser. Je n’ai même pas le droit de t’en vouloir, tu ne me dois rien. — " C’est ok, j’aurais pas dû réagir comme ça tu fais ce que tu veux, tu me dois rien. “ Je suis encore un peu sur la défensive quand je parle. Sujet beaucoup trop sensible. Je baisse les yeux et jouent avec mes mains.

Malheureusement on a pas toujours ce que l'on veut dans la vie, mais quand tu veux vraiment une chose il faut essayer de se battre pour quand même oui c'est moi qui dit ça alors que je suis incapable d'avouer que tu me plaît mais l'avouer ça serait peut-être renoncer à ce que l'on a tous les deux et je ne pourrais pas renoncer à tout ça. Je ne veux rien précipiter aussi ça n'est jamais bon. Je m'excuse auprès de toi tu me réponds sur la défensive, le goût de l'amertume est toujours présent. Je ne voulais pas te blessé et que tu crois que je ne suis pas sincère quqnd je suis avec toi je m'approche de toi pour venir m'installer à tes côtés. Quand je suis avec toi je ne pense à personne d'autre, quand je te touche c'est seulement toi que je vois. que je murmure remettant une de tes mèches de cheveux en place.

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— " Sauf si t’as peur de tout perdre, ça je ne pourrais pas l’accepter. “ J’étais même à supporter que tu couches avec ton ex. Je crois que pour te garder j’aurais pu tout supporter même si ça me faisait du mal. Je fais en sorte pourtant de ne rien dire parce que je sais pas si tu vas me mettre un vent. Je crois qu’en plus savoir pour elle ça n’a rien arranger du tout. D’ailleurs je réponds de manière agressive malgré moi. Je soupire parce que je sais que je t’ai blessé en disant ça. — " C’est pas ce que je pense j’étais juste en colère Noah. “ Je te laisse venir près de moi en rejoignant sur le lit. Je plonge mes yeux dans les tiens et je sens à nouveau mon cœur qui s’emballe. Je prends ta main et la dépose sur ma poitrine pour que tu sentes. — " Si tu savais comme je voudrais être la seule à te faire ressentir tout ce que je ressens là maintenant. “

Je comprends.. j'ai souvent peur de tout perdre aussi c'est normal d'avoir cette peur de tout foutre en l'air même si elle bloque pas mal certaines choses. Je me pose sur le lit à tes côtés, nos mots ont dépassés nos pensées, véritablement dans les messages envoyés. Parfois la colère nous fait dire des vérités Jo.. dire qu'elle nous fait sortir des mots de la bouche que l'on ne pense pas est faux, sous le coup de la colère on laisse nos pensées s'exprimer comme elles viennent. Tu prends ma main pour la poser sur ta poitrine, je sens ton cœur qui bat un peu plus et je souris à tes mots. Je prends ta main et je la pose aussi sur ma poitrine pour que tu puisses ressentir exactement la même chose Si tu savais à quel point tu es la seule qui me fait ressentir tout ça Joan. mes yeux plongent dans les tiens et je viens prendre ton visage entre mes mains T'es celle pour qui je peux facilement vriller s'il lui arrive un truc, si un mec ose mettre un peu trop ses mains dessus. je te veux rien que pour moi, égoïstement. Je pose mes lèvres sur les tiennes pour t'embrasser avec cette passion qui me consume de l'intérieur.

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@Noah Hawkins & @Joan Brekker

Je te regarde et je sais qu’on est les mêmes au fond de nous avec la même peur qui nous paralyse eh peut être nous empêche d’être heureux ensemble. Je me rend compte que j’avais été trop loin dans nos messages rongé par la jalousie et cette frustration de ne pas pouvoir te dire ce que je ressens. On ne s’était pas fait de cadeaux. — " Sur le moment je le pensais, mais c’était la colère qui parlait. Je penserais jamais ça de toi. “ Je regrette de ce que je t’ai dit. Je fini par te montrer ce que je ressens vraiment. Ta main sur ma poitrine, je te fais par de mon envie d’être là seule à tes yeux, celle qui compte. Quand ma main se pose sur ton torse, je plonge mes yeux dans les teins. Ils battent à l’unisson. Je te dévisage et tes mots me font complètement défaillir. Tes mains sur mes joues, je souris tendrement et je viens prolonger ton baiser avec la même passion. Ce même besoin de te posséder, que tu m’appartiennes. Je manque d’air à cet instant, je m’accroche à toi et à ce baiser digne de l’une de mes séries romantique. C’est parce que je n’ai plus d’air dans les poumons que je m’arrête pour te regarder, mon front contre le tien. — " Je veux que tu sois à moi, peu importe comment Noah. “ Je reviens t’embrasser avec la même fièvre, je m’assois à califourchon au dessus de toi et plonge ma main dans tes cheveux.