I'D DO ANYTHING FOR YOU
— ft. @Arthur Grimaldi-D.M.

« C'est vrais ! On remédiera à ça dans quelque mois, c'est promis, et crois moi je suis aussi douée sur neige que sur l'eau. Tu pense que tu pourra suivre le rythme ? » le taquinais tu, ayant farouchement l'envie de voir comment vous vous en sortirez tous les deux en surf. Après lui avoir donner une bonne note, ton ami commence à bomber le torse, et tu ris, le voilà qui fait le coq tout fier de sa note, jusqu'à ce qu'il te demande d'avouer que tu l'avais plus noté sur sa beauté que son talent en tant que plongeur. Tu rie et annonce avec taquinerie « Peut-être bien, mais dit donc, les chevilles ça va ? » Tu l'éclabousse avant qu'il ne vienne t'aider avec les affaire et que vous puissiez enfin être sur la plage. Après vous être installer, tu te lance dans l'idée de le chatouiller même si tu sais qu'il ne craint pas les chatouilles, mais c'est quand même beau d'avoir de l'espoir. Le jeune prince contre-attaque, et contrairement à lui, toi tu craint les chatouilles, tu rigole, et essaye de te défaire de son attaque, mais impossible, tu n'ai pas prête de le suppliez en revanche. « Même pas en rêve ! » dis tu entre quelques rire. Mais bien que tu ne voulais pas rendre les armes, tu allais le faire. Tu savais très bien qu'il n'arrêterais pas sans que tu l'es suppliais de toute façon. « Tu as gagnais d'accord, je t'en supplie arrête. » lui demandais tu en riant. Ta jupe encore bien trempée était désormais couverte de sable, puisque tu t'étais tout de même débattu. Une fois qu'il relâche son emprise, tu retire ta jupe et la secoue énergiquement. « On va finir par manger du sable à force. » plaisantais-tu, bien que tu n'étais pas très loin de la réalité. Tu dépose ta jupe sur la glacière pour qu'elle ne soit pas en contact avec le sol et lance un regard à Arthur. « Bon, et si on manger un morceau ? » Tu retourne vers lui et dépose une nouvelle fois un bisou sur sa joue, mine de rien il avait une peau douce comme un bébé, le petit prince !

« Tu oublies que je suis un sportif de haut niveau chou! Et je pourrais participer à des grands prix de surf, mais ça ne m'intéresse pas » dis-tu en bombant fièrement le torse comme si tu étais vraiment une personne imbue de toi-même, alors que ce n'était pas ton genre de te vanter comme ça. Après que tu aies réussi ton super plongeon, tu avais de nouveau fait ton vantard, ce qui ne manquait pas de faire rire la jeune femme qui te demandait si tes chevilles allaient bien. « Bien sur, ce sont des chevilles de Prince » dis-tu comme si c'était une évidence même. Du coup, vous vous retrouvez vite sur la plage où elle avait installé une serviette. Et dès le moment où vous vous étiez mis dessus, tu remarquas aussitôt son envie irrépressible de te chatouiller. Ce qu'elle fit sans plus tarder et cela te fit sourire d'un air amusé, mais tu ne riais pas aux éclats comme elle le souhaiterait. Bien au contraire, tu pris toi-même l'avantage pour qu'elle puisse te supplier d'arrêter. Elle résistait malgré ses rires alors que tu accentuais tes chatouilles jusqu'à ce qu'elle déclare enfin la défaite. « Ahaha ! Tu vois que tu aimes ça... Me supplier. ». Tu fis un rire légèrement maléfique alors qu'elle disait que vous alliez finir par manger du sable. « Allons manger en effet. Même si je pense que tu aimerais manger mon corps de bébé » la taquinas-tu en faisant mine de t'éloigner d'elle, en tirant la langue.

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— ft. @Arthur Grimaldi-D.M.

Arthur était incorrigible. Mais tu aimais ça personnalité. Tu fini par le supplier et bien entendue petit prince ne se fit pas prié pour placer une remarque sur ta défaite. « Bah voyons. Dit plutôt que c'est toi qui aime m'entendre te supplier chaton. » tu lèves les yeux au ciel tout en souriant. Tu fini par lui proposer de manger un petit truc, et voilà que monsieur recommence avec ces réflexion qui te font rire et sourire. Si seulement tu pouvais avoir une relation aussi complice avec Franklin … Mais chassant cette idée de ta tête, tu pose ton regard sur Arthur qui fait mine de s'éloigner en te tirant la langue. Bien entendue que si tu pouvais tu le mangerais, mais pas dans le sens qu'il doit penser. « Ho mince, j'ai du oublier de prendre de quoi te découper pour te manger. Zut. » ironise tu à sa petite réflexion, tout en rougissant légèrement, bien que cela ne se voit guère. Tu t'approche de la glacière et en sort les deux verre que tu y avais mis et les deux bouteille. « Tiens regarde j'ai pensé à toi. » et tu avais aussi pensée à toi. Tu dépose le tout sur la couverture, et lance un regard taquin à Arthur. « Aller chaton viens t’asseoir je vais pas te manger finalement, promis. » tu lui lance un petit clin d'oeil. C'est les nuage au dessus de vos tête qui attire ton attention, le temps semble ce couvrir, mais tu t'en fiche, cela ne t’empêchera pas de rester ici avec lui. Tu le laisse découvrir toutes les bonne choses qu'il aime dans le panier de nourriture pendant que tu vous serre vos boissons. Tu lui tend son verre, et pause ton un regard tendre dans le sien. « Alors, dit moi un peu que devient mon petit prince adorait. » Tu fait référence surtout à ces fiançailles, tu ne sais pas si il le vit bien ou pas, et tu voudrais être certaine qu'il va bien, sincèrement.

« Tu oublies que je suis un sadique et que j'aime entendre ma victime me supplier pour tout » répondis-tu d'un ton amusé, parlant comme un vrai sadique alors qu'en vrai, tu étais juste un peu dominateur sur les bords. Mais pas au point d'aimer faire mal à ta partenaire, pendant une séance de galipettes par exemple... Bref, quand elle te proposa de manger, tu lui répondais qu'elle devait sûrement voir te manger alors tu fis mine de reculer pendant qu'elle ironisait en disant qu'elle avait oublié de prendre de quoi te découper. « Je suis sauvé, mais tu sais bien de quoi je parlais ma belle » souris-tu et en lui lançant un regard qui voulait tout dire. Elle sortit deux bouteilles de la glacière. Tu revins tranquillement auprès d'elle. Elle avait pris du champagne, mais aussi une bouteille de cocktail sans alcool... Tu ignorais qu'elle était en cloque ! Qui était le père ?! Cette question te trottait dans la tête, mais tu n'avais pas envie de le savoir parce que tu avais la certitude de connaître son identité. « Bon choix de boisson pour le champagne ! » t'exclamas-tu avant de prendre ton verre. Elle te demandait maintenant ce que tu devenais, et à sa question, elle faisait bien entendu référence à ton statut de fiancé. « Je vais bien ! J'ai fêté mes vingt-trois ans le jour de la Saint-Valentin, donc on ne peut pas faire mieux ». Ta dernière phrase était bien plus ironique qu'autre chose, surtout que les personnes qui te connaissaient vraiment, savaient que tu détestais cette date du 14 février... Mais cette année, Nova avait réussi à la rendre moins chiante que d'habitude. « Félicitations pour l'heureux événement, ma chère Wildingham. ». Tu levas ton verre afin que vous puissiez trinquer..

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— ft. @Arthur Grimaldi-D.M.

Tu te mordille la lèvres, bien entendue tu connais exactement les raisons pour les quelles Arthur avait balançait sa réflexion, et bien que tu t'étais prêtais au jeu de la taquinerie, et de l'ironisme, tu étais bien positive à cette pensée. Mais non, il fallait que vous restiez sage, il était fiancé et toi, totalement paumée, et rien de bon ne découlerais d'un éventuelle plaisir charnel au quel vous aimeriez céder l'un comme l'autre, tu soupire et souris, restant silencieuse, l'observant, le dévorant des yeux, bien que tu te refusais de toucher à ce corps magnifique de ton ami, tu pouvais encore le regarder, et tu ne t'en privais pas, et puis il pouvait bien t'observer aussi puisque tu n'avais plus que ton maillot de bain sur toi pour unique vêtement. Finalement l'un en face de l'autre, tu sert du champagne à ton ami, qui ne tarde pas à complimenter le choix de la bouteille. « Je connais bien tes goût depuis le temps. » disais-tu naturellement en levant les yeux au ciel, aucuns détails sur lui ne s'était échapper de ta mémoire, et tu profitais à chaque occasion possible pour trouver toujours le petit plus qui lui ferais plaisir. Ce soir c'est sa présence qui était le petit plus qui te faisait plaisir à toi, rien de plus rien de moins, juste lui et rien que lui. Finalement tu veux savoir comment il va et tu ne te fais pas prier pour le lui demander ouvertement. Tu soupire. « Arthur, je sais bien que tu déteste cette événement. » autrement dis tu sais bien que malgré les apparences qu'il se donne, ce n'est pas par amour qu'il est avec Nova, et ça te fait chier pour lui, tu aimerais qu'il soit libre d'aimer qui il à envie, tu ne comprend pas cette stupide tradition des mariages arrangé, et clairement, heureusement que ton père ne t'impose personne, tu l'aurais très mal vécu au vus de ton caractère qui peu parfois être volcanique. Mais passons le sujet, tu lui souris, sourire qui très vite s'efface quand Arthur te félicite pour ta grossesse. Sujet sensible visiblement pour toi. « Merci, je suis heureuse d'attendre un enfant, mais … » Plus un mot ne sort de ta bouche, oui mais tu aurais préférer l'avoir dans d'autre circonstance, avec la bonne personne et vraisemblablement Andrew n'était pas cette personne, un léger soupire sort de ta bouche, et tu chasse toutes sortes d'envie soudaine de t’effondrer, tu est une jeune femme forte et avec du caractère, pour toi hors de question de gâcher votre soirée avec des larmes ou de la tristesse. Tu plante ton regard dans le sien puisque juste avant tu l'avais fuis. « Je te préviens c'est moi qui est cuisiné chaton. » Tu cuisine très bien, bien mieux que le chef qui te fais à manger au quotidien, car rare sont les fois où tu à le temps de cuisiner, et pourtant, tu cuisiner presque tous les jours pour Arthur quand vous étiez ensemble. Tu trinque avec lui, sourire scotché sur tes lèvres, « A nous, à notre amitié. » ajoutais-tu histoire de ne surtout pas trinquer pour cette grossesse dont le futur père est l'homme qui t'as détruite il y a tout juste deux ou trois semaines pas plus.

Avoir de telles pensées lubriques, ce n'était guère dans tes habitudes. Même si on te donnait des surnoms peu appréciables sur ta tendance à apprécier les femmes... Certes, mais en vrai tu ne couchais pas à droite et à gauche, tu choisissais clairement tes partenaires avec soin. Fin bref, tu l'avais rejointe sur la couverture tandis qu'elle sortait une bouteille de champagne, ainsi qu'une bouteille de cocktail sans alcool pour elle, ce qui t'informait aussitôt sur sa grossesse. Tu ne souhaitais vraiment pas savoir qui pouvait être le père, parce que d'une, ce n'était pas tes oignons comme on dit, et de deux, tu avais ta petite idée sur l'identité du poseur de spermatozoïdes. Ton amie te demandait maintenant ce qu'il y avait de beau dans ta vie, et tu commençais aussitôt par parler de ton anniversaire qui s'était bien passé. Sauf qu'Athé n'était pas du tout dupe... « Cette année, c'était intéressant... Ma fiancée a organisé une fête surprise pour ma jumelle et moi. C'est vraiment sympathique de sa part, de se démener à ce point pour nous ». Tu parlais d'un ton légèrement admiratif vis-à-vis de ta fiancée, que tu commençais à apprécier à sa juste valeur maintenant. Lorsque tu la félicitas pour son heureux événement, tu avais vite remarqué sa perte de sourire et ce qu'elle répondait, était tout aussi éloquent sur ce qu'elle ressentait. « Ne parlons pas de ça maintenant... Je ne veux pas plomber ta soirée, mon chou » répondis-tu avec douceur tout en la regardant longuement. Elle te disait que c'était elle qui avait cuisiné. « Ha ?! J'ai hâte de découvrir ta petite cuisine mon chou. J'espère que tu n'as pas mis de poison magique dedans hein » la taquinas-tu avant de lever ton verre à nouveau alors qu'elle proposait de trinquer à votre amitié. « A la nôtre ». Ton verre alla à la rencontre du sien avant que tu ne la portes aux lèvres pour y goûter une petite lampée. « Très bon breuvage ! »[/color] t'exclamas-tu avec ravissement. « Et toi, mon chou ? Quoi de beau dans ta vie, hormis ce qu'on a déjà dit tout à l'heure ? »

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— ft. @Arthur Grimaldi-D.M.

Arthur te dit que cette année sa fiancée a rendu cette fête intéressante, et tu fais une petite moue, bon si il le dit. Tu vois bien que quelque chose a changé, avant il n’avait pas ce petit regard quand il parlait de Nova, mais visiblement bien que leur relation semble s’amélioré, ça ne l’empêche pas de désirer d’autre femme. Visiblement la petite princesse de Norvège a aussi pensé à la jumelle d’Arthur, elle remplit bien son rôle de futur épouse, elle s’intéresse même à la famille d’Arthur. Tu laisses un léger soupir t’échapper, tu connais bien Nova, mais le temps vous à éloigner, et tu le regrette amèrement car c’était vraiment une fille avec qui tu t’entendais très bien, mais avec tout ce qui ce passe dans sa vie et dans la tienne, impossible pour vous de vous retrouver comme avant, enfin c’est ce que toi tu penses, de son côté tu ne sais pas ce qu’il en est. « C’est gentil de sa part en effet. Nova est une fille bien, même si c’est un peu compliquée entre elle et moi. » Le sujet qui suit n’est pas le plus simple à gérer pour toi, alors tu le fais savoir autant verbalement que dans ton comportement, et bien entendue sans surprise ton petit prince d’amour préfère changer de sujet histoire que la soirée ne tourne pas au drame. Tu lui souris et approuve cette décision d’un signe de la tête. « Merci chaton. » Oui tu ne veux pas trop en parler, à personne d’ailleurs, tu gardes sa pour toi, et puis tu à cette peur au fond de toi, cette peur qui te ronge les entrailles, c’elle de perdre la vie en donnant naissance à ta fille tout comme ça a été le cas pour ta mère lorsqu’elle t’a mise au monde, oui ça te terrifie totalement. Tu ris lorsqu’il émet l’espoir que tu n’aies rien mis de fatal dans la nourriture. Ce n’est clairement pas ton genre de droguer ou empoisonner tes proches, en revanche les gens que tu hais, pourquoi pas. Mais non en effet tu n’as rien mis de suspect dans la nourriture, et puis après tout toi aussi tu vas en manger. « Dans ce cas on sera deux à mourir. Roméo et Juliette le retour. » Lance tu pour le taquiner et en riant de plus belle, tu as enfin repris ce sourire sur tes lèvres maintenant que tu ne penses plus au sujet de ta grossesse. Vous trinquez à votre amitié, à vous, et tout de suite, tu repense à ce temps où vous étiez ensemble. Tu te ravise, chasse les pensées et souris tendrement à ton ami qui t’annonce que le champagne est très bon, en même temps tu as beaucoup de gout et dans tous les domaines d’ailleurs. Ce qu’il y a eu de beau dans ma vie ? Oulala « Eh bien, j’ai rompu avec Andrew, et puis nous nous somme rapproché, il voulait qu’on parle pour se remettre ensemble mais à côté de ça, il baiser Aymalyne tous les jours presque. J’ai attendu un moment avant qu’il ne m’avoue finalement qu’il ne voulait pas de cette discussion pour qu’on se remette ensemble, du coup je me suis marié à Ernesto, mon ex début février pour montrer à Andrew que je ne lui appartenais plus du tout. Il m’a … Presque violé le jour où je lui ai annoncé que j’étais marié, mais passons. Avec Ernesto on a divorcé fin février, et depuis je vois beaucoup Franklin, et je m’attache à lui, mais j’ai peur de foncer droit dans un mur. Parfois je regrette d’avoir rompu avec toi, ont été bien ensemble. Tu vois, c’est le bordel dans ma vie en ce moment. » Voilà tu as fait étalage de ta vie, et alors il est où le beau la dedans ? Il n’y a rien de beau en ce moment mise à part cette soirée que tu passes avec Arthur. Tu te mets à côté de lui, et place ta tête sur son épaule tout en observant les vagues, et la couleur du ciel qui change peu à peu. Tu te sens bien là, comme si tous les problèmes de ta vie n’avaient plus aucunes importances soudainement. Tu as toujours été proche d’Arthur du plus loin que tu te souviennes. Tu observes son visage et tu es pensive. « Ça t’arrive toi parfois de regretter ce temps-là ? » Tu ne sais pas pourquoi soudain c’est si important pour toi de savoir ça, de savoir si lui aussi comme toi il lui arrive de repensé à ce vous que vous étiez avant, et d’avoir par moment des envies de revenir en arrière et de continuer tous les deux votre petit bout de chemin. Tu retires ta tête de son épaule et soupire, tu ne devrais pas lui demander ce genre de chose maintenant qu’il est fiancé, et que toi tu t’attache avec désespoir à un autre homme, à Franklin, qui a le don te de faire passer du rire au larme en quelque seconde, et encore plus depuis que cette fille, sa meilleure amie est venue mettre son grain de sel entre vous pendent la soirée d’ouverture du Spring Break. Tu soupires légèrement. « Désolée, je n’aurais pas dus te demander ça, c’était impoli de ma part. » Tu reposes ta tête sur son épaule et tu observes la mer, tu à l’impression de prendre la route à contre sens, que rien ne vas plus, et il te suffit de respirer son odeur, son parfum pour être soudainement souriante et apaiser. « Tu te souviens des voyages qu’on faisait à Paris ? J’aimerais bien y retourner avec toi un de ces quatre, on prendra le jet de mon père, on s’amusera loin de tous nos problèmes. » C’était comme si c’était hier pour toi tous ces souvenirs qui apaise les douleurs actuelle de ton cœur, et d’un coup tu traverses le passé des souvenirs, laissant le futur de côté, désirant secrètement de retenter l’aventure avec ton ex, celui qui a toujours pris soin de toi, Arthur. Quand tu y repense, Amaël t’as abandonnée, Ernesto était violent avec toi, Andrew t’as totalement détruite, et Franklin est bien trop indécis comme jeune homme. Alors qu’Arthur à toujours été parfait avec toi.

Ce petit voyage sur une île déserte avec ton ex-petite amie se transformait en une discussion des plus sérieuses. Au départ, vous aviez échangé des plaisanteries surtout quand il fallait descendre du bateau en sautant directement dans l'eau parce que le voilier ne pouvait pas se rapprocher trop près de la plage, sinon vous ne pourriez pas repartir le lendemain... Ensuite, vous êtes retrouvés à faire une bataille de chatouilles à laquelle tu finissais obligatoirement vainqueur puisque tu ne craignais pas du tout les chatouilles... Et alors que vous alliez trinquer pour démarrer vraiment la soirée, elle lançait les sujets importants... A commencer par tes fiançailles avec Nova ! Cela te faisait un peu grincer des dents parce que même si tu appréciais sincèrement ta fiancée, tu ne voulais pas trop penser à elle à l'heure actuelle surtout avec ce que tu avais découvert la dernière fois. Néanmoins, tu te devais d'être honnête avec Athé, donc tu lui répondais franchement. Ton ex-petite amie t'avouait dans sa réponse que ça n'allait pas très fort entre Nova et elle. D'ailleurs, tu n'étais même pas au courant qu'elles se connaissaient toutes les deux... « N'en parlons plus. Gardons ce sujet pour demain, à tête reposée » dis-tu simplement avant de la féliciter pour l'heureux événement qu'elle semblait attendre, mais comme elle était clairement réticente à l'idée d'évoquer ce sujet, tu préférais la taquiner sur sa cuisine. En effet, elle te disait avec fierté que c'était elle qui avais cuisiné alors tu t'étais dit que c'était bourré de poison. « Si nous sommes comme Roméo et Juliette... Tu crois que nos familles s'entretueraient entre elles ? ». Tu affichas un grand sourire amusé avant de lui demander ce qu'il y avait de nouveau dans sa vie. Ce n'était peut-être pas une bonne idée tout compte fait, puisqu'elle était partie pour une longue tirade où elle expliquait clairement qu'elle avait rompu avec son buveur de thé, qui ne s'était pas gêné pour rejoindre la couche de l'ex de ton bizuteur, Aymalyne... Tu n'arrivais plus trop à suivre là ! Elle était en train de te dire qu'elle était allée jusqu'à se marier avec un autre, juste pour faire chier son ex... Et maintenant il y avait Franklin ! Putain mais les filles étaient sacrément compliquées quand même ! Pour couronner sa tirade, elle parlait de toi, en disant que vous étiez bien ensemble. « En effet, c'est un vrai bordel... Pour Andrew, je sentais que ce type n'allait t'apporter que du malheur... » dis-tu d'une voix posée mais légèrement cassante vis-à-vis du rosbif qui semblait avoir vraiment brisé le cœur d'Athé pour qu'elle aille aussi loin pour se venger. Elle venait de placer sa tête sur ton épaule et alors qu'elle s'était mise à te regarder, elle te demanda si ça t'arrivait de regretter votre relation passée... Sur le coup, tu ne savais pas quoi répondre mais tu t'étais aussitôt mis à réfléchir sur ce que tu pourrais dire mais avant que tu ne puisses répondre, elle s'était écartée de toi avant de s'excuser pour t'avoir demandé ça. Tu affichas un sourire calme afin de la rassurer, puis tu repris finalement la parole : « Il m'est déjà arrivé de penser à notre relation. Ce que je pourrais regretter, c'était sûrement la simplicité qui régnait... Mais malheureusement, je pense qu'à l'heure actuelle, ça risque d'être difficile de faire un retour en arrière. Aujourd'hui, plus que jamais, on m'incombe de jouer mon rôle de Prince héritier. » expliquas-tu en soupirant légèrement avant d'interrompre alors qu'elle te demandait si tu te souvenais de vos voyages à Paris, puis elle t'avouait qu'elle voudrait y retourner afin que vous puissiez vous amuser loin de vos problèmes. Tu ris légèrement en répondant : « Chaton, en retournant à Paris dans ma situation actuelle, je serais à la portée des journalistes et de la pression populaire vu que je serais dans la plus belle ville du Monde. Non une île déserte comme aujourd'hui, c'est mieux ». Pourquoi elle avait décidé de parler de ça maintenant...