Ce petit rien qui vous rend fou
— with @Adélaïde Windsor  

Il n’y a rien de pire qu’une impression de déjà vu et c’était clairement ce que Nate était en train de vivre. Il était au «  Luna Café » en train de boire un milksheake tout en essayant inlassablement de se souvenir où il avait aperçut la blonde qui était en train de rire avec ses copines. Mon dieu elle allait le prendre pour un pervers ou un dragueur de bas étage. Il ne s’agissait absolument pas de ça c’est juste… son visage lui était étrangement familier. Où mais l’avait-il déjà vu ? Au cinéma ? Nate était souvent à la caisse il voyait pas mal de monde. Dans les gratin lors d’un des match de Basket ? Certain supporter avait l’art pour se faire remarquer plus que d’autre. Le club de journalisme peut-être ? Non non et non. Ce n’était pas ça. Il continua de cherchait. Ça allait le rendre dingue ! Le jeune McLaren avait reçu une bonne éducation. Si le rôle de «  père » de son père adoptif au rait pût sans nul doute être contesté, ses parents biologique, eux, avait su lui inculquer les bonne manières et une bonne éducation. Notamment il savait que c’était mal poli de dévisageait vers gens, aussi quand l’inconnu se tourna vers lui, il baissa automatiquement le regard vers son verre. Il releva les yeux et l’observa encore, continuant de creuser dans sa mémoire. Encore une fois il baissa les yeux vers son verre, faisant semblant de jouer avec sa paille. Quand il regarda dans sa direction, il se rendu compte qu’elle n’était plus dans son champ de vision…

Ce petit rien qui vous rend fou
— with @Adélaïde Windsor  

Nate commençait un peu à paniquer alors que la demoiselle qu’il n’arrêtait pas de regarder se dirigeait vers lui. Comme toujours il se demandait ce qu’elle allait en penser, se préoccupant souvent des autres. Il avait essayé d’être discret mais au final, il fût bien loin de l’être. Il ne voulait pas la mettre mal à l’aise et il n’était pas un pervers ou un dragueur. Non. Tout ce qu’il voulait c’était se rappeler où il l’avait vu. En même temps si ça se trouvait, elle l’avait peut-être reconnu, elle, et pourrait l’aider. Quand elle lui fit face et se mit à le vouvoyait, il en conclu qu’ils ne se connaissaient pas réellement. Il sentit le rouge lui monter aux joues. «  Si… euh… je suis désolé. » Il se sentit penaud.   « Je pourrais penser à un pervers qui ne fait que fixer une bande de fille à une table. » «  Vraiment désolé » dit-il de nouveau. «  Il ne s’agit pas de ça… je… J’ai une horrible impression de déjà vu. » Finit-il par avouer. «  Je suis désolé je ne voulais pas paraitre déplacé ou vous mettre à l’aise, vraiment. C’est juste… ça m’agace de ne pas me souvenir ! » Il poussa un soupir.«  Vous venez souvent au cinéma ? J’y travaille. »