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I LOVE HARVARD
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    my blood, my weakness - Philippa -
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    Lien du postVen 26 Avr 2019, 23:49
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    ( There’s a silencing As the machine arrives here I feel it pulling me I feel the past that's died here I hear it calling me  @PHILIPPA FITZALAN-HOWARD )


    J’aimerais tellement y croire, vraiment. J’aimeras me dire que c’est complètement fou, que les choses ne peuvent pas se passer comme ça. Depuis que je sais pour ma famille, que je sais ce qui s’est passé, les questionnements se bousculent sans jamais trouver de réponses. J’ai peur d’affronter la réalité, peur de me dire que j’ai été oublié. Oui, j’ai beau faire genre je m’en fou, ce n’est absolument pas le cas. J’ai juste tendance à fuir mes soucis, à les refouler, les éloigner. J’ai assez souffert comme ça, je souffre encore aujourd’hui et je tentais donc instinctivement de m’épargner d’autres souffrances. Au fond, j’ai probablement peur de ne pas assurer comme « fils perdu », de ne pas être le fils qu’eux, mes vrais parents, auraient aimés avoir. Oui, j’ai peur de bien des choses, mais là, je me retrouve confronté à mes propres démons. Elle tente de me fournir une explication, me dire qu’étant donné que je ne connaissais pas leur existence, alors, ils ne pouvaient pas me manquer. Ça semble logique. Comment quelqu’un pourrait me manquer si, au final, je ne connais pas l’existence de celle-ci ? Après tout, avant que le secret soit dévoilé, je ne savais pas que j’avais été arraché à ma famille biologique. Avant ça, ils ne me manquaient pas… « Je n’en sais rien…peut-être…je…je t’avoue que je ne sais pas trop quoi penser pour le coup. » Non, j’aimerais surtout fuir et m’en aller, l’abandonner sur place et me réfugier sous ma couverture. Mais mes jambes restent bloquer, m’empêche de courir loin et de l’abandonner sur place, comme si une partie de moi me hurlait d’écouter et davantage, de croire. Un cousin éloigné, voilà ce que je prends comme excuse que je sais fausse et bidon. Mais une fois encore, je veux juste fuir ce qui semble le plus logique. Quoi que, la logique, elle ne semble pas être au rendez-vous pour dire la vérité. Bordel, je sens le mal de crâne grimper, me vriller le crâne, me le briser en deux alors que je prends une grande inspiration. Et voilà que la jeune femme se met à parler de destiner, de chemins qui devaient se croiser, qui étaient destinés à se rejoindre. Je ne crois pas au destin, non, j’ai toujours eu tendance à me dire que ma vie, c’est moi qui la contrôle. « Je ne crois pas au destin, j’estime que je contrôle ma propre destiné, que mes choix sont les miens et pas guidés par je ne sais quel truc… » Dis-je en soupirant, passant une main dans mes cheveux bouclés. Mais elle se met à chercher quelque chose, finissant par me tendre son téléphone avec une photo en annonçant que c’était « notre famille ». Ces mots me brisent plus qu’ils ne me réconfortent. J’ai déjà une famille…et l’idée d’en avoir ne autre me perturbe davantage. Je prends néanmoins la photo et observe le tableau familial qui s’offre devant mes yeux. Deux jumelles, un père et une mère…a qui je ressemble, à ne pas en douter. J’ai les traits de son visage, ses cheveux bouclés, ses yeux. Un autre garçon également, un frère ? « J’ai besoin de m’asseoir. » Dis-je brusquement en lui tendant son téléphone et en abandonnant tout pour me diriger vers un banc non loin où je me laisse tomber. La gorge nouée, des sueurs froides, je réalise qu’effectivement, ma famille, je viens de la trouver. Que suis-je censé faire maintenant ? Que suis-je censé dire ? Vu la photo, ils sont nombreux, ils ont l’air heureux et surtout, avec un bon train de vie. Mais ce n’est pas ce qui m’importe…Non, j’ai deux sœurs jumelles et un frère…et moi là-dedans, ma place, elle est où ?
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    Lien du postDim 28 Avr 2019, 21:47
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    my blood, my weakness
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    Je ne sais pas vraiment quoi dire en fait. Je le vois bien qu'il ne me croit pas, qu'il me veut pas me croire. Et je comprends. J'aurais été à sa place, je n'aurais sûrement pas cru cette histoire. Mais je ne suis pas à sa place et j'espère juste qu'il finisse par comprendre. J'essaye de lui expliquer comme je peux, de donner une justification valable au fait qu'il n'ait jamais ressenti de manque de la famille, de moi. Je voudrais lui dire que au fond de moi, je sens que c'est lui et que c'est pour ça que je veux tellement le convaincre. Je veux lui dire qu'il y a cette petite voix qui me dit que c'est mon frère et que je ne compte pas le lâcher, jamais, parce qu'on est comme ça dans la famille. Tous soudé, tous les jours, tout le temps. Mais je ne dis rien. Rien d'autres que des explications sans intérêts qui ne font guère avancer les choses. Je n'arrive pas à trouver les bons mots, c'est trop compliqué. D'ailleurs plus je pense à la situation, plus j'ai l'impression que c'est le bordel dans mon cerveau. Alors quand il me dit qu'il ne sait pas quoi penser, ma réponse fuse instinctivement. "Pour être honnête, moi non plus. C'est juste que... Je sens que c'est toi. Que tu es lui." Que ce gars qui m'est rentré dedans et mon frère ne font qu'un. Un truc dingue de triplé il faut croire. Ou juste moi qui me monte le bourrichon comme je sais si bien le faire. Il faut que je me calme, que je respire calmement et que je réfléchisse à la situation. Mais je suis fatiguée et clairement plus en état de réfléchir calmement. Alors je m'emballe un peu plus au fil des secondes. Au contraire du garçon dont je ne connais toujours pas le nom qui semble de plus en plus mal. Il parait tout pâle et je me demande comment il fait pour encore tenir debout. J'ai envie de lui proposer de s'asseoir mais j'ai peur qu'il décide de fuir. Ce que je ne veux pas. Pas tant que je n'ai pas réussi à en apprendre plus sur lui. "T'es choix sont les tiens oui. C'est juste, qu'il y a quelque chose de plus grand derrière. Comme une série de chemins qui t'emmènent au final tous au même endroit. Y'a pas vraiment de hasard." J'ai passé trop de temps à étudier  certains phénomènes présents dans l'univers pour me dire qu'il y a encore du hasard. Il y a beaucoup trop de choses statistiquement improbables pour ce dire que ce n'était pas écrit quelque part. Même si je ne crois pas en un dieu quelconque, loin de là. Je me dis juste qu'il y a juste un ordre des choses. Je lui passe mon téléphone, pour susciter chez lui une réaction, pour qu'il voit une photo et qu'il se rende compte qu'il est l'un des notre. Qu'il a sa place parmi nous. Mais ça na pas l'effet escompté. Il m'annonce qu'il doit s'asseoir avant de se poser sur un banc. Je n'ai d'autre choix que de le suivre si je ne veux pas laisser passer ma chance de lui parler. Alors je m'assieds à ses cotés, pas encore près à le lâcher. "Tu sais, quand j'étais petite, je ne comprenais pas pourquoi mes parents avaient l'air triste parfois. Puis j'ai fini par comprendre. Tu leur manque tu sais. Tous les jours. Ce n'est pas comme si tu avais disparu de la famille le jour où tu as été déclaré mort. Au contraire, tu as toujours eu ta place. Et tu l'auras toujours. Quoique que tu fasse." Le sens de la famille, clairement l'une des plus belles valeurs que j'ai. On ne se lâche pas chez nous, jamais. Alors on ne le lâchera pas lui non plus, qu'il décide de me croire ou pas.
       

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    Lien du postMar 30 Avr 2019, 16:30
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    Elle sait que c’est moi, elle sait que je suis lui. Mais lui qui ? Qui aurais-je dû être à ses yeux ? Ce frère perdu, condamné, vendu comme un bout de viande. J’ai souvent tenté d’oublier, d’effacer ces moments, mais il n’en reste pas moins que ceux qui m’ont élevé étaient merveilleux avec moi. Oui, ils étaient super et c’est ce qui rend les choses plus difficiles à gérées pour moi. Si seulement j’avais été battu, traumatisé, délaissé, j’aurais pu les détester plus que de raison, être heureux de ne pas être leur fils. Mais ce n’est absolument pas le cas. J’ai été couvert d’un amour incroyable, bien élevé, jamais délaissé, jamais vraiment abandonné. Ils se sont occupés de moi, m’ont donné une vie merveilleuse, pleine d’aventure. Et maintenant, je me retrouve face à cette sœur jumelle, l’une d’entre elle du moins, à me demander quoi faire, quoi penser. J’ai du mal à m’imaginer être son frère, même si au fond, je sais que c’est le cas. Oui, j’ai du mal à gérer cette transition brutale. « J’en sais rien. » Dis-je dans un léger soupire, complètement déboussolé par cette nouvelle, par cette évidence. J’ai longtemps cherché à éviter cette confrontation, évitant soigneusement de penser à cette famille perdue même si elle me hantait. Oui, je trouvais plus facile d’avancer, de laisser mon passé derrière moi…Mais apparemment, le destin se joue royalement de moi, s’amuse de mes propres décisions, comme si il me chuchotait à l’oreille : tu ne peux pas fuir éternellement. « Peut-être, peut-être pas. Je ne m’avancerais pas sur ce sujet. » Oui, je préfère croire en même propres choix, même si au fond, je sais qu’il y a quelque chose de bien plus grand qui nous pousse vers des directions. Si ça n’avait pas été le cas, je n’aurais pas été ici, je n’aurais pas foncé dans la voiture de ma sœur, je n’aurais pas…Putain, je commence à avoir mal au crâne et quand elle me montre la photo, le résultat ne se fait pas attendre. Trop d’informations à gérer, trop de choses à assimiler, mais davantage, à accepter. Je décide d’aller m’asseoir, essayant une fois encore, inconsciemment, de fuir ma propre sœur. C’est désolant, elle doit probablement être déçue du frère que je suis censé être. Peut-être qu’elle attendait des retrouvailles merveilleuses, pleines de larmes, de sourires, de câlins. Ce n’est clairement pas ce qu’elle obtient de moi et, oui, je m’en veux. Silencieusement, j’aurais aimé réagir autrement, éprouver de la joie face à cette nouvelle. Mais les doutes, la peur sont bien trop présents pour laisser place à tut autre chose. Je vais me poser sur un banc, la sensation d’étouffer étant bien trop présente. Néanmoins, Philippa me suit, vient se poser à mes côtés, comme décidée à ne pas me lâcher ou encore, d’une certaine façon, ne pas m’abandonner une seconde fois. Je ne pose pas mes yeux sur elle, je garde mes iris fixées sur un point invisible alors que je joue nerveusement avec mes doigts. Elle parle, elle tente probablement de me rassurer mais arrive seulement à me mettre davantage la pression. « Arrête. » Dis-je en levant la main, cherchant à la faire taire pour qu’elle cesse de parler. « Il faut que tu comprennes que l’enfant que vous avez perdu, le frère que j’aurais dû être n’existe pas…je ne suis pas…comme vous vous l’imaginez, probablement. » Dis-je brusquement en tournant la tête vers elle. « Mes parents, ceux qui m’ont élevé, ils étaient formidables. Ils m’ont offert une vie merveilleuse, à leurs côtés j’ai aimé de tout mon cœur, ils m’ont donné une famille unie et diversifiée. » Dis-je presque trop cruellement…Je vais probablement m’en vouloir après, mais les mots sortent tout seuls, comme pour me rassurer moi-même. « A mes yeux, tu…vous n’êtes pas ma famille. Ce bout de papier, je l’ai depuis deux ans dans ma poche et je n’ai jamais, tu m’entends, jamais cherché à vous retrouver…Parce que ma place n’est plus avec vous, mais avec eux. C’est eux qui étaient là quand j’avais mal, quand j’étais souffrant…c’est eux qui m’ont appris à respecter les femmes, les protéger, tout en me respectant moi-même…c’est eux… » Ma gorge se noue. C’est eux qui m’ont acheté, eux qui m’ont arraché à cette famille qui aurait dû être la mienne. Je me redresse brusquement. « Je dois y aller, j’ai besoin…je dois réfléchir à tout ça. » Je pose un regard navré sur elle avant d’ajouter. « N’essaye pas de me contacter, si je ressens le besoin je trouverais ton téléphone…je suis désolé…vraiment. » Pour toi, pour moi, pour nous, pour ce que nous aurions pu être. Sans plus de paroles, je me dirige vers ma voiture rapidement, récupère mes affaires et démarre en trombe avant qu’elle ne tente de me dissuader de partir.
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    Lien du postMar 30 Avr 2019, 22:11
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    Peut-être que ce n'est juste pas le bon moment pour lui, pas le bon timing dans sa vie. Peut-être qu'il n'est juste pas prêt pour le moment, que je débarque mal, moi qui veut tellement le voir admettre qu'il fait partie de la famille. Peut-être qu'il n'est pas prêt. Je ne sais pas. Je le regarde, je ne le quitte pas des yeux. Je vois bien qu'il ne veut pas de tout ça. Dans son regard, tout indique qu'il veut fuir la situation, repousser tout ce que je lui dit. J'ai l'impression qu'il veut fuir, me planter là et oublier. Alors que je ne suis pas prête à le laisser oublier. Je voudrais tellement lui dire qu'il a sa place parmi nous, qu'on attend juste sa présence. Je veux lui dire que faire partie de notre famille, ce n'est pas si mal. J'essaye de lui expliquer, de lui prouver les choses. Mais la plupart des mots restent bloqués dans ma gorge. Face à son regard, je me sens impuissante. Je ne sais pas comment agir, je ne sais pas quoi faire. Alors je parle, je foire probablement tout mais je ne m'arrête pas de parler, à aucun moment. Je veux qu'il comprenne non de dieu. C'est la panique dans mon cerveau, c'est le fouillis total mais je ne prends pas le temps de me concentrer pour faire le tri. J'ai trop peur de le voir disparaître. J'ai peur que ce ne soit qu'un mirage, une invention de mon cerveau pour me narguer. Un moyen de me rappeler que même si je vis avec sa disparition depuis toujours, il me manque d'une certaine façon, suffisamment pour que je sois persuadée que cet inconnu est mon frère. Peut-être que je divague. Ses réponses sont courtes, ses réponses me font mal au cœur. Je ne lui dis pas, je continue. J'essaye de toutes mes forces qu'il voit les choses comme moi. Je fais tout pour. J'essaye de lui expliquer que c'est peut-être un signe du destin qu'on se soit retrouvé aujourd'hui. Que c'est peut-être la preuve qu'on doit prendre contact, qu'il doit faire partie de la famille. Qu'il a sa place. Une place qui l'attend, qu'on espère tous secrètement voir pouvoir le retrouver. Qu'il ne sera pas seul, jamais. Parce que ce n'est pas comme ça qu'on fonctionne chez nous. Mais il m'arrête et j'ai juste envie de lui crier qu'il ne peut pas me demander ça. Je ne peux pas arrêter. Pas aujourd'hui. Mais je me tais. Par respect pour lui et ce qu'il a à me dire. Ses mots me font mal, encore plus que les bouts de métal qui m'ont transpercés durant les attentats. C'est tellement pire, tellement plus douloureux. Parce que je ne peux pas effacer ce qu'il me dit. Je ne peux pas faire l'autruche et faire comme si ça n'existait pas. Je me retiens de pleurer parce que je ne veux pas me donner en spectacle, pas ici en pleine rue. "Stop stop arrête." Je secoue la tête. Il en a bien assez dit. Bien trop dit. Deux ans. Deux ans qu'il pourrait faire partie de nos vies. Deux ans que je pourrais l'appeler mon frère. Deux ans qu'on aurait pu le retrouver. Mais il n'a pas voulu. Parce que comme il l'a dit, on n'est pas sa famille. On n'est rien à ses yeux. Rien de plus qu'un nom sur un papier, que des gens a qui il est relié mais dont il ne veut rien savoir. Il fini par me dire qu'il doit réfléchir, que je ne dois pas essayer de le contacter. Et je ne tiens plus. Les larmes coulent et quand il monte dans sa voiture, je me mets à crier. "Tu ne peux pas partir ! Tu peux pas me laisser là ! Tu ne peux pas faire un trait sur nous comme ça ! Tu peux pas." Mais il part, il me laisse là, seule sur ce banc et je me recroqueville. Je m'en fiche que les gens me voient, que je me donne en spectacle. Je n'ai pas la force de reprendre le volant maintenant. J'ai juste envie de pleurer jusqu'à ce que le chagrin disparaisse de lui-même. C'est pire que tout. Pire que ce que j'aurais pu imaginé. J'ai un peu l'impression que je viens de perdre mon frère pour la deuxième fois. Sauf que cette fois, c'est bien pire. Parce que c'est son choix à lui.
       

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    Fin
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