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I LOVE HARVARD
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    who do you think you are ? (caleb)
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    Lien du postDim 13 Nov - 19:14
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    ★ ─ WHO DO YOU THINK YOU ARE?
    w/ @Caleb Morrison

    Il semble amusé Caleb. Elle le voit à ces sourires qui glisse sur ses lippes et cette malice dans le regard. C'est différent des autres jours. Il semble moins mesquin qu'à l'accoutumée et a même l'air de véritablement apprécier sa compagnie. La réciproque est vraie bien qu'elle ne souhaite pas encore l'admettre totalement. Elle a tellement pris l'habitude de le détester qu'elle a presque du mal à accepter l'idée qu'elle puisse le tolérer. Pire : bien l'aimer. Cela lui aurait paru impossible il y a à peine quelques heures tant il a passé son temps à l'énerver. Pourtant, voilà de longues minutes qu'ils échangent sans s'être sauté à la gorge. Il y a du progrès, elle ne peut le nier Charlie. Et l'homme qu'elle découvre peu à peu lui plaît de plus en plus.

    Elle se sent à l'aise d'ailleurs la journaliste. En tout cas assez pour lui faire part de ses plaisirs solitaires sans rougir. En même temps, elle est loin d'en avoir honte, au contraire. Elle ne voit pas ce qu'il y a de surprenant à ce qu'une femme se fasse du bien de temps en temps. Les hommes le font bien et personne ne dit rien. Pourquoi devrait-il en être autrement avec elle ? Il ne dit rien d'ailleurs Caleb. Se contente de sourire à ses réponses. Au fond, elle est certaine qu'il est bien trop heureux d'apprendre tout cela sur eux. Petit gamin curieux qui doit être aux anges de la voir se laisser aller comme elle le fait. Toi qui me reproches tout le temps d'être trop coincée… Au moins là, elle lui a fait fermer son clapet ! Enfin pour quelques secondes seulement, faut pas trop abuser. « T’as raison, il fait pas le poids. » Outch, balle perdue pour Joey qui se fait descendre alors qu'il n'a absolument rien fait. Mais comme on dit, les absents ont toujours tort, il n'avait qu'à accepter de les accompagner pour pouvoir se défendre. « Il fait pas le poids ? Comment ça ? » Sourcil qui s'arque alors que la curiosité est déjà bien trop piquée tout à coup. Que cherche-t-il à sous entendre ? Qu'elle est mieux que leur mignon petit caméraman ? Pauvre Joey, il se fait tâcler alors qu'il a rien demandé. « J'cherche pas vraiment à ramener un mec ce soir tu sais. Je voulais juste boire une bière, c'est tout. Mais ravie de savoir que j'pourrais trouver chaussure à mon pied. J'vais prendre ça comme un compliment, j'imagine que ça en était un. Mais bon, venant de toi j'ai toujours le doute quand même. » Parce que oui, on sait jamais vraiment trop à quoi s'attendre avec Hamilton, autant rester prudente.

    Elle essaye de parler d'amour mais le sujet est bien vite laissé de côté par Caleb qui ne semble clairement pas vouloir s'y attarder. « Je sais que tu le penses pas une seule seconde. » Elle l'a bien vu à cette moue de dégoût qu'il a eu peine à cacher. C'est donc à ce point qu'il déteste l'amour ? Et bien, je comprends mieux pourquoi tu voulais pas venir bosser à la rubrique des cœurs brisés… Les relations amoureuses sont visiblement pour lui LE sujet à ne pas aborder. Dommage, c'est ce dont ils doivent parler à longueur de journée pour les articles qui vont être publiés. Autant vous dire que pour lui le boulot doit actuellement être une véritable torture quotidienne. Est-ce que ça la touche pour autant ? Pas le moins du monde. Au contraire, elle voit désormais chez lui un défi à relever. Challenge excitant qui se présente devant elle et auquel elle ne renoncera pas. Charlie, elle est prête à révéler à Caleb son côté sentimental. Celui qui sommeille au fond de lui et qu'il tente de faire taire par peur de souffrir. Ça prendra du temps s'il le faut mais elle n'abandonnera pas.

    Il se met à rire franchement le blond quand il voit l'impact qu'à sa bêtise sur Charlie. Elle le regarde avec attention. Il est beau quand il rit. Réalité qui la frappe tout à coup. Elle sait pas vraiment pourquoi elle se met à penser à ça. C'est soudain et éphémère mais l'idée est là, quelque part dans son esprit. En réalité, elle n'a jamais nié le fait qu'il soit extrêmement charmant. C'est un bel homme Caleb et il faudrait être aveugle pour dire le contraire. Mais il avait bien vite tout gâché dès l'instant où il avait ouvert la bouche. Bousillant sa beauté sous cette arrogance détestable. Alors c'est agréable pour une fois de découvrir une nouvelle facette de lui. « Quel air pincé ? Ça s'appelle l'élégance à l'anglaise. Tu peux pas comprendre. Et oui je suis de Londres. » Elle en est fière Charlie, de ses origines. Et ce n'est pas parce qu'elle est venue vivre aux Etats-Unis qu'elle compte renier sa culture. Elle se bat d'ailleurs pour ne jamais perdre son accent british qui parait-il lui donne beaucoup de charme. « Ah bon ? Ça explique quoi ? Pourquoi j'ai tant de classe comparé à toi ? Ouais je comprends. » Elle taquine gentiment. En fait des caisses pour plaisanter. C'est bon enfant. Bien loin des piques qu'ils s'envoient habituellement. Sourire espiègle sur le visage de la poupée. Charlie, elle n'a absolument aucune honte de reprendre sa question. Elle savait de toute façon qu'il allait le lui faire remarquer. « J'aurai plutôt dit maligne mais bon. » Haussement d'épaules qui lui confère un petit air innocent. Elle l'écoute lui répondre et pose sa main sur son cœur comme s'il venait de briser ce dernier. « Han ! Tu ne vas pas faire ta carrière aux courriers du cœur ? Vraiment ? Je suis anéantie… » Drama queen en puissance qui s'amuse de la situation. Elle adore en rajouter Charlie. Accentue parfois ce côté théâtral pour amuser la galerie. Petite comique qui a toujours aimé faire rire son petit monde. « Bali, bon choix. Même si j'te vois plus sur une plage à siroter des cocktails et te faire masser qu'à écrire des articles. Mais ouais va donc virer les touristes et nettoyer les plages au moins tu serais utile pour une fois. » Le projet est plutôt sympa en réalité. Bien loin de ce qu'elle aurait imaginé la concernant. Mais en vrai, elle avait pas imaginé grand chose en fait. Caleb est bien trop mystérieux et elle ne l'a pas encore percé à jour. Mais ça viendra, elle y croit. « J'aimerai bien voir ça si ça devait arriver. C'est clair que je prendrai mon pied ! Je les aime déjà ces petits singes… » Elle soupire légèrement et regarde vers le plafond comme si elle était en train d'imaginer cette scène agréable. Parce que oui, voir Caleb se faire botter les miches c'est un vrai petit bonheur. « Plus sérieusement, c'est un beau projet. Je te découvre sous un nouveau jour Hamilton. » Et alors qu'ils se retrouvent devant la table de billard, elle se demande bien comment elle va s'en sortir. Elle se contente seulement d'attraper la queue qu'il lui tend et de le regarder sans trop savoir quoi faire. Il comprend d'ailleurs bien vite qu'elle n'est pas des plus à l'aises et heureusement pour elle il prend les choses en main. Elle le laisse faire, ne cherche même pas à lui donner tort - puisqu'il a raison - et le regarde rentrer deux boules rouges. « J'aime quand tu m'appelles patronne. » Sourire en coin et air malicieux. Il y a clairement du jeu dans l'air tout à coup. Face à face, le combat commence. Les regards se trouvent, s'affrontent. Ça lui plaît un peu trop à Charlie mais elle tente de ne pas y penser davantage. « Montre-moi tes talents. » Prunelles qui pétillent sous le défi qu'il lui lance. Lippes étirées légèrement, elle se penche avec une certaine sensualité. Joueuse qu'il réveille, qu'il attise par ses remarques et ses sourires. Elle se concentre, n'ayant pas envie de se foutre la honte dès le début. Elle fait glisser le bois entre ses doigts fins et vient taper la boule blanche qui en fait rentrer une jaune juste après. Air de victoire sur le visage, elle n'est pas peu fière d'avoir réussi. Elle s'approche pour tirer son prochain coup (on parle ici toujours de billard pour les esprits pervertis qui y verraient là un autre sens). La remarque qu'il balance est bourrée de sous-entendus et il ne faut pas être Einstein pour le comprendre. Alors qu'elle passe devant lui, son regard attrape le sien, la diablerie qui danse dans ses yeux. « J'me débrouille bien toute seule et à tous les niveaux Hamilton. Tu veux des preuves peut-être ? » Ils se cherchent de plus en plus, c'est flagrant. Ils mettront sûrement ça sur l'alcool ou l'ambiance détendue du bar en cette fin de journée. Mais la réalité, c'est qu'il y a une connexion surprenante qui née doucement. Feeling étrange qui semble émerger tout à coup. Caleb change de sujet, se concentrant de nouveau sur la vie de notre petite Rothschild. Il taquine encore même si elle doit admettre que la cuisine anglaise n'est pas ce qui lui manque le plus.  « Excuse-moi mais la bouffe ici c'est pas la folie non plus. » Franchement à part manger gras ils font pas grand chose soyons honnêtes. On est bien loin de la gastronomie en tout cas. « J'suis venue parce que ma grande sœur a fait ses études à Harvard. J'ai voulu la suivre. Et mes autres frères et sœurs ont suivi et du coup j'suis plutôt bien ici avec eux. » Oui, toute la fratrie avait suivi l'exemple et désormais ce sont tous les enfants Rothschild qui se trouvent ici même à Boston.  « Oui, Londres me manque beaucoup. J'essaye d'y retourner le plus possible, pour voir mes parents et mes amis de là-bas. Mais j'suis pas encore prête à retourner y vivre, j'aime ma vie ici pour le moment. » En tout cas elle l'apprécie assez pour ne pas ressentir le besoin de retrouver son Angleterre natale. Mais à voir dans quelques années si le manque se fait trop fort. « Et toi, t'es d'ici ? T'as des frères et sœurs ? »


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    who do you think you are ?  ★ ─
    w/ @Charlie Rothschild


    il y a de ces regards qui ne trompent pas. de ceux qui trainent un peu trop sans trop se confronter, attendant la faille indécente pour s’y glisser follement. de ces sourires un peu fous qui vous étreignent sans qu’on ne puisse les retenir. de ces mots qui se lâchent, se rattrapant de peu pour contenter l’orgueil. se tourner autour sans jamais s’affronter. non, pas encore. se chercher pour mieux savourer un voyage que tu n’attendais plus. sournois, ce périple qui t’amène ici. entre quatre yeux. loins des lettres et des papiers fanés pour faire vivre la douce réalité. tu sais qu’au fond, elle a le goût de l’interdit. vous ne jouez pas dans la même cour. n’évoluant pas dans les mêmes mondes. pourtant comme un doux magnétisme révélé, tu n’ignores pas que les lois de la physique viennent te défier. impossible de se fourvoyer quand tes pauvres neutrons appellent ses protons. alchimie vieille comme le monde où, forcément, tous les coups sont permis. puisque, tout simplement, tu vogues si bien sur ces sentiers qui frémissent. loin derrière vous se situe la première accroche, contentant à grand pas les désirs silencieux de cette prochaine approche.

    « Quel air pincé ? Ça s'appelle l'élégance à l'anglaise. Tu peux pas comprendre. Et oui je suis de Londres. » tu ris, forcément. emmagasinant discrètement les informations qui révèlent le personnage de Charlie Rothschild. s’en suit forcément la bataille nationaliste qui qualifie bien les anglais. toi-même, tu n’as jamais été trop attaché aux terres qui t’ont vu naitre. la preuve étant que tu as choisi un métier qui te ferait voguer vers d’autres sphères, histoire de contenter l’esprit rebelle et aventurier qu’on t’a légué. tu ressembles à ta mère pour ça. bien trop. boule au ventre qui s’accroche un instant quand tu penses à cet ange déjà si lointain. fort heureusement, la petite brune te rattrape dans ces souvenirs chérissants qui désamorcent le palpitant. comme tu t’en doutais, la comédie est de mise lorsque tu débordes sur tes envies futures. ce n’était pas une révélation, jamais tu ne pourrais rester dans ce genre de sujet romanesque que sont les courriers du coeur. mais pour une fois, tu veux bien lui laisser la gouverne et comprendre que c’est un choix que d’autres peuvent apprécier. si même tu ne comprends pas les raisons de s’envenimer sous un tas de guimauve, tu veux bien essaye de tolérer que d’autres puissent en être intéressés. vraiment Caleb ? ou c’est seulement que tu pourrais reconnaitre que la petite londonienne sait réconforter les coeurs émiettés ? non. pas tout de suite. t’es encore trop sur tes réserves pour te complaire dans des compliments abusifs. même avec un si beau minois qui réussit à te provoquer de toute part. l’image qu’elle te renvoie de toi avec les pieds en éventail te fait bien ricaner d’ailleurs. depuis combien de temps sonne-t-elle le faux pour grappiller le vrai ? ah Caleb… en oublierais-tu qu’elle aussi est journaliste ? et donc forcément dotée d’une curiosité sans pareille, autre que la tienne ? elle est maligne, c’est vrai. tu lui concèdes largement. « bof quand même… les massages et les cocktails sur la plage à s’faire cramer le coquillard. c’est ennuyant… » tu grimaces, prenant un air faussement offusqué avant de reprendre. « j’imaginais plus une cabane dans la jungle, un filet suspendu en guise de lit… et sûrement une jolie femme ouai c’est vrai… » tu avoues, marquant une légère pause pour contenter tes yeux sur tes révélations. « …pour qu’elle me masse, ça va sans dire ! » tu complètes, ravi de tenter une réplique misogyne juste pour voir l’effronté se réveiller une seconde de plus dans les yeux bleus.

    la partie de billard est entamée. entre jolis coups, balles gagnées et phrases délicieusement piquées, vous débordez loin du travail. de ce carcan trop serré qui vous a brimé pendant un temps. car vous voilà seulement deux inconnus qui apprennent à se connaitre. à se juger. sans que la haine ne s’accrochent à vos lèvres. et ça t’plait Caleb. autant que les tissus qui déguisent sur le corps de ta collègue. patronne. cheffe ? ça lui plait alors, le petit sobriquet. bien que tu n’y accordes que l’humour en l’appelant de la sorte, tu gardes précieusement le fait qu’elle aime se sentir au coeur des combats. « J'me débrouille bien toute seule et à tous les niveaux Hamilton. Tu veux des preuves peut-être ? » folle répartie qui te fait trembler jusqu’à tes tempes. avec de simples mots sur son regard fier, passant, audacieuse, devant toi. tes iris s’abîment déjà trop sur sa silhouette. tu manques même un souffle qui restera en suspend. elle te cherche autant que tu la tourmentes. toi qui te pensais maitre en la matière, voilà qu’on te léguer une si belle adversaire. adversaire que tu semblais sous-estimer apparemment. « je suis preneur du vieil adage il semblerait… je ne crois que ce que je vois, Rothschild. » risette au coin des lippes. elle a raté le second coup, c’est à toi de reprendre les rennes. alors que tu te mets à jouer, Charlie explique les raisons de son immigration en terres américaines. décrivant ainsi sa promiscuité avec sa fratrie et son petit amour pour Londres, le choix possible d’y retourner un jour. ensuite, à son tour de t’interroger sur ta propre famille. « tricheuse. » tu souris en rentrant une nouvelle boule. récupérant ton verre pour boire une longue gorgée de bière. les yeux toujours sur elle, attiré inexorablement par les siens. « si tu reprends encore une de mes questions, tu vas avoir droit à un gage, fais gaffe ! » pupilles qui s’illuminent, te voilà content du possible retournement de situation. « j’ai une soeur. enfin… nous n’avons pas les mêmes parents, mais ça n’a aucune importance. mes parents l’ont adopté quand on était encore jeunes. elle est bien trop ancrée à ma vie pour que le sang puisse prouver quoique ce soit comme on dit. » tu rigoles gentiment en pensant à Sierra. « mon père est sur Boston aussi. tous les deux sont flics, j’suis un peu le mouton noir du clan, on peut le dire. » ton père ne t’en a jamais voulu. et tu n’envies aucunement le privilège de ta soeur qui nourrit les mêmes desseins que lui. bien au contraire, t’es persuadé que ce rôle lui ira beaucoup mieux qu’à toi. tu pourrais même la remercier pleinement, car si elle ne s’était pas enrôlée dans cette carrière, t’es pratiquement certain que tu aurais déçu le paternel par un refus de le suivre. frappe sèche, tu rentres deux autres boules. une pour toi et une pour Charlie. « on dirait que je t’aide pour une fois… » c’est à elle de prendre le prochain coup. mais dans l’échange de place pour aller tirer, vous manquez de vous heurter. ou bien c’est toi, habilement, qui lui barre la route de toute ta hauteur. récupérant toujours plus son attention qui vient se plaquer contre la tienne. « tu sais que… » tu commences, pas trop fort, bien trop bas, seulement pour elle. brulant d’une malice hors pair. tes doigts libres viennent grappiller la distance jusqu’à son visage. un peu hésitant, puis finalement plus du tout. du pouce tu viens cueillir le petit trait de mousse qui s’est dessiné au-dessus de sa lèvre inférieure. « …tu te fais mater depuis tout à l’heure. » tu souris doucement, jetant un oeil indicateur derrière elle. un mec, plutôt charmant, accoudé au comptoir, les attentions perdues sur ta jolie petite patronne. « le mieux… c’est de le rendre jaloux, je pense. » suave injonction qui se murmure sur ta bouche pour venir exploser en elle.



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    Lien du postLun 12 Déc - 20:15
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    w/ @Caleb Morrison

    Elle ne sait pas vraiment si c'est l'alcool qui commence à faire doucement son effet ou s'il y a bien cette alchimie qui se crée peu à peu entre eux. Changement d'ambiance qui finalement vient ravir la petite brune, fatiguée des querelles avec Caleb et ce même si elle adore le remettre à sa place. Ça se taquine toujours, bien sûr, mais ça résonne différemment en elle tout à coup. Ou peut-être se laisse-t-elle seulement avoir par le regard un peu trop charmant d'Hamilton ? Merde, pourquoi lui parait-il aussi si séduisant maintenant ? Et pourquoi a-t-elle autant la sensation qu'ils sont en train de flirter l'air de rien ? Peut-être qu'elle aurait du boire cette bière avec moins d'entrain. Oui, c'est forcément ça la raison de cette douce chaleur qui s'empare d'elle depuis qu'ils se cherchent davantage. Y a pourtant un truc qui s'est réveillé en elle. Étincelle de malice qu'elle peine à réfréner et qui attise toujours plus la joueuse. Elle a envie de le chercher mais plus pour les raisons qui la pousse d'habitude à le provoquer. Non, c'est différent. Et un peu trop agréable d'ailleurs…

    Elle essaye néanmoins de ne pas y penser davantage et de se laisser porter par le moment. Les questions s'enchainent doucement et la conversation se fait sans forcer. Y a pas de silence gênant. C'est fluide. Naturel. Presque trop… Mais c'est trop agréable pour qu'elle veuille y mettre fin. Elle n'hésite d'ailleurs pas à se livrer Charlie. Sans gêne aucune. Elle n'a jamais été du genre mystérieuse et n'a aucun problème à parler d'elle et de sa vie si on lui pose des questions la concernant. Elle est bien trop entière pour jouer un rôle ou se faire passer pour quelqu'un qu'elle ne serait pas. « J’imaginais plus une cabane dans la jungle, un filet suspendu en guise de lit… et sûrement une jolie femme ouai c’est vrai… » L'image lui arrache un sourire. Il a visiblement pensé à tout le père Hamilton. « Pour qu’elle me masse, ça va sans dire ! » Évidemment, fallait qu'il rajoute un petit commentaire à la Caleb à la fin. « Tu préfères te la jouer Tarzan alors. Je vois je vois. Manque plus qu'à trouver ta Jane. Pour les massages, bien sûr. Quoi qu'avec un peu de patience je suis sûre que tu dois pouvoir arriver à négocier avec un petit singe. 2 bananes contre un massage, ça se tente non ? » Elle a failli s'insurger face à cette remarque bien masculine lancée - elle en est sûre - exprès pour la faire chier. Mais elle préfère ne pas relever et se moquer gentiment de lui. « Puis soyons honnêtes, t'as plus de chance de t'en sortir avec un singe que de trouver une femme qui voudra bien te supporter. » Petit clin d'œil taquin qui accompagne sa petite blague. Le traité de paix qu'ils ont conclu tout à l'heure ne l'empêchera pas de le chercher un peu. Faut pas pousser mémé dans les orties non plus. Mais ce n'est que de l'humour. Y a pas de colère ou de rancœur, juste un brin de malice. Et peut-être même un soupçon de flirt. Elle n'hésite d'ailleurs à jouer de ses charmes lors de cette partie de billard, capturant son regard en passant près lui. « Je suis preneur du vieil adage il semblerait… je ne crois que ce que je vois, Rothschild. » Le contraire m'aurais étonné, pense-t-elle pas surprise le moins du monde par sa réponse. Mais il faut croire néanmoins que cette remarque la perturbe plus qu'elle ne veut bien l'admettre car voila qu'elle manque le prochain coup, laissant la main à son adversaire. Malgré tout, elle n'a pas dit son dernier mot et compte bien essayer de le déstabiliser quelque peu. « Oh mais ce genre de petit spectacle privé ça se mérite Hamilton. » Sourire en coin et regard pétillant. Charmeuse qui fait des siennes, trop titillée par cette ambiance nouvelle.

    « Tricheuse. » Elle hausse des épaules, sourire aux lèvres. « J'men fiche. » Gamine insolente qui assume parfaitement de piquer ses phrases. Après tout, le véritable but est d'apprendre à se connaître non ? Alors pourquoi se priverait-elle de lui demander ce qu'elle veut savoir. « Si tu reprends encore une de mes questions, tu vas avoir droit à un gage, fais gaffe ! » Sourcil qui s'arque à sa remarque. « Un gage ? Et puis quoi encore ? Tu veux pas 100 balles et un mars non ? » Elle râle, juste pour le principe. Parce qu'elle ne veut pas lui tout donner tout ce qu'il réclame. Pas tout de suite. Mais elle sait qu'il pourrait l'avoir à l'usure s'il l'attaque un peu trop. Parce qu'elle n'aime pas se dégonfler et que l'idée d'un gage peut être plutôt amusante. Pour l'instant, elle a juste envie de l'emmerder un peu. Car elle a bien vu dans son regard, la flamme du petit démon qui sommeille en lui et qui ne demande qu'à rendre le tout encore plus intéressant. Mais te faire patienter est encore plus grisant…

    Elle l'écoute, attentive et sent dans ses paroles tout l'attachement qu'il a pour sa famille et cette sœur qui semble chère à son cœur.  C'est étrange de l'entendre parler ainsi. Ça le rend plus humain. Plus attachant aussi. Au fond pourtant, elle le sait, Caleb n'est pas dénoué de tout sentiment. Il préfère juste jouer au coq que de montrer qu'il peut avoir un côté plus sensible. Mais cette part de lui, elle lui plaît un peu trop. Cela le rend même un peu plus attirant. C'est énervant. Très énervant même. Car il reste aussi ce connard arrogant qui peut l'envoyer chier parce qu'il est de mauvaise humeur. Elle remarque qu'il n'évoque pas sa mère et ne préfère pas le relever pour ne pas aborder un sujet qui pourrait s'avérer être douloureux pour le jeune homme. Car si elle adore l'embêter, loin d'elle l'idée de vouloir lui faire du mal. Charlie, elle préfère essayer de détendre l'atmosphère, heureuse malgré tout d'en savoir plus à son sujet. « Ça m'étonne pas tient, t'aimes trop jouer les rebelles avoue. M'enfin ça va, tu t'en es plutôt bien sorti même sans être devenu flic. T'es même plutôt bon dans ton domaine tu sais. » Petit compliment glissé sur lequel elle espère qu'il ne s'attardera pas car elle sait qu'il aime bien trop qu'on flatte son égo. Elle le pense néanmoins, Caleb est un excellent journaliste. Il est juste un peu trop borné. Mais c'est bien grâce à son caractère de cochon qu'ils se sont rencontrés. Au final, c'est peut-être un mal pour un bien, qui sait ?

    Alors qu'elle va pour prendre sa place et tirer, les corps se rencontrent. Volontairement ? Elle ne sait pas. Mais le contact est agréable et lui arrache un frisson qu'elle ne peut ignorer. Face à face. Les regards qui s'accrochent et ne se quittent plus. « Tu sais que… » Le cœur tambourine alors qu'elle voit sa main s'approcher de son visage. Et alors que son pouce caresse sa lèvre, elle sent une chaleur agréable l'envahir. Fièvre délicieuse qui s'empare de tout son être. Le myocarde loupe un battement, perturbé par cette proximité et ce parfum qui enivre tous ses sens. « …tu te fais mater depuis tout à l’heure. » Elle ne se retourne pas, malgré la curiosité qui gronde tout à coup. Merde, mais à quoi il joue ? Elle est perdue Charlie. Parce qu'elle n'arrive pas à savoir s'il se fout d'elle ou s'il ressent lui aussi cette attraction nouvelle. « Le mieux… c’est de le rendre jaloux, je pense. » Leurs corps restent proches, comme attirés l'un vers l'autre. Charlie, elle se fiche bien de l'homme derrière mais le jeu qui se déroule sous ses yeux est bien trop plaisant. Les prunelles viennent trouver celles de l'adversaire. « Jaloux hein ? Des idées peut-être ? Dis moi cher Caleb, comment rendre un homme jaloux ? » C'est murmuré. Les souffles sont proches. Trop proches. Les yeux se perdent sur la bouche de Caleb. Pourquoi diable a-t-elle autant envie de capturer ses lèvres ? Elle balaye néanmoins cette envie soudaine mais sent pourtant le palpitant qui s'emporte dans sa poitrine. Il semblerait que le charme de Caleb Hamilton fasse doucement son effet sur celle qui prenait tant plaisir à le détester…


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    Lien du postMer 15 Fév - 15:27
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    w/ @Charlie Rothschild

    « Un gage ? Et puis quoi encore ? Tu veux pas 100 balles et un mars non ? » tout sur ta face indique clairement que son biscuit t’en as rien à foutre. tu jubiles rien qu’à l’idée de la voir tomber tête la première dans tes filets. elle qui avait soulevé tant de hargne à vouloir se venger de la première image vendue. vous voguez sur un fleuve dangereux, entre rapides et douces langueurs. l’attente cruelle avant la déferlante qui vous guette. il faudrait être idiot pour ne pas comprendre cette folle alchimie qui est en train de batailler pour sortir. s’extraire de chacune de vos personnalités contraires, déjà venue s’entrechoquer, pour aujourd’hui apprendre à s’apprivoiser. danse des proies et des prédateurs qui s’animent. rôles tour à tour inversés. pas de côté. un en avant. puis trois en arrière. jusqu’au moment où vous vous heurterez sur l’évidence, celle que vos souffles n’arrivent déjà plus à dissimuler. alors, et puis quoi encore Caleb ? oui, excellente question Charlie.

    tes yeux qui s’perdent sur les cambrures prononcées dès qu’elle se penche pour jouer. tes billes qui s’enflamment sur cette lèvre frémissante dès que tu t'poses dessus. tes sens qui appellent les siens juste pour tenter d’avoir une réponse à ces muets refrains. toujours plus difficile à garder incarcérés au fond d’toi. merde, Caleb. qu’est-ce que tu fous ? battant corrompu, ravi de tambouriner sous l’adrénaline nouvelle de ce rapprochement que tu n’attendais plus. « (…) t’es même plutôt bon dans ton domaine tu sais. » sourcil arqué, narines qui palpitent, mâchoire délicieusement crispée. l’appel aux aguets pour le prédateur que tu as toujours été. néanmoins, tu tentes le regard innocent sur ces palabres qui plaisent toujours plus à tes sens. égo caressé, encore et encore. t’adores ça Caleb. t’aimes la chaleur de cette voix qui parle de toi. un peu trop même. tu n’es même plus crédible auprès de ta propre conscience de toute évidence. en quelques mouvements agiles et dissimulés, des pas peut-être pas vraiment contrôlés, vous voilà en prise, l’un avec l’autre. et Charlie qui ne faiblit pas face à cette carrure que tu lui imposes. bien au contraire, elle en demande plus. à défaut de contenter ton ouïe, tu devines la douleur commune de vos retraites respectives. toi qui n’a jamais été du genre à te faire dicter des règles, Morrison. à cet état d’fait d’ailleurs, t’envoies valser toute convenance. de celle que la Rothschild adore te sermonner car tu n’as aucune tenue en bonne société. rire doucereux. chaleur envahissante. tout irradie parce que tu la sens réceptive. et ça t’plait. bien trop. rendre jaloux un autre ? qu’est-ce que t’en as à carrer. qu’il mate, le pauvre. qu’il apprécie ce petit feu-follet entre tes bras parce que tu ne lui offriras pas un tiers de cela pour ce soir en tout cas. qui a dit qu’un mec adorait voir un autre se faire piquer son crush de l’instant sous l’nez ? bullshits. t'es qu'un p’tit con va. main qui s’approprie doucement les charnues en les adulant. les libérant de cette mousse de houblon qui s’est invitée malgré tout. et ta voix qui perce à nouveau entre vous « bien entendu, c’est à titre purement expérimental tout ça… » sarcasme languissant alors que tu chuchotes au-dessus, trop proche, de cette bouche si rouge. si hypnotique. tu la fixes d’ailleurs, malgré le rire de tes yeux on peut y lire un désir fou qui s’embrase toujours plus depuis que cette drôle de soirée a commencé. mais avant qu’elle puisse râler -ayant peur qu’elle prenne mal encore une de tes paroles moqueuses- tu fonds sur la douceur exquise proposée sous tes yeux. un simple baiser, mais bien moins chaste qu’il n’y parait. aucun rempart de forcé mais l’empreinte que tu y laisses, dans ces courtes secondes, suffisent à vouloir t’en faire demander plus. putain. d’ailleurs, tu claques légèrement ta langue pour exprimer la négation de la voir se reculer alors que ta bouche s’est à peine décollée de la sienne. cette fois tes doigts glissent sur sa nuque d’une manière un peu plus possessive. « hm…c’était vraiment pas suffisant, patronne » et avec ce demi-sourire malin qui fait briller quelques une de tes dents, tu ne lui laisses pas le temps de répondre que tes lèvres sont de nouveau tatouées sur les siennes. second baiser qui exprime enfin une longue détonation de tes nerfs sur les siens. haut voltage d’une électricité nourrie depuis des semaines.


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    Lien du postJeu 16 Fév - 17:17
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    w/ @Caleb Morrison

    Elle le sait. Elle le sent. Dans ces regards qu'ils partagent et ces souffles qui s'entremêlent, c'est toute une nouvelle partition qui se joue. Il a passé la journée à l'agacer et pourtant, le voilà quelques centimètres à peine de ses lèvres. Mais c'est bien trop grisant pour vouloir y mettre un terme. Il l'attire Caleb, probablement plus qu'elle ne voudrait l'admettre d'ailleurs. « Bien entendu, c’est à titre purement expérimental tout ça… » Sourire sur les lippes alors qu'il s'approche dangereusement. Le palpitant s'emporte peu à peu alors que l'écart se creuse entre eux. Elle sait ce qui va arriver mais ne recule pas pour autant. Je te veux… Probablement autant qu'il la désire. Et lorsque leurs lèvres se trouvent enfin, c'est l'explosion au cœur de sa poitrine. L'instant est court mais intense. Elle a l'impression que sa bouche brûle encore lorsqu'elle s'éloigne mais rêve déjà de retrouver le goût de ses lippes savoureuses. « Hm…c’était vraiment pas suffisant, patronne. » Putain. A-t-il seulement conscience d'à quel point ses mots la rendent dingue ? Y a quelque chose de sauvage qui se dégage de lui tout à coup. Quelque chose de bestial qui lui fait perdre la tête. Et elle ne sait plus Charlie, à quel moment ça a dévié, consciente pourtant au fond que ça a toujours été là. Cette attirance n'est pas nouvelle. Mais aujourd'hui aucun d'eux ne semble vouloir s'en cacher. Elle a le bas du ventre en feu et la furieuse envie de plonger sur cette bouche savoureuse. Il la devance, pour son plus grand plaisir. Main qui se pose sur sa nuque pour entamer le deuxième round. Contact simple qui électrise tout son corps. Peau qui frissonne toujours plus sous le toucher ardent du journaliste. Ses mains s'accrochent au t-shirt de Caleb comme si elle ne voulait plus qu'il lui échappe avant que ses bras ne viennent entourer ses hanches pour le serrer toujours plus fort contre elle. Cela ne fait qu'accentuer davantage le baiser fougueux qu'ils partagent. Chaleur délicieuse qui embrase tout son être, brûlant chaque parcelle de cette peau qui réclame la sienne. Et la voilà désormais pantin de son désir fiévreux. Esclave de ce feu qu'il réveille et qu'elle ne semble plus contrôler.  Tête prise au tournis face à la vague d'émotions qui la submerge. Merde, il la rend complètement dingue ! Elle pourrait prétendre que ce baiser ne lui fait rien, jouer l'indifférente mais c'est trop tard. Le corps parle déjà trop pour qu'elle tente le mensonge. Alors quitte à plonger, autant y aller à fond. Sa langue vient trouver la sienne pour jouer ce ballet qu'elles semblent déjà connaître. Tout est si fluide et naturel, comme s'ils ne pouvaient échapper plus longtemps à l'évidence. L'alchimie est là. Depuis le premier jour. Ils ont seulement accepté de laisser tomber les barrières. Il y a quelque chose de physique, presque chimique entre eux. Comme si chaque molécule de leurs corps étaient faites pour se trouver un jour. Il l'agace autant qu'il l'attire et c'est bien parce qu'il réveille tous ces sentiments que ce baiser n'a rien d'innocent. Le combat a toujours été féroce et se traduit encore dans cet échange langoureux. Les secondes défilent sans qu'ils ne se quittent et lorsqu'ils s'éloignent enfin, elle peine à retrouver son souffle. Lèvres rosies sous l'intensité de ce baiser passionné alors que le désir lui ne faiblit pas.  « Alors, ça a marché ? Ou tu crois qu'on doit remettre ça ? » Évidemment, elle n'en a que faire de l'homme derrière elle. Celui-là même qui était la cause de cet échange plus qu'enflammé mais qui avait probablement trouvé une autre proie en voyant que la dernière avait trouvé de quoi contenter sa soirée.  « Je suis sûre que t'as fait ça juste pour que je me taise. » La taquine refait surface. L'humour comme seul moyen de cacher le trouble qui l'habite en cet instant. Et l'envie qui gronde encore et toujours… Qui lui crie de replonger. De se laisser aller. Mais à trop jouer avec le feu, je risquerai de me brûler… Moi qui rêve pourtant de laisser tes flammes me consumer…


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    Lien du postVen 17 Fév - 11:45
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    w/ @Charlie Rothschild

    tw : scènes intimes
    l’alcool réchauffe d’abord les tempes. puis s’écoule savamment pour dégringoler le long de la chair. dévalant la course du sang qui brûle dans tout ton être. imposant ainsi une assurance doublée sur ton adrénaline déjà bien marquée. t’aimes les femmes Caleb, tu ne t’en caches jamais. la douceur de leur peau qui transcende avec l’appel de leurs émois. t’aimes jouer, faire naitre le feu pour qu’il vienne s’embraser au tien. fièvre d’une nuit qui se terminera forcément au petit matin. convenances reléguées en arrière-plan, c’est souvent l’instinct qui prime sur l’entendement. dommages collatéraux qui n’ont peur de rien. pourtant cette fois, tu t’engages dans un tumulte qui risque de faire plus de mal que de bien. mais tu n’arrives pas à stopper cet échange. à mettre un frein sur ce qui s’passé là. semaines qui t’ont mis à l’épreuve, cette proie-là n’est pas aussi anodine que tu le prétends. et tu continues, t’foutant les deux pieds dedans. parce que c’est bon. bien trop bon de sentir Charlie Rothschild faire éclater ses défenses contre les tiennes. elles viennent s’y accoler, s’y briser pour ensuite s’y mélanger. déboussolant les rancoeurs. mettant au pied du mur le prédateur. faisant palpiter les coeurs.

    ta main l’emprisonne maintenant. retenue captive, seulement à ta merci. tes lèvres, ravies, laissent leur empreintes partout sur cette bouche rougie. avant même de l’avoir goûtée, tu l’idéalisais. magie de l’interdit et ses sarcasmes qu’elle t’a offert sans compter. bouche qui se veut innocente, pourtant si barbare avec toi. t’appelant toujours plus dans l’infamie de tes désirs. ouai mec, embrasser Charlie devenait, maintenant, ton passe-temps préféré. autant que de la voir râler. elle qui avait passé son temps à te réprimander, voilà que tout son corps venait te réclamer. et rien que ça, ça t’rendait fou. la sentir te vouloir aussi fort que toi. ses petites mains qui te gravissent. ses hanches qui cherchent le contact des tiennes. et cette langue parfaite qui te vole tout c’que t’as. putain comment pouvait-elle être aussi glaciale dans ses excès moralisateurs et si chaude quand elle se colle à toi comme ça ? dingue. oui complètement. tu perds la tête dans ce baiser. bien plus que tu ne l’aurais imaginé, toi qui prétend toujours être au-dessus de ces rêveurs invétérés. mais Charlie qui vient t’réclamer, c’est un spectacle que tu n’es pas prêt d’laisser filer. la découverte prend fin trop vite. sens en exergue, ton ouïe capte de nouveau le lieu où vous vous trouvez, le brouhaha des fêtards et la musique en arrière fond qui a continué de battre son plein. toi, tu n’entends que l’hémoglobine qui s’affole, le battant qui bourdonne. et tes yeux, vainqueurs, brillent d’un feu que la petite londonienne vient d’enflammer sans crier gare. elle parle, te ramenant difficilement sur cette terre. « Alors, ça a marché ? Ou tu crois qu'on doit remettre ça ? » tu souris lorsqu’elle fait référence au sujet qui vous a rapproché. tu ne regardes même pas l’autre gars, tes iris ont leur cible sur cette bouche meurtrie par la tienne. sur ses seins qui se soulève trop vite et fait tendre un peu trop le t-shirt de la demoiselle. sur son souffle qui essaye de battre le tien, lui-même au supplice. égaré d’en vouloir davantage au prix de la punir pour t’avoir rendu aussi frustré d’un coup. elle est bien trop sexy à t’parler de la sorte, minaudant sans savoir encore qu’elle pourrait faire bander un eunuque. cette nana est un danger. recluse derrière des lettres poussiéreuses et une fâcheuse manie à grignoter des stylos à plumes. et là, juste maintenant, t’as juste envie qu’elle reste cachée, offerte seulement à tes désirs éhontés. « Je suis sûre que t'as fait ça juste pour que je me taise. » tu n’as pas eu le temps de répondre à sa première question que la voix féminine retentit de nouveau. humeur taquine jamais envolée. tu aimes. encore. « peut-être. » mot simple où la malice s’installe. bien décidé à jouer encore, mélodie qui semble vous aller comme un gant. tu t’écartes d’elle, peut-être à regret mais tu ne le montres pas. enfouissant, ta main dans la poche de ton jeans tu en sors un portefeuille d’où deux billets s’envolent pour atterrir sur la table de billard. et finalement tu reviens près d’elle. frôlement qui te fait frissonner, épine dorsale électrisée. ta main trouve la sienne, doigts qui s’entremêlent. et ce murmure qui vient caresser son oreille. « sortons d’ici. » tu te redresses lentement. laissant au passage la marque de tes lippes sur sa mâchoire si douce. vous n’êtes plus dans le bon espace, indubitablement. slalomant entre les petits groupes, tu l’entraines avec toi jusqu’à la sortie du bar. les pas qui vous sortent de là semblent prendre une éternité et pourtant cela ne dure que quelques secondes. passés entre les fumeurs de l’extérieur, tu fonds avec Charlie dans une ruelle derrière le pub, à l’abris des regards. mais l’attente t’a rendu indompté, et dès que vous êtes seuls tu la plaques contre ce mur de briques. comme si tu étais trop pressé d’retrouver sa fièvre. doigts qui viennent se glisser entre vous, à nouveau ils vont apprécier la pulpe de cette bouche gourmande. tu rêves de t’en délecter à nouveau, pourtant tu n’le fais pas. vos yeux, eux, ne se quittent plus de nouveau. combats frénétiques qui vous emportent, comme si chacun avait besoin d’apprécier la décadence produit sur l’autre. dans cette demie pénombre que renvoie des réverbères au loin. « c’est vrai que tu parles beaucoup, Rothschild… » que tu soulignes pour répondre à sa dernière question laissée en suspend. ta voix racle un peu, enrouée par ce nouveau rapprochement. et là voilà ta main qui descend, curieuse, volage.


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    Lien du postVen 10 Mar - 19:57
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    w/ @Caleb Morrison

    tw : scène intime/sexuelle explicite



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    Lien du postDim 12 Mar - 21:50
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    w/ @Charlie Rothschild

    tw : scène intime/sexuelle explicite




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