Il ne voulait pas l’effrayer ou la jugeait, voilà pourquoi « ce cour » prenait l’apparence d’un rendez vous galant. Il voulait juste… qu’elle soit en sécurité. Gemma est la chose la plus précieuse qu’il ait désormais. Elle était la chose la plus précieuse à ses yeux et il ne voulait pas qu’il lui arrive quoique se soit. Il ne voulait pas flippé à chaque seconde qu’il lui arrive un truc. Il sait qu’elle était bien plus forte qu’elle-même ne le penser. Il ne voulait pas la changeait, pour rien au monde. Il voulait juste… l’aider. «  Tu crois que même dans dix ans tu continueras de m’appeler Monsieurs Gremlins ? » dit-il pour la chambré, réfléchissant limite à haute voix. Elle souligna à  son tour le fait qu’il était torse nu. «  Mon tee-shirt est blanc. Avec la transpiration si je le remets il va me coller à la peau. Tu es certain de préféré que je le remette ? » Demanda-t-il avec un sourire. «  Quand à Riley… Reste loin de lui ! » Sait-on jamais, après tout ils avaient la même tête, ce qui faisait une raison à Gemma pour être charmé. Elle enchaina avec une autre blague, ce qui a vrai dire lui plaisait pas mal. «  ça dépend ce que tu veux dire par «  allongé ».

« Il ne me fera pas de mal tu sais, c’est ton frère. » «  Oh ça je sais » Ce qu’il craignait plutôt c’était que Riley lui fasse du bien. Même s’il avait suffisamment confiance en son twin pour savoir qu’il ne volerait pas la nana de son frère. N’empêche que Riley avait des yeux et sue le charme de Gemma n’échappait qu’à elle. C’était sans doute ce charme qui le laissait penser à autre chose qu’à être «  KO » quand elle parlait d’être allongée. Putain, pourtant il n’était pas en manque ! Loin de là ! Faut croire que l’épisode de l’aéroport avait réveillé tout ses sens et qu’il était devenu plus accro qu’il ne le pensait. En moins que l’alignement des planètes ne le rende «  en chaleur ». En tout cas la perspective de se battre avec elle lui donné chaud. Il attrapa son tee-shirt et le remit. «  C’est ça. » Il agita l’index, lui faisant signe d’approché.

Même si de part son statut de « coureur de jupon » on lui attribuer souvent l’étiquette « matcho » , ce qui allait de paire avec « possessif » en règle général, Liam n’était pas comme ça. Pour lui, on ne possédait pas quelqu’un. On était à personne. Tout le monde est libre. Mais il comprenait ce que voulait dire Gemma par « je suis à toi » parce qu’il était heureux que ce soit ainsi. Il savait qu’il avait une place unique pour elle. Pas juste parce qu’ils sortaient ensemble, mais parce qu’il était le premier et parce qu’elle n’avait confiance en personne d’autre. « Je sais. » dit-il en souriant avant de se rhabiller. Il se mit à rire. « Trop tard ! Fallait pas me demandé de le remettre. » Tant pis pour elle. Il l’attira vers lui et se rapprocha. Il était derrière elle. « Disons que je fasse… » Il posa sa main sur sa hanche. « … ça. Comment tu m’en empêche ? » Enfin fallait-il encore qu’elle en ai envie non ?

«  Tu peux répéter en étant un peu plus convaincante ? » Il se moque qu’à moitié parce la main de Gemma sur la sienne, il a lui aussi du mal à se concentré. Son cœur se serre et Liam sent tout de suite quand même sa copine habillé, ça va être lui qui va avoir du mal à se concentré. Il plongea son regard dans le sien sans vraiment le faire exprès et eut un regard tendre. Il porte sa main à sa bouche et se met à tousser, faut pas qu’il parte le fil de ses idée. «  Hmm Hmm » dit-il comme si de rien n’était. «  Bon et maintenant si… » Il se penche vers elle pour l’embrasser. Son geste est au ralentis de façon prémédité.  

«  Moi aussi j’aime… » Il secoua la tête pour essayer de se débarrassé de ses pensées toute sauf chaste et se reconcentré sur son rôle de professeur. Il ne pouvait laissé Gemma passer sa vie à être une victime ou à ne pas savoir réagir et à se défendre quand une situation devenait compliqué. LUI ne pouvait pas passer sa vie à avoir peur pour elle. Egoïste, il n’avait pas pour habitude de s’inquiété pour les autres, pour leur bien être. Sans doute aussi parce que la plupart des amis savait se défendre seuls. C’était une nouveauté tout ça pour Liam. Comme le fait d’aimer quelqu’un aussi fort. Il se rapprocha pour essayer de l’embrasser, feignant de «  l’agresser. Résultat elle lui vola un baiser ! Elle se mit à rire et Liam afficha un air scandalisé. «  Et tu trouve ça drôle ?! » Il se rapprocha d’elle, il savait quoi faire pour qu’elle veuille se é défendre ». Il  fit glisser ses mains sous ses bras pour la chatouiller. Il savait qu’elle détesté ça et là au moins elle essaierait de trouvait un moyen de sortir de son emprise. Puis l’entendre rire… c’était le meilleur son du monde.