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★ ─ w/ @Danae Rothschild

Nouvelle année, début de cette dernière en Europe à une soirée chic qui ne t'as pas forcément fait vibrer mais dans laquelle tu te devais d'être pour ton rang, pour ta place dans cette société. Jolie brune à tes cotés, intéressante certes mais il lui manquait quelque chose. Tu ne saurais pas expliquer quoi. Elle fait de hautes études, connait de grands politiciens, elle est indépendante, elle sait jouer de son charme notamment auprès de la classe la plus âgée et elle est sympa, elle n'est pas là à baver sur toi selon toi. Mais il manque quelque chose pour que tu lui apportes une attention plus particulière. La soirée passe vite et vient le lendemain après les premiers vœux. A minuit la grenouille tente de t'embrasser histoire de voir si elle se transformera directement en princesse mais une grenouille reste une grenouille. Je vais t'appeler un taxi, tu as dû boire un verre de trop pour ne pas respecter le contrat. que tu reprends froidement avant de la laisser. Le soleil brille, tu as rendez-vous quartier chic de Montmartre au cœur de la capitale française. Ton déjeuné avec une de tes vieilles amies Lisa-Rose s'est bien passé, elle n'est pas en forme mais tu lui promets de repasser vite. Elle est souriante mais au fond d'elle elle reste la même personne complètement détruite. Détruite par ton frère, détruite par les épreuves de la vie. Elle a retrouvé quelqu'un, un fils de politicien que tu connais : bien trop moche pour une sirène pareille si on te demande ton avis. Mais il est gentil, adorable avec elle, presque trop mais il est là et tu sais qu'il appellera si un jour cela ne va pas. Tu enchaines avec un entretien donné à une presse française, magasine national où tu feras évidemment la une, la presse belge est là. Tu éludes les questions sur ta vie amoureuse par un simple Le jour où vous me verrez avec la même fille à chaque évenement vous pourrez vous dire que j'ai quelqu'un vous savez. toujours une réponse bateau agrémentée de plusieurs mannequins et "filles de" voir "hit girl" avec lesquelles tu as pu t'afficher au cours de l'année. C'est la joie des interviews. Une des journaliste ose poser une question sur ton frère, tu la fusilles du regard en reprenant Je n'ai absolument rien a ajouter concernant ce sujet je vous inviterai d'ailleurs à quitter la pièce comme ceux qui veulent parler de cela. tu as même fini par mettre fin à l'interview avant d'enchainer avec une autre auprès d'économistes et tu es bien plus à l'aise avec des sujets dits sérieux et pas banals comme les poeples peuvent le faire. Emploi du temps chargé après la dernière interview tu finis par aller te préparer pour ton autre rendez-vous.

Nouveau costume, tu traverses la capitale en voiture encadré par au moins trois voitures de polices. C'est ça d'être connu. La presse s'affole et vous réussissez à les laisser au détour d'une petite rue, tu connais Paris ayant souvent été par là-bas. Tu n'en es pas débarrassé pour autant mais disons que tu auras un moment tranquille. Enfin trois voitures de flics dans la capital nous avons entendu plus discret cependant avec le plan Vigipirate des fêtes tu n'as pas de choix. Tu arrives devant la bâtisse où devait être la plus jolie : Danae Rothschild. Tu restes en double fil lui envoyant par la même occasion un message je suis arrivé. Je t'attends. deux policiers attendent à l'entrée pour l'escorter. C'est un grand moment, après plusieurs jours a entretenir le manque tu la retrouves et tu as d'ailleurs prévu "la discussion" ce soir. Moment important dans une relation comme la votre parce qu'il faut parfois clarifier la situation, clarifier le statut et l'appartenance. Tu as décidé qu'il était désormais temps.




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★ ─ w/ @Abelard Z. de Belgique-S.

La nuit aura été courte, mais si douce et joyeuse. En compagnie de tes fidèles amies, tu as fêté ce nouvel air de la meilleure des manières. Vous avez certainement un peu abusé de la boisson, prises dans l’ambiance générale. Vous avez trinqué à 2021, à toutes les bonnes choses que vous souhaitez rencontrer, à la réussite et tant de choses. Vous avez ri aux éclats, perdu votre souffle par instants. Dansez à vouss donner mal au pied, prouvez à mille reprises que tu n’avais pas le rythme dans la peau. Chantez jusqu’à en perdre la voix. La fatigue ne vous a emporté que quelques heures avant le levé du soleil, vous agglutinant toutes ensemble dans ce grand lit. Avec des petits-yeux, tu t’es réveillée plus tard que tu ne l’aurais pensé. Le premier janvier était bien entamé, midi était passé depuis trois heures maintenant. Il y avait longtemps que tu n’étais pas restée aussi tard au lit. Dans la précipitation, tu tombes du lit, rassembles tes affaires, dont les robes qu’Orphéa vous a généreusement données. Ça ne pouvait pas mieux tomber. Inutile de chercher ce que tu vas mettre ce soir. Les embrassant les unes après les autres, tu t’excuses et leur donnes l’excuse d’avoir un rendez-vous important à préparer. Les affaires n’attendent pas. Tu pries presque ta jumelle de rester ici, pour ne pas qu’elle vienne te poser trop de questions. Georges, ayant suivi à l’autre bout du monde, t’attend sagement dans la voiture. Tu lui demandes de ne faire aucun commentaire. Il rit, et vous guide à travers les rues de la capitale française.
Tout l’après-midi, tu as cogité. Ça fait des jours que tu cogites, jusqu’à parfois abîmer tes ongles entretenus. Quand bien même, tu as hâte de pouvoir retrouver celui avec qui tu passes le plus clair de tes nuits et monopolises ton téléphone. Abélard dit avoir que vous deviez avoir une conversation importante. Tu ne dois pas t’en soucier, car il ne s’agit rien de grave. Pourtant, il ne veut rien dire. Apparemment, ce n’est pas une conversation que l’on peut avoir par téléphone et devant du monde. Ce n’est pas de l’inquiétude que tu ressens, mais ça tourne t’obsèdes. Fort heureusement, tu as réussi à avancer cette fameuse ‘’date’’ que vous devez vous caler pour en parler. Tu n’aurais pas pu attendre plus longtemps. C’est déjà bien assez long comme ça. Apprêtée de la tête au pied, ne laissant aucun détail de côté, tu attends impatiente un message de celui qui n’aura pas quitté tes pensées de la toute la journée. Quand arrive son message, tu enfiles un long manteau et une écharpe, et ouvre la porte. Tu écarquilles grands les yeux en voyant les forces de l’ordre devant toi. Dans leur langue natale, ils te disent te conduire jusqu’à la voiture du prince. Tu leur réponds avec ton accident so british, et lui suis jusqu’aux véhicules, puis t’engouffres dans l’un deux. Tu y découvres Abélard. Les yeux qui pétillent, tu le regardes avec grand sourire. « Salut. » C’est difficile à croire que vous vous voyez à Paris. Tu te penches vers lui, et déposes un baiser sur sa joue, et t’attaches. « Je suis contente de te voir. » Ce n’est pas comme si ça faisait des jours que vous ne vous êtes pas vus, mais avec les fêtes de fin de Noël et la présence de ta famille, vous vous êtes vus moins régulièrement qu’à votre habitude. C’est si facile en sa présence. Il n'est pas question de cauchemar nocturne, tout s'oublie. « Alors, dis-moi : qu'est-ce que tu nous as prévu ? »



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★ ─ w/ @Danae Rothschild

Paris, l'Europe en général, tu es partout chez toi par ici. Tu es comme dans un cocon familial. Tes amis sont là, certains n'y sont plus mais tu sais qu'il restera toujours par ici les vestiges de votre passage. Tu dors dans ton penthouse, ce dernier donne sur la tour Eifel. C'était le votre avant qu'elle ne parte pour un monde apparemment meilleur. Et toi t'es là, entouré de vos souvenirs parfois trop compliqués à gérer car trop douloureux. Quand tu laisses ta cavalière d'un soir après le geste de trop tu rentres et tu t'assoies sur ton bureau. Tu la vois encore sur le canapé avec son livre de philosophie qu'elle dévorait quand toi ça te sortait par les yeux. Toujours le même, elle l'adorait et disait toujours qu'elle y trouvait une sorte de paix intérieure. T'as jamais compris parce que t'es loin d'être un philosophe. T'es plus un scientifique qui a toujours besoin de preuves. L'appartement est comme vous l'aviez laissé il y a quelques années. Les gouvernantes passent avec du personnel mais n'ont touché à rien et il y a toujours ce livre sur le canapé. Heureusement l'heure de ton déjeuner arrive rapidement et tu retrouves Lisa Rose qui est dans les parages. Tu lui comte ta dernière soirée qui s'est mal finie à cause des coureuses, croqueuses de diamant qui pensent qu'elle pourront être les futures Madame Abelard Zeus Camille de Belgique-Schueller. Tu lui tais une seule chose : ta relation actuelle et aussi comment l'autre a pu se terminer. Tu restes évasif à coup de Elle ne voulait pas vivre dans mon ombre et elle a préféré partir pour réussir elle même. ce qui est vrai en soi. C'est après que ça se corse à cause de ses manipulations que tu tairas et emporteras dans ta tombe. Lisa Rose a l'aire heureuse. Son nouveau copain est blond comme elle, yeux claires, on pourrait croire à des jumeaux ce qui pourrait être perturbant quand on y réfléchit. Elle est toujours incapable de prononcer le prénom de ton frère qui la hante encore et tu la laisses tranquille avec ça. Tu sais qu'on a tous nos propres démons. Tu lui lances simplement un Il est père tu savais ? Ca ne me réjouis pas du tous, le petit est vraiment ... insupportable il n'y a pas d'autres mots. Mais une partie de moi est fière de lui pour avoir réussi là dedans. Là où tu échoueras parce qu'il est un bon père. Seulement tu ne veux pas connaitre Mowglie. Elle est étonnée, elle a les larmes aux yeux et tu lui prends la main en reprenant Fallait juste que tu le saches. Il t'a laissé avancé et s'est concentré sur autre chose. elle lui en voudra probablement parce que c'est Ana et qu'elle aura toujours besoin de ça. Tu es honnête avec elle justement parce que vous êtes des amis et qu'on ne trahi pas ses amis.

Vient l'heure du rendez-vous avec la jolie Rothschild. Le convoi est de sorti étant en Europe tu ne peux pas être le plus discret du monde. On t'a même prit en photo lors de ton repas avec ta blonde donc bon. Tu es habitué et tu arrives en bas de la rue Montmartre avec une équipe de forces spéciales. Deux d'entre eux vont escorter Danae assez surprise jusqu'à ta voiture. La presse n'est pas dans les parages elle peut souffler. Elle arrive prêt de toi et t'es content de la voir. La jeune femme te salue et tu la laisses t'embrasser la joue avec délicatesse pour reprendre Toujours aussi belle. parce que même après une soirée de nouvel an elle est là toute magnifique et t'es impressionné. Elle attache sa ceinture et tu reprends Toi aussi. Tu as passé une bonne soirée alors ? vous avez votre programme que tu as choisi il y a un moment qui terminera par une discussion sérieuse que vous devez avoir. Elle demande le programme alors que tu parcours Paris et ses rues étroites. J'ai réservé un restaurant pour 20 heures puis ensuite nous pouvons aller marcher un peu avant de rentrer j'ai fais préparer un de mes appartements avenue des Champs. oui pas le même, tu n'oserais pas quand même. Et quand tu parles d'avoir réservé un restaurant et c'est littéralement le cas.

La soirée se passe sans embuche avec une jeune femme un peu anxieuse, tu sais qu'elle a votre future discussion en tête mais tu passes une bonne soirée en sa compagnie et ses sourires te transportent ailleurs. Tu la vois face à toi et tu te demandes comment tu as fais tous ces jours sans la voir. Certes tu lui as parlé par messages mais ça n'a rien à voir avec son regard, ses yeux foncés. Elle est distinguée, classe et elle ne fait pas semblant. Semblant d'être totalement à l'aise et pas stressée sans doute mais rien de plus. C'est appréciable. Vous marchez cote coté le long des Champs Elysées et il y a quelques photos certes mais rien de plus étant donné la distance raisonnable qu'il y a entre vous. De plus Danae est la soeur d'un de tes meilleurs amis donc bon. Ca parlera sans pour autant parlé trop attendu que tu t'es affiché avec une autre la veille. Enfin, vous finissez par vous extirper et arriver à ton appartement autre penthouse, pépite du prince qui ne s'en lasse pas. Une fois en huis clos tu t'approches d'elle pour déposer un baiser sur ses lèvres et reprendre Ton baiser de bonne année. te voilà gentleman dites moi. Tu t'éloignes un peu et avances vers le salon pour reprendre Tu veux un verre ? Fais comme chez toi.




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★ ─ w/ @Abelard Z. de Belgique-S.

Sourire d’enfant, les yeux qui pétillent, tu ne pensais pas être aussi heureuse de revoir Abélard. Rapide baiser déposé sur sa joue, il te complimente. Il n’est pas avare là-dessus. Et si tu ignores encore à ce jour de tous atouts, c’est vraiment parce que tu n’y mets pas du tien. « J’essaie, oui. » Lui réponds-tu avec un clin d’œil. « Très bonne, oui, même s’il manquait Eva et Colombe. Et la tienne ? » Dommage qu’elles soient restées sur Boston. Enfin, le nouvel-an n’est qu’un prétexte pour faire la fête. Ce n’est pas un drame en soit. Pas l’événement de l’année, non plus. Et avec la bande incomplète, tu peux plus facilement t’éclipser sans avoir droit à mille questions. Seule Sanae, le tiers de toi, risque de t’en poser lorsque vous vous reverrez. Enfin, tu n’y penses à cet instant. Toute ton attention et sur le programme qui vous attend. Ce soir, malgré la distance habituelle en public, tu sais que tu passeras une excellente soirée. Même si, tu ne cesses de te demander ce que le jeune homme a à te dire. Et il va te faire languir. Toi, l’impatiente de service. D’abord le restaurant, et seulement après vous pourrez avec cette fameuse conversation. Tu doutes qu’il vous ait réservé un fast-food, quelque chose de rapide. Ensuite, vient une marche. Ok, c’est très bien pour la digestion, et il n’y a rien de plus romantique sous les lumières de Paris. Il aime vraiment te faire mijoter. Heureusement qu’il t’a dit de ne pas t’en faire, ou tu serais déjà au bord du malaise dès l’instant ou tu as franchi le pas de ta porte. « T’aimes vraiment me faire attendre. Mais d’accord, c’est un très bon programme. J’aurai tendance à vouloir négocier, et vouloir savoir ce que tu as à me dire avant, mais en toute honnêteté, mon ventre ne sera pas d’accord. » Au même instant, on entend un gargouillement. S’il n’avait pas encore compris, tu es un véritable ventre sur pâte. Le sujet tant attendu attendra.
Comme si tu ne t’en doutais pas, la soirée s’est déroulée sans encombre. Parfaite. Il n’y a rien de mieux pour débuter cette année 2021. On sent le retour en Europe. Les photographes sont plus présents, suivant le prince de Belgique comme des aimants, te rappelant qu’Abélard n’est pas uniquement l’ami de longue date de tes frères. Enfin, que pourront-ils dire ? Pas grand-chose, surtout avec cet éclairage. Au pire, cela pourrait faire réagir ta famille, mais tu dirais que ce n’était qu’une hasardeuse retrouvaille. Pas de quoi en faire toute une histoire. Enfin, le ventre plus léger, vous arrivez à ses appartements. Les questions envolées reviennent à la charge, et l’anxiété grandit. Est-ce qu’il serait possible d’y aller franco ? De l’expédier comme on arrache une bande de cire ? Et même ce baiser qu’il dépose sur tes lèvres ne vient pas calmer cette boule qui grossit à vue d’œil. Il arrive néanmoins à te faire sourire, contente qu’il n’y ait plus à réfléchir à chacun de vos mouvements, paroles… En sécurité, en toute intimité, vous pouvez être un peu plus vous-même. Deux amants. « Attends. » Avant qu’il n’avance, tu l’attrapes par la main pour l’embrasser à nouveau. Ses lèvres t’ont véritablement manqué. C’est plus qu’un fait. Puis il te dit de faire comme chez-toi. Sans perdre plus de temps, tu t’exécutes. « Non merci. » Tu enlèves ton manteau, écharpe et surtout tes chaussures. C’est bien beau les talons, mais avec la fatigue et la marche que vous venez de faire, c’était une mauvaise idée. Tu viens t’asseoir sur le canapé, et le regardes. L’impatiente est de retour. Ça commence à te travailler, et tu ne veux plus avoir cette sensation désagréable. « Désormais, qu’on est seul, tu peux me dire quelle est cette conversation que tu veux avoir ? Tu m’as dit de ne pas m’en faire, mais j’ai trop de nœuds à l’estomac. »



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