feat. aaron taylor-johnson
- 23 NOVEMBRE 1993
- BOSTON
- 24 ANS
- ISRAELIEN
- INCONNUE
- EN DIVORCE
- MOYENNEMENT PAUVRE
- MULTIMEDIA
- INFORMATIQUE
- GUIDE AU NEW ENGLAND AQUARIUM
- BOURSIER
Aux STAS, Caleb avait obtenu la note de 2312, une note élevée et qui rentrait dans les critères d’admissibilités d’Harvard. Il était heureux d’avoir pu se donner suffisamment à fond et battu tous les records de son lycée miteux.
Durant son entretien à Harvard, c’est la capacité de Caleb a mené sa vie d’une main de maître qui impressionna son interlocuteur. Il avait pu aussi exposer ses projets de vie à travers le cinéma et les séries télévisés, et avait amené à ses yeux le travail qu’il avait produit pour diverses productions télévisuels.
Pour son essai, Caleb avait parlé de l’adoption et du système parfois biaisé du Foster Care. Son petit frère avait été adopté par ses parents après un long combat contre le système. Il avait mit son âme et son coeur pour défendre ses causes, peut-être avec trop de véhémence, mais c’était ça qui avait plus aux admisseurs.
Le seigneur des anneaux, Harry Potter, Star Wars, Star Trek, le MCU… Tous ces univers sont les moyens imaginaires qu’a eu Caleb pour s’évader de ses responsabilités de père de substitution pour ses frères et sœurs, ainsi que ses soucis pour étudier tant bien que mal dans une ambiance pas forcément rose. Insomniaque depuis la naissance, il n’a besoin que de très peu de sommeil pour tenir une journée, et le café est son meilleur ami. C’est tout naturellement qu’il apprit à faire du codage et ses premiers boulots consistaient à créer des sites internet pour des entreprises naissantes. De plus, il s’intéressa très vite au graphisme vidéo et à la FX, et d’un mauvais codeur, il devint un excellent animateur FX. Il finit par travailler pour des chaînes de télé locales, sur des documentaires ou des fictions de bas étage.
La Kirkland house se rapproche évidemment le plus de son mode de vie parfois un peu geek, mais il a réussi à faire la différence entre sa vie dans le mode virtuel et sa vie dans le monde réel. En effet, il est très sociable et de ce fait, n’a pas le look classique du nerd à lunettes. Mais Caleb sait très bien que la maison qui peut le plus l’aider à s’épanouir est la Kirkland house, à travers ses idéaux intellectuels et son imaginaire sans fin. C’est la maison parfaite pour Caleb, et il compte bien y rester le plus longtemps possible. D’autant plus que pour les plus introvertis, Caleb pourrait jouer le rôle de grand-frère qui libère les personnes coincées dans leur coquille.
Parfois, Caleb a des moments de lucidité et il se rend compte que son comportement n’est pas celui à conserver pour maintenir sa vie à flot, sa famille compte sur lui et au-delà de ça, sa fille Jane compte sur lui, quoiqu’il arrive. Il se battrait contre vents et marées pour ses cheveux fins et son sourire si fin. Il avait aimé Roxanne, mais ce n’était rien comparé au jour où il avait rencontré sa fille. Parce que même si elle n’était pas de lui, ses tripes lui disaient le contraire. Alors il s’était découvert un côté papa poule, donnant son âme pour vivre parmi cette famille désordonnée mais à laquelle il tenait.
impulsifcolériquepassionnécurieuxavenantdéterminé
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Caleb, c’est le genre de garçon à prendre les choses bien trop à cœur. S’il pouvait donner son âme au Diable pour protéger les gens qu’il aime, il serait damné depuis bien longtemps. Et c’est très tôt, après la mort ravageuse de son père, quelques semaines après l’adoption officielle de son petit frère, qu’il s’était rendu compte qu’entre sa mère et sa fratrie, il se devait de garder la tête haute pour les porter sur ses épaules fragiles, à dix-sept ans. Il a su ramasser les morceaux de sa mère qui s’écroulait après le décès de l’amour de sa vie, tout gérant un gamin perdu, adopté, venant d’une famille qui le battait tous les jours durant. Caleb avait appris à cuisiner, à faire faire les devoirs aux plus jeunes, à travailler à côté pour aider financièrement sa mère, grâce aux codages et à ses qualités de designer FX, à étudier pour atteindre les écoles les plus intéressantes qu’il puisse obtenir et à gérer cette maison. Beaucoup de ses amis trouvait qu’il savait se diviser et que pour eux, ils ne sauraient pas gérer autant de chose, mais Caleb savait que ce n’était pas un choix, mais un devoir. Plus fort que lui, il ne dormait que très peu, passant son temps libre à regarder des films, lire des bouquins, s’instruisant le plus possible. Chaque chose en son temps, il savait que la roue allait tourner à un moment donné et qu’il pourrait souffler.
Caleb était connu comme étant le gars « cool », celui sur qui on peut compter, qui organise des soirées dans le lycée, à l’université, qui fait partie du bureau des élèves et qui aide les nouveaux à s’intégrer. Il est apprécié des hommes autant que des femmes, il sait obtenir ce qu’il veut en un clin d’œil littéralement. Mais en novembre 2015, c’est la claque. Dans tout le tourment de sa vie bien trop chargée, elle débarque, cette Roxanne avec son ventre qui pointe, elle lui fait tourner la tête à Caleb, et il en délaisse parfois sa famille. Il tente tant bien que mal de joindre les deux bouts mais ce qu’il ressent, c’est tellement cohérent, tellement puissant, tellement fort qu’il ne peut pas laisser passer la chance de sa vie. Parce qu’il va l’adopter, ce bébé, parce qu’il va l’épouser, cette femme. Il va tout faire pour la porter haut, la mettre à l’abri du besoin, il va l’aimer comme il n’a jamais aimé auparavant. Et cette fille, Jane. Elle n’a pas son regard, elle n’a pas son sourire, mais elle sait l’appeler papa, elle rit quand il prend de grosses voix pour faire les méchants dans les livres Disney qu’il a acheté par dizaine, elle caresse ses boucles doucement pour que le sommeil vienne à elle, ils créent un lien bien plus fort que les liens du sang, et Roxanne lui laisse la place de père, celle qu’il a voulu prendre. Ils s’aiment tellement, Roxanne et Caleb, bien trop passionné. Caleb tente malgré tout de continuer sur la même voie, sa mère, ses frères et sœurs, son boulot, l’université, sa fille, sa femme… Mais il est épuisé, il craque facilement, s’énerve bien trop vite, et parfois, ça lui ai arrivé de lever la main sur son épouse, de la pousser à bout, de lui mettre des bleus au visage, des lèvres en sang, c’est plus fort que lui, il n’arrive pas à se contrôler. Il n’arrive plus à tout gérer, il voudrait souffler cinq minutes mais il ne peut pas. Il n’a jamais appris à souffler, personne ne lui en a jamais laissé le temps. Il aime Roxane, encore plus Jane. Il ne voulait pas de cette vie pour elles, mais Roxane est littéralement son sac de frappe, sa Catharsis, son exutoire. Et de toutes les manières que ça soit, rien n’est positif dans ce lâcher-prise.
Alors Roxane elle part avec Jane, et c’est là que Caleb s’effondre. Il devient encore plus violent, encore plus colérique, énervé, impulsif, il frappe le mec qui ne lui a pas laissé la priorité, il tabasse un client qui l’a regardé de travers, il écrase la tête sur le bitume d’un mec qui lui a refusé une clope. Et c’en est trop. Sa famille qui compte sur lui n’arrive plus à le reconnaitre, il est perdu, exténué, épuisé. Rien n’arrive par hasard. Il sait que tout est de sa faute et ça le ronge, cette culpabilité étouffante qui l’emporte dans ce tourbillon rouge. Il ne dort plus, il tient grâce à des excitants qui ne sont pas forcément légaux. C’est la descente aux Enfers, la chute brutale dans la réalité. Mais il continue à tout tenir à flots.
Et il croise le chemin de cette femme, cette espagnole qui le retrouve un jour sur un banc, la tête entre les jambes, tremblant d’épuisement. Elle le conduit chez elle, elle l’étreint, elle l’aide à souffler, le temps d’une journée. Elle est là, elle le porte. Sa fille lui manque, c’est tout ce qui compte. Il veut la voir, l’embrasser, la chérir, la voir rire. Voilà six mois qu’elles sont partis, et Caleb n’arrive pas à faire le deuil. Légalement, il est le père de cette princesse. Il l’aime tant… Et cette femme dont il ne connait pas le prénom va l’aider, elle va le revoir plusieurs fois par semaine, va le porter, le laisser souffler dans le creux de ses reins et de ses bras, l’aidant à arrêter toute forme de drogue, lui apprenant le contrôle sur lui, lui faisant oublier ses vieux travers tordus. Elle a eu du mal, l’espagnole, mais elle a réussi à lui faire réaliser un rêve de gosse et un rêve de père : il allait intégrer Harvard et récupérer sa fille. Quoiqu’il lui en coûte.
excellent choix et bon courage à toi
bienvenue, j'ai hâte de voir ce que vous nous réservez avec roxanne
Parker Thompson |
Anticonformiste - Grande gueule
Bienvenue
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