J’ai totalement conscience que c’est plus facile à dire qu’à faire, que les pages sont difficiles à tourner, surtout lorsqu’elles pèsent deux tonnes. Mais je crois que mon optimisme me pousse à penser qu’il y a toujours moyen. Après, ce ne sont que des conseils, il en fait ce qu’il veut. Néanmoins, je me demande ce qui m’a pris d’aller parler de son ex, parce que je crois que c’est finalement plus compliqué que ce que j’imaginais, et que madame est toujours un peu trop présente. Je pince mes lèvres entre elles face à ce constat « Je vois. »  me contentais-je de dire. J’ai l’impression qu’à un moment ou à un autre, je vais me prendre un mur, je ne sais pas quand ni comment, mais c’est un pressentiment que j’ai là, tout de suite. Je ne sais pas non plus pourquoi je lui ai parlé de ma mère, c’est pas vraiment un sujet que j’aime aborder. En même temps, il l’aurait bien appris un jour, j’imagine. Ne serait-ce que parce qu’on approche de Noël et contrairement à beaucoup de gens, moi je ne fête pas Noël en famille, loin de là. J’anticipe la question du ‘t’as passé noël chez ta mère ?’ , puisqu’il n’est probablement pas au courant. « Je sais pas pourquoi je t’ai dit ça, j’ai pas à te conseiller un truc pareil en fait. Désolée. » Si j’étais sa sœur, sa meilleure amie ou autre, j’aurais peut-être pu lui conseiller un tel changement, mais là non, je n’ai pas vraiment le droit de lui dire ça je pense. Lorsque sa main vient se poser délicatement sur ma joue, je me contente de détourner le regard. Je ne cherche pas vraiment à attirer l’attention « je voulais juste t’expliquer ce que moi j’avais fait. Du moins, ce qui avait un peu apaisé la douleur » continuais-je en me justifiant. Je ne sais pas si je parviendrai à la faire disparaitre totalement ; un jour, quand j’aurais moi aussi une vie de famille, peut-être. Je sais pas trop, j’aime autant ne pas faire de plan sur la commette. « t'es pas obligé, Rio. Il faut que j'apprenne à vivre sans elle et voila. Je le savais de toute façon, j'aurais dû m'y préparer, c'est tout. J'y arrive, tu sais. Certains jours, c'est plus compliqué, mais j'y arrive petit à petit.» dis-je en détournant le regard. On m'avait prévenue qu'elle n'en aurait plus pour longtemps à vivre, et plutôt que de m'y préparer, j'ai plutôt essayé de profiter de chaque instant. Est-ce qu'on peut vraiment apprendre à vivre sans sa maman ? Je ne sais pas, mais je me dis que je ne suis pas la seule sur cette terre, et que je ne peux pas plus mal que quelqu'un d'autres. Ce qui diffère, c'est la sensibilité de chacun à vivre la douleur, et surtout à subir cette absence. « Si j'avais su que c'était aussi compliqué de ton côté, t'inquiètes que j'aurais pas parié. » je lui adresse un léger sourire, pour essayer de dissiper le malaise de la discussion précédente. « C'est dur de vous avoir en ami, vous les hommes. Soit il faut passer à la casserole, soit c'est mort on n'est pas intéressantes. » bon, je crois que clairement je généralise un peu trop, et c'est très probablement le blocage que j'ai avec la gente masculine qui me fait dire ça, mais en attendant, je peine. « Donc tu es jaloux, c'est bon à savoir » dis-je avec un petit sourire en coin. Je le taquine un peu, à vrai dire. « Mmmh c'est tentant.  Faudra que je te personnalise ma liste de première fois alors ; j'imagine qu'il y a des choses que tu préfères t'en charger toi plutôt que de laisser la place à quelqu'un d'autre » j'ai un peu de sens de l'humour, du moins j'essaie de mettre les sujets qui fachent de côté et de me concentrer sur l'instant présent sans trop donner matière à réfléchir. « Pense à choisir un appart au rez-de-chaussée, au moins si tu décides de m'y balancer, je ne tomberai pas de trop haut » continuais-je sur ma plaisanterie. Il dit non maintenant, mais je sais que je peux être chiante parfois. Difficile de passer inaperçu sur ce que je sens en-dessous de moi, et ça me donne envie d'aller plus loin. Je glisse mes mains le long de son torse et répond à son baiser. Lorsque ses mains viennent se balader en-dessous de ma blouse, j'en profite pour lui facilité la tâche et l'enlever totalement. Je plonge mon regard dans le sien pendant plusieurs secondes, et finalement viens déposer mes lèvres contre les siennes. J'apporte un peu plus d'intensité à mon baiser en y mêlant l'excitation de l'instant présent. « Si je te dis que j'en ai vraiment envie avec toi, est-ce que ça te prouve toutes les belles paroles sincères que je t'ai dite juste avant ? » lui demandais-je à voix basse, comme si les murs risquaient de nous entendre, alors que je caresse délicatement sa joue avec mon pouce. Pour moi c'est un grand pas, même si pour lui ça ne va peut-être pas changer grand-chose.

Je ne sais pas si elle est vraiment consciente de savoir quand quoi elle veut vraiment s’embarquer parce que j’ai l’impression d’être un mec vraiment compliqué. Beaucoup trop pour elle et elle ne mérite pas quelqu’un de si compliqué. Bien évidemment, je suis content qu’elle veuille vraiment de moi, d’un nous, mais je n’ai pas envie de lui faire de mal et pas non plus envie de la décevoir. Je sais que si jamais je me laisse aller, notre relation ne sera pas forcément parfaite, mais elle ne connait pas encore le côté que j’ai quand je suis avec quelqu’un. La seule personne qui le connaisse vraiment, c’est Kara. La seule qui m’ait connu comme le petit ami aimant et attentionné. Je n’ai jamais été quelqu’un de méchant, je n’ai jamais été ce mec à coucher à droite et à gauche avant qu’elle ne s’en aille. En même temps, elle fut ma première petite amie, et elle fut ma première fois. Je n’avais connu que la jeune femme avant de coucher avec toutes les femmes qui se pavanaient devant moi. Aujourd’hui, j’ai envie d’essayer, et c’est Soraya qui me donne envie d’essayer. Mais je suis tellement compliqué comme mec et ce n’est pas elle, mais c’est moi le réel problème, pourtant dieu seul sait que j’ai envie de me lancer à 100% avec elle. Depuis que je la connais, je crois que je n’ai jamais autant souris et fais des choses que jamais je n’aurais fais avec quelqu’un. Du moins pas de si tôt en tout cas. Elle me change mais c’est tellement positif, que je ne peux pas la laisser comme çà. Elle a fait l’effort devenir jusqu’ici et je n’ai pas envie qu’elle se retrouve face à un mur. mais tu sais que tu peux me dire ou me conseiller ce genre de chose. Même si tu penses que tu n’aurais pas dû. Je suis désolé, c’est de ma faute, et je ne voulais pas te faire sentir honteuse ou bien je ne sais trop quoi. Ce n’est pas voulu, vraiment. Je te remercies. elle semble être vraiment bienveillante et çà fait du bien d’avoir quelqu’un comme elle dans ma vie. Je ne veux vraiment pas la décevoir. Je m’en mordrais les doigts de le faire un jour mais il faut que je tente l’aventure, elle a raison. c’est gentil, j’apprécie, vraiment et je suis sincère, j’apprécie vraiment cet apaisement qu’elle m’offre et sa compagnie. Je la regarde, alors qu’elle essaie de se reprendre. je suis pas obligé, je le sais mais j’en ai envie. Alors si tu veux que je te laisse entrer dans ma vie, laisse moi aussi entrer dans la mienne. c’est donnant-donnant même si je sais qu’elle en a déjà fait beaucoup plus que moi. Non, les hommes ne sont pas tous comme çà tu sais… c’est pas parce qu’on peut pas vous avoir tout de suite, qu’on va tout de suite penser que vous n’êtes pas intéressantes. Et… tu penses que être vierge m’a posé un problème ? absolument pas et pourtant, à en croire les gens, elle aurait pu penser que j’allais finir par la laisser et ne plus jamais lui adresser la parole. possessif, un petit peu ajoute-je alors que je ne devrais peut-être pas, cela risquerait de la faire fuir si je continue. Je me mords la lèvre alors qu’elle me dit qu’il faudra me personnaliser la liste quand tu veux, j’attends de l’avoir avec une impatience qu’elle ne me connait pas encore. je préfère que ce soit moi pour la plupart des choses que t’as envie de me réserver tu vois je fais un clin d’oeil à la jeune femme avant de rire à ce qu’elle me dit tu sais que t’es folle ? c’est une question et en même temps une affirmation mais son grain de folie me fait un bien fou. Je finis par l’embrasser. J’ai envie de la toucher, de lui faire l’amour, de l’embrasser encore et encore. Elle me procure un tel désir, je n’arriverai certainement pas à me contrôler si elle me laisse le champs libre. Je n’ai pas envie de la forcer, je n’ai pas envie de faire quelque chose qu’elle ne veut pas que je fasse mais elle peut déjà sentir ma bosse se former dans mon pantalon. tu crois que je te répondrai quoi ? Tu peux sentir l’effet que tu me fais elle est assise à califourchon sur moi, alors oui, elle sait quel effet elle me fait. C’est obligé. Je rapproche une nouvelle fois ma bouche de la sienne, l’embrassant avec passion et une envie qu’elle ne me connait pas encore. tu ne sais pas tout l’effet que tu me fais… je crois qu’elle a tout le même une petite idée. Je l’embrasse une nouvelle fois, embrassant ensuite sa joue, son cou, laissant ensuite mon envie de lui mordiller le lobe de l’oreille et je lui susurre j’ai envie de te faire l’amour mais tu peux m’arrêter quand tu veux…

Je pense que je me suis rendue compte toute seule de ma bêtise. A mon sens, je peux le conseiller, mais je dois veiller à ne pas être trop intrusive et j'ai l'impression que le conseil que je viens de lui donner fait de moi la nana qui s'introduit dans sa vie et veut y faire son petit ménage. Rio est un grand garçon, il fait bien et prend les décisions qu'il veut, je n'ai pas à lui parler d'un déménagement quelconque « C'est pas de ta faute. C'est juste que j'aurais pas dû. J'peux te conseiller de sortir, de voir tes proches, de changer la déco à la limite, mais j'suis personne pour te conseiller de changer d'appart'. Ca se fait pas » Mon intention n'était absolument pas mauvaise, ni même à vouloir essayer de changer sa vie, juste de lui expliciter ce que moi j'avais fait. Malgré tout, je me rends compte que ça peut être mal interprété et j'en suis désolée. Je lui adresse un léger sourire lorsqu'il me dit qu'il apprécie, moi je peine à me dire que je n'ai pas dépassé les limites, parce que c'est clairement le cas à mon sens. « Tu sais déjà pas mal de trucs de ma vie. » et je n'ai pas une vie très intéressante à vouloir partager. Certes, je pourrais aussi lui présenter mon père à l'avenir, si tout se passe bien ou mon demi-frère, mais l'un n'en aurait rien à secouer et l'autre serait aussi aimable qu'une porte de prison tellement la sympathie l'étouffe. Replonger dans mon passé est toujours une épreuve, et j'ai pas forcément envie d'y entrainer Rio. « je veux pas te repousser, mais je parle jamais de ma mère parce que contrairement à d'autres, ça ne me fait pas du bien d'en parler. C'est un sujet un peu tabou, donc je garde pour moi et voila » je crois que c'est une question de deuil et que tant que je n'aurais pas fait celui de la mort de ma mère, que je n'accepterai pas d'en parler. « c'est pas contre toi. » tenais-je à préciser. Que ce soit lui, Theo ou même mes copines, je n'en parle pas. Jamais. Je l'écoute attentivement me parler de la gente masculine que j'ai tendance à trop généraliser. C'est mal, j'en ai conscience : la preuve il me démontre par A+B que je me plante totalement « Ben je sais pas. Peut-être que ça te pose problème mais que t'as pas envie de le dire » là, j'avoue que je le taquine un peu. Le fait qu'il soit possessif ne me pose pas de problème. En tout cas pas là directement. Je ne suis de toute façon pas le genre de personne à avoir un tas de gars importants dans ma vie. Theo l'est, mais je doute que Rio ait de quoi être possessif avec moi le concernant. « Tu l'auras pour Noël, en guise de cadeau » je lui souris. Je compte bien lui sortir une liste où il devra cocher tout ce qui l'intéresse, oui oui. « Oui, t'arrêtes pas de me le dire. Mais j'assume ma folie, ça fait mon charme » lui dis-je en répondant à son baiser. Ca change des filles qui se prennent un peu trop au sérieux. « Je ne vois absolument pas de quoi tu parles » je lui souris avec beaucoup de malice et continue de l'embrasser alors que je sens effectivement la bosse sur laquelle je suis assise. C'est excitant, et c'est aussi un peu ce qui me pousse à vouloir aller plus loin et à passer ce cap. J'appréhende un peu, mais j'ai vraiment envie. Je prends plusieurs secondes pour regarder chaque centimètre carré de son visage, comme si j'avais peur de finir aveugle la minute d'après, et que je voulais m'imprégner de son visage. Je me délecte de sentir ses lèvres se balader dans mon cou et souris en l'entendant me murmurer ces mots. A mon tour je cherche à nouveau le contact avec sa bouche et je mordille délicatement sa lèvre inférieure « fais-le alors » lui murmurais-je. Je le regarde droit dans les yeux et lui souris. Oui j'ai vraiment envie d'aller plus loin, j'ai vraiment envie de le faire et de faire cette « première fois » avec lui uniquement. Je me retire de ses genoux pour abandonner mon jeans et mes chaussures et me retrouver en sous-vêtements uniquement. Finalement, je décide de reprendre ma position initiale et balade mes mains le long de son torse, en descendant vers ladite bosse que je caresse au travers du tissus dans un premier temps. Avec mes lèvres, je retrouve le chemin du cou de Rio, en remontant vers sa mâchoire et ses lèvres. Je tente de me montrer un peu plus entreprenante pour lui prouver que mon envie est vraiment bien réelle, et que je souhaite vraiment aller jusqu'au bout.

Soraya c’est pas grave je te dis, vraiment, ne te fais pas de mauvais sang pour çà. Je ne t’en veux absolument pas de m’avoir conseiller çà et tu sais, je pense que tu as raison, justement. Je suis resté bloqué dans un appartement que je n’aurai certainement pas dû garder. Au contraire, j’aurais dû le louer et en acheter un autre. J’ai les moyens et je n’aurais pas dû attendre que Soraya me fasse comprendre ce que j’aurais du comprendre depuis longtemps. Comme quoi, j’ai beau penser que la solitude est très bonne, finalement, c’est tout aussi bien d’avoir quelqu’un avec soit. ne regrette pas de m’avoir dis çà, je ne l’ai vraiment pas pris mal et je suis sincère avec elle. Je ne suis pas du genre à me prendre la tête pour si peu. J’ai mon caractère mais pour le coup, je n’ai pas à m’énerver pour ce qu’elle vient de dire. Il faut que je me concentre, que j’arrête de regarder derrière moi. C’est une mauvaise habitude que j’ai prise depuis que Kara est partie et il faut que çà cesse. Les choses doivent changer, je dois changer, je dois vraiment ouvrir les yeux et faire en sorte de me porter sur le présent. Le futur, ce n’est pas pour tout de suite. Je n’ai jamais été porté vers le futur de toute manière, toujours vers le passé mais aujourd’hui, je dois me recentrer sur le présent. mais çà me fait vraiment plaisir d’en savoir plus sur toi, comme tu en sais déjà pas mal sur moi même si je suis encore bien mystérieux mais il faut qu’elle comprenne que je fais des efforts mais qu’elle ne peut pas me changer. Il faut qu’elle me prenne comme je suis et qu’elle soit patiente. je comprends, et je ne te poserai pas de questions. Si tu veux, tu peux me parler, tu le sais. Mais je ne t’obligerai jamais à me dire quoique ce soit. Ce serait l’hôpital qui se fou de la charité de faire ça. je la laisse venir vers moi comme j’aimerai qu’elle me laisse aller vers elle aussi. A ma façon, prenant le temps qu’il faut. Mais je ne veux pas lui fermer la porte et je ne veux pas qu’elle le pense. Je n’ai pas perdu mes parents, ils sont encore dans ma vie, alors je ne sais pas ce qu’elle peut ressentir par rapport au décès de sa mère, cependant, je peux être là pour elle si elle ne va pas bien. Je ne sais pas si je vais vraiment être le meilleur support, mais elle peut compter sur moi, vraiment. je le sais t’en fais pas je sais bien que ce n’est pas contre moi. Elle me taquine et je l’ai d’ailleurs bien cherché pour être honnête mais en même temps, je suis un brin possessif et je peux même être un peu jaloux mais je ne le montrerai pas tout de suite. Elle me parle, elle arrive à me percer un petit peu à jour, à trouver comment me parler tu sais, il ne faut pas que tu me demandes de changer, pas comme çà, pas si vite je ne veux pas non plus qu’elle prenne peur après mes propos. je veux pas de cadeaux Sora lui dis-je avec un petit sourire. J’aime offrir, mais je n’aime pas trop recevoir. oui, çà fait partie de ton charme et t’es encore plus sexy avec ton grand de folie mes mains se baladent dans le dos de la jeune femme, qui est toujours à califourchon sur moi. J’aime l’embrasser, alors pourquoi m’arrêterai-je ? Elle est douce, elle a tout ce qu’un homme aimerait avoir auprès de lui et moi j’ai essayé de la repousser. Je suis vraiment un imbécile et il faut que je me rattrape. Je passe ma main, délicatement sur sa joue alors qu’elle semble se perdre à me regarder. Je me mords la lèvre alors que je la regarde se lever pour retirer son jeans, ses chaussures. Elle est en sous-vêtements et elle va finir par me rendre fou. Je soupire alors que sa main est sur la bosse qui est entrain de se former dans mon pantalon. Ses lèvres se jouent de moi et une fois qu’elles se trouvent de nouveau sur mes lèvres, je ne peux plus. Je la prends par la taille, laissant alors ses jambes s’enrouler autour de moi et l’entraine dans ma chambre. Autant faire les choses bien pour sa première fois. Je la dépose délicatement sur le lit et m’éloigne d’elle, simplement pour enlever mon tee-shirt et mon pantalon est-ce que tu vois tout l’effet que tu me fais ? non elle ne doit pas trop le voir encore alors j’en profite pour retirer mon caleçon et me voilà en tenu d’Adam devant elle. Je remonte sur le lit et m’approche d’elle. Mes lèvres retrouvant ainsi les siennes. Je l’embrasse langoureusement avant que mes lèvres ne passent sur son cou, puis arrivent alors à hauteur de sa poitrine. Sans même prendre la peine de lui retirer le soutien-gorge, ma langue se fraie un chemin pour trouver son téton déjà dur à son contact. Ma main passant alors délicatement sur son ventre pour descendre un peu plus bas dis moi stop si tu ne veux pas aller plus loin Soraya… lui dis-je alors dans un murmure.