Nashville, Tennessee. La capitale du country comme dit souvent et j'ai grandi dans cette passion que les gens ont pour la musique country. Mes parents avaient un de plus grand ranch avec en moyenne 20 chevaux et on pouvait compter en moyenne, 10 naissances par année. C’était magique comme moment parce que j'étais curieux lorsque j'étais jeune homme. J'avais ma petite cachette dans le grenier du ranch et à cet endroit, je pouvais voir tout ce qui se passait avec les chevaux la nuit. Parfois, j'assistais à des naissances et je courrais avertir mes parents pour leur dire qu'il y avait un nouveau-né. J'ai arrêté de compté les fois que je faisais chicané par ma mère et mon père ne disait rien parce qu'il était content de savoir que les chevaux étaient en bonne santé et que leurs nouveaux nés se levaient s'en problème après plusieurs heures de libération. Je n'ai jamais été tromatisé face à ça parce que j'ai toujours adoré les chevaux. Mon père donnait des cours d'équitation avec ma mère, mais elle était trop occupée à préparer son programme télévisé pour partager ses recettes. Mon père était aussi un grand musicien. J'ai appris à jouer de la guitare, de la basse et aussi du banjo, car c’était des instruments les plus répandus chez moi. Avec mes frères, c’était pratiquement un passe-temps que nous avions. Même à l'école, ont aimaient jouer de la musique durent nos temps libres. Les études n'étaient pas prises au sérieux, mais on ressortait toujours avec de bonnes notes scolaires. Tous les hommes dans ma famille avaient des emplois exemplaires. Mes frères aînés étudiaient déjà en technique de service policier et en technique de soin paramédicaux. C’était des choix assez spéciaux, mais moi j'ai toujours voulu en avoir plus. J'avais choisi d'aller étudier à Harvard en criminologie parce que c’était quelque chose qui m'intéressait le plus. Je n'avais pas perdu ma curiosité et je me suis toujours informé sur ce qui se passait dans le monde du crime. Aujourd'hui, je suis étudiant à l'université d'Harvard et j'ai pris mon courage à deux mains pour être capable de prouver à mes parents que je n'avais plus besoin de me sentir comme un petit garçon qui avait encore besoin de sa mère. Elle m'a tout enseigné et mon père aimerait beaucoup que mes frères soient comme moi. Prendre mes propres décisions et responsabilités. Boston est un grand changement pour moi, mais je me suis habitué après la première année et je dois dire que je suis tombé en amour avec cette ville.