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crédit/ tumblr ✰ w/camila westerberg

« Heureusement ouais » Parce que quelque part, elle était en sécurité ici. Non pas que ça n'était pas dangereux ici mais il fallait quand même avouer que les requins pouvaient être effrayants. Oui, je sais, ils n'étaient pas dans le top trois des causes de mortalité chez l'être humain, mais qu'importe, c'était effrayant de se faire croquer par un requin, c'est tout. « Ça se voit » Et j'esquissais un sourire, me sentant quand même légèrement reconnecté avec elle, ce qui faisait du bien. Jusqu'à ce qu'elle me propose de toucher son ventre et... ouais, il est là le malaise. Mais j'acceptais malgré tout, surtout parce que je me dis que c'est la seule occasion. Touchant ce ventre qu'elle me proposait, parlant à ce bébé qui grandissait, je me sentais papa. Je me sentais comblé. Et j'avais hâte de voir ce petit garçon prendre vie sous mes yeux. Du moins, qu'il naisse entier et vivant. Après tout, on avait pas eu de chance la première fois alors ouais, je voulais croire que celui-là allait atteindre le terme. Mais elle coupait court à tout ça Camila, baissant son t-shirt, rompant le contact que je faisais avec mon fils, pour qu'elle puisse se réinstaller, après avoir bien refermé son kimono. La conversation reprenait, après une question encore basée sur la curiosité. « Eli... c'est donc le mec de la première photo » Eli, un prénom qui ne me disait rien. Et puis je repensais à son instagram. Elijah. Le petit ami donc. Putain de jalousie de merde. « Il a bien fait... » soufflais-je avant de baisser la tête, le regard fixant mon café dans les mains. M'excuser ne servirait à rien. Elle a entendu et entendu tellement de fois ces mots qu'ils n'ont plus aucun sens à présent pour elle. « Un monde sans Camila Wildingham n'est pas un monde qui vaut le coup » finissais-je par dire, tournant le visage vers elle. « Je... J'ai ramené les papiers, si jamais. Ils sont pas signés encore... Disons il y a quelques clauses à revoir concernant le petit » Il ne faut pas qu'elle s'énerve, surtout pas.

c'est juste que par moment, je me laisse complètement happer par tous mes démons. comme si j'étais incapable de rester à la surface et dans ce genre de moment là, me contrôler deviens presque impossible. eli avait du me tenir de toutes ses forces pour m'empêcher de déraper et même comme ça, je l'avais frappé, griffé et mordu. et je m'en voulais de réagir de cette façon, de pas savoir me tenir, de pas être assez forte pour lutter par moment mais j'y pouvais rien. j'perdais le contrôle et ça devenait un sacré foutoir. « tout comme ça pourrait être elizabeth » j'suis obligée de rétorquer même si t'as raison. mais j'aime pas que tu tires des conclusions hyper hâtive sans réellement savoir. ouais, c'est le mec d'insta mais en soit, c'est juste une supposition que t'es en train de faire et.. encore une fois, de toute façon, ça ne te regarde pas, si ? « t'as pourtant choisi que je ne fasse plus partie de ton monde à toi » et t'sais, je ne suis pas bête, si j'avais pas été enceinte, après le divorce ça aurait juste été terminé. alors j'ai pas envie d'entendre des belles paroles aujourd'hui. j'ai pas envie que tu joues la carte du gars qui est toujours amoureux de moi parce que je ne suis juste plus capable de l'avaler en fait. j'veux plus l'entendre. j'fais vraiment ce que je peux pour m'en sortir, pour plus être complètement obsédée par toi mais faut que t'arrêtes de remettre sur le tais des pseudos sentiments que t'as envoyer valser en trois secondes quand j'étais au plus bas. « on a fait un deal pluton. j'reverrais aucune close. » vraiment. t'as accepté l'accord, commence pas à retourner ta veste s'il te plaît. ça s'passait bien jusqu'à maintenant, gâche pas ma journée. « j'accepte le divorce si elle ne l'approche pas. pas de ta présence aux échographies ni à l'accouchement. garde partagée uniquement dans ce cas. point. » j'trouve qu'en soit, après ce que tu m'as fait, c'est plutôt correct.

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C'était peut-être trop hâtif comme conclusion mais je ne pouvais pas m'empêcher d'être jaloux. Ce mec, il a pris ma place, celle que j'ai laissé en allant voir Louison et maintenant, je ne pouvais m'en prendre qu'à moi-même. C'était bien pour cette raison que je ne faisais pas d'esclandres non plus. Je restais calme, poli et courtois même. Pas un mot de travers à son encontre. Surtout qu'il était celui qui faisait en sorte qu'elle puisse sourire alors ouais, je le respectais. Mais j'étais jaloux et j'avais mal. « Tu connais une Elizabeth ? En dehors de la Reine d'Angleterre j'entends » que je disais d'un sourire narquois, avant de me faire rabattre le clapet aussi sec quand ça concerne les mondes. Ouais, non, disons que c'était plus compliqué que ça Camila, tu le sais tout aussi bien que moi. Mais avoir les deux femmes qu'on aime dans sa vie, c'était plus compliqué que ce que j'avais cru et... me voilà sans aucune des deux à mes côtés. Fuck my life. Et ouais, je parlais du divorce, des papiers se trouvant dans mon sac et elle était intransigeante. Normal. Mais pour le coup, c'était sûrement mieux de faire cette modification. « Non, oui, je sais tout ça, c'est juste... Le passage sur Louison n'a plus lieu d'être. Elle sera jamais en contact de notre fils puisqu'on a rompu » Ce matin. Mais je lui épargne les détails, encore plus les raisons. « Si tu veux qu'on divorce, faut juste cesser de la mentionner dans ces papiers, elle ne fait plus partie de ma vie » Est-ce que c'était le moment aussi de lui demander de ne plus s'attaquer à elle ? Mh, j'attends encore un peu.

j'suis pas prête à faire de concession de toute façon. j'pense que j'en ai déjà assez fait et sur beaucoup de chose à vrai dire alors.. j'trouve ça moche que tu viennes aujourd'hui dans l'optique de revoir les closes alors que tu les as acceptés. et je me dis qu'en soit, j'ai bien fait de ne pas signer en avance. j'aurais eu l'air conne en te voyant me la mettre à l'envers encore une fois. dieu merci, il me restait un minimum de bon sens dans tout ça. « une anglaise sur trois s'apelle elizabeth » bim. voilà. et oui, c'était complètement faux mais c'était pas le moment d'aller vérifier les statistiques de toute façon. là, c'était le contrat qui revenait sur le tapis et j'étais catégorique. je ne changerais strictement rien et si j'avais accepté de te laisser partir et de divorcer c'était uniquement parce que tu consentais à tout ce que j'ai pu ajouter. si tu l'fais plus, le deal ne tient plus non plus. et.. comment ça ils avaient rompus ? j'arquais un sourcil un peu sur le cul avant de secouer la tête. « jusqu'à la prochaine fois » que je marmonnais. c'est bon, tout le monde sait que vous allez vous remettre ensemble dans trois jours. c'est rien qu'une petite crise et tu vas pas m'arnaquer comme ça. imagine je change et dans une semaine c'est de nouveau le grand amour ? j'voudrais bien qu'on arrête de me prendre pour la personne la plus stupide au monde un peu. ça commence à me prendre la tête. « si je veux.. attends, depuis quand c'est mon choix déjà ? » c'est toi qui t'es tiré. toi qui a demandé le divorce. me remet pas ça dessus parce que j'ai jamais eu aucune parole dans les décisions que tu as prise. « elle reste dans le contrat. j'préfère anticiper vos retrouvailles. » et du coup, c'était chouette de nous foutre en l'air pour une histoire d'un mois ?

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« Ok, je suis mauvaise langue » admettais-je doucement. Mais j'étais quand même persuadé que c'était son mec le Eli. C'était pas une anglaise prénommée Elizabeth qui était alors apparue soudainement dans la vie de ma femme. De Camila. Quoiqu'il en soit, le sujet déviait et j'admettais enfin ce qui se passait : mon célibat récent. Enfin, elle ne savait pas depuis quand et je savais que ça lui importait peu. Et ses réactions me prouvaient qu'elle n'y croyait pas. Fini ? Faut croire que d'après elle, ça ne l'était pas. Sauf que malheureusement si. C'était la dernière chance qu'elle m'offrait Louison et puisque c'était terminé, il n'y en aurait pas de nouvelle. Et je n'étais même pas sûr de le vouloir puisqu'elle me piquerait des crises tous les deux jours. « Qu'importe » Divorcer, pas divorcer. Disons que là n'était plus la question. Dans le fond, tout ce que je voulais lui transmettre, c'était cette information totalement nouvelle et qui pouvait changer la donne d'une façon ou d'une autre. « Il n'y aura pas de prochaine fois. J'ai totalement merdé et... voilà. Maintenant, je n'ai ni toi, ni elle. Bref... S'il te plait, retire-la, il n'y aura pas de retrouvailles » Vu comment les choses se sont terminées, j'ai compris la leçon. Même sans que je fasse quoique ce soit, elle me fout la pression, elle vit dans le doute et j'étais incapable de vivre comme ça. Et elle non plus. Alors ouais, c'est mieux comme ça. Peut-être aussi était-ce un stratagème de ma part pour retarder le moment où elle redeviendrait Camila Wildingham et non plus Westerberg. Ouais, aussi. Mais je devais cesser d'être égoïste et penser à elle avant de penser à moi. Je devais signer.

j'allais pas le formuler à voix haute, j'étais pas venue dans l'optique de me prendre la tête mais.. ouais, la question se posait. parce que littéralement, t'avais foutu en l'air notre couple, notre mariage et toute la vie que l'on projetait d'avoir ensemble pour.. ça ? pour te pointer face à mois un mois plus tard célibataire ? j'veux dire.. wow. j'devais vraiment pas compter pour être jetée de la sorte alors que t'étais dans un truc totalement insignifiant. et bim, ça c'était un nouveau coup pour l'égo. respire cami, respire. « ouais, qu'importe » comme notre relation. comme tout ce que t'as jeté du jour au lendemain. qu'importe. ça doit être au même niveau que le "désolée" dans ton vocabulaire. respire, expire. je recommence à devenir mauvaise et c'est pas ce genre de personne que j'ai envie d'être. « non » c'est clair, net et précis. non, je ne la retirerais pas. peut être que tu crois que je suis encore prête à avaler la moindre parole juste en regardant tes beaux yeux mais c'est pas le cas. tu m'as baisé tellement de fois dans tout les sens du terme que j'refuse de me faire avoir parce qu'aujourd'hui tu crois dur comme fer que c'est terminé. t'es pas quelqu'un de fiable. aujourd'hui c'est ça et demain, tu lui colleras au cul la suppliant de revenir alors.. elle reste dans le contrat. c'est ça ou rien. « si tu comptes pas revenir avec elle, j'vois pas pourquoi ça te gêne autant qu'elle soit mentionnée. » tu vois, j'suis sûre que t'essaie de me la faire à l'envers encore une fois. « écoute pluton, ou tu signes les papiers comme ça ou tu les signes pas mais je ne ferais pas de concession. » vraiment pas. ça sert pas à grand chose d'en discuter de toute façon. oh et.. j'regardais ma main gauche où se trouvait toujours l'alliance, preuve de notre mariage. et la boule au ventre, je la faisais glisser le long de mon doigt. j'avais pas pu me résoudre à l'enlever jusqu'à maintenant mais.. t'avais été clair dans tous les cas. ça avait été elle et pas moi. « j'sais qu'elle fait partie de ta famille alors.. tiens » mais ça me déchire à l'intérieur putain.

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Peut-être qu'au final, cette rencontre était une mauvaise idée. Elle avait beau avoir un bon mood, il suffisait d'un rien pour la faire basculer du côté obscur de la force et de toute évidence, j'étais son trigger. Malheureusement pour moi, c'est moi qui allait recevoir toute la rafale par la suite. Elle refusait de retirer Louison du contrat concernant l'enfant et je ne comprenais tout bonnement pas. Et peut-être même qu'elle réussissait à lire cette incompréhension sur mon visage, chose que je ne cachais même pas d'ailleurs. « Ok, tu peux la laisser. Mais ne t'en prends pas à elle... Ni maintenant, ni jamais. Ni quelqu'un de ton entourage » Parce que dans le fond, elle ne méritait pas tout l'acharnement qu'elle pouvait subir. Louison, sa seule erreur, c'était de m'aimer et de ne pas supporter toute la situation qui allait avec la relation que je lui offrais. Elle n'avait peut-être pas la force d'affronter Tornade Camila, mais moi je l'avais et j'aurais pu la protéger. Le fait est que malheureusement, en plus de ça, elle n'avait pas confiance en moi au point de redouter le pire de ma personne et... ouais, à la longue, ça pouvait être fatiguant. Et c'était le moment qu'avait choisi la jeune femme pour retirer la bague de ma grand mère. Pincement au coeur, je détournais le regard, avant de le poser sur sa main qui me tendait le bijou. « Tu peux la garder... le temps que les papiers sont pas signés. Sauf si tu tiens à me la rendre » Chose totalement plausible. Cette bague au doigt lui allait bien, mais pouvait être le symbole de mon échec et c'était normal qu'elle veuille s'en débarrasser au plus vite.

quand je t'ai épousé, j'aurais jamais cru que les choses se terminent comme ça. j'aurais jamais pensé qu'on puisse en finir à ce point là et.. ouais, c'est douloureux de tout voir s'écrouler mais.. c'était ton choix, pas le mien. et te rendre cette bague, c'est quelque chose que je dois faire. parce que t'as choisi de mettre en l'air notre mariage et de demander le divorce. y a plus aucun sens dans le fait de posséder cette alliance maintenant. et en la retirant de mon doigt, j'ai l'impression de réellement mettre un terme à tout ça. de voir notre chapitre se clôturer et.. j'peux pas bien le vivre. je crois que je mettrais probablement une éternité à me remettre de toi en fait. « je ne crois pas que tu sois en position de me réclamer quoi que ce soit » ni d'exiger que je me comporte de la façon dont tu le voudrais. premièrement parce que je ne te dois rien et deuxièmement parce que dans tous les cas, je n'ai ni l'envie ni le temps de contrôler les gens autour de moi. je l'ai toujours dit, louison était pas ma cible principale mais si elle venait à être un dommage collatéral, c'était clairement le dernier de mes soucis. alors non, tu peux réclamer ce que tu veux, ça me passe clairement au dessus de la tête. j'pense pas qu'elle se soit soucier de ce que ça a pu me faire à moi ni de ce que j'ai enduré, c'est pas maintenant que je chercherais à ménager ses sentiments, tu peux toujours rêver. « je ne vois pas l'intérêt de la garder » que je répondais simplement à tes mots. c'est toi qui m'a jeté pluton, rappelle le toi. « offre là juste à quelqu'un que tu comptes respecter la prochaine fois » prends plus ce genre d'engagement à la légère parce que briser des cœurs, ça doit pas devenir une habitude. « je devrais y aller » sûrement que ça fait plus de mal que de bien d'être là.

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J'avais du mal à comprendre cet acharnement, mais je crois qu'elle était dans la même trempe que Cléolya ou les Eliots en général. Cette vengeance perpétuelle qui faisait que je redoutais ce qui allait bien se passer pour Louison. Je voulais simplement qu'elle vive sa vie de son côté, sans avoir à se préoccuper de Camila ou encore des proches de la jeune femme. Et de toute évidence, Camila s'était renfermée sur elle-même, sur le fait que je l'avais blessée et je soupirais, serrant la mâchoire. Est-ce que je le cachais ? Pas vraiment. J'en avais marre de tout ça, qu'ils s'en prennent à une personne qui n'avait rien mérité. Mais il semblerait que je n'avais pas vraiment le moindre pouvoir pour l'en empêcher. « Elle n'a rien fait » C'était tout ce que j'avais à dire en fait. Elle n'a rien fait de mal, elle était juste tombée amoureuse d'un désastre ambulant. Et j'avais l'impression de l'avoir brisée, comme j'avais brisé la Wildingham. Je récupérais la bague, signe d'un divorce qui allait être bientôt prononcé. « Ouais » J'en perds mes mots. Je suis triste, je suis brisé. J'avais causé tout ça, je le sais. Mais je me rendais compte que j'avais brisé Camila... pour rien. Louison et moi c'était fini maintenant et Camila m'en voulait à mort. Alors j'avais tout perdu. Vraiment tout. « Okay.. » Alors vas-y, pars. Je serai pas le premier à m'en aller cette fois. Ma position montrait un renfermement possible chez moi, comme si j'étais résigné à cette fin. Je sais pas quoi faire, quoi dire. Je sais pas comment remonter la pente. Camila me manquait, Louison me manquait. J'étais entre deux sans savoir le sens où aller. Sûrement que j'allais rester immobile un temps, avant d'avoir la réponse à mes questions.

j'suis partagée en fait. entre mon coeur qui hurle de douleur quand tu n'es pas là mais qui se compresse quand tu es face à moi. j'arrive plus à savoir ce que je dois faire et pourquoi. est-ce que je devrais rester là ? j'ai l'impression qu'à chaque minute passée ça devient plus compliqué. sûrement parce que tu l'as mentionnée elle. parce que tu cherches encore une fois à ce qu'elle soit épargnée quand t'as pas cherché une seule minute à m'épargner moi. j'te trouve injuste tu sais dans ta manière d'agir. t'es pas correct et tu nous mets pas sur le même pieds d'égalité. sûrement que y a de la jalousie dans tout ça. probablement que je me demanderais éternellement pourquoi est-ce que tu l'as fait passer au dessus de moi alors que moi, j'étais prête à clairement tout te donner. « c'est le dernier de mes soucis » et pour ta gouverne, j'ai rien fait non plus de base. ni contre elle ni pour mériter ça. alors tu sais, ce que tu veux pour elle je m'en tape royalement. je la protégèrais pas et je ne demanderais à personne de le faire. chacun ses problèmes non ? est-ce que toi tu t'es soucié de ma spirale infernale ? non. j'irais pas me préoccuper de son égo qui risque d'être heurtée. elle a merdé avec les mauvaises personnes, fin de l'histoire. tu devrais limite t'estimer heureux que je ne l'ai jamais attaquée personnellement depuis mon retour. et sur ton okay, je me levais lentement inspirant un grand coup. « passe une bonne soirée » y a rien à ajouter de plus pour le moment. c'était trop d'émotion d'un coup, j'ai besoin de m'en détacher. et je tournais les talons, le coeur toujours un peu plus meurtri sans me retourner.