feat. cassie amato
- 10 SEPTEMBRE 1996
- LAUSANNE (SUISSE)
- 22 ANS
- AMERICAINE
- BISEXUELLE
- CELIBATAIRE
- CLASSE MOYENNE
- JOURNALISME (M)
- DANSE (m)
- VENDEUSE DANS UNE BOUTIQUE DE PRÊT A PORTER
- BOURSIERE
je suis attentive aux personnes qui m'entourent. Je me souci de leur bien être, de leur état d'âme. Ce qu'ils ressentent passe généralement avant ce que je peux ressentir. Je ne dis pas non plus que c'est une bonne chose, mais je n'arrive pas à changer cette facette de ma personnalité. Ou, peut être que je ne le veux tout simplement pas. Mes amies comptent énormément pour moi, parfois même plus que ma famille, comme on dit, nos amis, on les choisit, notre famille, c'est impossible. Je suis une personne loyale, toujours présente, fidèle, une oreille attentive, une épaule sur laquelle on peut se reposer, très timide et maladroite à la fois. Je peux être entourée d'hommes, mais je me sens rapidement mal à l'aise, merci papa et maman qui ont toujours tenté de m'éloigner et de me protéger de la gente masculine. Si je devais me diriger vers une confrérie, ce serait la Cabot House, qui est d'ailleurs une sororité et non pas une confrérie.
lunatiqueloyalesusceptiblehonnêtesensiblepassionnée
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8813]☆[/url] ☆ <span class="pris">CASSIE AMATO</span> ◊ “ Monica A. Simmons ”[/size]
please tell us more
tu étais de ceux que je ne regardais pas. de ceux à qui je n'adressais même pas un regard de politesse. on travaillait ensemble, je te voyais, tu étais dans mon champ de vision, mais je t'ignorais.. matinée intensive, journée éprouvante, press pause, l'heure de respirer l'air frais du parking du centre commercial, l'heure d’apporter de la merde à mes poumons, d'aspirer la fumée nauséabonde, et pourtant si bonne, de la clope.. j'étais avec elle, mon amie, mon binôme dans cette entreprise qui fait quotidiennement de nous ses esclaves. tu t'es approché de nous, l'air timide du haut de ton 1m... 90 ? je ne saurai dire, je sais juste que tu es haut perché, ta couleur ébène.. tes écouteurs vissés à tes oreilles, tu vivais en musique, mais tu les avais enlever pour vaincre ta soi-disant timidité afin de t'adresser à nous. tu étais à sec, rien pour te tuer à petit feu, alors tu nous as demandé de gentiment te dépanner. dans un élan de bonté inhabituelle je t'en sors une de mon paquet et tu nous remercies en te présentant. si seulement tu avais juste tracé ton chemin après avoir eu ce que tu étais venu chercher, je n'en serai pas à vouloir t'éviter à tout prix aujourd'hui, pour ne plus avoir à sentir mon coeur se briser en petit morceau en voyant le mec que tu es réellement.. les jours ont suivi.. tu es resté avec nous, on ne sait pour quelle raison. par habitude sans doute.. et tu as commencé à faire partie de mon cercle restreint d'amis. nous étions trois. 2 filles, 1 garçon. avec toi en plus, le compte était bon. le groupe avait son équilibre parfait. 2 filles, 2 garçons.. ta fausse gentillesse, ta fausse timidité, ce côté attachant et câlin que tu avais m'ont fait apprécier ce type que tu étais et j'ai fini par te trouver attirant.. attachant alors que tu n'es absolument pas mon type d'homme.. qu'est-ce qui m'a pris de me jeter dans la gueule du loup... ?
tu es resté à mes côtés, tu es devenu ma cible dès cet instant clef où tu as tiré sur ce long stick incroyablement bien chargé et roulé, dès que la fumée a fait de ce salon peuplé et de nos cerveaux un aquarium. on est resté deux heures à rire, à parler. toi et moi. il n'y avait plus personnes autour. ils l'avaient tous remarqué.. sauf nous. deux idiots.. ou deux malins. qui a été le plus malin dans toute cette histoire chéri ? je passais mon temps dans tes bras, à respirer l'odeur de ton parfum, à me protéger de ce froid hivernal, glacial.. tes mains passaient leurs temps à parcourir mon corps. tes mains glaciales. de toute façon, tout ton corps est froid. tout ton corps l'a toujours été. comme si tu étais la mort en personne.. les allusions ont commencé. on se cherchait.. tu me cherchais, je t'ai suivi mais je ne t'ai pas trouvé. elle t'a trouvé sans avoir besoin de te chercher, sans avoir besoin de te courir après, sans avoir besoin de te connaître par cœur, sans avoir besoin d'être là pour toi. mon cœur s'est fissuré à cet instant. actuellement ? Je le fais tenir avec du scotch. tu sais, ce scotch bon marché qui ne cesse de se décoller ? ce scotch que tu continues de plaquer à nouveau, constamment.. au lieu de le changer ou de recoller cet objet cassé ? vous vous embrassiez, vous vous gobiez la bouche sous mes yeux, sans gêne aucune. tu te retournais vers moi avec un sourire énorme sur le visage quand elle s'en allait. son rouge à lèvres recouvrait le contour de ta bouche. tu étais heureux, j'étais heureuse pour toi, triste pour moi. je te souriais mais j'avais mal dans le fond et je te demandais d'essuyer les traces de ton échange de salives avec cette femme. les jours sont passés, tu as recommencé à me toucher et dans un élan de faiblesse, je t'ai laissé faire mais je ne comptais pas aller plus loin. je n'étais pas ce genre de femmes. je ne comptais pas manger dans le même plat qu'une autre. tu l'as compris, ou peut-être pas, mais tu m'as lâchée, que se soit amicalement ou physiquement. tu es allé chasser ailleurs. monsieur avait pris du galon. il avait pris sur sa soi-disant timidité et touchait à tout. tout ce qui était du sexe opposé au sien, puis une fois ton affaire faites, ou que ces filles te rejetaient, tu revenais vers moi. j'étais ta petite chose. tu savais que quelque part, tu m'avais à tes côtés, tu me possédais. je te pardonnais, je te laissais revenir malgré toutes ces semaines où je n'étais qu'un fantôme pour toi. j'ai été si naïve car, tu as recommencé de plus belles. tu recommençais sans arrêt..
tu la trompais avec tout ce qui était à ta portée. même si tu ne l'avouais pas, je le savais. je te connaissais par cœur. je pouvais en mettre ma main à couper. une année est passée, une année de manipulation mentale. t'avais une putain d'emprise sur moi mais elle en avait une puissante sur toi aussi. elle t'a changé. t'avais l'air plus sérieux, plus heureux, plus apaisé, t'avais des principes, des croyances.. bullshit ! laisse-moi rire. j'étais enfin ta cible, malgré ce que tu disais. malgré que tu disais me respecter, malgré que tu disais qu'il n'y aurait jamais rien entre toi et moi, malgré ta petite amie... j'ai scotché à nouveau mon cœur et j'ai sauter les yeux fermés dans tes bras. encore une fois, pourquoi ? mais je me suis laissée aller à ça, à nous. je t'ai fait confiance à nouveau. je t'ai laissé poser les mains sur moi, mes amies ne t'aimaient pas parce que t'avais fait de moi une loque par le passé, alors je me devais de leur mentir quand on se parlait, quand tu m'as invité à sortir après le boulot, quand t'as réussi à me foutre dans ton pieu. j'étais devenue de ces femmes que je ne supportais pas, j'étais devenue une putain d'hypocrite, une menteuse, une voleuse, mais je t'avais eu et c'était plus jouissif que tout le reste, que l'acte en lui-même. j'avais eu ma cible, je me réconfortais en me disant ça. je me cachais à moi-même le genre de femme que j'étais devenue par ta faute. je t'aimais et je te détestais. je me détestais aussi, mais je recommençais. j'en voulais plus. je voulais rattraper cette année de souffrance.
j'étais devenue ta numéro 2, la side chick. tu m’entraînais dans tes merdes et je te suivais sans broncher. elle était exemptée de tout ça elle. c'était la femme, c'est la femme.. je n'étais que celle qui ressortait le démon qui sommeillait en toi, celle qui te poussait à mettre tes principes et tes convictions de côté. celle qui était présente lors des contrôles de police, celle que tu touchais dans un coin, loin des regards de nos collègues et amis, elle était celle qui dormait avec toi, celle que tu présentais à ta famille, qui pouvait fêter ton anniversaire avec toi. mais j'étais avec toi et ça me plaisait. je n'étais pas du genre romantique, ce qu'on avait me plaisait dans un sens. j'avais peur de l'engagement et avec toi il n'y en avait pas. Il n'y avait rien entre toi et moi dans le monde du commun des mortels. De toute façon, il n'y avait que nous qui étions au courant de tout cela. mais tu as fini par te lasser. Tu finis toujours par te lasser. tu n'aimes pas les Hommes, tu l'as toi-même dit alors t'en séparer, les jeter, t'en servir, les jeter à nouveau, ça ne te pose aucun problème. j'ai eu mal, très mal, mais tu m'as fait comprendre qu'il serait très égoïste de ma part de te détester, de ne plus t'adresser la parole.. alors j'ai continué à être ton amie, ta confidente que tu prenais et jetais comme bon te semblait. aujourd'hui, je me tiens devant toi et je me demande si je dois détester ou remercier la personne qui t'es rentré dedans. Celui à cause de qui je me retrouve à parler à ta pierre tombale.
Bon courage pour ta fiche
bienvenue et courage pour ta fiche
kaze faulkner widower · heterosexual · |
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