désir inassouvi — Voilà que tu viens de finir de déjeuner, après une matinée de cour tout ce que tu veux c'est passé du temps à te détendre et arrêter de bouger à droite et à gauche. En ce moment, t'es tous les soirs dehors et t'as envie d'une pause au calme pour te détendre et de te remette de toutes les cuites que t'as prit cette semaine. T'es grave en retard sur les cours et si ton père adoptif l'apprend t'es foutu. Tu sais qu'être adopté c'est pas toujours facile parce que t'as pas envie de les décevoir et en même temps en ce moment t'as pas mal de chose qui te revienne de ta vie passé alors tu te poses des questions sur toi. Puis tu te remets pas de savoir que l'assassin de tes parents n'a jamais été retrouvé, ça te ronge alors t'essaye d'oublier par tous les moyens et l'alcool en est un très bon. Tu sortais du mcdo lorsque tu recevais un message de Serah, amusée tu échangeais quelques messages avec celle ci parce que tu lui manquais. Tu pouvais pas nier que cette fille était une bombe et qu'à de nombreuses reprises t'avais fantasmé sur elle. Seulement, aujourd'hui elle jouait avec le feu en te défiant complètement, elle voulait jouée, elle n'allait pas être déçue. Tu finissais par te rendre à la Mather House pour la rejoindre dans sa chambre où elle allait comprendre que tu rigolais pas. Une fois arrivée, tu montes jusqu'à la chambre de celle-ci et comme tu sais qu'elle y est, tu rentres sans frapper alors que tu la vois debout à côté de son lit en train de ranger quelques trucs dont tu te fou complètement. "Fallait pas répéter bébé." Tes mains saisisses ses hanches et tu l'attires contre toi tandis que tes lèvres capturent ses lèvres d'un geste possessif, ta main glissant dans ses cheveux blond pour l'intensifier.

Je venais pratiquement tout juste de revenir  à ma chambre après un cours lorsqu’on a commencé à s’envoyer des sms. Ça fait un bail qu’on s’est pas vu toutes les deux et, entre ça et Mila qui a été mise à pied, j’commence sérieusement à me sentir seule. Alors, forcément, quand tu me demandes où je suis, j’te dis de passer sans hésiter. Or là, c’est différent. Pourquoi? Parce que j’t’ai clairement dit que j’te baiserais si l’occasion se présentait et, contre toute attente, ça semble réciproque. Ce qui ne l’est pas, c’est mon excitation lorsque j’en parle à Elliot. J’savais pas que mon meilleur ami était ton demi-frère bébé. Le monde est p’tit, j’vous jure! Bref. C’est pas moi que ça va déranger de partager quoi que ce soit avec toi comme avec lui alors… voilà. La porte s’ouvre derrière moi et c’est ta voix qui me confirme que c’est pas juste un autre mather qui est entré sans frapper.  "Fallait pas répéter bébé." Je fais volte-face juste à temps pour que tu m’attrapes par les hanches et plaque mon corps contre le tiens, nos lèvres se retrouvant pour un baiser langoureux et possessif. J’y réponds volontiers, le prolongeant même un peu ne passant mes mains sous ton haut, caressant la peau de ton ventre sans attendre d’avantage.

désir inassouvi — Je ne sais pas trop comment tout ça est arrivé, comment les choses ont fait que je suis arrivée dans ta chambre aussi vite pour venir capturer tes lèvres. C'est vrai que j'étais loin de me douter que toi aussi, tu me désirais, parce que moi j'ai jamais caché l'effet que tu me faisais et je suis pas une fille qui tourne autours du pot. Je te voulais depuis des mois, t'étais ma femme et voilà que tu te décidais à me donner le feu vert. J'avais été sympa, j'avais demandé une confirmation parce que je ne voulais quand même pas arrivé et me manger le vent du siècle. Alors quand ton corps se comme contre le mien et que tu viens amplifier le baiser, je souris contre tes lèvres. Je suis loin de me douter à cet instant que tu connais la vérité sur moi et Eliott parce que tout ce que je veux c'est oublier toute cette histoire. Tout ce qui m'importe à cet instant c'est tes doigts qui glissent sur ma peau et me fait frissonner, tandis que mes mains glissent jusqu'à tes fesses pour que je puisse te porter et venir t'allonger sur le lit. Je viens au dessus de toi d'un air joueuse et malicieuse, caressant ton corps par dessus tes vêtements. "Tu es vraiment sûre de toi, parce qu'après je ne le redemanderais pas." Je te regarde longuement bien que dans mes yeux, tu peux déjà lire dans mon regard combien j'ai envie de te sentir contre moi et de pouvoir goûter à ton corps. Après tout t'es ma femme, je peux caresser ton corps, embrasser tes lèvres et te donner autant de plaisir que tu le souhaites.

Dans un mouvement rapide, tes mains passent sous mes fesses et tu me soulèves pour me déposer sur mon lit. Je rigole un peu, habitué à ce genre de scène avec les mecs, mais rarement avec les femmes. Tu me déposes et ne perd pas de temps pour venir t’installer au-dessus de moi. Je plonge mon regard dans le tiens, relevant la tête pour t’embrasser à nouveau, mais tu demandes d’abord : "Tu es vraiment sûre de toi, parce qu'après je ne le redemanderais pas." Tu me regardes fixement, comme si tu avais encore peur que je te repousse. La vérité ma belle, c’est que j’aurais pu te baiser le premier soir qu’on s’est rencontré. C’est con hein? Tout ce temps qu’on a perdu en fait. Alors je ne réponds pas de mes mots, mais plutôt de mes gestes. Genre, ta gueule Meg, embrasse-moi. Je plaque mes lèvres contre les tiennes, enroule mes jambes autour de ton corps et pose ma main sur ta poitrine que je palpe fermement.

désir inassouvi —

désir inassouvi —