Le 26 NOVEMBRE

Déjà deux jours… Deux interminables jours. Plus le temps passait et plus l’angoisse se faisait sentir. Chacun géré le stress à sa façon. Certain avec moins de facilité que d’autres. Le pire c’est qu’ils n’avaient aucune info, quedal ! Si encore un mec masqué avait débarqué avec une voix trafiqué pour leur dires qu’ils resteraient là jusqu’à ce qu’une rançon soit payer. Ou même s’ils entendu quelqu’un derrière la porte. Mais rien. La nourriture était la même depuis qu’ils s’étaient réveillé, Nate nourrissait l’espoir de voir quelqu’un remplaçait le stock mais il y avait peu de chance. D’ailleurs ses lits, cette nourriture… Et s’ils restaient là pendant des semaines, des mois ? Et que savaient leurs proches ? Et s’ils les croyaient mort ? Nate essayait tant bien que mal de garder l’esprit clair mais c’était tous sauf simple. La seule consolation qu’il trouvait, c’est de ne pas être seul dans cette galère. Le McLaren se leva de son lit et alla s’assoir à côté de Janessa qui se trouvait assise sur l’un des matelas. «  Tu veux faire un action ou vérité ? » demanda-t-il avec un demi-sourire. Après tout il n’y avait pas grand-chose pour s’occuper, peut-être que ça lui éviterait de penser. «  Tu crois que nos proches nous cherches ? »

Nate s’était rapproché de Janessa et pour passer le temps il lui proposa un action vérité. Jeu auquel elle accepta de participé. «  D’accord. Va pour vérité. Quel âge avait-tu la première fois que tu t’es saoulé ? » Demanda-t-il avant de l’interrogeait sur le vif du sujet, à savoir leur présence ici. Elle essaya de le rassurer et lui fit même une promesse qu’elle n’était pourtant pas certaine de tenir. «  Ce n’est pas plutôt moi qui devrait dire ce genre de chose ? » demanda-t-il avec un sourire, touché. Nate avait toujours endossé le rôle du protecteur, du gars rassurant. Pas parce qu’il était le garçon et qu’il était matcho, loin de là. Déjà il n’était pas matcho. Ensuite, ça lui venait de son éducation. On lui avait appris à veiller sur ceux qu’il aimait. Nate avait veillait sur sa mère jusqu’à son dernier souffle. C'était quand il avait 6 ans et  c’est sans doute de là que lui venait cette capacité de veiller sur les autres. C’est de là aussi que venait sa peur de perdre les gens qu’il aimait. Il imaginait donc le stress que son entourage pouvait ressentir de le savoir disparu, bien que ce n’était rien comparé au stress de ne pas savoir s’ils allaient sortir vivant. «  Je vois que tu es une fille plutôt positive. C’est bien. Et tu a raison, nos proches nous cherches. » Nate aussi était un garçon optimiste et vu la situation dans laquelle ils étaient, c’était tant mieux.