L'alcool ne te réussi pas du tout.....

Assise sur ma chaise à ma terrasse, je sais que l’on peut me rejoindre par-là si on passe par la plage. Sous mon parasol, j’ai ma bouteille d’eau fraiche avec mes cours à faire. Je profite de cette belle journée, pour être un peu dans une brise d’air qui me fait littéralement du bien. Je continue mes cours, je ne sais pas trop ce que je peux faire pour rester au calme. J’entends du bruit venant de la plage, je lève la tête et je vois Aaron ivre ! Il a bien trop bu d’alcool, je le vois venir vers moi apparemment tout content de me voir. Je ne sais pas du tout comment le prendre, mais bon, je le vois qui vient encore plus vers moi. Il chantonne, il tient encore sa bouteille à la main. Je me demande bien comment est-ce qu’il a pu venir chez moi comme ça…. Je regarde mon voisin, et je lui dis : « Je le connais, je m’en occupe. » Je vais chercher un autre verre, et je remplissant d’eau bien fraiche, je lui dis furieuse : « Que tu ais un souci d’amour, qu’elle t’a larguée, je veux bien, mais que tu viennes chez moi comme ça ivre, hors de questions ! » Lui jetant le verre d’eau à la figure, je l’assieds sous le parasol, et moi, je vais à l’opposé de la table…

L'alcool ne te réussi pas du tout.....

Furieuse, je l’observe qui tente de me faire des excuses. Je me penche un peu ; et je lui dis toujours mécontente de lui : « Mais tu ne penses pas que tu aurais dû recommencer à boire. Tu ne trouves pas que tu vas aller plus dans le désespoir comme ça ?  » Je le fusille du regard sachant qu’il abuse clairement de la situation. Je ne suis pas contente du tout de lui, je rajoute : «  La chambre d’ami est au rez-de-chaussée, il y a une douche de libre… » Je recule sur ma chaise, puis, n’ayant plus envie de lui parler pour le moment, je me lève pour aller dans la cuisine faire de quoi manger pour Aaron vu qu’il doit avoir le ventre vide. L’entendant se diriger vers la douche, je me demande si je n’ai pas des vêtements à lui ici au cas où… Mais ne me souvenant pas d’en avoir à lui, je cherche des vêtements de mon père.

Allant au placard, je prends des vêtements, puis, les déposants dans la salle de bain, je sors aussi des serviettes de toilettes. «  Tiens, c’est pour toi.  » Toujours furieuse, je retourne sur la terrasse pour finir de lire mon livre et de déposer les cases croutes sur la table. Sous le parasol, je reprends ma lecture, enfin, je tente mais je n’y arrive pas du tout… Croisant à nouveau le voisin, je le vois qui vient vers moi : « Tout va bien Honey ? » Je lui dis : « Oui ça va, au pire s’il y a un problème je t’appellerai… C’est juste un ami qui a une peine de cœur…  » Alors que je m’arrête de parler, je vois le voisin qui lève la tête. Je me retourne je vois Aaron qui revient de la douche. On peut dire que ça va barder pour son matricule…

L'alcool ne te réussi pas du tout.....

«  Oui allez à la douche ! Tu pues !  » Je ne suis pas contente du tout de ce qu’il fait, je ne sais pas trop ce que je peux dire de plus. Regardant devant moi, je ne veux plus lui parler. Je le vois allez sous la douche, je ne sais pas comment est-ce que je dois réagir, mais bon, je trouve qu’il est pas mal que je l’écoute même si je lui en veux. Je ne sais pas trop, je bois un peu d’eau, mais bon, je dois me calmer mais je ne sais pas du tout comment. Je réfléchis à ce que je pourrais bien lui dire, je ne suis pas contente de lui, je ne sais pas vraiment ce que je vais faire. Je pense tout simplement que je dois lui parler, mais bon, je me lève pour être à sa hauteur.

Je le vois gêné, je sais qu’il n’est pas bien du tout, il passe le haut que je lui ai filé, puis, je trouve qu’il a le droit de m’expliquer, mais bon, je suis encore furax contre lui.  Je l’écoute, puis, je lui dis sérieusement : « Tu ne trouves pas que tu dois mieux te comporter ?   » M’asseyant à côté de lui, je l’observe un instant, puis, je ne sais pas trop ce que je peux dire de plus, je ne suis pas contente de lui, mais je vois encore qu’il n’est pas bien du tout. Je lui demande aussi blessée de l’avoir vu ainsi : «  Hum… Pas de quoi pour la douche…  » Il me touche tout de même de le voir comme ça. Je ne sais pas comment je dois faire pour la suite, je me dis que je dois tout de même lui pardonné, mais je ne sais pas, je pense qu’il risque d’abuser un peu par la suite… « Je te pardonne….Mais juste pour cette fois-ci, la prochaine fois, tu auras mon pain dans la figure si tu recommences….  »

L'alcool ne te réussi pas du tout.....

L’observant sérieusement, je vois bien qu’Il s’en veut tout de même beaucoup. Je me lève, puis prenant mon plateau, je rentre chez moi, je lui dis doucement : « Il va commencer à faire froid, peux-tu fermer la porte fenêtre s’il te plait ? » Je me dirige vers ma cuisine, j’avoue que je n’ai pas diné non plus, je me demande bien ce que l’on va pouvoir manger. A vrai dire, je n’ai pas vu l’heure, prise par ma lecture, je n’ai pas vu l’heure tardive. Posant le plateau sur la table, je réfléchis tout en regardant mon réfrigérateur. Je me tourne vers lui et je lui demande : « Tu as promis de te ressaisir, ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde. Est-ce que tu veux manger des crudités ?   » Ne le laissant pas me répondre de suite, je sors les crudités que je dois finir de manger. Puis prenant des assiettes, je dispose l’entrée dessus. Sortant les couverts du tiroir, je lui dis en riant : « Vu que môsieur est passé à la savonnette, il va m’aider sinon il ne mange pas.   » Souriant un peu, je sais que je vais lui faire un petit tour. Je lui donne le tablier : « Tiens met ça on va cuisiner, sinon tu vas te salir. Et il faudra prendre une nouvelle douche.   » Cette fois-ci riant un peu, je le vois mettre le tablier qui a dessus des légumes de toutes les couleurs avec une blague marquée dessus.

Je ris, puis, je sors la viande et la poêle pour manger. Le poussant gentiment pour le mettre devant la gazinière, je lui dis en souriant : « Allez p’tit poussin, à la cuisine, j’ai faim !    » Lui amenant les ingrédients, je m’assois sur ma chaise, et riant de plus belle, je rajoute au moment même où mon ventre gargouille : «  Ne t’inquiète pas, tes parents ne seront rien, rassures toi.  » Buvant un peu d’eau je lui sors aussi un verre. Prenant une spatule en bois, je le taquine sachant que la dernière fois on avait fait une bataille avec les spatules en bois dans la cuisine…

Je sais que c'est bizarre d'avoir ce genre de penser avec notre amitié, mais oui, je ressens une certaine attirance envers mon amie Honey, c'est dingue, je n'en reviens toujours pas d'avoir ce genre d'attirance pour elle, dès que je ferme les yeux, je pense à elle sans raison, c'est assez particulier, car c'est ma sœur de cœur. Une petite voix dans ma tête, me dit aller fonce, tu risques quoi ? Perdre une forte amitié certes ? Mais tu peux vivre une très belle aventure avec elle ? Elle ne m'a jamais vu ainsi, mais je suis assez timide devant elle, tout à l'heure non, car j'étais bourré, mais maintenant oui, je n'ai qu'une seule envie, c'est de l'embrassé, c'est très dur de résister à ses pulsions, c'est horrible, vraiment, je ne sais pas quoi faire. Elle ne m'a jamais vu ainsi, mais je suis assez timide devant elle, tout à l'heure non, car j'étais bourré, mais maintenant oui, je n'ai qu'une seule envie, c'est de l'embrassé, c'est très dur de résister à ses pulsions, c'est horrible, vraiment, je ne sais pas quoi faire. 

Voilà, c'est fait, puis-je la rejoint ensuite à la cuisine. 
Pourquoi pas oui, ce n'est pas à mon habitude de manger des crudités pour dire la vérité, je suis plutôt viande rouge, mais pour Honey, je veux faire l'exception, puis j'ai tellement faim que je pourrais tout manger à mon avis.
Hum oui, dis-moi en quoi je pourrais être utile ? Dis-je en l'aidant, à mettre la table. 
Je prends alors, le tablier, sans trop regarder à ce qu'il y a marqué dessus, puis je vois Honey en train de rire, à mon humble avis elle viens de me faire une petite blague, je regarde mon tablier, puis j'éclate de rire, pas mal la blague, j'adore.
Tellement que je ris, j'en deviens logement rouge, puis je vois la jeune femme sortir de la viande, dans ma tête, je me dis oh oui elle me connais bien la petite blonde, elle sait que je ne peux pas m'en passer.
P'tit poussin, j'adore ce surnom, dis-je en rigolant de nouveau, avant de me mettre à faire la cuisine pour Honey.


J'espère bien, tu sais comment ils sont, ma mère ça va encore, mais mon père un vrai militaire, je joue le jeu j'adore ça cela nous rappelle notre jeunesse. Dis-tu te souviens de notre dernière bataille ? Tu me dois une revanche non ? Dis-je en la regardant avec un petit air malicieux, puis je sors deux ustensiles de cuisine pour être prêt au combat. Tiens, à toi de jouer, elle était maintenant armée, je sens qu'encore une fois, on va se taper des barres de rire.

L'alcool ne te réussi pas du tout.....

La porte fermée, je l’entends se faire clouer le bec, je le vois venir vers moi tout penaud. Je ne sais pas trop quoi penser, mais bon, il est tout d’un coup tout timide, ce qui me donne la sensation qu’il n’a guère pas tout dit. Je souris, je me doute qu’il va sans doute m’annoncer des choses, sans doute des mots qui vont tout chamboulés notre relation mais qui peut aussi la faire évoluer dans le bon sens du terme. Je lui dis : « Et bien, déjà me dire ce qui te tracasse.  » J’ai décidé que  j’allais lui tirer les vers du nez.

Le voyant rire, je me doute qu’il a enfin vu ce que je lui ai fait. J’avoue que cela me change les idées mais que je vais aussi le faire parler. Je souris, puis, je le vois encore un fois tout chamboulé, je vais bien réussir à le faire parler même si je dois le priver de viande rouge…. « Petit poussin va devenir ton nouveau surnom, à moins que tu n’y trouves un inconvénient ?  » Je le provoque un peu, parfois cela m’amuse de le faire avec lui rien que pour le rendre dingue. Il finira par craquer, je l’aurais à l’usure… Le poussant un peu du coude, je lui demande : « Tu es sure que tu n’as rien à me dire ?  » Autant le faire pour savoir où est-ce que je dois mettre les pieds.

Je ris tout en coupant les légumes pour les mettre dans la poêle. « J’espère bien qu’un jour, tu feras la même chose pour moi.  » Notre enfance a toujours été douce, une fois adolescent on ne pouvait plus rester dans la même pièce tous seuls. Comme si les parents avaient mis un mur invisible entre nous afin de parer à tous problèmes éventuels. Je pose le couteau en le voyant sortir deux cuillères en bois. Je lui dis tout en riant : « Fais attention, je suis en pleine forme.  » L’attaquant gentiment pour aller lui faire des chatouilles, je le frôle furtivement, je sens que cela nous donne une autre sensation assez surprenante. Comme celle que nous avions eu adolescent une fois lorsque nous nous tenions la main dans les jardins chez ses parents… Ne bougeant plus face à se souvenir, je l’observe tendrement.

Je n'ai jamais eu de problème pour parler de mes ex petites amies avec Honey, elle connais tout sur mon passé amoureux, à chaque fois que j'avais un soucis de couple c'était vers elle que je me tourné, elle à pratiquement rencontré toutes mes ex, elle connais donc mes goûts en matière de femme, j'ai toujours dis à Honey, que je l'adorais comme ma sœur de coeur, je ne lui est jamais vraiment dis que je l'aimais du moins pas dans mes souvenirs, ma réponse la plus facile c'était oui moi aussi toujours dans la rigolade avec Honey, c'est comme sa que nous sommes, il serais peut-être temps que je lui disent ce que j'ai sur le coeur, en disant que je l'aime que je ressent une attirance pour la jeune femme, seulement voilà j'ai tellement peur de me rater, j'ai tellement peur de me ridiculisé, j'ai également peur qu'Honey ne me prennent pas au sérieux… Je la regarde en souriant avant de lui répondre. Tu veux vraiment savoir ce que j'ai en tête en ce moment ? Je connais bien la jeune femme, je sais que quand je n'aurais pas craché le morceau, on ne passera pas à table quitte a me passer sur le corps, quand elle veut savoir quelque chose, elle ne lâche rien, elle fonce sans réfléchir, c'est ce que j'aime chez elle d'ailleurs. Non pas, du tout puce, sinon je te l'aurais dit, dis-je en souriant tout en gardant mon sérieux, oui, je peux être sérieux dans une conversation quand il le fallait, mais je ne voulais pas non plus lui faire peur. En fait, si j'ai quelque chose d'important à te dire puce, j'arrête donc de m'occuper de couper les légumes pour poser mon regard sur le sien, c'est simple, je ne peux plus reculer, je devais lui dire absolument ce que je ressens pour elle, mais voilà, j'ai peur de laisser un malaise entre nous, alors qu'il y en avait jamais eu dans notre relation.
Bien sûr que je le ferais, je ferais absolument tout pour toi, puis je prends un grand souffle avant de me retourner face à la jeune femme en lui disant.
Depuis quelque temps, je ressens quelque chose pour toi une sorte d'attirance, mais pas que, je sais que notre relation est une amitié fusionnelle, mais je t'avoue que j'aimerais un peu plus que ça, j'aimerais savoir ce que tu en penses, je voudrais préciser que ce n'est pas une blague, c'est bien trop sérieux pour que ça en soit une.
Elle risque d'être aussi perdu que moi, mais je devais tout dévoiler, je sais que je sors d'une relation de couple avec mon ex petite amie Enora, je sais que c'est le bordel dans ma tête, mais ce que je ressens pour Honey n'est pas du tout anodin. Je la regarde droit dans les yeux, en attendant une réaction de sa part...