C’est une journée grise aujourd’hui. La pluie tombe à grosse goute sur la fenêtre de ma chambre et le film de Capitaine America jouait en arrière-plan. Il me manque tellement et je me sens très mal de ne pas avoir eu la chance d’aller le voir à Los Angeles lors de son départ. Je sais qu’il n’aurai jamais été fâché ou même déçus de mon absence, mais dans mon cœur, je ressens un grand vide qui m’attriste énormément. Être l’arrière-petite-fille d’un des plus grands écrivains et fondateur de Marvel, c’est une réalité qui est parfois irréel. Depuis que je suis haute comme trois pommes, je vis dans cet univers imaginaire qui m’a permis de réalisé à qu’elle point que ceci est devenu une passion. Une passion qu’il ma transmit depuis des années et que j’ai eu la chance de partager mes idées avec lui pour avoir une plus grande variété de super héros et de débuter de nouvel aventure.

Ma mère m’a toujours raconté que s’était mon arrière-grand-père qui avait choisi mon prénom. Il était émerveillé par cette naissance simple et sans douleur et s’était une belle nuit étoilé. Il trouvait que je ressemblais à une princesse avec des traits de déesse qu’il lui avait donné beaucoup d’inspiration. Cet amour qu’il dégageait pour nous et surtout envers moi était incroyable. Une sensation forte et qui pouvait se faire ressentir au travers de plusieurs choses. Mon prénom Skyla lui avait permis de créer une bande dessiné dédié à moi et ceci est un souvenir que jamais je ne pourrai m’en séparé.

J’étais cette jeune fille très créative à l’école et j’étais aussi ce petit garçon manqué qui avait un amour inconditionnel pour les super héros et surtout Thor et la Panthère Noir, car on s’entend qu’ils sont beaux à craquer. Par contre, ce n’était pas toujours facile pour moi à l’école. La distraction et l’intimidation