tw: drogue
il semble vexé et ça te fait sourire. réaction d'un homme qui n'a pas l'habitude qu'on l'envoie sur les roses. qu'on le renvoie à la condition d'homme qui ne plairait pas à n'importe qui. j'dois comprendre que t'es un homme qu'aime plaire à n'importe qui? j'ai pas à le comprendre, j'le sais, c'est comme ça. c'est mignon une perruche ceci-dit, c'est coloré et tout. ça m'va comme comparaison. tu laisses un rire s'échapper d'entre tes lèvres. tu veux plus m'tenir compagnie parce que j't'ai pas embrassé? t'es naze. tu l'aurais pensé plus persévérant. t'es un peu déçu qu'il abandonne ce petit jeu aussi vite. tu souffles pour montrer ton désespoir, évidement t'en rajoutes pour le faire culpabiliser un peu, mais si t'as pas grand espoir qu'il connaisse cette émotion. j'voulais te proposer un combo pâtes plus bédo. j'repasserais un autre jour? t'essayes comme tu peux qu'il te fausse pas compagnie. flemme de passer cette nuit éveillée toute seule. pendant que l'eau des pâtes boue, tu t'installes sur le plan de travail, les jambes ballantes dans le vide, à l'regarder avec un air de chien battu.

@Kosmo Cesarini

falling forever, i'm falling deep in your arms, baby. i'm yours to keep me close 'til tomorrow and beyond.

Tu ne comprendras jamais rien aux femmes. Elle pourrait avoir le coup de leur vie, mais sont trop apeurées pour dire à haute voix qu'elles ont envie de vous baisser le pantalon. Après, si elles préfèrent simplement être à genoux devant toi ça ne te dérangerait pas non plus, c'est tout aussi intéressant. " N'importe qui, non. Les boudins, ça ne m'intéresse pas. " tu hausses les épaules et ouvre l'armoire pour prendre un verre que tu vas remplir d'eau, avant d'en boire une gorgée, écoutant d'une oreille peu attentive ce qu'elle a à te dire. Depuis qu'elle t'a rejeté du revers de la main, tu la trouves beaucoup moins intéressante. " Ça sert à quoi de toute façon ? J'suis trop propre pour toi. " Tu reprends à peu près ses mots, déformés. Serais-tu de mauvaise foi ? Totalement. Tu pourrais même y ajouter une pointe de susceptibilité. " Et puis quand encore ? Un chausson avec ça ? T'es même pas capable de reconnaître la qualité. Tu penses que j'vais t'aider à rester éveillée pour que t'ailles de faire sauter par Soenn au petit matin ? " Ici ce n'est pas de la jalousie, mais plus un profond dégoût. Le dramaboy en toi a parlé. " Il va te falloir plus que des yeux de chat potté. Trouve quelque chose de plus intéressant et peut-être que j'ferai en sorte de ne pas sortir le Scrabble. " Tu te rapproches d'elle, ouvre ses jambes pour t'y glisser, collant ton bassin contre son corps, dans un petit coup bien placé " Pourtant, tu ne sais pas tout ce que je pourrais te faire " viens-tu lui murmurer à l'oreille pour ensuite laisser flotter ton souffle chaud sur la peau de son cou, avant de t'éloigner d'elle pour aller ajouter les pâtes dans la casserole.

t'es joueuse et quand tu sens que tu peux t'amuser tu saisies l'opportunité à fond. la brèche est énorme avec kosmo, suffit juste de s'y engouffrée. tu sais pas trop où ça va te mener tout ça, mais les questions tu te les posera plus tard. t'es incroyablement susceptible que tu lui réponds d'un ton un peu moqueur. t'aurais pas pensé qu'il en tiendrait rigueur à ce point. habituellement, t'es pas si résistante quand tu veux quelque chose mais là, c'est bien plus amusant de pas céder à son charme. il sait qu'il peut avoir n'importe qui n'importe quand, et là, t'as pas envie de ça. pas envie d'être un prénom de plus sur sa liste de conquête, ça t'fou même la nausée que d'y penser. sa remarque sur soenn te fait rire, assez pour être toi même surprise de rire autant à sa connerie. pas au petit matin, soit pas excessif. peut être le soir pour s'réchauffer après avoir été dans le froid toute la journée! tu sens bien qu'une once de jalousie ne prônait pas dans son discours, c'est pas le genre à jalouser quoi que ce soit. tu le vois s'approcher un peu trop dangereusement de toi et tu te laisse complètement faire lorsque son corps s'immisce entre tes jambes qu'il écarte. la mâchoire qui se serre et les yeux qui se ferment lorsque ton souffle se plaque à ta peau. aussitôt, tu te reprends parce qu'il a déjà filé et tu voudrais pas qu'il se rend compte de ta réaction. émoustillée, c'est le mot pour décrire ton état là. hm ouais non, j'sais pas mais je t'écoute, vend moi tes mérite je pourrais cocher les caches qui m'plaisent pas. tu descends de ton perchoir pour le rejoindre et ton corps effleure le sien, plus exactement, ta main frôle ses fesses. pour rajouter au fait que t'es trop propre sur toi tu vois?

@Kosmo Cesarini

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Jusqu’où tout ça va aller ? Quand tout cela s’arrêtera-t-il ? Vous vous lancer la balle depuis tout à l’heure, à savoir qui fera le plus de mal à l’autre. Qui succombera à l’autre en premier. Tu n’es pas certain qu’elle te désire, mais de ton côté c’est une évidence. T’aimes son côté joueur, son côté lubrique, tu ne peux le nier. Mais beaucoup moins lorsqu’elle t’annonce, qu’elle approuve que Soenn la fera crier son prénom avant d’aller trouver Vega et faire la même chose. Tu plisses donc le nez et secoue la tête. « Épargnes moi les détails, merci… » Ça aurait été mieux dans ta tête si tu avais été invité avec eux. Là elle aurait pris cher et simplement d’y penser ça aurait été drôlement excitant. Tu n’aurais pas attendu le soir devant un feu de foyer, étendu sur une peau d’ours. T’as de plus en plus envie de lui monter que tu serais capable de lui en faire voir de toutes les couleurs, de faire en sorte qu’elle n’oublie pas la soirée où tu la feras sentir femme. T’as commencé à la stimuler, avant de te raviser. On entend tellement parler du consentement, il est hors de question qu’elle te fasse vivre un cauchemar en t’accusant de l’avoir harcelée. Ça t’est arrivé une fois et c’est bien assez pour toi. Tu comptais réellement laisser tomber, jusqu’à ce qu’elle fasse glisser ses doigts contre ton postérieur, te provoquant de nouveau. Tu n’es pas fait en bois non plus. Dès lors, tu éteins la cuisinière et déplace la casserole avant de te retourner vers Ana. En moins de temps pour le dire, tu glisses tes mains sous ses cuisses pour la faire se rasseoir sur le plan de travail, reprenant position entre ses cuisses. Cependant, tes lèvres ne vont pas lui susurrer des mots tout près de son oreille. « J’aimerais bien mieux te le montrer. Tu pourras pas me traiter de vantard. » dis-tu simplement avant de fondre sur ses lèvres, tes mains en coupe autour de son visage. Elle t’a provoqué deux fois, c’est assez pour te faire réagir. Toutefois, tu restes aux aguets, à la moindre réticence, tu arrêtes tout. Dans le cas contraire, si elle montre un tout petit intérêt, elle aura mis la machine en marche. La balle est dans son camp, qu'est-ce qu'elle choisira ?

tu lui souffles le chaud et le froid depuis tout à l'heure. un truc à rendre dingue n'importe qui ou presque. tu sais pas vraiment par avance les réactions qu'il peut avoir mais ça t'amuses de les découvrir. chaque mot est pesé, chaque geste est anticipé, même si l'impression est bien différente. d'extérieur, on dirait juste que t'es vraiment perchée comme fille. ce qui est pas complètement faux non plus. pas d'prise de tête, c'est ça ton truc. alors s'il adhère, pourquoi ne pas y répondre. d'ailleurs, c'est en le provoquant un peu plus que t'arrives à déceler ses ressentis. sa réaction te surprends qu'à moitié, en moins de temps qu'il ne le faut pour le comprendre, tu te retrouves de nouveau perché sur le meuble où t'étais assise initialement. ses mains qui entourent ton visage, quelques mots qui s'égarent à peine jusqu'à tes oreilles que t'es déjà focalisé sur l'envie de l'embrasser. il cède avant toi, t'apprécies qu'il te résiste pas tant que ça. tu te laisses approcher et tu vas même jusqu'à entourer tes jambes de ses hanches ce qui ressers son bassin du tien. tes lèvres veulent plus vraiment quitter les siennes. t'as envie de tout stopper, de jouer un peu plus la carte de "je me fais désirer" mais ça devient compliqué, t'es captivée par ce baiser qui devient un peu plus sauvage. la raison te revient et ton buste qui s'était rapproché du sien se décolle un peu, ton visage s'éloigne aussi, laissant vos lèvres se séparer. un mouais que tu susurres pour le piquer, même si tu le pense pas une seule seconde. y'a qu'à en voir tes jambes toujours accrochées à lui. du coup j'ai pas le droit de manger, c'est ça? lui chuchotes-tu en haussant des épaules. tu passes la main dans tes cheveux pour les replacer à ta convenance et tu te mordilles les lèvres pour t'empêcher de venir chercher les siennes à nouveau.

@Kosmo Cesarini

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Tes lèvres frappent les siennes. Ta langue roule, cherche, trouve et forme une danse endiablée avec celle d’Ana, pour ton plus grand plaisir. La température monte d’un cran et tes mains se font un peu plus baladeuse. T’as envie de la découvrir, de lécher chaque parcelle de sa peau. D’effleurer tout ce qui t’es interdit d’ordinaire. Tu la veux tienne, l’espace d’un instant, votre instant, mais elle en décide autrement, s’échappant de ton emprise, laissant un vent glacial se glisser entre vos deux corps. Heureusement, qu’elle te tient toujours contre elle, les jambes glissées derrière toi. Tu la regardes, avec un soupçon d’incertitude, lorsqu’elle prend la parole. Toujours prête à te mette en rogne. Toujours cette manie de vouloir se faire désirer, de vouloir te tiller davantage. Ça ne serait pas possible, ne serait-ce qu’un instant, être sérieux afin de passer un bon moment ? T’as envie de son corps, t’as besoin de son corps à vrai dire. « Tu voudrais te contenter de pâtes alors que tu pourrais avoir une saucisse juteuse ? » Haussement de sourcil, petit sourire en coin qui s’affiche et tu hausses les épaules en reculant d’un pas, enlevant ses jambes d’autour de toi, sans jamais réellement la quitter, néanmoins. « Mais si tu préfères, on n’a qu’à aller se chercher un burger. » Ton regards n’a néanmoins pas quitté ses lèvres pulpeuses qui se malmènent depuis tout à l’heure. Tu te fais la promesse de l’avoir pour toi ce soir. Elle gémira sous tes coups de reins. Là toute suite, elle se montre joueuse ? Toi aussi, tu peux jouer. La faire languir jusqu’à ce qu’elle te supplie de ne fait qu’un avec elle.

y'a un brasier dans ton corps. un truc que tu gères pas, un truc que t'aurais pas pensé qu'il déclenche chez toi. t'as pas envie de perdre le contrôle et de te laisser aller comme tu le voudrais. parce que tu sais ce qu'il est, kosmo. le tombeur de ses dames. et même si t'as pas de mal avec le fait de coucher avec pleins de personnes, t'as pas envie d'être l'un de ses trophées. mais la raison ne l'emporte pas toujours, les tentatives pour le repousser sont vaines, tu sais que tu vas craquer. tes jambes qu'il décroche de son étreinte mais tes lèvres qu'il continue de fixer.


@Kosmo Cesarini

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