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Lien du postLun 05 Fév 2018, 22:56
H-Birthday Oli !
feat. Oliver & Jax
Je hoche la tête face à Oliver quand il demande si je pensais à la peinture de la dernière fois quand tout est partis en vrille entre nous et nos hormones. Je le regarde et je ris un peu. «En fait je trouverais ça assez normal que tu me demande de les colorier parce qu'après tout tu est un artiste et je suis une toile noire et blanche non ?» Je trouve la référence assez drôle et je ris un peu plus en regarde Oliver qui lorsque je parle de mes tatouage sur la fesse me dis que ce serais avec plaisir qu'il vienne me mettre de la crème. Il appuie même son geste en venant poser sa main sur la fesse en question la caressant, je souffle contre ses lèvres. «Ce genre de bêtise peut nous guidé loin Oli...» Puis je lui vole un petite baiser rapide avant de poursuivre notre conversation des plus cool, sur le sujet de ses œuvres que je lui demande de me montré. Il semble vraiment content de ma demande et je suis d'autant plus content de ma curiosité qui m'attire ses tendresse dans le fond. Puis il me parle de son père, j'était en train de finir mon plats que je me suis stoppé pour l'écouter me raconter cette histoire. Je trouve vraiment dommage qu'il se soit empêcher de montré son bel art simplement parce que son père est trop arriéré pour comprendre que l'art aujourd'hui peut être un vrai métier et qui rapporte si l'on est autant doué que son fils. Je regarde Oliver me souris pour me rassuré. «Ton père doit être un homme qui à peur du changement tu sais je peux comprendre un minimum vraiment tout petit peu sa crainte peut être qu'il voulais que tu réussisse et que l'art lui semblais assez... instable niveau financier ? Mais tu as très bien fait de continuer ton art parce que tu est capable de bien des beauté sur des toiles oli.» Je souris grandement en penchant la tête sur le côté. «Je suis tout à fait heureux que mes demande de curiosité te fassent plaisir parce que dans le fond sa m'intéressant vraiment de savoir ce que tu touche quand ce n'est pas moi.» Je pouffe de rire et lui vole un autre baiser tout doux. On parle de ma journée et mon rire se fane un peu ses gens qui souffrent me touchent aussi et même si je suis plus au boulot j'y penses quand même un peu. Oliver me dis que lorsque je lui affirme qu'il me fais du bien je suis mignon et alors mon sourire reviens, il est adorable. «Non, c'est toi qui est adorable Oliver.» Je le laisse s'installé contre moi tirant une canette de soda du sac pour boire un peu. MADE BY SEAWOLF.
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Lien du postJeu 08 Fév 2018, 04:15
Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis
it's a new dawn, it's a new day, it's a new life
And i'm feeling good, feeling good
Je ne peux empêcher un sourire d’étirer mes lèvres lorsque je l’entends dire qu’il est comme une toile en noir et blanc. Définitivement, un point que j’adore chez Jax, c’est sa façon de voir les choses : il arrive souvent à m’amener un angle différent ou à faire ressortir certains détails qui sembleraient normalement annodins, mais que lui remarque. Il a ce regard qui lui permet un balayage du monde et, par moment, j’ai l’impression que c’est rare. Alors, qu’il l’aie, m’apporte un grand plaisir. Pour répondre à son interrogation, j’en hoche simplement la tête, lui souriant avec une joie simple que je ne peux masquer.
De bonne humeur, je le suis dans ses plaisanteries au sujet de son penchant vers la perversité - est-ce vraiment le cas? -, le provocant un peu plus en lui glissant une caresse sur la fesse. J’en ris un peu plus lorsqu’il me dit que tout ça pourrait nous mener plus loin.
- Le lit est à 3 pas, c’est pas si loin, ne puis-je m’empêcher de le taquiner.
Je n’ai pas nécessairement envie qu’on ce saute dessus, mais je sais qu’on peut aussi tranquillement plaisanter sur ce genre de chose. Peut-être qu’on est deux pervers qui se sont bien trouvé au final. J’en sais rien, mais je trouve chouette que ça reste sensiblement décontracté entre lui et moi. …bon sauf quand ça chauffe, mais ça c’est un autre mood!
Mangeant en discutant, j’en viens à avouer une partie du chemin que j’ai fait jusqu’ici, niveau libération artistique. J’essaie de ne pas plomber l’ambiance, parce qu’en fait, je veux simplement lui faire comprendre à quel point son intérêt pour mes créations me touche. Un sourire aux lèvres, je penche la tête en riant doucement lorsqu’il essaie de me faire voir le point de vue du paternel, avant d’éclater franchement de rire lorsqu’il mentionne que ce qu’il s’intéresse aussi à ce que je touche lorsque ce n’est pas lui!
- D’accord, je te crois que ça t’intéresse, concédais-je en riant. Même si je suis certain que mes toiles sont loin dans tes priorités quand je pose mes mains sur toi. …ou plus que les mains, fis-je, amusé, avec un regard suggestif. T’as pas tout à fait tord pour le géniteur, par contre : il est du genre TRÈS conservateur. Je sais pas si c’est vraiment la peur du changement, mais j’ai toujours dit qu’il était entêté à garder son esprit étroit, expliquais-je. Chez les Davis, c’est tradition que tous les hommes soient policiers. Physiquement, ce sont tous des armoires à glaces, cheveux et yeux foncés. De gros grizzlis doués en sport, doués pour leur métiers, s’intéressant aux bagnoles, décrivis-je grossièrement avec un geste vague pour expliquer qu’il peut continuer de se faire une idée, après tout, il a vu Jason. Tu vois le genre? Fis-je rhétoriquement. Alors, disons que je suis un peu le vilain petit canard. J’ai sensiblement défoncé toutes les barrières, riais-je. Je ressemble en rien à ce que “j’aurais dû”, fis-je en mimant les guillemets. J’ai essayé un temps, mais, maintenant, je suis ici. Et je suis heureux. Alors, même si je perds quelqu’un de ma famille qui ne croit pas en moi et avec qui je ne me suis jamais vraiment entendu, je crois pas que ce soit si mal, affirmais-je en haussant les épaules. T’en penses quoi? Demandais-je calmement, sincèrement intéressé par sa pensée sur le sujet.
Même s’il y a une possibilité qu’il se montre un peu plus rude dans ses commentaires, puisque je sais qu’il tient beaucoup plus aux liens familiaux …disons “biologiques” que moi. Au final, ma famille, présentement, je l’ai un peu choisi. Elle est disparate, variée, mais bien aimante et agréable, malgré les hauts et les bas. Alors, ça me va et ça me tire plus de joie que d’humeur noir, donc c’est bien, non?
Je suis également heureux de le voir sourire à nouveau lorsque j’affirme pour la seconde fois qu’il est adorable. Riant doucement de l’entendre me contre-dire encore, je m’appuie contre lui pour continuer de manger.
- J’aime bien ton idée de pic-nic dans ma chambre, souris-je. C’est chouette comme anniv, lui assurais-je. Tu as dit que tu avais des plans pour la soirée, mais tu restes aussi à coucher? Le questionnais-je en tournant la tête pour le regarder, espérant une réponse positive, même si je n’ai pas vraiment de doute qu’elle le sera.
De bonne humeur, je le suis dans ses plaisanteries au sujet de son penchant vers la perversité - est-ce vraiment le cas? -, le provocant un peu plus en lui glissant une caresse sur la fesse. J’en ris un peu plus lorsqu’il me dit que tout ça pourrait nous mener plus loin.
- Le lit est à 3 pas, c’est pas si loin, ne puis-je m’empêcher de le taquiner.
Je n’ai pas nécessairement envie qu’on ce saute dessus, mais je sais qu’on peut aussi tranquillement plaisanter sur ce genre de chose. Peut-être qu’on est deux pervers qui se sont bien trouvé au final. J’en sais rien, mais je trouve chouette que ça reste sensiblement décontracté entre lui et moi. …bon sauf quand ça chauffe, mais ça c’est un autre mood!
Mangeant en discutant, j’en viens à avouer une partie du chemin que j’ai fait jusqu’ici, niveau libération artistique. J’essaie de ne pas plomber l’ambiance, parce qu’en fait, je veux simplement lui faire comprendre à quel point son intérêt pour mes créations me touche. Un sourire aux lèvres, je penche la tête en riant doucement lorsqu’il essaie de me faire voir le point de vue du paternel, avant d’éclater franchement de rire lorsqu’il mentionne que ce qu’il s’intéresse aussi à ce que je touche lorsque ce n’est pas lui!
- D’accord, je te crois que ça t’intéresse, concédais-je en riant. Même si je suis certain que mes toiles sont loin dans tes priorités quand je pose mes mains sur toi. …ou plus que les mains, fis-je, amusé, avec un regard suggestif. T’as pas tout à fait tord pour le géniteur, par contre : il est du genre TRÈS conservateur. Je sais pas si c’est vraiment la peur du changement, mais j’ai toujours dit qu’il était entêté à garder son esprit étroit, expliquais-je. Chez les Davis, c’est tradition que tous les hommes soient policiers. Physiquement, ce sont tous des armoires à glaces, cheveux et yeux foncés. De gros grizzlis doués en sport, doués pour leur métiers, s’intéressant aux bagnoles, décrivis-je grossièrement avec un geste vague pour expliquer qu’il peut continuer de se faire une idée, après tout, il a vu Jason. Tu vois le genre? Fis-je rhétoriquement. Alors, disons que je suis un peu le vilain petit canard. J’ai sensiblement défoncé toutes les barrières, riais-je. Je ressemble en rien à ce que “j’aurais dû”, fis-je en mimant les guillemets. J’ai essayé un temps, mais, maintenant, je suis ici. Et je suis heureux. Alors, même si je perds quelqu’un de ma famille qui ne croit pas en moi et avec qui je ne me suis jamais vraiment entendu, je crois pas que ce soit si mal, affirmais-je en haussant les épaules. T’en penses quoi? Demandais-je calmement, sincèrement intéressé par sa pensée sur le sujet.
Même s’il y a une possibilité qu’il se montre un peu plus rude dans ses commentaires, puisque je sais qu’il tient beaucoup plus aux liens familiaux …disons “biologiques” que moi. Au final, ma famille, présentement, je l’ai un peu choisi. Elle est disparate, variée, mais bien aimante et agréable, malgré les hauts et les bas. Alors, ça me va et ça me tire plus de joie que d’humeur noir, donc c’est bien, non?
Je suis également heureux de le voir sourire à nouveau lorsque j’affirme pour la seconde fois qu’il est adorable. Riant doucement de l’entendre me contre-dire encore, je m’appuie contre lui pour continuer de manger.
- J’aime bien ton idée de pic-nic dans ma chambre, souris-je. C’est chouette comme anniv, lui assurais-je. Tu as dit que tu avais des plans pour la soirée, mais tu restes aussi à coucher? Le questionnais-je en tournant la tête pour le regarder, espérant une réponse positive, même si je n’ai pas vraiment de doute qu’elle le sera.
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Lien du postJeu 08 Fév 2018, 22:51
H-Birthday Oli !
feat. Oliver & Jax
Oliver est pour ma partie psychologue un homme tout aussi intéressant que perturbant il à sa façon de voir les choses et je croit que c'est ce qui me plait chez lui, dans ma partie homme en couple avec lui je dirais qu'il est aussi torturé parce le fait que son père ne l'est pas accepté, mais je comprend tout à fait dans les deux sens je doit dire. Je le regarde puis me reprenant je ris quand il dis que son lit est à trois pas si jamais on part trop loin dans nos toucheries. «C'est sûr que sa aide pas à rester sérieux si tu me dis que ton lit est à trois pas...» Je souris et lui lance un clin d'œil. Puis il reprend son sujet sur son père et sur son parcours jusqu'à ici, jusqu'à nous. Je l'observe et j'écoute attentivement ce qu'il me dis.C'est sensiblement des paroles d'un enfant déçus parce que son père l'a pas accepté mais c'est aussi une grosse erreur que son père à faite je pense, il à perdu son fils et même s'il n'en dis rien je croit comprendre qu'ils sont des mâles, des vrais, jamais il n'acceptera que son fils fasse de l'art même s'il lui manque. Je regarde encore et toujours Oliver me parle quand je comprend qu'il viens de me demandé mon avis sur la question. Je grogne un peu en plissant les yeux vers lui. «La question est compliqué Oliver. En tant que psychologue, je te dirais que tu as été déçus par ton père, son rejet t'a blessé et je dirais que lui devrais sincèrement s'ouvrir un peu plus au monde parce qu'il continuera toujours à changé et qu'il ne changera jamais ce fait. Mais en tant que petite copain qui à eu des problèmes, à qui on à retiré sa famille je te dirais que la famille c'est important et même si tu me dis que tu as ton frère et sa copine je continuerais à dire qu'un père on en a qu'un je lui en ai voulu au mien et il est mort tu voit ce que je veux dire, je croit qu'on en avais déjà parler Oliver... Mais mon avis ne compte pas tu sais, c'est votre famille et je vais certainement pas te juger alors que je hais moi-même un membre de ma famille.» Le yeux sombre en finissant mon monologue je regarde Oliver dans les yeux et je pose un bisous sur son front, comme pour lui signifié que je suis avec lui, point. Le sujet suivant est plus détente il me dis que l'idée lui plait énormément et je souris puis il me demande si je reste dormir et je ris un peu en hochant la tête. «Si tu veux du gars qui te parle des fait de familles dans ton lit, ouais je reste !» Je souris doucement en posant ma barquette de nourriture. MADE BY SEAWOLF.
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Lien du postSam 10 Fév 2018, 02:46
Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis
it's a new dawn, it's a new day, it's a new life
And i'm feeling good, feeling good
Riant doucement, je me contente d’acquiescer avec un faux air de petit ange quand il me signifie que je ne l’aide pas à rester sérieux. Ça presse pas en fait, on a toute la soirée et puis on est pas obligé de se sauter dessus chaque fois qu’on se voit, j’aime bien aussi les simples moments avec lui. Comme son idée de picnic intérieur pour mon anniversaire ou de parler d’un peu tout et n’importe quoi avec lui, sans se casser la tête, sans lever le ton, même si le sujet présent - à savoir la famille - n’est pas un sujet sur lequel on est principalement d’accord. Et ça peut être sensible, on s’entends. Pourtant, ça passe très bien. Et, mangeant tranquillement, j’écoute son point de vue, m’amusant un peu qu’il me donne l’avis “psy” et son avis personnel.
- Rendu à un certain point, je crois que je faisais exprès de le provoquer, d’aller au-delà de ses barrières, accordais-je. En vrai, Jason a souvent calmer le jeu entre lui et moi, parce que, je suis capable de le reconnaître, s’il est borné, alors je suis vachement entêté! Riais-je. Mais, je lui en veux pas vraiment, avouais-je. Je sais pas… Maintenant que je fais ce que j’aime et un peu - beaucoup - ce que je veux, fis-je en posant un regard sur la chambre autour et tout le matériel un peu partout, je me dis que ce serait une perte d’énergie à entretenir une haine que je ne ressent plus vraiment. Je détestais quand je devais respecter les traditions, être un “bon Davis” et tout ça, mais j’ai plus besoin de me forcer, alors j’ai plus trop à rester frustré, j’imagine, hypothésais-je avec un haussement d’épaule avant de prendre une nouvelle bouchée. Après… recommençais-je après avoir avalé, je dis ça, mais je prends les nerfs quand il s’invite chez mon frère et que je paranoïde en me disant que c’est exprès pour m’emmerder, ajoutais-je en riant de ma bêtise, secouant la tête. Tu m’expliqueras ce qui s’est passé de ton côté? Demandais-je. Un jour, pas nécessairement là, si t’en a pas envie, précisais-je avec un léger sourire.
Je n’ai pas envie de le pousser à me dire quoi que ce soit, mais je vois bien que y’a certains trucs qui le pèse par rapport à sa famille. Il a pas nécessairement un passé tout blanc, je le sais, Jason a insinué un truc lorsqu’on est revenu d’Angleterre, mais je lui ai dit de se taire. J’ai pas besoin de savoir. J’ai jamais eu de casier, mais je suis pas nécessairement le plus clean non plus, je me suis simplement jamais vraiment fait coincé pour mes conneries. Et parfois ça en prends pas beaucoup pour avoir des notes au dossier, alors si Jax a un dossier, ça peut tout aussi bien être vraiment banal. Mais s’il a quelque chose à se reprocher, je préfère encore que ce soit lui qui me le dise. Pas mon frère.
Appuyé sur mon petit ami, profitant du moment, je lui avoue que j’aime bien sa façon de célébrer mon anniversaire jusqu’à présent. Mais puisqu’il m’a dit qu’il avait un tas de choses à faire avec moi, ma curiosité prend le pas et je lui demande ce qu’il avait prévu, le questionnant également s’il reste à coucher.
- Tant que tu ne me proposes pas d’en fonder une, tu peux en parler tant que tu veux, répondis-je en riant. Tu sais que je suis bien contre toi pour dormir, soufflais-je en souriant, faisant une légère pression sur son épaule avec ma tête à défaut de l’embrasser puisqu’on mange.
- Rendu à un certain point, je crois que je faisais exprès de le provoquer, d’aller au-delà de ses barrières, accordais-je. En vrai, Jason a souvent calmer le jeu entre lui et moi, parce que, je suis capable de le reconnaître, s’il est borné, alors je suis vachement entêté! Riais-je. Mais, je lui en veux pas vraiment, avouais-je. Je sais pas… Maintenant que je fais ce que j’aime et un peu - beaucoup - ce que je veux, fis-je en posant un regard sur la chambre autour et tout le matériel un peu partout, je me dis que ce serait une perte d’énergie à entretenir une haine que je ne ressent plus vraiment. Je détestais quand je devais respecter les traditions, être un “bon Davis” et tout ça, mais j’ai plus besoin de me forcer, alors j’ai plus trop à rester frustré, j’imagine, hypothésais-je avec un haussement d’épaule avant de prendre une nouvelle bouchée. Après… recommençais-je après avoir avalé, je dis ça, mais je prends les nerfs quand il s’invite chez mon frère et que je paranoïde en me disant que c’est exprès pour m’emmerder, ajoutais-je en riant de ma bêtise, secouant la tête. Tu m’expliqueras ce qui s’est passé de ton côté? Demandais-je. Un jour, pas nécessairement là, si t’en a pas envie, précisais-je avec un léger sourire.
Je n’ai pas envie de le pousser à me dire quoi que ce soit, mais je vois bien que y’a certains trucs qui le pèse par rapport à sa famille. Il a pas nécessairement un passé tout blanc, je le sais, Jason a insinué un truc lorsqu’on est revenu d’Angleterre, mais je lui ai dit de se taire. J’ai pas besoin de savoir. J’ai jamais eu de casier, mais je suis pas nécessairement le plus clean non plus, je me suis simplement jamais vraiment fait coincé pour mes conneries. Et parfois ça en prends pas beaucoup pour avoir des notes au dossier, alors si Jax a un dossier, ça peut tout aussi bien être vraiment banal. Mais s’il a quelque chose à se reprocher, je préfère encore que ce soit lui qui me le dise. Pas mon frère.
Appuyé sur mon petit ami, profitant du moment, je lui avoue que j’aime bien sa façon de célébrer mon anniversaire jusqu’à présent. Mais puisqu’il m’a dit qu’il avait un tas de choses à faire avec moi, ma curiosité prend le pas et je lui demande ce qu’il avait prévu, le questionnant également s’il reste à coucher.
- Tant que tu ne me proposes pas d’en fonder une, tu peux en parler tant que tu veux, répondis-je en riant. Tu sais que je suis bien contre toi pour dormir, soufflais-je en souriant, faisant une légère pression sur son épaule avec ma tête à défaut de l’embrasser puisqu’on mange.
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Lien du postSam 10 Fév 2018, 19:34
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feat. Oliver & Jax
Quand Oliver me parle de son frère, de son père et de sa famille je ne peut m'en empêcher de penser à mon petit frère entre les griffes de le vielle. J'écoute donc Oliver me dire qu'il n'a pas pu s'empêcher de provoquer son père et qu'il est fière parce qu'aujourd'hui il peut vraiment faire ce qu'il veux sans rendre des comptes à qui que se soit, je n'aurais pas toujours le même avis que lui et c'est ce que j'arrive à trouvé vraiment cool chez nous. Je le comprend quand il dis qu'il voulais pas rentré dans le moule de la famille Davis, à savoir être un bon flic bien viril et tout ce qui va avec, je me sent même triste qu'il se soit forcé pendant un certain temps pour rendre fier son père envers tout ce qu'il aimait en réalité. «Je trouve ça admirable que tu est commencer par essayer tout ce que les autres membres de ta famille ont fait avant toi, tu as essayer et si sa n'a pas marché pour toi ce n'est en rien grave, tu fais ce qu'il te plais maintenant et c'est tout ce qui compte vraiment Oli.» Je continue à lui parle jusqu'à me tendre quand il me demande de lui raconté un peu ce qui s'est passé dans ma famille. Je grogne un peu, et j'en viens à me demander si son frère ne lui aurais pas parlé de moi et de ce qu'il aurais pu découvrir au poste. Je mordille ma lèvre. «Ton frère, ne t'aurais pas parlé de moi par hasard ? Dans tout les cas,ouais il faudrait qu'on parle de moi et de mon passé pas très reluisant, il faudrait que tu le sache pour savoir avec tu sors, et désolé de pas l'avoir fait avant...» Je le regarde à nouveau alors que le temps c'était tendu entre nous à cause de moi, il me fais rire quand il dis que du moment qu'on en crée pas une ouais je peut rester avec lui ce soir. «Tu sais bien que j'en veux pas d'autre de famille, pour le moment..» Je saouris et je hoche la tête pour qu'il sache que je vais rester avec lui cette nuit.
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Lien du postMer 14 Fév 2018, 01:58
Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis
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- Bah, au départ c’était pas vraiment que j’ai essayé, c’est que j’avais pas trop le choix, expliquais-je. Et à un moment, quand t’es plus jeune et moins assuré, tu te demandes si c’est normal que tu sois aussi différent. Tu crois que t’as peut-être un boulon qui manque et que si tu suis ce qu’on te dis, t’arriveras peut-être à le retrouver. Après, tu te rends compte qu’au lieu de le chercher, tu devrais peut-être défaire les autres pour mieux respirer, fis-je avec un sourire légèrement mélancolique.
C’est le passé tout ça, mais ça n’empêche qu’avec le recul, je me dis que je devais peut-être passé au travers pour réaliser la chance que j’ai de faire ce que je veux et de pouvoir être qui je suis sans que ça me dérange vraiment de me prendre des commentaires ou des regards désaprobateur. C’est peut-être pourquoi j’aborde le monde avec ce qui semble être de l’insouciance par moment. Mais si, moi, je le vis comme ça, ça semble pas être la même chose pour Jax. Faut dire, je sais pas par où il a passé exactement non plus…
- Il a voulu m’en parler, acquiesçais-je en toute franchise. Il m’a fait la gueule quand on est revenu de Londres, expliquais-je. Il a voulu se lancer dans un sermon pour me dire que t’étais pas le meilleur type avec qui partir au bout du monde et je lui ai dit de se taire. Si y’a un truc que je dois savoir, c’est pas à lui de me le dire : c’est pas lui qui l’a vécu, c'est toi, fis-je doucement.
Un sourire tranquille sur les lèvres, je les poses sur les siennes un court temps et, lorsque je reprends la parole, je me veux rassurant.
- T’as pas à te forcer pour me le dire, affirmais-je. C’est pas urgent quand même? Tu disparaitras pas demain parce que la mafia te recherche? Plaisantais-je.
Le questionnant à savoir s’il compte rester pour la nuit, je rigole à nouveau lorsqu’il dit que ça dépends si j’accepte d’avoir un mec qui me parle de famille dans mon lit. Lui rétorquand innocement que tant qu’il ne me propose pas d’en fonder une il est le bienvenue, je me mords tout de même l’intérieur de la joue lorsqu’il affirme que je sais très bien qu’il n’en veut pas d’autre. Aie! J’avais oublié pour son petit garçon qu’il a perdu. Bienvenu à bouletland, population : 1 Oliver! Choisissant cependant de ne rien dire à ce sujet pour ne pas remuer le couteau dans la plaie, je me concentre sur les dernières bouchées de mon plat, ne sachant pas trop quoi ajouter pour le moment.
C’est le passé tout ça, mais ça n’empêche qu’avec le recul, je me dis que je devais peut-être passé au travers pour réaliser la chance que j’ai de faire ce que je veux et de pouvoir être qui je suis sans que ça me dérange vraiment de me prendre des commentaires ou des regards désaprobateur. C’est peut-être pourquoi j’aborde le monde avec ce qui semble être de l’insouciance par moment. Mais si, moi, je le vis comme ça, ça semble pas être la même chose pour Jax. Faut dire, je sais pas par où il a passé exactement non plus…
- Il a voulu m’en parler, acquiesçais-je en toute franchise. Il m’a fait la gueule quand on est revenu de Londres, expliquais-je. Il a voulu se lancer dans un sermon pour me dire que t’étais pas le meilleur type avec qui partir au bout du monde et je lui ai dit de se taire. Si y’a un truc que je dois savoir, c’est pas à lui de me le dire : c’est pas lui qui l’a vécu, c'est toi, fis-je doucement.
Un sourire tranquille sur les lèvres, je les poses sur les siennes un court temps et, lorsque je reprends la parole, je me veux rassurant.
- T’as pas à te forcer pour me le dire, affirmais-je. C’est pas urgent quand même? Tu disparaitras pas demain parce que la mafia te recherche? Plaisantais-je.
Le questionnant à savoir s’il compte rester pour la nuit, je rigole à nouveau lorsqu’il dit que ça dépends si j’accepte d’avoir un mec qui me parle de famille dans mon lit. Lui rétorquand innocement que tant qu’il ne me propose pas d’en fonder une il est le bienvenue, je me mords tout de même l’intérieur de la joue lorsqu’il affirme que je sais très bien qu’il n’en veut pas d’autre. Aie! J’avais oublié pour son petit garçon qu’il a perdu. Bienvenu à bouletland, population : 1 Oliver! Choisissant cependant de ne rien dire à ce sujet pour ne pas remuer le couteau dans la plaie, je me concentre sur les dernières bouchées de mon plat, ne sachant pas trop quoi ajouter pour le moment.
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Lien du postSam 17 Fév 2018, 15:59
H-Birthday Oli !
feat. Oliver & Jax
La manière qu'à Oliver de me raconter qu'il pensais pas être bien puisqu'il ne se sentais pas à l'aise avec le fait d'être flic me fou des frissons. Franchement quel père peut ne pas s'en vouloir d'avoir fait tellement douté son enfant. Je comprendrais s'en doute jamais ce que s'est puisque le mien ne sera jamais. Mais je pense qu'en fait soit il à fait ça dan l'optique qu'Oliver ferais des enfants et qu'il les pousseraient à faire pareille que tout le reste de le famille soit, j'en sais rien mais c'est tordu dans le fond. Je n'ajoute rien à ce sujet qui je pense gâcherais le reste de ma soirée prévu en l'honneur de l'anniversaire de mon petit ami. Il me parle d'autre choses et là aussi je me tend. Alors son frère à voulu me discrédité devant Oliver. Je suis surpris qu'Oliver me dise que son frère lui en a voulu qu'il parte avec moi, jamais, ô grand jamais il n'arrivera quoi que ce soit à Oliver tant que je serais avec lui. J'assure volontiers que je le protégerais de toutes mes forces. Il dit que c'est moi qui doit lui raconté ce que son frère sait sur moi et il m'embrasse rapidement sur les lèvres, je pose ma main à son dos et je ferme les yeux un instant le gardant contre moi. Cet homme est simplement une très bonne personne et même si je pense encore et toujours qu'il mériterais largement mieux qu'un gars comme moi je suis ravis qu'il n'ai pas lâché l'affaire quand d'autres l'ont fait. Je souris à sa petite blague et je le tire contre moi puis qu'il s'assoit sur mes genoux. Je prend sa main dans la mienne. «En fait, je croit que je vais tout te dire, je n'en parle pas spécialement parce que je me suis racheter une conduite à présent mais tu doit savoir que j'ai un casier judiciaire. Mais j'imagine que ça ton frère à dû te le dire. Il se trouve que je suis pas un chic type, je suis pas un gentil Oliver, je suis ce gars qui à un casier. Je.. J'était jeune et je comprenait pas les choix de ma mères, le fais de me laisser seul ici, sous le gouvernement de ma grand-mère qui m'aimais pas. J'ai fais les quatre cent coups, et j'ai été pincé une fois, j'ai fait de la taule quelques semaines. Ma grand-mère m'a fait sortir que plus tard que que je prenne ça pour une leçon. J'ai déjà voler dans des magasins, j'ai vriller quand j'ai appris que j'avais perdu un enfant aussi Oliver, je t'ai téléphoné alors que tu méritait pas que j'apparaisse dans ta vie ainsi. J'aurais pu mieux faire mais voilà ce que ton frère veux que tu sache. C'est que j'ai fais de la taules, j'ai fais des conneries dont je suis pas fier.Et il à raison de te mettre au courant il aurais peur que je te demande de faire des conneries avec moi. » Je ferme les yeux un instant laissant mon cœur reprendre les battement réguliers, je me sent juste minable là actuellement mais au moins la personne qui compte le plus pour moi sait à qui il à affaire. MADE BY SEAWOLF.
