— i'm confused. really, really, really confused.

— spring break 2018
« j’ai raison, c’est juste que vous vous mettez des barrières inutiles comme si aimer était une maladie » mais c’était pas le cas. ça n’en était pas une. aimer, c’était ce qui nous aidait à avancer dans le monde. et un monde sans amour, c’était sûrement la pire chose au monde. alors ouais, faudrait peut être qu’ils arrêtent tous de se freiner comme ça et qu’ils laissent réellement une chance à ce sentiment qui était certainement le plus beau au monde. « je sais pas, dit toujours » mais clairement, j’avais pas eu ce que l’on pouvait appeler une bonne expérience avec pluton alors ouais, j’étais pas vraiment sûre que je sois de bon conseil. coucher avec son meilleur ami, c’était sûrement le truc le plus compliqué au monde en fait et ça entrainait tout un tas de problème. que ce soit pluton ou moi on pourrait le confirmer et on s’était achevés de bien des manières. « est-ce qu’il s’est réveillé par ce qu’il y a alejandro ? » ça, c’était la question à se poser pour de vrai. parce que si c’était le cas, ça s’appelait de la jalousie et c’était quand même moche de la laisser poireauter et de venir pile au moment où elle rencontrait quelqu’un. en fait, c’était même carrément malsain. « j’ai pas les meilleurs conseils du monde » je soufflais passant mes mains dans mes cheveux. « va là ou tu seras heureuse harper. et à ce que j’entends, alejandro est capable d’être bien pour toi » parce que clairement, elle avait besoin d’un type comme ça. d’un typer qui n’était pas malsain, calculateur. loin de ce monde de bourgeois et c’était peut être comme ça qu’elle allait vraiment connaître ce qu’était l’amour.