Je te fais monter dans ma chambre que tu connais déjà par coeur et j’ouvre mon placard qui contient ma petite collection personnelle. Celle là aussi tu la connais, même si en général, dans l’urgence du moment, on n’en profite pas assez. C’est notre défaut ça, notre impatience. On veut tout, tout de suite. Mais aujourd’hui, t’as accepté de tester tes limites avec moi. Parce qu’on a tous une limite. Comme tu dis, t’as juste pas encore trouvé la tienne. Et moi, c’est ma curiosité qui me pousse à faire ça. J’suis curieux de savoir où Serah Winters s’arrête, jusqu’où elle peut aller avant qu’elle ne dise stop. Parce que ouais, j’ai l’impression que tu ne dis jamais stop. Et c’est intriguant. Y’a du plaisir dans la douleur ouais, mais jusqu’où tu supportes la douleur? À quel point une dominante comme toi arriverait à se soumettre? Parce qu’entre nous au lit, c’est toujours un combat, celui qui prendra le dessus, celui qui commandera. Mais là, t’as accepté de capituler pour aujourd’hui. Alors je retire mon t-shirt et me tourne vers toi. « Par quoi tu veux commencer? » Ça allait être à la fois une partie de plaisir et une expérience presque scientifique. Je te laisse regarder les objets que je possède et me dire ce qui te parle le plus pour l’instant, pour démarrer. Le principal dans tout ça, c’est la confiance. Et j’suis sûr que tu me fais totalement confiance, comme j’ai moi aussi une confiance aveugle en toi. Donc c’est déjà un bon point.

@Serah Winters

Cette collection que tu avais dans ta chambre était terriblement impressionnante, mais plus encore, elle était sacrément excitante. D’ailleurs, je ne pouvais m’empêcher de me demander pourquoi nous ne nous en servions pas plus souvent. Du coup, forcément, j’étais plus qu’heureuse de passer la journée avec toi aujourd’hui afin de découvrir mes limites parce que ça impliquait aussi un maximum de plaisir. À peine dans ta chambre, tu retires déjà ton t-shirt comme pour donner l’ambiance. Moi? Je porte encore mon trench coat, un sourire dansant sur mes lèvres. « Par quoi tu veux commencer? » Je regarde un moment ta collection en laissant trainer ma main dessus et pivote finalement vers toi détachant lentement la ceinture à ma taille, les pans de mon manteau s’ouvrant pour révéler un ensemble particulièrement sexy dessous. « Eh bien... j’ai cru qu’on pourrait commencer par… ça. » Je jette un œil à cette guêpière que je porte avec une culotte assortie, des collants et bien sûr un porte jarretière. Je fais quelques pas vers toi, telle une prédatrice en te dévorant du regard. Ouais, ce sera chaud aujourd’hui ça c’est certain.

hj: so sorry babe, c'te foutu rep que j'ai du refaire ><

Journée spéciale en prévision, tester les limites de mademoiselle Winters. Ça risque d’être long en fait, parce que ouais, j’avais pas l’impression qu’elle en ait. Et le pire, c’est que j’pense que mes limites arriveraient avant les siennes. Pain is pleasure comme on dit toujours mais genre… J’pourrais pas lui faire de mal, même si ça la fait kiffer. J’pourrais pas la frapper ou la violenter, c’est pas moi, moi ça m’excite pas de devoir vulgairement la brutaliser. Alors j’espère qu’on pourra contourner le problème autrement. J’te demande par quoi tu veux commencer et j’esquisse un sourire quand tu me dévoiles ta tenue foutrement sexy. « Tiens, ça m’étonne que t’aies fait tout le trajet jusque chez moi dans cet accoutrement sans même te toucher. » Comment t’as pu résister? J’trouve qu’il manque un truc à ta tenue perso. Je fouille dans mes tiroirs et en sort un bandeau noir que je viens nouer sur tes yeux autour de ta tête. Être privée de sens et de mouvements, c’est la première règle pour être soumise. Donc deuxième étape, j’attrape une paire de menottes au gros bracelets en cuir noir, intérieur fourrure pour que t’apprécies un peu mieux le contact. Et je viens te les passer dans ton dos. « Ça va pour l’instant, tu supportes? J’sais que ça va être dur de ne pas me voir ni me toucher. » que je souffle dans un petit sourire mesquin.

Ton regard sur moi brûle déjà de désir rien qu’à voir ma tenue et c’est avec un plaisir non feint que je laisse complètement tomber mon manteau pour n’être qu’en dessous affriolant avec des talons vertigineux. « Tiens, ça m’étonne que t’aies fait tout le trajet jusque chez moi dans cet accoutrement sans même te toucher. » Je roule les yeux et esquisse un sourire. « Qu’est-ce qui te fait croire que je ne me suis pas caressé un peu? » Et qu’est-ce qui te fait croire que je compte te dire si c’est le cas ou non? J’aime bien garder le suspense en fait alors je n’ajoute rien, te laissant plutôt revenir avec un bandeau que tu attaches sur ma tête, couvrant mon regard. « Qu’est-ce que tu fais..? » Oh… déjà hein? Même pas tu me laisses te toucher d’abord et profiter de la vue prenante à laquelle j’ai normalement droit sur ton membre en érection? Dépourvu de vision, c’est par mes autres sens que je te sens disparaitre à nouveau pour mieux revenir avec ce qui semble être une paire de menotte. Tu passes mes mains dans mon dos et me restreint ainsi d’avantage. « Ça va pour l’instant, tu supportes? J’sais que ça va être dur de ne pas me voir ni me toucher. » Je ris doucement. « Ça va, je supporte. Dis-moi que j’aurai au moins droit à ta queue dans ma bouche bébé? J’ai grave envie de te sucer… » J’affiche une moue boudeuse en penchant un peu la tête sans trop savoir où tu es.