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I LOVE HARVARD
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    Il est temps que j'assume.
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    Lien du postDim 14 Jan - 13:51
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    Rhéa Kostas & Aaric Bushnell

    Depuis qu'elle est revenue dans ma vie, c'est un vrai bordel. Je ne me serais jamais imaginé père d'un gamin de deux ans. Pour être franc, je ne me suis jamais imaginé père tout court, du moins pas maintenant. Et voila qu'elle arrive comme un cheveu sur la soupe avec un gamin dans les bras. Je ne sais pas vraiment ce qu'elle attend de moi et si je suis capable de lui donné, mais s'il est de moi je vais être obligé de l'assumer. J'ai jusqu'à maintenant fui trop de choses et Éros est certainement la raison de ma prise de conscience. Maintenant à voir s'il est bien mon gamin et si elle ne m'a pas raconté n'importe quoi. C'est pourquoi j'ai demandé ce teste de paternité qui est entre mes mains. L'enveloppe n'est pas encore ouverte, on peut y voir les traces de plis que j'ai faits en la trifouillant. Je n'ai pas le courage de l'ouvrir seul et il est évidemment que je dois le faire avec elle. Au fond de moi j'espère qu'Éros n'est pas mon fils et qu'elle partira donc de cette ville aussi vite quelle en est arrivé. Je sais que si elle reste dans les parages ça risque de trop compliquer ma vie plus qu'elle ne l'est déjà. Après quelques sms échangé, je lui donne rendez-vous dans la suite que j'ai privatisée pour baiser mes conquêtes, il est hors de question qu'une femme partage mon lit. Depuis Sally plus aucune femme n'a mis un pied chez moi, en fait en réfléchissant bien, c'est la seule à avoir partagé mon lit. Je chasse mes pensées et me concentre de nouveau sur cette lettre posée sur la table, j'ai le palpitant et je me rend compte que cet effet est trop courant en ce moment dans ma vie et ça à cause d'elle.
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    Lien du postLun 15 Jan - 2:37
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    Il y a deux ans, je n'aurais jamais cru remettre les pieds sur ma route du passé. Je me voyais vivre normalement. Vivant pleinement la vie d'une étudiante, mais ce rêve a disparu de ma vie si rapidement. La route que j'avais empruntée changea. Les pierres blanches deviennent noires et la lumière fut cachée par un épais brouillard. Je n'aurais cru que les dieux m'auraient offert un destin si complexe à moi, une croyante des anciennes croyances. Il devait avoir auprès de moi un plaisantin ! Si seulement tout cela n'était qu'une blague. Cependant, la vérité était bien entre mes mains et respirait. J'avais mis au monde cette petite chose aussi précieuse qu'un dimant. Cet enfant que j'aurais pu faire disparaitre si je n'avais pas découvert ma grossesse tardivement. Je remercie le ciel de l'avoir dans ma vie. Lorsque le médecin de la famille m'annonça que j'étais à la fin de mon cinquième mois, mon coeur avait arrêté. Aujourd'hui, il bat plus que jamais lorsque son sourire s'illumine sur son visage.

    J'allais porter Eros un peu plutôt chez Sloan après plusieurs réflexions et d'hésitations. J'ai ressenti la pire des difficultés. Je ne pouvais me convaincre de lui laisser et encore je doute. Comme la mère poule que je suis, je lui laissais un livret sur 'comment faire avec Eros et surtout ne pas faire'. Je l'embrassais et partis avec un nœud dans le ventre. Mon enfant, ma perle, mon ange ! C'était aujourd'hui que l'homme m'ayant détruite allait être détruit à son tour. Je regardais la porte devant moi et voulais retourner chez Sloan pour reprendre Eros. Il pouvait être malade ou bien il pouvait une crise ! Je regardais mon téléphone en espérant qu'il m'envoie un sms mais, rien ! Je ne voulais pas ! J'espérais une deuxième fois ,un cri d'aide, rien. Je devais bien réaliser qu'il n'avait aucun espoir. Je soupirais et seront fermement mes poings en laissant mes ongles rentrer dans la peau de celles-ci. Je fermais les yeux et toquais à la porte avec nervosité. J'ouvris les yeux en laissant des traits stricts se former. ''N'ouvre surtout pas cette saleté de porte bon dieu !'' dis-je faiblement. Je ne voulais pas me retrouver seule avec lui.





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    Lien du postMar 23 Jan - 13:34
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    Rhéa Kostas & Aaric Bushnell

    Je fais les cents pas dans ma chambre m'arrêtant de temps en temps devant la fenêtre à la vue spectaculaire. Cette suite est juste sublime et pas que de sa vue, tout y est parfait. La lettre non ouverte trône sur cette table de salon ou je n'est jamais dîner et n'attend qu'une chose c'est d'être ouverte. Je sursaute un peux sur la défensive lorsque j'entends toqué à la porte. Je souffle un coup sachant que je risque évidement de ne pas apprécier ce qui se trouve dans cette lettre et m'approche de la porte pour l'ouvrir. "entre." Je la laisse passer la porte et ferme derrière elle tout en essayant de paraitre le plus calme possible. "La lettre est là." Je la montre d'un signe de tête voulant entré directement dans le vive du sujet, je veux pas perdre de temps.

    HJ: Désoler c'est court, mais je dois aller au travail. Il est temps que j'assume. 1001568715
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    Lien du postMer 24 Jan - 5:12
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    Je souhaitais secrètement que le message qu'il m'avait fait parvenir ne me parviennent jamais. Je savais très bien quelle réponse allait être écrite à l'encre sur cette feuille blanche. C'était si dur de devoir affronter cette situation. Je bénissais cette porte de bois nous séparant lui et moi. Il idiot d'apprécier ce mur qui nous empêchait d'être réunis. Cependant, une personne normale penserait ainsi.

    Un bruit d'une serrure se fit attendre et la porte s'ouvrit doucement. Je sentais mon coeur s'arrêter. Il était là devant moi. Mon corps ne voulait pas avancer et ma voix n'apparaissait pas. Je le regardais rapidement et entra après son invitation. Certes, la nervosité était présente. Elle s'amusait avec moi tout comme un chiot avec un jouet. "La lettre est là.", me disait-il non chantant. Pourquoi avoir une attitude si distante non nerveuse. Avait-il des doutes que les mots que je lui avais dit quelques jours plutôt étaient la vérité ? Je retirais mes bottes avant de déposer mon manteau sur le dossier d'une chaise près de l'entrée. ''Bonsoir Aaric...'' dis-je derrière une voix hésitante. Je m'approche de la table du salon pour poser le regard sur la lettre. Je le frôlais du bout de mes doigts. C'était le moment ! C'était aujourd'hui que sa vie allait tomber en miette. Je la prends dans mes mains en me tournant vers lui. ''Je ou tu l'ouvres ?'' dis-je rapidement. Je levais enfin les yeux vers les siens. Je plongeais les miens dans les siens et compris la situation. Je connaissais ce regard. Je l'avais déjà vu auparavant. Je m'approchais de lui pour que nos corps soient séparés par moins d'un mètre. ''Alors ?'' le questionnais-je de nouveau. J'appuie plus fermement sur l'enveloppe que je lui tendais. Mes nerfs allaient être à leurs limites.





    HJ: Ne t'inquiète pas ! Vic Je comprends. :heaart:
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    Lien du postSam 27 Jan - 14:09
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    Rhéa Kostas & Aaric Bushnell

    Contrairement à elle, je suis pas persuadé de ce qui se trouve écris sur cette lettre, pourtant le faite qu'elle soit sûr d'elle, ne me rassure pas du tout. Rhéa est une fille bien et je sais très bien qu'elle ne m'a jamais trompé contrairement à moi. Il est donc évident que ce gamin c'est le mien. Pourtant je préfère me faire croire le contraire, je veux pas pensé au pire, parce que pour moi ça serait le pire. Lorsqu'elle frappe à cette porte, je sens mon coeur s'arrêter, je sais pas du tout comment je dois réagir. Au fond de moi, je suis ravis de la voir et s'il n'y avait pas tout ça, je suis persuadé que j'aurais certainement essayer de la reconquérir. Sauf que pour l'instant c'est pas du tout ma priorité. La porte fermer, je la regarde se déshabiller et à cet instant, je ne peut m'empêcher de l'imaginer nue, son corps d'ado à dû changé et je suis curieux de savoir comment. ''Bonsoir Aaric...'' Mais rapidement elle me sors de mes pensée salace et soupire un coup. "Bonsoir." Je ne me suis pas du tout montré courtois et j'ai pas envie de l'être. La lettre que je désigne me donne de l'urticaire, plus je la touche et plus ça me gratte. C'est dans ma tête, mais ma nervosité me rend complètement fou. ''Je ou tu l'ouvres ?'' Je reste loin de la table ou la lettre trône et soupire d'un souffle bien profond. "Tu." J'ai pas le courage de le faire. Quand elle la prend en main, je fais un pas en arrière comme si elle tenait la peste entre ses doigts. Mes mains glisse dans mes poches, un geste qui montre bien que je ne veux pas y toucher.
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    Lien du postDim 28 Jan - 21:49
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    Je sentis la chaleur monter en moi telle vague. Je savais très la raison de cette agitation hormonale. Je me retrouvais seule avec l'unique homme qui a fait battre mon coeur, celui dont ses mains ont caressé chaque extrémité de mon corps, celui qui m'a permis de connaitre des plaisirs obscènes. Je réalisais bien que d'être ici avec lui, seul à seul, était une mauvaise idée. Il avait toujours cette petite énergie qui actionnait mon désir de convoitise, celui de la chair. Je le saluais au passage pour démontrer un signe de politesse. Cependant, cette énergie lourde qu'il laissait transparaitre de sa personne me fit sursauter. ''Bonsoir.'', me dit-il. Pouvait-il être plus distant ou même froid ? Je détestais ce genre de réaction. ''Plus courtois, tu meurs !'' dis-je sèchement. Je secouai la tête, ''J'ai compris, tu veux que nous terminions plus rapidement!'', ajoutais-je en laissant mes paroles devenir un murmure. Je prends alors la lettre en le questionnant. Je laissais un rire de nervosité sortir. Il reculait vraiment ? Il avait réellement des réactions enfantines. Je lui fis tournais le dos afin d'aller m'assoir sur un des divans. "Tu." m'avait-il dit plutôt. J'ouvris maladroitement l'enveloppe en prenant tout mon temps. En sortant le bout de papier, je levais les yeux vers lui. C'était incroyable. Il avait glissé ses mains dans les poches de son jean. J'avais l'envie de m'approcher de lui que pour le mettre cette foutue lettre dans ses mains. Mais, j'ai reçu une meilleure éducation que cela. ''Je saute les parties non importantes...'', le prévenais-je, ''Le père présumé n'est pas exclu en tant que père biologie de l'enfant testé. L'enfant répondant au nom de Eros Aaric Kostas et le présumé père répondant au nom de Aaric Noah Bushnell on la probabilité de paternité de 99.99 pour cent....'', je sautais certains partis expliquant les lois en vertu du numéro de l'article, etc.''Monsieur Aaric Noah Bushnell est le père biologique de l'enfant Eros Aaric Kostas. Il y a toutefois une possibilité d'un pour cent d'erreur.'', je déposais le papier sur la table et leva les yeux vers lui. C'était fait ! Il était enfin déclaré père d'Eros. Je me sentis libérée.






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    Lien du postMer 31 Jan - 18:15
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    Seul avec elle? Est ce la bonne solution? Est ce que je ne risque pas de déraper? J'ai tellement peur de lui faire du mal que je me fais souffrance pour ne pas écouter mes envies. J'ai envie de la prendre dans mes bras, pour ne plus la lâcher, j'ai envie de sentir son corps nu contre le mien et de pouvoir la baiser comme jamais, j'ai envie de la retrouver comme nous le faisions si bien avant. Mais il faut que j'évite de trop ce que j'ai dans le boxer, je peut pas toujours agir avec mon pénis et aujourd'hui nous sommes pas ici pour ça. Mais alors pourquoi est ce que j'est fais venir dans cette suite qui me sert de baisodrome, j'ai quand même aucun respect quand on n'y pense. Je suis pas un bon garçon, j'ai pas de tact et je sais pas me comporter avec les femmes.''Plus courtois, tu meurs !'' La preuve en est, c'est pour ça que je n'arrive pas à garder une femme, je suis trop con. "Excuse moi, c'est le stresse." Lorsque je stresse un peux trop, je gère plus mon côté désagréable.''J'ai compris, tu veux que nous terminions plus rapidement!'' Je hoche la tête pour confirmer ses dires, je veux vraiment en terminer avec ça, je veux que tout sois terminé et au plus vite. Je sursaute lorsqu'elle prend la lettre en mains, je réagis comme si elle tenais entre ses doigts une bombe, mais en réalité c'est mon destin qu'elle tien. 'Je saute les parties non importantes...'', Je reste ou je suis et ne réduit pas la distance que j'ai mis entre elle et moi, j'ai le coeur qui va me sortir de la gorge si elle continue à être si longue à lire le reste. ''Le père présumé n'est pas exclu en tant que père biologie de l'enfant testé. L'enfant répondant au nom de Eros Aaric Kostas et le présumé père répondant au nom de Aaric Noah Bushnell on la probabilité de paternité de 99.99 pour cent....'', Putain je vais tourner de l'oeil, elle invente c'est pas possible.''Monsieur Aaric Noah Bushnell est le père biologique de l'enfant Eros Aaric Kostas. Il y a toutefois une possibilité d'un pour cent d'erreur.'', Je souffle un coup et sors de ma poche ma main droite pour la tendre en direction de cette lettre de nouveau posé sur la table. "Un pour-cent d'erreur, c'est ça, je fais partie des un pour-cent." Mais quel idiot je fais, c'est pas possible et c'est bien indiqué que le teste confirme que c'est moi le père. Je me laisse tomber sur le lit qui se trouve derrière moi et passe ma tête dans mes mains. "Putain quelle merde."
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    Lien du postMer 31 Jan - 22:50
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    Je t'en supplie ! Laisse-moi m'éloigner de toi. Ne me regarde plus et ne pose plus ce regard d'envie sur ma personne. Tu ne sais à quel point malgré les années qui nous a séparés, je rêvais de t'apercevoir franchir le cadre de porte vêtue de ta tenue d'Adam. Malgré, les distances qui nous a séparés causer par ma personne et la tienne, je ressens toujours cette puissante attirance invisible qui me lie a toi ! S'il vous plait ! Aaric, disparais ! Dis que tu refuses de croire le résultat ou que tu le renie simplement.

    Je me mentais intérieurement. Je ne voulais qu'une chose, un père pour cet enfant. Je ne voulais qu'un et personne d'autre quelui ! J'étais maladroite et trop autoritaire. Une chipie, une femme de tête qui cessait de retenir dans ses gestes et paroles. Je n’aurais simplement pas dû lui répliquer une chose aussi inutile. Le pauvre sa nouvelle année dérapait dangereusement. Il avait appris mon retour, ma preuve que j'étais toujours vivante. J'étais venue à lui avec terrible nouvelle, un annoncement crucial. Celle qu'il était père depuis deux ans. Je m'en sentais certes troubler et désoler. Cependant, j'étais cette petite fleur dans son jardin. Celle qui brillait d'une lueur dangereuse et malicieuse, mais qu'il laissait apparaitre derrière cette apparence troublante une bonté et une douceur qu'il avait connue précédait. "Excuse moi, c'est, le stresse.", je soupirais en levant les yeux au ciel. Je n'étais pas mieux.  Il répond à ma question par un simple hochement de tête. ''Ne t'excuse pas tu me fais sentir encore plus mal dans la situation.'' Dis-je simplement en détournant le regard. Hors de question que je l'affronte. Je m'approchais de lui en prenant la lettre au passage. Je m'assois sur le divan et débuta la lecture. Tout le long de la lecture, je sentis les remords apparaître en moi. Lorsque je levais les yeux vers lui lors de la lecture terminer. Je m'aperçus de ses traits livides presque blanchâtres. "Un pour-cent d'erreur, c'est ça, je fais partie des un pour-cent." Je soupirais à sa réaction. Il venait de comprendre les réalités. ''Et quoi encore ! Mon vibrateur est son père !'' dis-je un peu choqué de son attitude. Je n'étais pas le type de fille qui apprécie les couchettes d'un homme différent un soir à l'autre. Je le vis partir vers le lit. "Putain quelle merde." Sa réaction m'envoya un signal d'alarme. Je le regardais perplexe et inquiète. Je ne pouvais réagir comme le monstre que je suis. Je me levais et m'approcha de lui. Je me penchais vers le sol en le regardant. Accroupie, je le regardais derrière une mèche rebelle. ''Aaric, je suis désolée ! Mais...je suis la si tu as besoin de parler ou si tu veux êtres seuls. Tu peux me le dire. ''Je déposais ma main sur son genou en essayant de voir son visage plus clairement. Mes paroles sonnaient faux. Je ne désirais le délaisser dans cette situation misérable. Je le comprenais. J'avais envie à cet instant de le prendre dans mes bras et le serre contre moi. Je voulais déposer mes lèvres contre les siennes pour le consoler comme je faisais auparavant. Je ne pouvais le voir aussi perturber. Je ne pouvais le supporter plus. Je me relevais et me tenait droit devant lui. ''Je crois qu'il serait plus judicieux que je te laisse seul...'' dis-je une voix vibrante. Non ! Non ! Ma petite voix intérieure me criait de rester. Je m'apprêtais à partir, mais mon corps réagit tout autrement. Je m'assois sur ce lit en ne parlant plus. ''Pis merde...'' laisse-je faiblement. Il me diras lui même de partir. Je voulais le voir réagir ! Je voulais le voir agir comme un homme et non comme un cro magnon. À cet instant, je compris que j'étais perdue. Toute la journée, j'ai cru que ma fermetée allait être présente. Cependant, j'étais aussi faible que lui. Je ne voulais aucunement le détruire.




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    Lien du postMer 7 Fév - 14:42
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    Jamais, jamais je ne disparaitrais de sa vie, c'est impossible, la preuve nous voila de nouveau réunis après deux ans d'absence. Notre destin est lié et aujourd'hui il risque de l'être à tout jamais. Si je suis vraiment le père de Eros, je vais partagé sa vie d'une manière ou d'une autre. Elle a décidé de revenir foutre le bordel dans ma vie et j'espère intérieurement qu'elle n'en sortira plus, même si je dois reconnaitre ce gamin.

    Je suis pas sur d'être prêt à être père, je sais déjà pas m'occuper de moi et d'une plante verte, les seules que j'ai eu on toute fini morte dans leur pot. Alors m'occuper d'un môme ça risque d'être quelque chose. Le faite qu'elle soit présente dans cette chambre, me stresse un peut parce qu'il est clair qu'elle se retrouve sur un terrain qu'elle ne connait pas et moi je suis tel un lion en cage. Rhéa c'est la gazelle égaré et moi je suis celui qui risque de la bouffer. Les conditions de ce rendez vous, ne sont pas agréable et moi je pense malgré tout qu'à une chose, la baiser. ''Ne t'excuse pas tu me fais sentir encore plus mal dans la situation.'' Je hausse les épaules. "Tu peut être mal oui." Après tout c'est elle qui vient foutre la merde dans ma petite vie, j'ai rien demander moi. En parlent de merde, en voila une belle qui m'arrive dans la gueule, me voila sûr d'être le père de ce gamin. J'essaie pourtant de me convaincre que je suis dans les uns pour-cent mais à qui je peut faire croire ça? ''Et quoi encore ! Mon vibrateur est son père !'' Je grimace un coup tout en comprenant qu'elle n'avait pas eu d'autre rapport hormis moi et son vibro. Je devais m'en douter, c'est pas le genre de femme au multiples conquête et c'est aussi pour ça qu'elle m'attire grave. Etre le seul à pouvoir la toucher et lui faire l'amour m'excite trop. Sauf que la je dois avoué que cette nouvelle me coupe toute ardeur. Je suis désemparer et je sais pas du tout comment gérer cette nouvelle. Je me laisse tomber sur le lit et rapidement je suis rejoint par la jeune femme. ''Aaric, je suis désolée ! Mais...je suis la si tu as besoin de parler ou si tu veux êtres seuls. Tu peux me le dire. '' Je retire mes mains de mon visage et la regarde sans un mot. Est ce que j'ai envie d'être seul? Non je crois pas ''Je crois qu'il serait plus judicieux que je te laisse seul...'' Elle se redresse et je suis complètement bloqué par cette peur qui d'un coup m'envahie, je suis tétanisé. Mes yeux ne la quitte pas et une vague de soulagement glisse sur cette peur lorsqu'elle revient prêt de moi.''Pis merde...'' Je me reprend enfin et me débloque pour m'approcher d'elle. "Je...reste." Je glisse ma main sur son visage pour lui tourner en ma direction. "Ne part pas." J'avale difficilement et mes lèvres se posent sur les siennes. J'ai envie d'être en son contacte et ne plus penser à tout ça.
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    Lien du postMer 7 Fév - 17:32
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    Je posais un regard surpris sur lui. Les paroles qui venaient de prononcer me font sentir minable. J'avais certainement commis une belle erreur, une énorme gaffe, mais je savais très bien que le tort m'appartenait. Avait-il le besoin de me faire souvenir que mes actions avaient été déplacer même non réfléchit ? Je me mordille la lèvre comme toujours. J'avais a cet instant envie de le gifler. Cependant vu l'historique derrière ses propos, je ne pouvais réagir ainsi. Je serrais les poings en laissant le bout de mes ongles pénétrer dans mes paumes. Respire ! Respire et calme la rage qui monte en toi, tentais-je de convaincre. C'était un échec ! Pouvons-nous nous regarder en face sans nous dire des propos disgracieux ? Pouvons-nous agir en adulte averti ? ''Tu peux être mal oui." Les paroles m'envoyèrent droit à un mur. Je sentais a cet instant chaque parcelle de ma peau s'imprimer de négativité. Je laissais mes ongles rentrer un peu plus. Il était hors de questions que la colère qui grandissait en moi apparaisse pour son petit plaisir. ''Tu fais chier Aaric !'' dis-je sèchement en laissant ma voix se hausser. ''Tu es toujours obligé de répliquer quelque chose d'aussi con alors que je me sens déjà mal ! Je suis déjà une merde à tes yeux ! J'ai compris !'' dis-je d'une voix vibrante. J'étais partagée entre la colère et la tristesse. Je suis une garce et une bonne à rien. Il n'avait pas besoin de me le rappeler. Nous vivons quelques choses que personne ne voudrait vivre. Quelques minutes près nos échanges, il avait compris que je n’étais pas une des lapines qui avait l'habitude de fréquenter. Comment pouvait-il croire deux secondes que j'avais osé partager le lit d'un autre alors que mon corps tout entier lui avait appartenu. Je souriais brièvement lorsque je révélait l'existence de mon petit jouet. J'avais commis une erreur cocasse.  Je laissais un petit rire sortir lorsqu'il grimaça. Or, sa réaction me brisa le cœur. Il ne répliqua pas rapport à mon commentaire. J'étais un peu déçue, mais rien de plus. Je le suivais du regard et le vis réagir d'une toute autre façon. Il était là ! Assis sur le lit, le visage entre les mains. Je n'en pouvais croire mes yeux. Il semblait si fragile à cet instant. Il n'avait plus la force naturelle qui dégageait de lui. Cette férocité avait laissé place à un déclin. Il savait transformer en un homme si labile. Le percevoir ainsi me déchira le cœur. Je m'approchais de lui rapidement pour m'accroupir devant ses jambes. Je lui fis deux propositions. Il retira ses mains qui cachait auparavant son doux visage. Je perçois alors ses yeux qui me fixent. Mon coeur fit un bond en criant. Il fallait que je le quitte rapidement ! Le plus vite possible ! Je me levai pour réaliser la deuxième proposition, mais lorsque je m'apprêtais à exécuter, ma conscience me dit de réagir autrement. Je m'assois à ses coter et ne réagis aucunement. Il est hors de questions que je réagis. Après tout, si, j'ouvre la bouche de nouveau. Il va encore me répliquer quelques choses. Je décidai de ne pas réagir et dire un commentaire destiner a ma personne. Je venais de me contredire encore pour lui. Je restais là, assise en regardant mes mains sur mes genoux. Le silence envahit la chambre, mais dans ce néant total, sa voix remplie d'hésitation brisa le tout. ''Je...reste.'' Dit-il. À cette instant, je sentis cette chose en moi apparaitre. Un soupçon d'amour réapparaitre pour lui. Une petite flemme presque éteinte qui tentait d'éclairer la noirceur qui l'entourait. Je soupirais. Non, je ne pouvais pas. Je ne voulais pas ressentir ce désire enfuit pour lui. Il était hors de question que je me laisse prendre entre ses bras. Il était un emmerdeur de première qui ne méritais pas d'être prit sous la piéter. Je ne pouvais pas dire autrement pour me convaincre. Mais, non ! Je me disais que des bêtises. Je sentis le lit bouger sous son poids. Lorsque sa main vient se déposer contre ma peau, je sentis cette étincelle apparaitre. La flemme prit de l'ampleur. Non, Aaric ! Ne fais plus un geste et ne dis plus rien ! Criais-je dans mon fort intérieur. ''Ne pars pas.'' Mes yeux s'énergisent et mes paupières battèrent rapidement pour deux ou trois fois. Que venait-il de dire ? Venait-il réellement de me demander de rester auprès de lui. Sa voix semblait si absente, si éloigner. Je ne savais comment réagir. Il semblait si sincère. Je fis un sursaut lorsque ses lèvres se déposent contre les miennes. Cette chaleur m'avait surprise. Je devais le repousser. Je déposais main sur son torse en voulant mettre une distante. Je fis glisser mes lèvres contre les siennes en hésitation. Je ne voulais et je voulais. Je me libérais de se contacte en le regard droit dans les yeux. ''Aaric, nous ne devrions pas...''dis-je avant de rejeter mes paroles. Je refermais mon emprise sur son chandail et déposais mes lèvres contre les siennes. Je désirais un vrai baiser. Je fis glisser mes lèvres contre les siennes en savourant la sensation qui apparaissait dans mon bas ventre. Pourquoi, mon corps répondait-il aussi rapidement lorsqu'il me touchait ou me frôlait. À cet instant, je ne désirais qu'une chose. Je voulais qu'il me touche, il ne brise pas le baiser comme je venais de faire. Je me laissais porter par cette saveur qui m'avait manqué. Je fis glisser ma langue entre nos lèvres. Transformant se baiser anodin en une danse sensuelle. Cette fourbe m'avait manqué. Peut-être ne devrais-je pas, mais c'était trop tard.




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