Summer & Paris

   Under the Snow

(sans jeu de mot xD)

   L’appartement était plongé dans le noir et le silence depuis quelques minutes. Enfin, le silence tout était relatif car il y avait bien une voix masculine qui ne cessait de râler depuis au moins cinq minutes. En fait, à tout bien réfléchir, elle râlait depuis au moins une bonne heure sur tout et rien : la couette qui lui tenait chaud, le manque de rembourrage dans ses oreillers ou encore, son dos qui le tirait à nouveau. Bref, il était de mauvais poil, signe de bonne santé chez lui. La question que l’on pourrait se poser était la suivante : qu’est-ce qui l’avait mis dans cet état ? Une seule réponse : Summer. Sa femme n’avait rien trouvé de mieux que d’arrêter le câlin crapuleux au moment le plus intéressant. C’était seulement la cinquième fois qu’elle lui faisait le coup et il était à bout de nerf. La frustration faisait pas bon ménage dans son esprit. « Putain mais j’en ai marre de cet hiver à la con » râla-t-il alors qu’il venait de se manger le coin d’un carton. L’appartement était jonché de cartons fermés et d’autres ouverts, normal quand on emménager dans un nouvel appartement. « Putain bébé, elles sont où ces putains de bougies ?? Je les trouve pas » grognait-il tout bas pour ne pas réveiller la petite. L’abondance de neige qui avait frappé Boston, venait de faire sauter l’électricité de tout le quartier, plongeant ainsi les Maconahey dans le noir et poussant Paris à partir à la recherche des fameuses bougies pendant que sa femme, elle, était en train de préparer un repas froid pour le coup. La prochaine fois : il dine avant de tenter de lui faire l’amour… Adieu lasagnes bien chaudes !

@C. Summer Maconahey

   Summer & Paris

   Under the Snow

(sans jeu de mot xD)

   J’essaye…mais j’y arrive pas ! Pourtant ce n’est pas l’envie qui m’en manque, mais…à chaque fois qu’on se retrouve dans une position intime Paris et moi, j’ai mon corps et mon cerveau qui ne m’aide pas à passer le cap. Je suis grosse, je me sens de ce fait lourde et peu gracieuse. Qui ne se sentirait pas ainsi à presque 7 mois de grossesse, en fait ?! AUCUNE FEMME !! Alors oui je sais, c’est pas cool pour Paris…ce n’est que..quoi ? la cinquième fois que je lui fais le coup ? et même s’il tente d’être compréhensif, je sais très bien que dans le fond, il boue intérieurement ? La preuve en est avec son humeur ! Cela fait presque une heure qu’il bougonne et pour couronner le tout, avec la tempête qui fait rage dehors, on n’a plus de chauffage et d’électricité dans cette nouvelle maison où l’on a emménagé. Les cartons ne sont même pas déballés, alors trouver des bougies, c’est comme tenter de trouver une aiguille dans une botte de foin. « Je ne sais pas, Paris… » répondais-je simplement, alors que j’étais en cuisine avec mon portable en mode flash dans la main, et un plaid qui me recouvrait les épaules. Je tentais d’éclairer le frigo à la recherche de quoi faire à manger…froid ! « Tout ce qui était dans le living, sont dans les cartons qu’on a entasser près de l’entrée » rappelais-je à mon époux, en espérant que cela l’aide à trouver plus vite ces fameuses bougies. Soudain, je me redressais comme un piquet, alors qu’une pensée me venait « Tu crois qu’elle aura assez chaud pour la nuit ? » je faisais allusion à Ashlynn qui dormait paisiblement dans sa nouvelle chambre

@Paris A. Maconahey

   Summer & Paris

   Under the Snow

(sans jeu de mot xD)

   Dans un carton, dans l’entrée, elle en avait de bonnes : il n’y en avait pas moins de cinq de foutus cartons. Allez calme toi Maconahey, ça va bien se passer… Au pire, un petit coup de main droite et tu te sentiras mieux. Non, en fait, il valait mieux qu’il ne songe pas du tout à la masturbation sinon sa mauvaise humeur allait se transformer en colère. C’est vrai quoi ! Pourquoi avoir la femme la plus sexy de la planète et ne pas pouvoir en profiter ?! Il avait beau adorer ses deux petits bouts qui grandissaient en elle, là, il n’avait qu’une envie : qu’ils libèrent la place. « J’ai trouvé ! » s’écrie-t-il en brandissant les bougies, tel Indiana Jones le ferait avec la coupe du graal. Bon, il était tout seul dans ce couloir mais il s’en foutait. Les mains un peu gelées, il se dirigea avec sa trouvaille vers la cuisine où Summer tentait de trouver de quoi leur faire un bon repas, malgré la panne de courant. « T’inquiète pas pour elle, elle a sa couette plus mon sac de couchage que j’avais acheté pour quand nous sommes allés à Salem. Je pense qu’elle est au chaud » dit-il en s’approchant d’elle pour déposer un baiser au creux de son cou, l’enlaçant par derrière. « Mais tu sais, si toi tu as froid, je connais une bonne technique pour se réchauffer rapidement… » murmura-t-il à son oreille dont il mordilla le lobe. Oui, il était masochiste car il revenait à la charge mais l’homme était désespéré. En attendant un signe, un geste de la part de sa sublime mais enceinte épouse, il alluma quelques bougies pour éclairer la cuisine.

@C. Summer Maconahey

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   Under the Snow

(sans jeu de mot xD)

   Je me penchais un peu plus dans l’ouverture du frigo, sortant ce dont je pourrais avoir besoin…divers boite de conservation de repas dont je me ne souvenais même plus. Tupperware à fromage, cornichons, tranche de bacon…Du chocolat ! rien à voir, mais c’est bien ça, aussi ! Bref, je les plaçais sur le plain de travail de la cuisine juste à côté de moi quand Paris revenait de l’entrée en répondant à ma question. Je sentais alors se placer derrière moi pour m’embrasser dans le cou puis s’amuser avec le lobe de mon oreille. Le supplice par excellence ! J’avais envie de lui, c’était plus que claire dans ma tête, mais…mais bon sang, je peux pas faire un mouvement sans avoir l’impression d’être un vrai cachalot qu’on aurait mis dans une piscine et qui n’a même pas assez d’espace pour tourner sur lui-même. « Paaaarrriiisss…. » mumurais-je en employant un ton plaintif…. « Je…je peux pas… » Je savais que je devais le décevoir. Laissant la porte du frigo ouverte, je me retournais pour lui faire face, et même avec un simple mouvement, il fallait que mon ventre rond et tendu vienne taper contre Paris…me rappelant ainsi qu’avec mon envergure, je n’avais même pas le droit d’être aussi proche de lui physiquement « Je suis sincèrement désolée mon amour…mais c’est juste…enfin…je suis pas dans le mood là, tu comprends ? » mentais-je tout en l'embrassant sur les lèvres, pour éviter d’avoir à en plus repartir dans une explication sur apparence que je ne supportais plus. On avait beau me dire que j’étais radieuse, moi je me sentais : fatiguée et lourde !

@Paris A. Maconahey

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   Under the Snow

(sans jeu de mot xD)

   Rien que par son Paaariiiiis , il savait qu’il pourrait se la coller derrière l’oreille et attendre que cela passe. Franchement, il essayait de se montrer compréhensif mais il y a un moment où même le plus amoureux des hommes, en a marre. Summer ne se sentait pas à l’aise quand ils faisaient l’amour et c’était bien la seule chose qui le retenait de lui faire une scène comme un pauvre con qu’il savait être de temps en temps. « Je sais mais fallait bien que j’essaie… Qui sait, sur un malentendu, ça aurait pu marcher » grommela-t-il en soupirant, appréciant néanmoins le baiser qu’elle lui offrir. « Tu sais que tu es quand même super sexy malgré tout ?! Non parce que tu as pas l’impression de bien saisir combien moi, je te trouve magnifique même si tu as du mal à faire tes lacets toute seule ou même si tu restes coincée dans la baignoire et que je suis obligé de t’aider » la taquine-t-il pour essayer de dédramatiser la chose. Il lui restait encore quelques mois à souffrir puis, il espérait enfin pouvoir voir autre chose que son dos quand ils feraient l’amour. Il n’y avait pas que Summer qui en avait marre de ne pas pouvoir se lancer dans une étreinte ou simplement de pouvoir faire l’amour dans des positions bien plus sensuelles et intimes. « Qu’est-ce qu’on mange ? Je commence à avoir les crocs » demande-t-il tout en se frottant les mains pour les réchauffer. « Bon sang, cette foutue tempête tombe mal… » soupire-t-il. Dire qu’ils n’avaient même pas fini d’emménager la maison. Au moins, Ashlynn avait pu profiter de Noël dans leur ancien appartement. « Au fait, va falloir qu’on commence à réfléchir à une activité pour février » reprit-il en évoquant leur boulot de président/vice-président.

@C. Summer Maconahey

   Summer & Paris

   Under the Snow

(sans jeu de mot xD)

   Je remercierais d’un autre baiser mon mari, pour ne pas chercher à insister lourdement pour une partie de jambes en l’air. Non pas que je ne la désirais pas, mais j’en avais clairement pas de devoir finalement regarder le mur du côté de mon lit, en sentant Paris derrière moi. Ça n’est plus vraiment très marrant, et je préfère mille fois le regarder plutôt que de contempler un mur froid et si peu sexy. Paris, en mari parfait, continuait inlassablement de me rappeler qu’il me trouvait sexy et séduisante, et je souriais à ce propos, jusqu’à…. jusqu’à ce qu’il évoque la baignoire. Là, je me mettais à froncer du nez en grimaçant « Tu vois, rien qu’en me rappelant le coup de la baignoire ? ça me coupe l’envie de me la jouer sensuelle là… » là seule chose qui me venait en tête me concernant c’était ce mot : BALEINE ! Je reprenais alors ma position initiale devant le frigo et cherchait les derniers ingrédients que je pouvais trouver, tout en répondant à la question de Paris « Baaahh, c’est-à-dire que pour le moment, je n’ai qu’un sandwich à te proposer ou…alors… » je sortais un paquet de saucisse à hot dog que je tendais à Paris pour qu’il le regarde « un cold dog ? » j’avais tenté un mauvais jeu de mot histoire de détendre l’atmosphère. Question saucisse, et ambiance froide, autant dire que Paris savait très bien que ce genre de jeu de mot n’était peut-être pas une bonne idée…
L’évent de février restait un sujet raisonnable et moins risqué. Encore faut-il qu’on ait vraiment la tête à parler d’un évent pour la période de la saint-valentin « Est-ce que c’est vraiment nécessaire ?? je veux dire, quand tu vois ce qu’il se passe au sein de la DH en ce moment, on peut facilement se dire que jouer les cupidons ne leur seront d’aucune utilité ! »

@Paris A. Maconahey

   Summer & Paris

   Under the Snow

(sans jeu de mot xD)

   Quand est-ce qu’il apprendrait à fermer sa gueule ou à se limiter à tout ce qui allait bien ?! Non, lui, il brossait la personne dans le sens du poil et au moment où elle était réceptive, il lui mettait une tatane. Franchement, par moment, il se fatiguait lui-même. « Ouais bon okay j’ai merdé, je n’aurais pas du parler de la baignoire mais on pourrait juste… oublier ce passage et se concentrer sur ce que j’ai dit à savoir que tu es belle, sexy et diablement excitante ? C’est le plus important non ? » grimaça-t-il tout en sachant que rien n’arriverait à la convaincre de se laisser aller entre ses bras. En même temps, même lui commençait en avoir marre de la prendre que dans certaines positions. Dire qu’il y a encore quelques mois, il trouvait ça foutrement excitant d’avoir une certaine forme de domination dans leurs rapports. A présent, il voulait pouvoir la serrer dans ses bras, lui faire l’amour dans la position la plus basique à savoir le missionnaire… ou même debout, contre un mur mais au moins, pouvoir voir son visage se tordre de plaisir, sentir sa poitrine frotter contre son torse. Bon sang, il voulait pouvoir retrouver sa femme durant leurs ébats et non juste un dos et une croupe. « Va pour un sandwich… Je pense pas que ce soit une bonne idée de tenter d’aller chercher un McDo surtout qu’ils doivent avoir fermer » soupire-t-il. Ils n’avaient pas arrêté de manger des sandwiches ces derniers temps car la livraison de la nouvelle cuisine avait pris du retard. « Justement, on peut prendre les choses à contre courant et organiser une soirée sur le thème du tue l’amour ? Tout ce qu’il ne faut pas faire pour être romantique & co ! On dit bien faite l’amour, pas la guerre alors pourquoi pas une sortie paint ball ? » s’amuse-t-il à proposer. Au moins, parler du boulot l’empêcherait de badigeonner sa femme de mayonnaise pour mieux la croquer.

@C. Summer Maconahey

   Summer & Paris

   Under the Snow

(sans jeu de mot xD)

   Et voilà maintenant qu’il culpabilisait le pauvre. Franchement, il était mal barré avec moi…et même si j’avais eu envie de plaisanter en lui répondant « Et dis-moi qu’est-ce que tu trouve le plus sexy en ce moment, hmm ?? mon dos, ma nuque, ou mes fesses…vu que c’est les choses que tu vois sans doute le plus souvent… », je me devais tout de même de rappeler à mon mari que si aujourd’hui je ne me sentais pas belle, ce n’était certainement parce que lui, il ne me le disait pas assez « Plus sérieusement : t’es un amour mon cœur. Et crois-moi, j’ai tout autant envie que toi qu’on retrouve un peu d’intimité mais…c’est juste que…bon sang, je… je n’y arrive PAS !! » Je me sentais réellement frustrée et le pire, c’est que j’étais bien loin d’imaginer ce que Paris, lui, pouvait vraiment ressentir à chaque que je tentais ma chance en espérant pouvoir oublier ce que je pensais de moi, et au final le laisser se refroidir tout seul. « Ouais t’as raison. La saucisse froide on va éviter » concluais-je alors que je remettais les saucisses à hot-dogs dans le frigo éteint. « Bah soit ils ont fermé, soit ils sont comme nous : dans le noir sans électricité ! Pas de cuisine, pas de MacDo… » Je posais mon téléphone portable sur le plan de travail de la cuisine de fortune qu’on avait installé en attendant tout le reste, réalisant que maintenant que Paris avait trouvé les bougies. « Ah ? tu les as trouvés ? il nous faudrait de quoi les allumer… ». Puis, alors que je sortais le pain pour en couper des tranches, Pari évoqua l’évent à venir en février pour la Dunster « ouais, une journée paint-ball ça pourrait être fun, effectivement ! Bon après, ne faudrait peut-être pas qu’on se détourne non plus de la Saint-Valentin, parce que dans le fond y’en a qui aime ça ! » moi la première !!!

@Paris A. Maconahey

   Summer & Paris

   Under the Snow

(sans jeu de mot xD)

   Paris grimaça à la question de sa femme, cherchant ses mots quand l’illumination sembla éclairer tous les étages de son cerveau. « Ta poitrine ! Celle-là, on peut dire que je l’ai bien en main… » s’exclame-t-il, fier de sa connerie. En même temps, il ne mentait pas. Summer avait pris quelques bonnets grâce à sa grossesse et il aimait bien les tenir en pleine main qu’il soit de face ou simplement dans son dos. « Hey… On se calme babe, tu vas voir, on va surmonter ça tous les deux… Et dans quelques mois, on en rigolera bien » dit-il en levant les mains en l’air, en signe de reddition. Il ne pouvait pas en dire plus car il sentait que le sujet était à la limite de devenir tabou pour son épouse. « C’est juste que j’aime t’avoir rien que pour moi… Les gars, va falloir se mettre au régime et accorder un peu de place à votre père… Même pas nés qu’ils me les brise » rigole-t-il en se penchant vers l’imposant ventre de sa femme, y déposant un baiser qui démontrait ô combien il ne pensait pas ses paroles. Paris avait juste hâte d’être père et il chérissait chacun des petits moments de la grossesse de sa femme. En tout cas, pour en revenir au sujet de la bouffe, il avait pas vraiment envie de se taper une saucisse froide. Pour le roi du barbecue qu’il était, ce serait un sacrilège. « Bien ce que je dis, elle m’emmerde cette tempête de neige ! Et après, Trump ce con, va nous sortir encore une connerie du genre : ouais le réchauffement climatique, c’est que des conneries… Bon sang, il a pas inventé l’eau chaude ce mec » répondit Paris qui n’avait plus le choix : ce serait un américain, comme à son habitude. « Je dois avoir un briquet dans le coin » reprit-il au sujet des bougies qu’il alluma une après l’autre afin de conférer à la cuisine, une ambiance tamisée. « Tu ferais bien d’éteindre ton téléphone pour garder le plus de batterie possible. Qui sait combien de temps ça va durer » ajoute-t-il en rangeant le briquet dans le tiroir prévu à cet effet. « Baaah on pourrait faire un paint ball déguisé en cupidon et Aphrodite ? » proposait-il avec un sourire crétin.


@C. Summer Maconahey

   Summer & Paris

   Under the Snow

(sans jeu de mot xD)

   Il a raison, il fallait relativiser, d’ici quelques mois, ou quelques semaines, on pourra enfin reprendre une vie intime convenable…enfin du moins je l’espérais. En attendant, il allait falloir apprendre à s’occuper autrement. Non parce que : okay, relativiser c’est bien. Mais ça ne coupe pas l’envie pour autant. Qu’arriverait-il quand j’aurais encore du mal à ne pas me sentir tenté par les charmes de Paris, et qu’encore une fois, je n’arriverais pas à aller jusqu’au bout ??!

Et puis avec ce temps, et le fait de se retrouver cloisonner à la maison…. vive la tentation quoi ! Je ne sais pas pourquoi Paris ce mettait soudain à parler de Trump, mais une chose est sûre : il venait de trouver LE TRUC, qui allait pouvoir refroidir mes ardeurs futures ! Paris me conseilla d’éteindre mon portable pour économiser de la batterie et je m’exécutais tout en disant « Le pire, c’est que je ne sais pas même pas dans quel carton j’ai foutu mon chargeur, et ma batterie externe ! » pensais-je tout en ouvrant le pot à cornichons pour garnir les tranches de sandwich que je préparais. Il n’était pas rare que nos soirées du moment avec Paris, nous amène à parler de la Dunster House et de ce que l’on devait prévoir pour permettre à chacun de nos membres de se sentir actifs et bien heureux dans leur confrérie. Aujourd’hui, ma grossesse ne me permettait clairement pas de participer à des événements trop physiques, mais cela ne m’empêchait pas de partager les idées de mon mari, et de lui faire quelques propositions. Faire un Paint-ball costumé sur le thème de la saint-Valentin ? Là, forcément, j’en riais d’avance « J’imagine le tableau… un vrai carnage !! » plaisantais-je « Remarque, tu sais que c’est pas con, ça pourrait même être très drôle. Quoique les casque de protection viendrait gâcher les costumes ! »

@Paris A. Maconahey