Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityFélicitations tu vas bientôt toucher le fond, c’est bien. -- Noares - Page 2
I LOVE HARVARD
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
AccueilAccueil  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • -39%
    Le deal à ne pas rater :
    Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
    1190 € 1950 €
    Voir le deal

    Félicitations tu vas bientôt toucher le fond, c’est bien. -- Noares
    Page 2 sur 2 Précédent  1, 2
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postSam 10 Nov 2018, 21:19
    taggercitereditionsupprimeradresse

    J'ai cette chanson française qui hurle dans ma tête. « J'en sors pas , Cafard, Bad trip, Idées noires. Avalé par l'espace au fond d'un entonnoir. » Cet air grave, cette mélodie triste d'une séparation définitive, d'un corps présent et d'une âme absente. J'en suis là, moi aussi. J'suis mal. Et cette putain de chanson envahit mon esprit au risque de ne plus penser qu'à ça. J'm'en veux de ne pas tenir, j'm'en veux de lui avoir vomi dessus. Moi qui tient toujours tout au creux de ma main, pour tout pouvoir gérer, pour garder ce masque sur mon visage devant les autres. Et là, tout explose. La bombe de cette pute de pilule avalée. Plus jamais. Plus jamais toi Ares, plus jamais des cachets de merde. Je lève les yeux sur toi, essuyant ma bouche d'un revers de main. J'te déteste, mais je n'arrive pas à le prononcer. Je me sens minable, comme il y a quelques mois, quand je n'ai pas été fichue de sauver mon bébé. J'aime pas ça, j'ai envie de tout casser mais j'arrive à peine à me lever. Je pourrais m'exploser le crâne sur la porcelaine des chiottes, on dirait que c'est toi, et je ne verrais plus ta sale gueule de la soirée. La colère monte, et je dégueule une nouvelle fois. Ta voix lointaine m’indiffère totalement. Mes jambes semblent décidées à me porter, et je glisse mon dos contre le mur pour me redresser avec difficulté. Tout est de ta faute. Ses doigts se posent sur mon visage, repoussent les boucles qui reviennent de plus belle. Elles n'en font qu'à leur tête elles aussi. « Tu flippes Ares ? » L'estomac proche de la gorge, et pourtant, je souris. J'aime qu'il se sente mal, mais il n'est pas encore à mon niveau. Il me décale contre la porte, touche mon front, et ce corps proche du mien me donne cette bouffée de chaleur impressionnante. T'as senti toi aussi ? Cette proximité nous excite malgré nous. Ma tête tombe en avant quand tu recules, emportée par le poids. Pantin désarticulé. J'suis une poupée ce soir, dans cette robe noire. Rien de ce que je suis normalement, cette femme froide qui se bat avec les hommes, qui se bat contre ses envies pour ne garder que ce qui est convenable et ne peut pas me blesser. Rien ne peut m'atteindre mais là, lui et son torse nu dans les chiottes d'un bâtiment qui abrite tout ceux qui peuvent me faire avancer dans ma carrière, j'sais pas, ça me rend folle. J'écoute, relève la tête, le cou tendu vers le plafond. « Tu parles tout seul maintenant ? » La tête de poupée de son, redresse les yeux vers toi, regarde la main tendue. « T'as envie des privilèges Ares ? » Les doigts l'attrapent parce que je ne peux avancer plus. Les ongles s'enfoncent dans la chair, l'attirent vers moi. T'es bouillant. Et j'crois que j'aime ça. Mon bassin se colle au sien, attiré comme un aimant. J'approche ma bouche de sa mâchoire, la frôle, remonte vers son oreille sur la pointe des pieds. « Parce que tu crois vraiment qu'un mec comme toi peut me baiser ? » Je tombe sur lui, mes orteils plus capables de me tenir plus longtemps droite. Je ris en me redressant du mieux que je peux, glissant mes ongles sur son torse tatoué. Il me donne vraiment chaud ce con. Je prends sa main dans la mienne. Une grande inspiration avant d'ouvrir la porte. Et courir, en l’entraînant avec moi vers la sortie de secours. J'veux juste croiser personne. La victoire proche, mais je fonce dans un corps que je connais trop bien. Ares me récupère à deux doigts d'une nouvelle chute. L'ami de médecine se dresse entre nous et la porte de ma libération. Je lève les yeux vers son visage crispé. J'veux pas que ça parte en baston, vraiment pas. « Vous partez déjà ? » Totalement, mais les mots ne sortent pas. La course n'a pas remis mon estomac à sa place, et je sens déjà les hauts le cœur. « Et qu'est ce qu'il fout torse nu l'autre imbécile ? » Les yeux dans ceux d'Ares. Trouve quelque chose à dire toi !

    @Ares Raad J'pas pu m'empêcher de répondre rapidement :P
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postSam 10 Nov 2018, 23:47
    taggercitereditionsupprimeradresse
    La panique ft Noé

    I’m not doing this because I want to beat someone, because I hate someone, or because I want to blame someone. I do what I do because it’s right! And above all, it’s kind! It’s just that… Just kind.

    Je déteste ça, je perds le contrôle, je suis en train de me perdre dans cette folie qui n’est pas la mienne, mais qui est la tienne, tu me tiens, tu me pièges, et tu aimes ça, tu m’entraînes contre toi, je me colle soudainement contre ton être alors que mes mains se plantent contre le mur, de chaque côté de ton visage. Tu es belle amochée, tu es belle défoncée. Mon visage s’incline, je voudrais pouvoir refouler cette envie, je voudrais pouvoir me taire, ne rien faire, partir et te laisser derrière moi, mais à la place, j’appui bien trop fort mon bassin contre le tien, comme si je voulais te faire comprendre qu’à travers ce tissu, une certaine forme prend place. J’ai envie de toi, mais je te déteste, je te hais du plus profond de mon âme, tu es une sale garce qui pense pouvoir tout avoir, une petite connasse, qui ne manque pas de rabaisser les autres pour se sentir un peu plus légère. Et pourtant dans ce costume, tu es pitoyable, tu l’es tout autant que moi, même avec de l’argent on peut être minable. Je te regarde, je plante mes iris dans les tiens, en déviant ma bouche contre le contour de ta mâchoire, je l’effleure, je trempe mes lèvres contre ta peau, avant d’entendre tes mots claquer contre ton palais.
    Un mec comme moi. Ouais, un mec sale, un mec qui ne vaut rien, un mec qui ne veut rien dire, qui n’a pas d’avenir, un sale type, un monstre, un poison dans la vie. Une tempête. Tes mots me foudroient, pourtant, au fond de moi, je le sais ça, je sais toute cette merde, mais ça m’empêche pas d’être dégoûté de ta personne. Je me recule, volontairement, toute envie venait de s’éclipser, j’ai beau être un enculé, avoir cherché, je me dis que c’est juste une vérité et que ça devrait pas me toucher, surtout venant d’une nana qui voulait se défoncer pour ne pas paraître morte. « Au moins, moi, j’ai pas besoin d’un truc pour cacher aux gens à quel point je suis une merde. » Je te relâche, quand tu ouvres la porte, qu’on traverse en courant, je sais que tu ne veux voir personne, mais moi, putain, je commence à avoir froid, et je lâche ta main quand je vois le type en face de moi, va clairement falloir que ce con dégage. Je ricane, je passe ma muqueuse contre ma lèvre inférieure, en me postant face à lui, ce sourire maudit qui se place sur mes lippes masculines. « Je viens de la baiser. C’est la réponse que tu voulais entendre imbécile ? T’as crus que tu pouvais la sauter ? Elle aime que les types comme moi, pas vrai Noé ? » Je te place devant moi, tu peux sentir que j’ai une colère dingue envers toi, ma main se serre autour de ton bras. « Tu n’aimes que les mecs cassés, qui n’ont aucun avenir, sur qui tu peux dégueuler parce que t’as mangée un truc mauvais, pas les types dans ton genre, trop bien calés, trop riche pour comprendre c’est quoi un fin de mois difficile. » Le plus étonnant, c’est que je reste calme en disant tout ça. J’ai pas franchement dit la vérité, sur le fait que tu as vomis à cause de la drogue, mais dans le fond, ça me piquait la gorge. Je le pousse sèchement, pour pouvoir simplement passer et lui faire un doigt d’honneur en guise de salutation. Tu parleras avec, ou non, je m’en cogne, j’ai autre chose à foutre qu’être entre deux riches qui savent pas ce qu’ils veulent. Je te fais avancer en direction d’une ruelle, il fait froid, je suis comme ça, et j’ai clairement envie de meurtre à cette heure. « Tu me passes ton putain de fric, ou je te ramène chez moi, ou mieux, je te raccompagne pour être certain que tu me donnes le nécessaire, et après, je veux plus te voir, le sale type va baiser ailleurs. » Je m’énerve, sans doute pour te faire réagir un coup, ou j’en sais rien, je m’en branle, ou pas. Je veux juste te faire regretter, mais là, j’ai même pas un putain de pull, alors je prends ta main, juste de quoi me réchauffer, de partager un peu de chaleur, histoire de pas crever. Et je commence à marcher en direction de ta baraque de riche, ou de ton appartement, un des deux, puisque ça m’étonne que t’habites dans le genre de studio que j’ai. « T’as pas le choix Noé, je te jure. » Je suis excité, et j’ai envie de te faire bouffer tes sales mots.

    ©crack in time


    Oups j'ai répondu vite aussi Félicitations tu vas bientôt toucher le fond, c’est bien. -- Noares - Page 2 2474380249 Félicitations tu vas bientôt toucher le fond, c’est bien. -- Noares - Page 2 166564858
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 11 Nov 2018, 10:29
    taggercitereditionsupprimeradresse

    Il me saoule. Et pourtant, sentir la puissance de son bassin contre le mien me donne envie de tout casser avec lui dans ses chiottes. Si on baise, ce sera violent. Si on baise, ce sera pour se détruire l'un l'autre. Avec les hommes, c'est ainsi. Ils me rappellent tous Demyan, ils me rappellent que leur force peut me détruire de l'intérieur, qu'ils peuvent me modeler comme ils le veulent. Mais je ne suis plus vraiment la même depuis. Le côté sombre a grandi en moi, pour éviter de redevenir cette fille douce que j'ai pu être. La véritable moi n'est vraiment pas celle que l'on pense. Je laisse nos corps se séparer, pour fuir avec lui cette soirée d'enfer et finir par tomber sur mon ami. Je ne sais pas pourquoi il est si agressif ce soir, cela me désole un peu. Est ce que me voir avec un autre homme lui fait cette effet là ? La tête se tourne vers Ares quand il avoue m'avoir baiser. Heureuse de cet affront qu'il lui fait, j'ai pourtant fait les gros yeux un court instant. Je ne réponds pas, parce que je pense déjà qu'il m'a grillée et que je suis focalisée sur la force de sa main sur mon bras. Le reste me passe au dessus, sa petite tirade sur ce que j'aime ou non. Tout passe en second plan. J'ai envie de me retourner et de lui mettre un coup de poing, mais je garde ce petit sourire nié pour cacher la colère en moi. Ares le pousse avec force et nous ouvre la porte. Je tourne la tête vers mon ami, hausse les épaules et lui fait signe que je l’appellerai plus tard. Je sens qu'il n'apprécie pas la situation, mais vu ma réaction, il ne préfère pas bouger.
    Il fait froid ce soir, et mes épaules nus me le montrent rapidement. Le vent s'engouffre dans la rue, remue mes cheveux fous et ma robe encombrante. Je me maudis de ne pas être en jean d'ailleurs, mais heureuse de ne pas avoir de talon. J'ai du mal à comprendre tout ce qu'il se passe quand
    Ares me pousse dans une ruelle annexe. « J'ramène personne chez moi. » Parce que mon petit appartement n'a pas le standing qu'il pense, parce que j'ai décidé de vivre simplement malgré les décisions de mon père adoptif et surtout parce que je ne veux pas qu'il sache où j'habite. Je n'ai pas le temps de réagir plus qu'il prend ma main et m’entraîne avec lui. Après quelques longues secondes où je n'arrive pas à réagir, c'est comme si mon cerveau avait réussi à s'allumer. Je m'arrête, tire sur mon bras pour qu'il me lâche. « T'es un sacré connard Ares ! Tu crois vraiment que j'vais te payer là ? » J'pourrais le frapper, les poings se serrent malgré moi, encore plus que l'envie au creux de mon ventre. Je reprends sa main violemment, la guidant sous ma robe, entre mes jambes. Ses doigts glacés me font trembler de désir, glisse le long des bas, frôle la dentelle de mon sous vêtement. Et je le regarde droit dans les yeux. Tu comprends là ? Que j'te laisserai pas partir comme ça. Que j'te provoque quand je dis que je ne baise pas avec les hommes comme toi. Je frappe ta main trop insistante et la récupère dans la mienne pour t’entraîner chez moi. Bien sur que j'ai le choix, c'est moi qui décide au final, toujours.
    La serrure de mon appartement cède rapidement sous l'effet de la clé. La lumière allumée, je le laisse découvrir le petit salon. Rien de grand standing, il y a juste quelques beaux meubles que mon père m'a forcé à mettre. L'appartement est assez basique, sans étalage de luxe, et de bon goût. Mais quand la porte se referme derrière nous, tu devrais comprendre que tu es pris au piège. Tu es sur mon territoire Ares, tant pis pour toi. "Alors, tu veux quoi ?" Quand je me retourne vers lui. Choisis bien Ares, tu n'auras qu'un seul choix.

    @Ares Raad
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 11 Nov 2018, 15:16
    taggercitereditionsupprimeradresse
    La panique ft Noé

    I’m not doing this because I want to beat someone, because I hate someone, or because I want to blame someone. I do what I do because it’s right! And above all, it’s kind! It’s just that… Just kind.

    J'avais froid, putain de merde. C'était impossible, t'étais pas croyable, j'avais envie de t'en coller une, tellement tu pouvais m'énerver. J'avais la rage, je serrais la mâchoire pour éviter d'exploser, pour éviter de te laisser là comme une merde, parce que clairement, tu ferais comment !? Comment dans ton état tu pourrais rentrer et expliquer demain à tes merdes de potes que t'étais avec un minable comme moi ? Que t'as baisé dans les toilettes, que t'as gerbé comme une dingue alors que t'as bu peut-être deux verres d'alcool ? Hein !? Dis-moi ! Mais je savais dans le fond, t'étais au bord du gouffre, tu faisais mine de contrôler quelque chose, mais dans le fond, le seul truc que tu commandais, c'était ton imagination. Parce que sinon, t'étais tout aussi vouée que moi à exploser. Quand tu ripostes, quand tu oses me dire que tu ramènes jamais personne chez moi, je fronce les sourcils en explosant de rire. Levant les bras, alors que je secouais ensuite le visage de droite à gauche. « Tu quoi ? Mais je m'en branle de qui tu ramènes pour te faire baiser, je m'en branle tu comprends ?! Ouais, tu vas me payer Noé, j'en ai rien à foutre de ta gueule, t'es autant minable que tes potes à l'intérieur, vous pensez toujours tout savoir, tout commander, mais tu commandes rien, t'as jamais rien commandée depuis que t'es née ! » Je gueule, sans doute un peu trop, mais je suis ravagé, j'ai froid, j'ai perdu de l'argent à cause de toi, et le pire c'est que tu veux pas me payer, alors autant te dire que clairement, c'est pas un bon soir pour moi. Tu happes violemment ma main, je te laisse pourtant faire, on est bien cachés dans cette ruelle de malheur, on dirait un vieux film de cul, mais là, je te détestais, je te haïssais pour être la putain de nana qui m'a embarqué dans cette merde et qui ne sait rien faire d'autre que gueuler. Mais tu plaques ma main contre ta cuisse, je sens sous mes doigts, le tissu fin qui recouvrait ta peau. Tu étais tout autant excitée que moi, c'était confirmé. T'étais aussi barge que ma personne. Je passe le bout de ma muqueuse entre mes lippes, et comme si je décidais de fermer les yeux, je crispais mes doigts, je pinçais presque ta peau afin que tu sentes cette envie naisante au fond de mon ventre. « T'crois vraiment que j'ai envie de baiser une nana comme toi ?  » Je lève les yeux au ciel, quand tu m'entraînes pour arriver chez toi. J'y entre, sans l'ombre d'une quelconque hésitation, mon regard se braque sur les meubles, sur le confort que tu peux avoir, bien que simple, il était facile de faire mieux que mon propre appartement. Le chaud m'enveloppe, me fait soupirer, je me sens soulagé de ne plus être dehors avec ce temps. Et quand tu lèves la voix, que tu me questionnes. Je tourne mon regard sur ton corps.


    ©crack in time
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 11 Nov 2018, 16:21
    taggercitereditionsupprimeradresse

    Ses paroles me touchent beaucoup plus que je le voudrais. Il a su où appuyer malgré lui. Tu n'sais rien de ma vie pauvre idiot, alors jamais je ne te permettrai de me juger. Tu n'as pas connu mon enfance, le travail que j'ai du faire pour m'en sortir, pour toujours prouver que je suis la meilleure aux yeux de mon père. Tu ne sais pas ce que j'ai vécu avec mon ex, l'enfer des coups et de donner naissance à cet enfant mort né. Tu ne pourrais pas comprendre tout ça. La colère gronde mais je fais tout pour la calmer. Je lui ferai payer ses paroles, je me le promets. Parce que je n'autorise plus personne à me parler de cette manière. Nous finissons par aller chez moi, malgré mes réticences. Le trajet calme, dans un silence de mort autre que ses dents qui claquent de froid. Je me marre bien intérieurement, même si la honte de lui avoir vomi dessus est quand même présente. La porte de l'appartement passée, je l'affronte une nouvelle fois. Je sais déjà ce que tu souhaites Ares, et ce n'est pas ton putain de pognon qui te passe par la tête en premier, quoique tu en dises.


    @Ares Raad
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postLun 12 Nov 2018, 20:55
    taggercitereditionsupprimeradresse


    La panique ft Noé

    I’m not doing this because I want to beat someone, because I hate someone, or because I want to blame someone. I do what I do because it’s right! And above all, it’s kind! It’s just that… Just kind.



    ©crack in time
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postJeu 15 Nov 2018, 12:45
    taggercitereditionsupprimeradresse
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postSam 17 Nov 2018, 20:42
    taggercitereditionsupprimeradresse


    La panique ft Noé

    I’m not doing this because I want to beat someone, because I hate someone, or because I want to blame someone. I do what I do because it’s right! And above all, it’s kind! It’s just that… Just kind.



    ©crack in time
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 18 Nov 2018, 17:50
    taggercitereditionsupprimeradresse
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postLun 19 Nov 2018, 17:56
    taggercitereditionsupprimeradresse


    La panique ft Noé

    I’m not doing this because I want to beat someone, because I hate someone, or because I want to blame someone. I do what I do because it’s right! And above all, it’s kind! It’s just that… Just kind.

    Je savais que tu allais m'en foutre une, limite, je pensais que t'allais être bien plus violente que ça. Quand tu reviens auprès de moi, en courant, je sursaute en me reculant, me cognait le sommet de mon crâne contre le mur derrière moi, putain, tu sautes sur moi, automatiquement je pose mes mains sur les courbes de tes hanches alors que j'inverse sauvagement nos positions, que je me glisse entre tes cuisses tout en étant toujours sans rien sur moi. « Et bien, tu te doucheras pas, comme ça, tu pourras puer. » Honnêtement, je te taquine, mais je me dis que dans un sens j'étais particulièrement fier de voir ça et d'avoir fait ceci. Tu avais une marque sur toi, alors certes, elle allait disparaître rapidement et tu n'allais plus rien avoir sur le cou après deux jours voir trois jours maximum. Mais là, je savais que t'allais penser à moi durant pas mal de temps, et intérieurement, ça me ferais presque plaisir. « Oh aller, c'est juste un gros suçon de la taille d'une balle de tennis, rien de grave. » Je riais, pour une fois, c'était tellement un bon rire, genre je riais, moi, et surtout avec toi, alors que le début de soirée n'était absolument pas bonne, qu'on aurait pu s'envoyer chier, et non, on se retrouve là, comme deux cinglés en train de rire du suçon. Mes mains empoignaient tes poignets et dans une envie, je vins plaquer ma bouche contre la tienne en t'embrassant longuement. Comme si je voulais que tu gardes cet échange dans un coin de ta tête et que tu ne puisses l'oublier. Me redressant, tendant mon bras pour prendre mon boxer, je lève mon regard en ta direction, sachant pertinemment que j'allais devoir m'en aller, qu'il était l'heure pour moi, parce que j'avais vraiment pas terminé mon boulot. « Il te va pas ce short. » Quoi ? Faut bien reprendre les bonnes habitudes, et celle de t'embrouiller pour un rien, que tu te mettes de mauvaise humeur avec moi, c'était la base de la base pour nous deux. J'enfile mon boxer, passant mes jambes dans mon jean alors que je place mon gros pull sur mes épaules, laissant ma capuche rester sur mon crâne. « C'était bof. » Un clin d'oeil, puis un autre rire, parce que c'était un mensonge, c'était carrément bon, mais ça, tu le sais. Vu l'orgasme qu'on a eu les deux, je pense qu'on a pas franchement à douter de la capacité de l'autre. sortant mon paquet de clopes, puis un joint que j'avais avant d'être avec toi, roulé, je te le jete en avancer en direction de ta porte. « Juste pour que tu te pardonnes d'avoir couché avec moi. » Peut-être que t'allais pas le regretter et dans le fond, je l'espérais, même si j'avais un gros doute là-dessus. Je te regardais une dernière fois, laissant mes iris s'attarder sur la tâche sur ta nuque, me disant que de toute façon, ce n'était pas terminé, puisque ça venait à peine de débuter. Je le crois, en revenant sur mes pas, même si tu ne le voulais pas, je prenais ton visage dans mes mains pour venir plaquer ma bouche contre le tienne, remontant sur ton front, avant de m'en aller, la clope au bec, l'allumant en sortant de ton appartement puis de ton bâtiment. J'ai pas l'habitude de rester et tu le sais, je suis clairement pas quelqu'un qui reste, même si ce n'était pas un coup d'un soir, j'ai du mal, et il faut surtout que la personne le réclame. J'enfonce mes mains dans les poches, t'envoyant un petit sms en te disant "à la prochaine, peste." et je reprenais mon boulot, je reprenais ce maudit truc qui me raccrochais à cette vie, ton goût encore sur mes lèvres, l'espace d'un instant j'avais même envie de revenir auprès de toi, me glisser sous les draps chauds, et pas au froid. On se reverra, tu peux en être certaine.

    ©crack in time
    Contenu sponsorisé
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas

    Page 2 sur 2 Précédent  1, 2
    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum