j’crois que ces derniers temps, j’avais un peu trop besoin de bouger. sortir, prendre l’air, m’amuser. comme si dès que j’étais chez moi, j’avais cette horrible sensation de suffoquer. et j’crois qu’en soit, c’était parce que je n’avais que dix neuf ans et que je me rendais compte petit à petit que les jumeaux sortiraient de l’hôpital sous peu et que je n’aurais pas d’autres choix que d’assumer pleinement mon rôle de maman. alors ouais, j’avais besoin d’être ailleurs. de faire la fête, d’agir comme une fille de mon âge le ferait. c’était pour cette raison que j’étais présente à cette fête étudiante célébrant alors la fin de l’année. fallait que je me fasse à l’idée que pour l’été, tous mes potes seraient au summer camp et que j’allais me retrouver en majorité seule ici. un verre à la main, je tournais de groupe en groupe parlant plus ou moins avec tout le monde, sociable comme toujours. et c’était là que je te voyais. thomas. y avait presque un an qu’on ne s’était pas adressés le moindre mot. la raison ? le moment torride qu’on avait presque faillit partager et ta désertion juste après. puis je devais avouer que quelque part, t’agissais comme le mec le plus creepy de tous les temps. liker toutes mes photos instagram, déposer des commentaires par ci et par là comme si t’étais complètement fan de ma personne, avoir toujours le regard sur moi et.. j’sais pas, c’était déstabilisant non ? puis t’étais là, ton verre à la main, l’air un peu perdu et j’sais pas pourquoi mais c’était vers toi que je venais. pas de phrase d’intro, rien, je prenais juste ton verre des mains reniflant la substance à l’intérieur. yerk, vodka. c’était pas bon pour toi. « si tu veux mon avis, tu devrais plutôt te servir un jus de fruit » seriously. « j’voudrais éviter que tu partes encore d’une soirée complètement nu » parce que c’était gênant pour tout le monde mais surtout pour toi.

@thomas holloway

T’es coincé. T’as toujours été le lourd de la bande à proclamer que t’aimes pas les soirées. Tu finis toujours bourré. C’est toujours toi qu’on doit porter en fin de soirée parce que t’arrives à peine à marcher.  Enfaîte t’as pas le doseur en face des yeux, t’es sois trop à jeune, la fête est plus folle avec tes mister coktail ou alors trop bourré. T’as jamais touché le stade ultime de l’avant verre de trop, jamais. A la base, tes venus chercher ta sœur. Jaz encore fourrée dans tous les mauvais plans qu’elle peut trouver. Tu l’as pas trouvé, tu t’es fini un verre entre tes doigts. La barmaid qui t’a fait ce clin do’eil. T’as pas compris, t’as rien cerné. Elle voulait te draguer, t’as offert ce verre pour que t’ailles lui parler. Mais t’as rien saisis, tu lui a fait coucou au loin, lev
ant ton pouce en l’air. Ouais, bah là, elle a du regretté, te prendre pour un enfoiré de gay.  Tu ne fais qu’avancer, travers la foule, protégeant ton verre dont tu as pris une gorgée. Ton estomac qui brule, une grimace sur ton visage. T’arrives pas à entendre la table de fille là-bas qui se fout de toi. Tu vois ton verre, disparaitre d’entre tes doigts tous boudinés, là. Ton regard qui suit le liquide atomiseur de gorge. Pour récurer les chiottes cette merde. Si tu veux mon avis, tu devrais plutôt te servir un jus de fruit. Cette voix-là. CELLE LA. Ton visage se fige, planté tes prunelles d’ébènes dans les siennes. Merde, accroche-toi. Tu vas tomber, encore une fois. Le noir de ses yeux, le fond d’un gouffre, t’aurais du mal à remonter, tu vas t’faire bouffer. J’voudrais éviter que tu partes encore d’une soirée complètement nu. HO NON, le voilà. Un téton qui se dessine dans ses yeux, dans les tiens. Tu passes ta main, sur ton visage. Effacer cette image si douce. NON. C’est brutal, si mignon, si petit. Des petits bonbons à croquer. Ses tétons que t’arrives pas à oublier. Ce sourie qui se trace sur ton visage. C’est ta bouée de secours, faire genre d’être cool. Putain non, t’es pas cool. Rentres moi ces dents, elles ressortent trop. MERDE ESSAYES D’ÊTRE NATUREL. Salut, j’sais pas qui t’es ! Mais pourquoi tu dis ça ? Tu reprends ton verre, cul sec. Faut que je parte, je cherche mon chien. Putain t’as perdu le nord.

j’sais même pas pourquoi je t’accostes en vrai. t’es juste.. le mec le plus étrange que j’ai jamais rencontré ? ouais. parce que t’as quand même atteint un niveau d’étrangeté supérieur à la moyenne. et si de base, j’aurais pu complètement laisser de côté ta phase de « je te chauffe puis je me casse », j’dois dire que tes popups incessantes sur instagram sont intrigantes. quel genre de mec plante une nana dans un moment torride pour finalement liker toutes ses photos, balancer des coeurs à tout va et ça, sans jamais lui adresser le moindre mot ? toi. y a juste toi pour faire un truc pareil. alors j’sais pas, t’es là, je suis là, je me dis qu’au pire, tu seras juste encore plus weird que d’habitude -si seulement c’est possible. j’te parle mais t’as l’air ailleurs. tu souris -j’crois que c’est un sourire ?- et d’un coup, c’est le vent. le mistral. ah, tu ne sais pas qui je suis ? j’parierais sur le contraire, sans prétention aucune. et l’excuse derrière renforçait la conviction. bien sûr, t’as perdu ton chien dans le bar. dans un bar où les animaux sont interdits même si paradoxalement, les trois quarts des mâles présents ici étaient des vrais chiens. « c’est étrange que tu te souviennes pas de moi » que je reprends, imperturbable. « j’ai minumum quatre notifications de ta part par jours » donc déjà, tu stalkes mes profils sur les réseaux sociaux. « tous les jeudi, t’es assis à côté du gymnase et tu t’en vas pile quand l’entraînement est terminé. » coïncidence ? « ah, et tu disparais à chaque fois que j’essaye de te parler » donc va falloir que tu m’expliques un jour où est le problème. j’suis pas méchante tu sais ? t’as un côté craquant même mais franchement, avoue que n’importe qui flipperait probablement devant ton comportement.

C’est étrange que tu te souviennes pas de moi. Oh si elle savait comme tu peux te souvenir d’elle. Tu voudrais l’effacer, de cette mémoire, trop sélective. Oublier ce qu’il vous est arrivé, ta façon de déraper, dans ses bras à moitié dessaper. Bordel, t’avais ton oiseau à l’air libre sous ses yeux, t’arrives même pas à te souvenir si elle a posé ses mains dessus, si il s’est passé pour ce p’tit machin que seulement prendre l’air que t’as toujours espéré qu’il se soit seulement passé. J’ai minimum quatre notifications de ta part par jours. Oui, bon. Pour l’idée d’essayer de l’oublier, t’as quand même foiré, abrutis. Tous les jeudi, t’es assis à côté du gymnase et tu t’en vas pile quand l’entraînement est terminé. OUI BON, pour effacer l’image de son corps si parfait trop bien gravé dans tes petits yeux de vicieux, t’es aussi loupé. T’s mort, un homme mort, t’as quoi à dire après tout ça ? Ah, et tu disparais à chaque fois que j’essaye de te parler. C’est ce que t’aimerais faire là, te barrer, prendre tes jambes de gorille à ton cou et galoper, loin, super loin. Tu soupires trop long soupire, même à travers cette musique pesante, c’est sûr que tout le monde à pu l’entendre. Tu sais pas comment te sortir de là, t’es juste pris au piège. Tu vas devoir te justifier d’être un gars chelou. Tu veux pas venir.. Dehors ? Loin de l’alcool, du bar, des coins sombres comme le couloir des toilettes propices à tout un tas de souvenirs beaucoup trop agréables pour être tolérables. Machinalement t’attrapes son bras pour l‘entraîner derrière toi, direction la sortie. Une fois dehors, l’air frais contre ton visage, tes idées qui reviennent en place. Tu relâches son bras rapidement, comme si t’avais touché Sa Majesté et que tu vas te faire persécuter. Merde, j’pas touché. Si, t’as touché. Un regard autour de toi, tellement de possibilités de partir en courant, de fuir, la discussion, mais là tu l’sais, tu peux pas te défiler. J’ai un frère jumeau, en réalité je m’appelle Charlie. Une main sur ton torse, gage de sincérité. Mon cul, c’est du poulet. Ca s’voit à ton minois, tu sais pas mentir. T’es un enfant. Ton regard qui se baisse, lentement vers son décolleté, sans t’en rendre compte, hypnotisé. Putain, tu vas finir une main par ta gueule et la visite des flics pour harcèlement. Il a pas oublié, fein, le soir là et tout. Et tout ?

alors en fait, comme j’arrive vraiment pas à te cerner, je suis obligée de venir te voir là maintenant tout de suite. et manque de chance pour toi, comme tu ne m’as pas vu arriver, tu peux pas t’enfuir sournoisement comme à chaque fois. j’crois qu’il est l’heure de notre confrontation en fait et peut être que tu finiras par m’expliquer pourquoi est-ce que tu es aussi étrange avec moi. non mais parce que vraiment, j’essaie de comprendre mais j’trouve pas la réponse dans tout ça. alors quoi ? t’es juste un mec bizarre qui va me stalker jusqu’à la fin de mes jours ? j’suis pas certaine d’aimer spécialement cette éventualité. probablement parce que si ça continue comme ça, tu vas vraiment finir par me faire flipper et si je deviens parano, là, on sera vraiment dans la merde. et j’sais qu’à chaque fois que je te remet un élément en plein visage, tu te décomposes. c’est dingue parce qu’en fait, il est possible de lire en toi comme dans un livre ouvert. j’sais que y a des gens qui sont pas spécialement doués pour cacher leurs émotions mais toi, t’obtiens la médaille d’or. j’ai presque l’impression d’avoir quelqu’un à côté de moi qui me souffle exactement ce qui se passe dans ta tête dès que je prononce un mot. j’te jure, tu devrais travailler sur ça parce que ça doit pas t’aider dans la vie de tous les jours. « bah » pas le temps de finir, y a ta main qui accroche mon bras alors que tu me traînes presque vers la sortie. d’accord, t’attendais pas une réponse de ma part. mais déjà que t’as un comportement plus que suspect, ça m’aide pas spécialement à me sentir sereine dans tout ça. est-ce que c’est le moment où je dois me débattre et me mettre à hurler de toutes mes forces pour qu’on me vienne en aide ? parce que clairement, j’ai pas vraiment envie de finir dans un fossé en décomposition parce que t’auras assouvi une quelconque envie de psychopathe. « si si, tu m’as touché » que je réponds quand tu me lâches. ouais, j’crois pas que tu vas me faire quoi que ce soit, t’as l’air plus apeuré qu’autre chose dans l’histoire. à croire que c’est moi qui vient de te traîner ici. et.. non ? j’veux dire, quand tu parles, j’ai l’impression qu’une enseigne lumineuse s’est soudainement mise à clignoter « menteur, menteur, menteur » que ça scande partout autour de toi. « tu veux dire que tu n’as pas oublié thomas. » j’vais pas du tout avaler ton histoire de frère jumeau par contre. j’fais peut être fille superficielle mais j’suis très loin d’être bête. « pourquoi t’en fais toute une histoire ? t’as flippé, t’es parti, c’est tout. t’es traumatisé ou quoi ? » j’sais pas, t’as jamais vu un corps féminin dénudée toi ?

Si, si, tu m’as touché. Non tu l’as pas touché, tu veux pas, faut pas. Elle te fait trop d’effet. Cet effet. Celui qui te donnes des frissons, le long des bras, de tes jambes, ouais des jambes. Et j’peux te dire qu’avec tes jambes de gorille, un frisson, ça s’voit bien. Tu peux pas l’expliquer, c’est trop compliqué. Elle est si belle, tu te souviens, de sa peau, si douce. Ce parfum noix de coco, trop délicat, si délicat. Un Bounty. Cette meuf est une barre noix de coco chocolat, sans le chocolat, peut être chocolat blanc, si fondant sur les lèvres. Une tonne de sucre, ce qui rend accroc. T’es pas accroc, juste un peu peut être chamboulé. T’es complètement détraqué. C’est une boule de bowling t’était la seule quille à démolir, strike. T’es tombé, tu t’es pas relevé, depuis cette soirée. Tu veux dire que tu n’as pas oublié thomas. Ton frère qui passe pas du tout, t’as pourtant bien une jumelle, au féminin, ouais, la blonde, le brun. Dur de confondre. Elle gobe pas ce que tu lui débites, ce que tu peux bien lui sortir, pour t’en tirer d’la, indemne, sans devenir rouge, sans commencer à trembler de tout ton cœur, ton corps. Pourquoi t’en fais toute une histoire ? t’as flippé, t’es parti, c’est tout. t’es traumatisé ou quoi ? Si elle savait bien plus que ça tout ça. Pour toi, ce n’est pas rien, son corps nu, tes mains dessus. C’était la première fois, pour toi. Sans même avoir été plus loin, être aussi près de toute cette nudité, ces courbes féminines qui t’affole. C’était la première fois, pour toi. Tu t’es barré, l’cornichon à l’air libre, comme un con. T’avais cette sirène dans tes bras, juste pour toi, mais t’as décidé d’te barrer. Finalement tu l’as peut-être regretté. T’as aussi compris la honte que tu t’es tapé. Tu soupires, ton cul qui se pose sur le rebord d’un petit muret. Tu capitules, elle ne lâchera pas l’affaire. Maintenant qu’est-ce que t’es censé dire, hein ? J’sais pas , tu t’en fou toi ? J’touchais tes… Tu mimes dans le vide, tes deux mains qui se plient en forme de pince. Ses seins, ses seins Thomas. On s’embrassait et tout, ça allait se passer ! Ouais t’allais tremper zizi, mais non. D’ailleurs très beaux.. Tétons. NON CA SE DIT PAS.

j’commence à me poser des questions parce que clairement, tes manières d’agir, elles sont tout sauf normal. bon, déjà, rien que le fait que tu te tires soudainement en courant ce soir là c’était déjà pas clair mais.. tout le reste par la suite n’avait fait qu’accentuer les choses. et sûrement que j’aurais jamais posé la moindre question si t’avais pas été dans les parages à chaque fois. alors j’sais pas, autant crever l’abcès. tu vois bien que je ne t’ai pas fais la moindre réputation, que j’ai jamais mentionné cette nuit-là à quiconque et.. j’sais pas. passe à autre chose non ? il y a eu ce qu’il y a eu. t’as flippé pour je ne sais quelle raison et fin de l’histoire. y a tellement pas de quoi en faire un drame en fait. je te jure. faut sincèrement que t’arrêtes. puis le pire, c’est de te voir t’enfoncer dans des discours incohérents. à inventer soudainement un sosie parfait de ta personne. j’veux dire.. qui gôberait ça ? certainement pas moi en tout cas. j’arque un sourcil quand tu reprends la parole avant de me pincer les lèvres. t’es sérieusement en train de faire ce que je te vois en train de faire ? non mais parce que vraiment, thomas, tu deviens un sacré weirdo là. oui, tu touchais mes seins, et puis ? t’étais pas le premier, tu seras pas le dernier et j’espère pour toi que t’en toucheras d’autres dans ta vie. « oui mais ça n’a pas été le cas » parce qu’au cas où que tu ne te souviennes pas, t’as pris la fuite d’un coup et tu m’as laissé avec ma frustration. « je.. wow » ok, je suis obligée de rire. parce que je crois que la première fois qu’on me sort un compliment de ce genre là et.. ouais, je pars dans un fou rire. putain, t’es vraiment atteint, je te jure, c’est pas possible autrement là. « j’vais te poser une question très sérieuse » genre vraiment. « t’as déjà fait quelque chose avec une fille genre.. coucher avec elle ? » non mais parce que si ce n’est pas le cas, ça expliquerait beaucoup de chose, crois moi.

Elle rigole, elle se fout de ta gueule. C’est clair, maintenant tu passes pour un con, tu l’sais, t’as devinais. C’est fini, maintenant. Tu pourras plus avoir l’air à moitié cool, zéro crédibilité. T’es juste chelou, à souhait. Tu ricanes pas, non, pourquoi faire. Tu sais pas quoi faire ? Tu devrais rire, sourire ? Dire un truc, non, elle s’moque de toi. Au fond, t’aimes pas ça, ça te ferait presque mal. Pincement dans ton cœur, si pur, l’innocence même. Tu veux pas qu’elle te prenne pour un mongol, un mec fou, alors que t’es l’gars le plus mignon qu’elle rencontrera dans sa vie avant un moment ouais. Tu ne tuerais même pas une mouche par peur qu’elle souffre trop. Tu ne tuerais même pas une araignée parce que c’est trop triste de lui ôter la vie. Tu diras toujours à une femme qu’elle est belle parce que tu l’pense tellement sincèrement. Mais elle s’moque de toi. T’en fais tout un fromage, mais la vérité, ouais, t’étais quand même grave chelou. j’vais te poser une question très sérieuse. t’as déjà fait quelque chose avec une fille genre.. coucher avec elle ? Tu lèves les épaules, d’un geste, simple, totalement sans complexe. Bah non. Comme ci y’avait rien de chelou là-dedans. C’est le cas, c’est juste si rare, ouais, on va dire ça. Un gars comme toi, y’en a pas beaucoup, dans ce monde. Attendre la bonne, c’est ce que tu veux. C’est pour ça que j’suis parti. J’veux pas faire ça dans un chiotte de bar. Tu ricanes. C'est nerveux. Tu te retournes vers elle cette fois, ton rire ce stop. Ravales ta salive. C’est grave ? Non, y’a rien de grave à ça. Strictement rien.

et je ne juge pas. genre.. je ne juge pas du tout. si t’as jamais rien fait, c’est pas la fin du monde. j’trouve d’ailleurs que c’est limite mieux que perdre sa virginité avec n’importe qui. et du coup, j’serais limite soulagée que ce soit la raison pour laquelle tu sois parti en courant. et clairement, j’aurais pas spécialement assumée d’être ta première fois. pas dans ce genre de contexte tu vois ? et bref, tu me confirmes les choses alors moi, je souris. attends attends, interprète pas mal les choses. je ne suis pas en train de me moquer de toi. genre pas du tout même. « nah. j’trouve ça même plutôt bien que t’es su revenir en arrière d’un coup » et puis comme tu dis, pour une première fois, faire ça dans les toilettes d’un bar y a quand même mieux. j’vais peut être être cliché mais.. c’est censé compter. avoir un minimum de signification alors.. ouais, te prends pas la tête. tu trouveras la bonne et tu feras ça bien. même si clairement, j’reviens sur le fait que tu devrais arrêter l’alcool parce que ça t’as quand même mis dans une sale position pour la peine. « mais arrête l’alcool. peut être que t’es même plus puceau et que tu t’en souviens pas » j’veux pas te faire flipper mais vu tes réactions et ta manière de réagir quand t’es alcoolisé, j’parierais pas sur le fait que ça ne puisse jamais se produire tu vois ? donc ouais, vas y mollo et contente toi de boire du jus de pomme, ça vaudra mieux pour toi. « mais du coup.. pourquoi tu me stalkes comme ça ? » et je t’ai déjà prouvé par a+b que tu le faisais donc cherche pas à nier.