I LOVE HARVARD :: Première Aventure :: Carte identité :: Fiches de présentation :: Présentations archivées
JULIET FITZGERALD ► Sofia JamoraInvitéInvité
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Nom : Fitzgerald. Patronyme que tu as obtenu suite à ton sois disant mariage avec Max Fitzgerald. Ton nom de jeune fille restera quant à lui dans l'ombre. ◇ Prénom : Juliet. Un prénom simple, choisi par ton père. Grand amateur des oeuvres de Shakespeare, il espérait sans doute qu'avec un prénom pareil, tu arriverais facilement à trouver ton Roméo. ◇ Âge : Tu as eu tes 22 ans il y a peu. Tu ressens encore les effets de l'alcool après la fête que tu as fais ce week-end. ◇ Date et lieu de naissance : Tu as vu le jour une nuit d'été à Berlin. Le 15 septembre 1995 pour être plus précise. ◇ Nationalité : Née à Berlin, tu possèdes alors forcément la nationalité Allemande. Avec le temps et, suite aux voyages de tes parents, tu as fini par adopté la nationalité Finlandaise et Américaine. ◇ Orientation sexuelle : Pour toi, cette partie-ci est claire, comme de l'eau de roche. Tu n'as jamais ressenti le moindre désir sexuel pour les femmes ou ne serait-ce qu'un peu d'attirance. Non, toi, tu as toujours été attiré par les phallus, les bananes, le service trois pièces. Bref, l'appareil génital masculin. Tu es donc hétérosexuelle. ◇ Statut amoureux : Mariée. Oui, malheureusement, tu as déjà la bague au doigt, depuis maintenant un an. C'est... une histoire assez compliquée et, tu n'as pas franchement envie d'en reparler. ◇ Statut social : Tu n'as jamais manqué de rien, mais, ce n'est pas pour autant que tu as eu toujours tout ce que tu souhaitais. Il faut dire que tes parents ont toujours eu un revenu dans la moyenne. Assez pour payer les factures, mais jamais assez pour vous payer des voyages de rêve. ◇ Job étudiant : Vendeuse de pop-corn dans un cinéma. ◇ Études majeures : Criminologie ◇ Études mineures : Danse
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Juliet Fitzgerald - 22 ans - 5ème - Criminologie & Danse - vendeuse de pop-corn
Juliet Fitzgerald
feat Sofia Jamora
feat Sofia Jamora
Mather House
Cette confrérie est faite pour toi. Le côté fou et festif des Mathers t'attire énormément. Après tout, après ta grosse période d'agoraphobie, c'est en sortant chaque soir pour aller dans les bars et faire la fête que tu as réussi à te sociabiliser à nouveau avec le monde. Leur rythme de vie, c'est la tienne. Boire, fumer, faire la fête et, ne pas se soucier du lendemain. C'est ce que tu veux, c'est ce que tu aimes faire depuis maintenant quelques années.
Quincy House
L'altruisme ? Une caractéristique qui te va comme un gant. Malgré ton petit caractère de cochon quand on te cherche trop, tu aimes aider les autres et t'impliquer. Si quelqu'un a besoin de quelque chose ou s'il rencontre un problème quelconque, tu te feras un plaisir de l'aider du mieux que tu pourras. C'est sans doute pour cela que tu as décidés de te plonger dans des études de criminologie.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Tu as eu la chance de ne pas avoir été victime d'agression. Mais c'était donc le cœur lourd que tu allais chaque jour au campus. Comment être bien quand on ne se sent pas en sécurité dans l'université dans laquelle on étudie ? Tu as même loupé plusieurs cours suite à ces événements. Il faut dire qu'à ce moment-ci, pas mal de choses ne tournaient pas totalement bien dans ta vie. D'ailleurs, par chance, c'est à cause de tes problèmes que tu ne te trouvais pas présente au campus le 17 janvier 2015.
Tu as eu la chance de ne pas avoir été victime d'agression. Mais c'était donc le cœur lourd que tu allais chaque jour au campus. Comment être bien quand on ne se sent pas en sécurité dans l'université dans laquelle on étudie ? Tu as même loupé plusieurs cours suite à ces événements. Il faut dire qu'à ce moment-ci, pas mal de choses ne tournaient pas totalement bien dans ta vie. D'ailleurs, par chance, c'est à cause de tes problèmes que tu ne te trouvais pas présente au campus le 17 janvier 2015.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Spring break 2016, voyage au Chili.
Voilà ce qui arrive quand tu fais trop violemment l'amour. Plus sérieusement, tu as eu la chance - on va dire ça comme ça - de ne pas te trouver au Spring Break de l'année dernière. De ce fait, tu n'étais pas au Chili à cette période de l'année. Il faut dire que tu avais d'autres choses à faire, plus importante à cette époque que t'amuser. Tu avais un mariage à préparer, oui oui, le tien. Mais, cela n'empêche pas que tu étais inquiète pour tes camarades, imaginant le pire pour eux.
Spring break 2016, voyage au Chili.
TON ADMISSION À HARVARD
Malgré ton agoraphobie avancée, tu as toujours eu d'excellente note et, comme pour te prouver à toi-même que tu pouvais vaincre ta peur et suivre ta voie, tu as décidé de passer les tests pour entrer dans la prestigieuse université de Harvard. Tes résultats furent impressionnants et, avec la bourse que tu avais réussi à obtenir, les portes d'Harvard pouvaient s'ouvrir à toi. Ton examen d'entrée resta quand même l'une des choses plus difficile pour toi. Bon, bien moins difficile que tes jeunes années, mais, étant donné que ce fut la première fois que tu rencontrais une personne hors de ton cocon. Pourtant, cette expérience fut des plus gratifiantes pour toi.
Malgré ton agoraphobie avancée, tu as toujours eu d'excellente note et, comme pour te prouver à toi-même que tu pouvais vaincre ta peur et suivre ta voie, tu as décidé de passer les tests pour entrer dans la prestigieuse université de Harvard. Tes résultats furent impressionnants et, avec la bourse que tu avais réussi à obtenir, les portes d'Harvard pouvaient s'ouvrir à toi. Ton examen d'entrée resta quand même l'une des choses plus difficile pour toi. Bon, bien moins difficile que tes jeunes années, mais, étant donné que ce fut la première fois que tu rencontrais une personne hors de ton cocon. Pourtant, cette expérience fut des plus gratifiantes pour toi.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle BLACKNESS THORNS (linda) et j'ai 22 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Thomas qui m'a menacée. J'étais déjà venue sur le forum il y a un an de ça ou deux alors j'ai décidé de me réinscrire. J'utilise Sofia Jamora comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bramble heart. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration
je veux être parrainé
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7728]►[/url] ► <span class="pris">Sofia Jamora</span> “ Juliet Fitzgerald ”[/size]
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MORE OF YOUR OWN STORY
2003 - Finlande
Assise sur l'une des balançoires du parc, tu laisses tes pieds se balancer inlassablement dans le vide. Le regard perdu dans l'horizon boisé qui te fait face, tu reprends soudain conscience quand une petite masse de poils gris se glisse dans ton champ de vision. Presque, immédiatement, tes fesses descendent de cette assise inconfortable et, ta marche s'emballe. Tu es piqué au vif, tu sais que la région est peuplée de tout un tas de loup par ici, ta maman passe son temps à te le répéter. Pourtant, tu ne peux pas t'empêcher de t'avancer, sans aucune prudence. Puis, vu le spectacle qui s'offre soudain à toi, tu ne peux qu'être fière de ce manque de prudence. Trois petits louveteaux semblent se chamailler entrent eux. Tu les contemples, émerveillé, une bonne dizaine de minutes. Cependant, un craquement de brindille derrière toi te fait sursauter ainsi que les trois petites bêtes. Tu entends à peine les mots de cet homme immense qui se tient maintenant devant toi, qu'il a déjà entouré ta taille de ses bras. Machinalement, ton coeur s'emballe, tu remues, tu lui ordonnes de te lâcher. C'est un inconnu, un homme que tu n'as jamais vu, ni côtoyer. Pourquoi est-il si familier envers ta personne ? Un rire sinistre étreint sa gorge, un rire qui te glace le sang. Tu sens chacun de tes membres se raidirent sous la peur qui s'accumule à présent dans tes veines. « Maman... » lances-tu dans une plainte non dissimulé. Un souffle qui ressemble d'avantage à un murmure. Peut-être qu'il va te lâcher. Peut-être qu'il est inoffensif. Non, ils sont loin de l'être. Un deuxième homme, les mains couvertes d'un liquide rougeâtre s'est avancé vers vous. Il semble tenir un sac en toile de jute. Un sac qui ne cesse de bouger et faire du bruit. Des couinements s'en échappent. Des piaillements dignes d'un chiot. « On en fait quoi ? » demande alors celui qui te tient encore dans ses bras. L'autre t'observe de la tête au pied, jaugeant sans doute l'intérêt que tu pourrais avoir. « Embarque-la. » Là, tout s'arrête dans ton esprit, tu ne réfléchis plus... tu prends une grande inspiration et, d'un coup, tu libères tout l'air de tes poumons dans un cri des plus aiguë. Tu es pourtant stoppé dans ta course quand tu perds violemment connaissance.
Tu ne sais pas combien de temps s'est écoulé entre le moment où tu as reçu un coup sur la tête et, celui où tu commences lentement à ouvrir les yeux. Un bruit distinct de moteur vient s'abattre contre tes tympans alors que ton corps gigote dans tous les sens. Sans doute à cause de la route désastreuse sur laquelle vous êtes en train de rouler. Tu tentes de bouger, mais, tes mains et tes pieds semblent liés. Tu as si peur que ton coeur pourrait bien s'arrêter dans la minute. Soudain, plus aucun bruit, plus aucun gigotement. La voiture s'est arrêtée ? Une portière se fait entendre, quelques bruits de pas et, une lumière aveuglante vient agresser ta rétine. Tu tournes machinalement la tête en grimaçant. Un homme t'attrape par la taille et te glisse sur son épaule tel un sac à patates. Tes yeux sont encore sensibles, à cause de la lumière, ta vision est légèrement flou mais, tu arrives pourtant à discerner le chemin que cet homme emprunte. Il descend des escaliers qui vous mènes à une pièce sombre. Un bruit de clef, une grille rouillée qui semble s'ouvrir et, tu es subitement jeté sur le sol en compagnie de ce qui semble deux louveteaux. Eux aussi sont apeurés. Ils tremblent... tout comme toi. Tu ne sais pas où tu es, tu veux simplement fermer les yeux et te réveiller de ce qui ressemble au plus affreux des cauchemars.
light of the seven.
Tu ne sais pas combien de temps s'est écoulé entre le moment où tu as reçu un coup sur la tête et, celui où tu commences lentement à ouvrir les yeux. Un bruit distinct de moteur vient s'abattre contre tes tympans alors que ton corps gigote dans tous les sens. Sans doute à cause de la route désastreuse sur laquelle vous êtes en train de rouler. Tu tentes de bouger, mais, tes mains et tes pieds semblent liés. Tu as si peur que ton coeur pourrait bien s'arrêter dans la minute. Soudain, plus aucun bruit, plus aucun gigotement. La voiture s'est arrêtée ? Une portière se fait entendre, quelques bruits de pas et, une lumière aveuglante vient agresser ta rétine. Tu tournes machinalement la tête en grimaçant. Un homme t'attrape par la taille et te glisse sur son épaule tel un sac à patates. Tes yeux sont encore sensibles, à cause de la lumière, ta vision est légèrement flou mais, tu arrives pourtant à discerner le chemin que cet homme emprunte. Il descend des escaliers qui vous mènes à une pièce sombre. Un bruit de clef, une grille rouillée qui semble s'ouvrir et, tu es subitement jeté sur le sol en compagnie de ce qui semble deux louveteaux. Eux aussi sont apeurés. Ils tremblent... tout comme toi. Tu ne sais pas où tu es, tu veux simplement fermer les yeux et te réveiller de ce qui ressemble au plus affreux des cauchemars.
2007 - Finlande
Voilà maintenant quatre ans que tu étais enfermée dans cet enfer. La première année avait été la plus pénible pour toi. Enfermée simplement dans une cage, sans quasiment voir le moindre rayon de soleil, à vivre comme un animal. Tu as pensé plus d'une fois perdre complètement la raison. Heureusement pour ta santé mentale, les loups qui vivaient avec toi, avaient peu à peu appris à vivre en ta compagnie et, à te tenir chaud quand venait la nuit. Cependant, à tes dix ans, tu fus autorisé à sortir de ta cage pour rejoindre le monde des humains. Retrouver la lumière du jour fut une épreuve assez difficile pour toi. Tes yeux s'étaient malgré eux habitué à l'obscurité de cette cave humide. « Tu nous feras à manger et tu nettoieras la maison. » Voilà les seuls mots qu'ils avaient prononcés à ton égard. Faire à manger ? Tu n'avais que dix ans seulement, tu n'avais jamais posé tes mains sur une gazinière ou sur un four. Pourtant, tu te devais d'apprendre, et vite. Chaque fois que tu te trompais, tu étais battue. C'était principalement ton dos qui prenait. En fait, cela était systématique dès que tu faisais une bourde. Sans compter que la cuisine était sans doute la chose la plus facile à faire. Le ménage en soit n'aurait pas été compliqué s'il ne consistait pas à nettoyer le sang ou les tripes des animaux que ses hommes dépeçait sans aucune pitié. Les cinquante premières fois furent dur pour toi, tu vomissais à chaque fois que tu voyais tout ce sang. Une torture pour toi, pour tes narines et ton estomac. Par chance, cependant, ils ne posèrent pas la main sur toi autrement que pour te battre.Pourtant, après quatre ans, tu en avais marre. Marre de devoir subvenir à chaque besoin de ces hommes qui avait gâché ta vie. Alors, tu avais décidé de prendre les choses en main, depuis plus d'un an, tu avais commencé à prendre des repères, à concocter ton petit plan pour t'échapper de cet enfer qu'était devenue ta vie. Tu ne comptais d'ailleurs pas partir seule, les deux loups qui t'accompagnaient depuis quatre ans allaient aussi être de la partie.
Le soir venu, tu attendais un peu moins d'une heure après que les deux hommes se soient couchés. Tu attrapais l'épingle qui se trouvait dans tes cheveux et, à l'aide d'un petit fil de fer, tu crochetais la serrure de la cage, libérant les deux animaux de leur enfermement. Te rendant au fond de la cave, tu soulevais une bâche pour en sortir un sac dans lequel tu avais mis quelques provisions à l'intérieur depuis le début de la semaine. Tu montais les escaliers, prudemment, la porte ouverte, tu te faufilais à pas de loup jusqu'à la porte d'entrée. Tu savais que vivant dans les bois, ils ne prenaient jamais la peine de fermer la porte alors, dès que tu l'ouvrais, tu te mettais à courir de toutes tes forces. Pas question de se la jouer escargot, c'était ta seule chance de partir et de retrouver ta liberté. Les deux loups t'accompagnaient, s'arrêtant parfois pour surveiller les alentours. Courir, sentir l'air caresser ta peau. Tu étais en pleine extase, tu sentais même des larmes de joie qui commençaient à couler le long de tes joues. Cependant, tu n'étais toujours pas tiré d'affaires, tu le savais bien. Même si pour le moment, tu n'entendais rien venant de ce que tu laissais derrière toi, tu préférais rester sur tes gardes. Dans ta folle course, après une trentaine de minutes, tu finissais par t'arrêter, à bout de souffle. Pencher en avant, les mains sur tes genoux, tu essayais de reprendre une respiration plus ou moins normal. Griffon, le loup mâle qui t'accompagnait s'approchait de toi, collant son museau contre ta cuisse. Attendri, tu amenais ta main contre sa tête afin de le caresser mais, tes doigts n'eurent pas le temps de chatouiller sa fourrure qu'un bruit assourdissant venait briser tes tympans. Un sifflement strident venait complètement brouiller ton esprit. Un coup de feu ? Tu tournais ton regard en direction de la femelle qui montrait les crocs puis, tu reposais ton regard sur Griffon. « Griffon.... ? » Allongé au sol, tu ne pouvais que remarquer la tâche rougeâtre qui s'étendait petit à petit sur la fourrure immaculé de l'animal. Tu poussais un cri, un cri de douleur alors que tes mains venaient se baigner dans le liquide pourpre qui s'échappait de sa peau. L'animal respirait encore mais, avec une grande difficulté. « Non... Non. Non. Non ! » Les choses ne pouvaient pas se finir ainsi pour lui. Non. Aurora commençait à mordre dans ta robe pour te tirer vers l'arrière. Un autre coup de feu fusa dans l'arbre tout proche de toi. Tu tombais d'abord sur les fesses puis, tu finissais par difficilement te relever, lançant un dernier regard sur l'animal qui était mort par ta faute. Tu reprenais ta course, tu poussais chaque branche, chaque buisson qui pouvait barrer ta route. Tu avais l'impression de les entendre marcher sur tes pas, tu ne voulais pas mourir. Non. Dans un dernier élan, tu t'élançais au travers d'un buisson et tombais à genoux sur le goudron. Tu n'en pouvais plus, chacun de tes membres étaient endoloris, figés. Tu n'arrivais même plus à parler, pas même à l'homme en uniforme qui s'approchait maintenant de toi pour te relever, pour te sauver. Par chance, par miracle, ton chemin venait de croiser la route d'une voiture de police en service.
beautiful scars
Le soir venu, tu attendais un peu moins d'une heure après que les deux hommes se soient couchés. Tu attrapais l'épingle qui se trouvait dans tes cheveux et, à l'aide d'un petit fil de fer, tu crochetais la serrure de la cage, libérant les deux animaux de leur enfermement. Te rendant au fond de la cave, tu soulevais une bâche pour en sortir un sac dans lequel tu avais mis quelques provisions à l'intérieur depuis le début de la semaine. Tu montais les escaliers, prudemment, la porte ouverte, tu te faufilais à pas de loup jusqu'à la porte d'entrée. Tu savais que vivant dans les bois, ils ne prenaient jamais la peine de fermer la porte alors, dès que tu l'ouvrais, tu te mettais à courir de toutes tes forces. Pas question de se la jouer escargot, c'était ta seule chance de partir et de retrouver ta liberté. Les deux loups t'accompagnaient, s'arrêtant parfois pour surveiller les alentours. Courir, sentir l'air caresser ta peau. Tu étais en pleine extase, tu sentais même des larmes de joie qui commençaient à couler le long de tes joues. Cependant, tu n'étais toujours pas tiré d'affaires, tu le savais bien. Même si pour le moment, tu n'entendais rien venant de ce que tu laissais derrière toi, tu préférais rester sur tes gardes. Dans ta folle course, après une trentaine de minutes, tu finissais par t'arrêter, à bout de souffle. Pencher en avant, les mains sur tes genoux, tu essayais de reprendre une respiration plus ou moins normal. Griffon, le loup mâle qui t'accompagnait s'approchait de toi, collant son museau contre ta cuisse. Attendri, tu amenais ta main contre sa tête afin de le caresser mais, tes doigts n'eurent pas le temps de chatouiller sa fourrure qu'un bruit assourdissant venait briser tes tympans. Un sifflement strident venait complètement brouiller ton esprit. Un coup de feu ? Tu tournais ton regard en direction de la femelle qui montrait les crocs puis, tu reposais ton regard sur Griffon. « Griffon.... ? » Allongé au sol, tu ne pouvais que remarquer la tâche rougeâtre qui s'étendait petit à petit sur la fourrure immaculé de l'animal. Tu poussais un cri, un cri de douleur alors que tes mains venaient se baigner dans le liquide pourpre qui s'échappait de sa peau. L'animal respirait encore mais, avec une grande difficulté. « Non... Non. Non. Non ! » Les choses ne pouvaient pas se finir ainsi pour lui. Non. Aurora commençait à mordre dans ta robe pour te tirer vers l'arrière. Un autre coup de feu fusa dans l'arbre tout proche de toi. Tu tombais d'abord sur les fesses puis, tu finissais par difficilement te relever, lançant un dernier regard sur l'animal qui était mort par ta faute. Tu reprenais ta course, tu poussais chaque branche, chaque buisson qui pouvait barrer ta route. Tu avais l'impression de les entendre marcher sur tes pas, tu ne voulais pas mourir. Non. Dans un dernier élan, tu t'élançais au travers d'un buisson et tombais à genoux sur le goudron. Tu n'en pouvais plus, chacun de tes membres étaient endoloris, figés. Tu n'arrivais même plus à parler, pas même à l'homme en uniforme qui s'approchait maintenant de toi pour te relever, pour te sauver. Par chance, par miracle, ton chemin venait de croiser la route d'une voiture de police en service.
2008 à 2012 - Amérique
Après quatre ans de calvaire, à vivre comme une moins que rien, tu avais enfin su trouver la sortie. Ce soir-là, celui où tu avais pris tout ton courage pour quitter cette vie de misère, tu avais perdu un ami, mais tu avais gagné la liberté. Quand cet homme t'avait ramassé sur la route, en piteux état, il t'avait conduit au poste de police le plus proche. Là, en disant ton nom, les choses avaient très rapide. Tes parents avaient été appelés, une patrouille était partie en pleine forêt sur le champ. Tout s'accélérait, c'était subitement autour de toi. Le temps d'un battement de cils et, ton père se tenait devant toi, le regard empli d'une joie sans limite. Il t'avait serré dans ses bras, il s'était mis à pleurer. Quatre ans à se dire qu'il ne te reverrait jamais et, pourtant, tu étais là, corps contre corps. « Où est maman...? » Son visage s'était crispé et, tu avais imaginé le pire.
Apparemment pas assez car, la vérité fut des plus douloureuses. Elle avait abandonné, elle avait abandonné l'idée que tu puisses encore être en vie et, elle avait quitté ton père ainsi que le pays. À ce moment, toi qui pensais que ta vie n'aurait pas pu être plus dure, tu comprenais que la vie n'allait te laisser aucun cadeau. Enfin, une chose positive venait se glisser dans ta semaine : ils les avaient attrapés. Oui, les deux hommes qui t'avaient fait subir tout ça, ils étaient finalement arrêtés et, avec assez de preuve pour être quasi instantanément condamné. Un soupir de soulagement dans ton coeur comme dans ton esprit. Cependant, tu ne te voyais plus vivre ici, ton père non plus. Après quelques mois de recherche, vous décidiez de quitter le continent européen pour celui Américain.
Cependant, un léger détail allait poser soucis pour toi et ta vie sociale. Après avoir passé quatre ans enfermés dans une forêt, prisonnière de deux hommes, beaucoup se diraient que tu n'avais qu'une envie : sortir. Pourtant non, bien au contraire. La simple idée de sortir parmi la grosse population de Boston te donnait d'affreuse crise de panique. Tu refusais catégoriquement de sortir et, après plusieurs examens, tu fus diagnostiqué agoraphobe avec trouble panique. Dès ce jour, tu commenças un traitement et une visite régulière d'un psychologue. En Finlande, tu en avais déjà eu un suivi psychologique à ta libération, mais, tu n'avais jamais réellement souhaité le consulter. Là, tu faisais des efforts, tu essayais en tout cas. Tu vivais chez toi, chaque jour de l'année, tu ne sortais pas, quasiment pas en fait, sauf parfois la nuit, quand les rues semblaient désertes et tu allais te caler dans un buisson en compagnie d'Aurora, ta louve.
Plus important que les sorties simples, tu avais maintenant presque 13 ans et, tu ne pouvais clairement pas te rendre en cours comme les autres enfants. Alors pour remédier à cela, ton père décida de prendre des cours par correspondance pour toi. Tu ne sortais pas, tu ne voyais personne à par ton père qui s'occupait merveilleusement bien de toi et, parfois, tu avais la visite d'un agent qui s'était occupé de ton dossier une fois sur le sol américain mais, rien de plus, rien de moins. Heureusement pour toi, tu étais une fille intelligente et très intuitive. Tu suivais les cours à la perfection et tes notes étaient excellentes. Raison pour laquelle, lorsque l'âge de l'université vint pour toi, tu décidais qu'il était temps pour toi de faire un pas en avant.
le diable au corps
Apparemment pas assez car, la vérité fut des plus douloureuses. Elle avait abandonné, elle avait abandonné l'idée que tu puisses encore être en vie et, elle avait quitté ton père ainsi que le pays. À ce moment, toi qui pensais que ta vie n'aurait pas pu être plus dure, tu comprenais que la vie n'allait te laisser aucun cadeau. Enfin, une chose positive venait se glisser dans ta semaine : ils les avaient attrapés. Oui, les deux hommes qui t'avaient fait subir tout ça, ils étaient finalement arrêtés et, avec assez de preuve pour être quasi instantanément condamné. Un soupir de soulagement dans ton coeur comme dans ton esprit. Cependant, tu ne te voyais plus vivre ici, ton père non plus. Après quelques mois de recherche, vous décidiez de quitter le continent européen pour celui Américain.
Cependant, un léger détail allait poser soucis pour toi et ta vie sociale. Après avoir passé quatre ans enfermés dans une forêt, prisonnière de deux hommes, beaucoup se diraient que tu n'avais qu'une envie : sortir. Pourtant non, bien au contraire. La simple idée de sortir parmi la grosse population de Boston te donnait d'affreuse crise de panique. Tu refusais catégoriquement de sortir et, après plusieurs examens, tu fus diagnostiqué agoraphobe avec trouble panique. Dès ce jour, tu commenças un traitement et une visite régulière d'un psychologue. En Finlande, tu en avais déjà eu un suivi psychologique à ta libération, mais, tu n'avais jamais réellement souhaité le consulter. Là, tu faisais des efforts, tu essayais en tout cas. Tu vivais chez toi, chaque jour de l'année, tu ne sortais pas, quasiment pas en fait, sauf parfois la nuit, quand les rues semblaient désertes et tu allais te caler dans un buisson en compagnie d'Aurora, ta louve.
Plus important que les sorties simples, tu avais maintenant presque 13 ans et, tu ne pouvais clairement pas te rendre en cours comme les autres enfants. Alors pour remédier à cela, ton père décida de prendre des cours par correspondance pour toi. Tu ne sortais pas, tu ne voyais personne à par ton père qui s'occupait merveilleusement bien de toi et, parfois, tu avais la visite d'un agent qui s'était occupé de ton dossier une fois sur le sol américain mais, rien de plus, rien de moins. Heureusement pour toi, tu étais une fille intelligente et très intuitive. Tu suivais les cours à la perfection et tes notes étaient excellentes. Raison pour laquelle, lorsque l'âge de l'université vint pour toi, tu décidais qu'il était temps pour toi de faire un pas en avant.
2013 à 2017 - Boston
Après avoir réussi à décrocher une bourse suite à tes excellentes notes, tu finissais et réussissais à intégrer la prestigieuse école d'Harvard. Ton premier jour ? Tu t'en rappellerais comme si c'était hier. Tu n'avais jamais été aussi stressée de toute ta vie. Tu avais fait pas mal de progrès grâce à la psychologue que tu voyais, mais là, c'était un pas à franchir. Une autre étape. Ce matin-là, tu avais préparé toutes tes affaires la veille et, tu n'arrêtais pas de remuer d'un pied sur l'autre en attendant que ton père finisse de se préparer. Oui, il était tout naturel que ton père allait se charger de t'emmener à ton premier vrai jour de cours. Voir toutes les voitures, toutes les personnes et surtout, l'immensité de l'université manqua de te faire avoir une attaque, mais, tu prenais ton courage à deux mains et, tu sortais de la voiture. Restant quelques instant contre la voiture, observant les gens autour de toi, tu fis un premier pas puis un second et, ainsi de suite. Tu ne t'arrêtais plus, tu avançais simplement à travers la foule, le coeur encore un peu lourd tout de même. Étrangement, sur le chemin, tu entendis comme des sifflements, apparemment à ton égard. Tu ne disais rien et continuais simplement ta route. Plus rien n'existait pour toi à cet instant. Il n'y avait que toi et ton destin.
Et voilà, aujourd'hui, tu entres enfin dans ta cinquième année. Tu as fait beaucoup de progrès de ce côté-là. Tu as maintenant des amis et, depuis quelques années maintenant, tu n'hésites pas à sortir chaque soir pour faire la fête et profiter simplement de cette vie qui t'a si longtemps été gâchée. Beaucoup de choses ont changé d'ailleurs du côté de ta vie privée. Tu ne vis plus avec ton père, tu es mariée depuis peut-être un an à l'agent qui s'est occupé de ton dossier en Amérique. Max Fitzgerald. Bon, ce n'est pas un vrai mariage, mais, la raison de ce faux mariage est pour le moment tenu secret. Oui, FBI l'oblige. Alors, qui sais jusqu'où l'avenir va te mener dans les mois à venir. Peut-être auras-tu une fausse grossesse ? Ou une vraie maison ? Ou encore des faux seins. Seul l'avenir le dira.
Et voilà, aujourd'hui, tu entres enfin dans ta cinquième année. Tu as fait beaucoup de progrès de ce côté-là. Tu as maintenant des amis et, depuis quelques années maintenant, tu n'hésites pas à sortir chaque soir pour faire la fête et profiter simplement de cette vie qui t'a si longtemps été gâchée. Beaucoup de choses ont changé d'ailleurs du côté de ta vie privée. Tu ne vis plus avec ton père, tu es mariée depuis peut-être un an à l'agent qui s'est occupé de ton dossier en Amérique. Max Fitzgerald. Bon, ce n'est pas un vrai mariage, mais, la raison de ce faux mariage est pour le moment tenu secret. Oui, FBI l'oblige. Alors, qui sais jusqu'où l'avenir va te mener dans les mois à venir. Peut-être auras-tu une fausse grossesse ? Ou une vraie maison ? Ou encore des faux seins. Seul l'avenir le dira.
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Lien du postLun 18 Sep 2017 - 22:21
keske t moche
bienvenuuuue ici ma Linda
j'ai hâte de voir ce que tu vas faire de Juliet
pour finir, dany approuve tous tes choix, t perf
Juliet Fitzgerald a écrit:j'ai connu le forum grâce à Thomas qui m'a menacé.
ton papi t'a jamais dit que mentir c un péché ?
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Lien du postLun 18 Sep 2017 - 22:53
Rebienvenue et bon courage pour ta fiche
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Lien du postLun 18 Sep 2017 - 23:52
Bon retour
Bonne continuation pour ta fiche!
Bonne continuation pour ta fiche!
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Lien du postMar 19 Sep 2017 - 2:09
Rebienvenue et bon courage pour ta fiche
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Lien du postMar 19 Sep 2017 - 2:56
REBIENVENUE SUR ILH
BONNE CHANCE POUR TA PRES'
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Lien du postMar 19 Sep 2017 - 4:22
Re bienvenue
Kaze FaulknerMODÉRATION & DESIGN I don’t wanna be you anymore
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Âge : 33
Lieu de naissance : chicago, illinois
Quartier.s d'habitation & Colocation : south boston
Situation sentimentale : célibataire, veuf. pas la foi de retrouver quelqu'un. se contente de quelques nuits par ci par là
Études & Métiers : officier de police dans l'unité spéciale pour les victimes
Date d'inscription : 22/06/2015
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kaze faulkner widower · heterosexual · |
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— 00 RPs › 28/04 → 05/05
— 00 RPs › 05/05 → 12/05
— 01 RPs › 12/05 → 19/05
— 00 RPs › 05/05 → 12/05
— 01 RPs › 12/05 → 19/05
MAI : 01
Warning : viol, suicide, dépendance à l'alcool, violence
RPS : 73
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Lien du postMar 19 Sep 2017 - 4:56
RE-BIENVENUUUUUE
“if it comes, let it. if it goes, let it.”
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Veritas
Lien du postMar 19 Sep 2017 - 5:20
Bienvenue à toi sur le forum, amuse toi bien et bon courage pour ta fiche
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