Givre délicat s’échappant de chaque expiration, froid enivrant s’abattant contre les parcelles dénudées de son épiderme, gamin rêvant de neige et de luge plutôt qu’assister aux drames de l’université. Noora, source de frayeur continuel, soeur à la dérive dans ses pensées en l’instant présent. Gabriel, l’ange déchu prêt à tout pour une corruption totale aux côtés des Mathers. Rencontres fantastiques dans cette confrérie si peu conventionnelle, Hécate et Ziggy. Délice de femmes à la personnalité si forte, ces femmes le faisant bien rire et pourtant celles avec qui il n’oserait jamais rien faire de plus que rire. Ce respect d’une amitié, ces valeurs ancrées dans le Mohn depuis qu’il était gamin, des valeurs qu’il ne briserait point. Boutique de robe de mariée, boutique qui était la cible de la bêtise du jour du duo de compères. Ziggy dans une robe aussi bouffante que les joues d’un hamster et lui jouant le chieur comme il savait si bien le faire. Plan reposant sur une alchimie improvisée, les Mathers causant du grabuge autre part que dans l’université. Pour une fois que c’était pas contre des Eliots. Dernière folie du moment, mèche émeraude sur ses cheveux blonds, oubli d’une soirée Harry Potter chez les Lowell ayant tourné en atelier teindre des cheveux. Visiblement le blond était tombé chez les fiers serpents, tant mieux, un sang pur sinon rien. Fière allure ou débilité totale, il assumait totalement sa mèche verte commençant à déteindre à force de shampoings. Mains dans les poches d’un manteau bien chaud, Gabriel n’attendait plus que sa charmante partenaire pour passer une après-midi mémorable, son téléphone chargé à bloc pour immortaliser leurs bêtises du jour. Mather, une confrérie qui marchait si bien pour le jeune homme, lui qui rencontrait chaque jour des nouvelles personnes aussi cinglées qu’il pouvait l’être. Décidément ces deux prochaines années à Harvard promettait.
parfois, elle se demandait ce qui pouvait bien lui passer derrière la tête ziggy. parce que clairement, elle n'avait pas les même activités ni les même envies de divertissement que les autres. et probablement que traîner avec gabriel ne l'aidait pas lui qui était dans la finalité tout aussi dérangé qu'elle. alors forcément, quand ils mettaient leurs deux cerveaux à contribution, fallait s'attendre à une connerie épique. dernière folie du moment ? essayer des robes de mariées pour la jeune femme, prétendre qu'il serait son époux et rendre complètement barges les pauvres vendeuses de la boutique. c'était avec ce genre d'explication qu'on se rendait compte qu'effectivement, y avait quelque chose qui ne tournait pas rond dans leurs têtes. enroulant une écharpe autour de son cou, elle prenait la direction du lieu de rendez vous, main dans les poches, luttant contre la tempête de froid ayant envie boston ces derniers jours. c'était pour la bonne cause qu'elle affrontait les températures extérieure et elle savait que cette journée resterait gravée dans leurs mémoires sans le moindre doute. et elle l’apercevait au loin, ses cheveux virant vers le vert ce qui arrachait un sourire à la jeune femme. "t'as fais un pari que t'as perdu pour finir comme ça ?" qu'elle se moque gentiment montrant ses cheveux du doigt. "quoi que ça te va plutôt bien en fait, je retire ce que j'ai dis." sortant une cigarette de son paquet en poche, elle glissait le tube blanc entre ses lèvres laissant la flamme de son briquet l'allumer avant de reprendre la parole. "qu'est ce que tu penses de ta futur femme ?" parce que pour aujourd'hui, elle était la future madame mohn. ni plus ni moins.
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Givre délicat s’échappant de chaque expiration, froid enivrant s’abattant contre les parcelles dénudées de son épiderme, gamin rêvant de neige et de luge plutôt qu’assister aux drames de l’université. Noora, source de frayeur continuel, soeur à la dérive dans ses pensées en l’instant présent. Gabriel, l’ange déchu prêt à tout pour une corruption totale aux côtés des Mathers. Rencontres fantastiques dans cette confrérie si peu conventionnelle, Hécate et Ziggy. Délice de femmes à la personnalité si forte, ces femmes le faisant bien rire et pourtant celles avec qui il n’oserait jamais rien faire de plus que rire. Ce respect d’une amitié, ces valeurs ancrées dans le Mohn depuis qu’il était gamin, des valeurs qu’il ne briserait point. Boutique de robe de mariée, boutique qui était la cible de la bêtise du jour du duo de compères. Ziggy dans une robe aussi bouffante que les joues d’un hamster et lui jouant le chieur comme il savait si bien le faire. Plan reposant sur une alchimie improvisée, les Mathers causant du grabuge autre part que dans l’université. Pour une fois que c’était pas contre des Eliots. Dernière folie du moment, mèche émeraude sur ses cheveux blonds, oubli d’une soirée Harry Potter chez les Lowell ayant tourné en atelier teindre des cheveux. Visiblement le blond était tombé chez les fiers serpents, tant mieux, un sang pur sinon rien. Fière allure ou débilité totale, il assumait totalement sa mèche verte commençant à déteindre à force de shampoings. Mains dans les poches d’un manteau bien chaud, Gabriel n’attendait plus que sa charmante partenaire pour passer une après-midi mémorable, son téléphone chargé à bloc pour immortaliser leurs bêtises du jour. Mather, une confrérie qui marchait si bien pour le jeune homme, lui qui rencontrait chaque jour des nouvelles personnes aussi cinglées qu’il pouvait l’être. Décidément ces deux prochaines années à Harvard promettait.
parfois, elle se demandait ce qui pouvait bien lui passer derrière la tête ziggy. parce que clairement, elle n'avait pas les même activités ni les même envies de divertissement que les autres. et probablement que traîner avec gabriel ne l'aidait pas lui qui était dans la finalité tout aussi dérangé qu'elle. alors forcément, quand ils mettaient leurs deux cerveaux à contribution, fallait s'attendre à une connerie épique. dernière folie du moment ? essayer des robes de mariées pour la jeune femme, prétendre qu'il serait son époux et rendre complètement barges les pauvres vendeuses de la boutique. c'était avec ce genre d'explication qu'on se rendait compte qu'effectivement, y avait quelque chose qui ne tournait pas rond dans leurs têtes. enroulant une écharpe autour de son cou, elle prenait la direction du lieu de rendez vous, main dans les poches, luttant contre la tempête de froid ayant envie boston ces derniers jours. c'était pour la bonne cause qu'elle affrontait les températures extérieure et elle savait que cette journée resterait gravée dans leurs mémoires sans le moindre doute. et elle l’apercevait au loin, ses cheveux virant vers le vert ce qui arrachait un sourire à la jeune femme. "t'as fais un pari que t'as perdu pour finir comme ça ?" qu'elle se moque gentiment montrant ses cheveux du doigt. "quoi que ça te va plutôt bien en fait, je retire ce que j'ai dis." sortant une cigarette de son paquet en poche, elle glissait le tube blanc entre ses lèvres laissant la flamme de son briquet l'allumer avant de reprendre la parole. "qu'est ce que tu penses de ta futur femme ?" parce que pour aujourd'hui, elle était la future madame mohn. ni plus ni moins.
