Je venais de me prendre la tête avec Sloan. Alors c’était fini ? Non je veux dire réellement terminé ? Je ne savais même pas où aller ce soir pour dormir, donc pour faire au plus simple, j’avais envoyé Novak chercher mes affaires chez mon meilleur ami, et il les avait déposé à la villa. Pourquoi ?! Mais putain pourquoi j’avais la bonne idée de garder un double des clés de cette villa ? La quelle vous demandez vous, et bien c’elle où j’étais en colocation avec Roman avant qu’il ne rentre au Pays-Bas pendant le Summer Camp et qu’il ne donne plus aucune nouvelle. Tous les souvenirs présents dans cette maison me faisaient mal, de le savoir loin de moi, lui l’homme que j’aime. Et Tate ? J’essaye de me persuader que je l’aime, et que je veux être avec lui, mais c’est loin d’être le cas. Roman est encore présent dans mon cœur et mon esprit. Je fini par ouvrir la porte, et je rentre dans la villa. J’allume la lumière. Rien n’avais bougé, pas même le para-vent avec mes vêtement dessus qui date d’un peu avant le summer camp, lorsque j’avais fait un petit défilé de mode à Roman. Je me pince la lèvre inférieure. Je posé les clés sur la console à l’entrée, partant en direction de la cuisine. « Et puis merde. » j’attrapais mon portable pour envoyer un sms à Amaël pour lui dire de me rejoindre à mon ancienne adresse. Le connaissant il allait me dire que je suis stupide de venir dans un endroit aussi chargé de souvenir pour moi, mais où pouvais-je bien aller de toute façon ? Winston Churchill a dit un jour : Si vous traversez l’enfer, surtout continuez d’avancer. Mais le pouvais-je encore ? C’était déjà difficile sans Roman, alors sans Sloan, qu’allais-je pouvoir faire ? En parler avec Elyas ? Non il avait déjà ses problèmes à gérer, je n’allais pas broyer du noir en sa compagnie. J’avais besoin de compagnie pourtant, et il ne restait donc que Amaël pour venir à mon aide. J’empoigne une bouteille de bourbon, et j’e, bois cul sec six bonne gorgée, l’alcool me brulé la gorge, mais tant pis. J’y retournais pour quatre nouvelles grosses gorgées. Est-ce que ça allais me faire du bien ? Non certainement pas. Je venais d’avoir un flashback d’il y a deux semaine, cette tentative de suicide dont personne été au courant mise à part Jedekia, qui m’avait trouvé dans mon lit, le ventre plein de médicament fort et d’alcool. Cette fois hors de question de m’y louper. J’attrape un couteau de cuisine et en pose la pointe contre mon ventre. Je prends une profonde inspiration et alors que j’allais enfoncer la lame dans ma chair, la sonnerie de la villa m’en empêcha, le sursaut que je venais d’avoir avait cela dis entaillé ma robe. Je soupire avant de reposer le couteau juste à côté de la bouteille à moitié vide désormais. J’allais ouvrir. « Amaël, je suis contente de te voir. » Lui avouais-je avant de fondre en larme comme une enfant devant lui.

J'était certes un sacré connard avec un bon paquet de genre. J'était sans doute aussi un petit amis beaucoup trop fidèle comparé à la norme mais une chose était sûr, quand un ou une ami(e) loyale m'envoyer un message ou me demandait de venir je sautais dans ma bagnole et voilà que je roulais comme un dingue. Danneel, ma meilleure amie m'en envoyer un sos, ce sms qu'on envoyais qu'en cas d'extrême urgence. Celui qui disait " si tu ramène pas ton cul ici tout de suite il sera trop tard" ce sms pouvais foutre la trouille il pouvais foutre la merde aussi mais quand il s'agissait encore une fois de CE sms j'accourais c'est donc sans mal que lorsque Dann me l'avais envoyais j'avais dis à ma femme chérie que je devais m'absentais et que je ne pouvais pas faire autrement ce soir. Je lui avais dis qu'il s'agissait de Dann, parce que même si elles ne s'entendais pas elle savais que Dann comptais pour moi et que j'avais besoin de ma meilleure amie. J'avais embrassé ma chérie 5 bonnes minutes, ben ouais j'en avais besoin pour le coup. Et j'avais sauté dans ma voiture. J'étais maintenant devant chez elle et je frappais. Cette endroit avais trop de valeur pour elle, mais merde pourquoi est-ce qu'elle est revenue ici ? Cette fille là elle veux juste une vie normal et là voilà dans toute ses histoires qui la dépasse. Quand elle ouvre la porte et fond en larme je la prend dans mes bras et je la serre le plus fort possible. Je m'accroche à elle et je la porte jusqu'au salon. Je recule un peu et je voit l'état de sa robe, ni une ni deux je tourne la tête et je vois le couteau et la bouteille. je fronce les sourcils et je viens prendre son menton entre mes doigts pour qu'elle me regarde dans les yeux.

« Écoute moi attentivement, ma vielle, tu sais que je t'aime très fort, mais je t'assure que si tu recommence le coup du couteau qui viens en passant de ruiner une si jolie robe, je t'assure que ce sera moi de l'autre côté du couteau tu comprends ? Mais qu'est-ce qu'il a bien pu se passer pour que t'en arrive là bordel ? Dann tu pouvais pas venir chez moi plutôt que de venir ici, tu pouvais pas me téléphoner et me dire que t'était dans la merde plu tôt aussi ? merde ! Si j'était pas arrivé maintenant tu imagine le choc de te retrouver allongé sur le sol, morte... Réfléchie putain ! Si ses connards de mecs ou d'amis ne voit pas ta valeur, pour moi elle est là ! je m'en tape des autre reste pour moi et moi seul ok ?! »

Avec Dann on avais toujours était direct l'un vers l'autre et c'est pour ça que je me permettais de lui parlé de cette manière. Sinon bien sûr que jamais je ne me serrais permis. Je la regardait et je la reprenait enfin dans mes bras, je la serrais contre moi le cœur battant à toute vitesse suite à la connaissance de ce que je m'apprêtait à trouver si j'était pas arrivé plus tôt.

Accumulation, oui voilà c’était le mot juste, j’avais accumulé beaucoup de peine, de chagrin depuis le summer camp, et ça n’en finissais pas, ça n’en finirais jamais, le diable m’avais prise pour cible, mon âme était comme mise à l’enchère. Je ne connaissais plus le répit d’une bonne nuit de sommeil depuis déjà plusieurs semaines. Nicotine dans les poumons, drogue dans les veine, et noirceur sur le cœur, voilà là tous mes problèmes, mes unique recourt pour trouver un peu la paix ? L’alcool, la drogue, le sexe. Je vivais ma vie comme une putain de rock star sur le fils du rasoir, prête à me trancher les veines à tout moment. Alors non je ne l’avais pas appeler plus tôt car j’avais imaginé trouver en moi le courage de le faire, d’enfoncer cette lame loin dans mon cœur, et partir une bonne fois pour toute de cette terre. Le visage blême, le regard vide, je n’ai conscience de rien, je ne calcule plus rien, j’entends l’écho de sa voix qui me sermonne, mais dans le fond j’étais là sans être là, une enveloppe charnelle dénué de toute vitalité, de toute joie de vivre. Je n’étais plus que l’ombre de moi-même, un instrument dont le destin se servais dans la vie des autres, un objet, un poids, une personne dont l’utilité n’est plus importante, comme un jouet cassé qu’on fou à la poubelle sans aucun regret. Voilà ce que je ressentais, un putain de vide, une oppression sans cesse, le manque d’oxygène.

« Pourquoi ? Car l’amour de ma vie est partis au Pays-Bas, que j’ai perdu un ami d’enfance qui est mort à cause de sa maladie respiratoire, un de mes meilleur ami Elyas est partis car sa mère est malade. Tu veux d’autre raison encore Amaël ? Et bien en voilà d’autre : Ma mère est morte, aujourd’hui sa fait deux ans que j’ai tué mon fils dans cette accident de voiture où j’aurais dû mourir aussi ! Je viens de me prendre la tête avec Sloan un de mes meilleur ami. Je suis à bout Amaël, je suis une bombe à retardement, et je vais bientôt m’autodétruire et j’emporterais la bonheur de pas mal de personne en même temps que moi, mais le pire tu sais quoi ? Je m’en fiche ! Oui je m’en tape totalement car je suis juste inutile. Regarde Sloan est en couple avec Suzy maintenant et depuis c’est plus comme avant, et toi tu es avec mini Wildingham, et c’est plus pareille non plus. Je vais mourir un jour Amaël car mon cœur supportera plus tout ce poids, toute cette peine. »

En manque d’espoir, je voyais tout en noir, je n’aurais même pas sus faire la différence entre le malheur ou l’acharnement du destin contre moi. Je savais qu’Amaël allait m’en vouloir de lui avoir répondu pareille déballage de connerie, mais tant pis, je ne pouvais pas rester là à retenir tout ça sur le cœur plus longtemps, sinon j’allais finir par me planter devant lui, alors pour éviter un massacre, autant dire tout ce que j’avais sur le cœur. Je me défais de ses bras, oui je refuse tout contact, je ne veux pas de pitié, je ne veux pas de clémence ni de pardon, de grande phrase ou autre. Non je ne veux rien de tout ça, je veux juste en finir et basta ! Je veux rendre à l’univers ce qu’on m’a injustement donné : LA VIE ! Je veux enfin m’endormir pour toujours ! Après avoir repoussé l’étreinte de mon meilleur ami, je me lève et je vais dans la cuisine. Je sais qu’il me suit, alors mon attention se porte sur la bouteille d’alcool que je bois sans m’arrêter. La bouteille est presque vide quand je la repose enfin. Bourrée ? Non pas encore, l’alcool devais prendre le temps de faire son effet, il faudrait donc un bon quart d’heure pour que je sois de ce genre de personne à croulé sous la table comme une loque. Ha mais oui voilà le mot !

« J’ai trouvé le mot exacte pour me décrire en réalité. Je suis une loque. Pas plus généreuse qu’une huitre, et certainement même plus égoïste encore qu’une pie voleuse ! Je n’ai rien pour moi, je suis une pauvre fille qui pleurniche tout le temps. Mais tu sais quoi ? Cette fois c’est terminé Amaël. J’en ai marre que certain Eliot me traite de gentil petit chaton, j’en ai marre de fermer ma gueule tout le temps. Pour une fois dans ma vie, je n’ai pas envie de rester le sourire sur les lèvres, à jouer les poupées niaises qui vont très bien ! NON JE VAIS PAS BIEN ET JE M’EN FOU DE CONSEQUENCES ! Voilà c’est tout ce que j’ai à dire. Je t’aime énormément Amaël, tu es un de mes meilleur ami, alors pardon de te faire subir ça. Je vais prendre une douche froide ça va me faire du bien. »

Lâchais-je comme toute personne bourrée l’aurais fait, mais ce n’étais pas mon cas, le quart d’heure n’était pas encore totalement écoulé et même s j’avais chaud, je savais encore ce que je disais. J’étais parti dans la salle de bain, laissant l’eau coulé des robinets histoire de ne pas attirer l’attention sur moi. J’avais tout calculé dans ma tête. J’entrais dans la baignoire pleine avec ma robe blanche coupée. Une fois dans l’eau je m’empare de la lame de rasoir cachée et j’y vais franchement sans hésiter. Tant pis pour le reste, tant pis pour les autres. L’eau continuer de couler et ce met maintenant à déborder. Quant à l’eau de la baignoire qui s’échappe par-dessus les rebords, elle est rosée, puis prend peu à peu une couleur rose foncé, presque rougeâtre pale. Les bras dans l’eau, le sang sort des entailles faites sur mes deux bras. Je ferme les yeux, et je savoure ce moment délectable, oui je le savoure car c’est juste extraordinaire de me dire que bientôt plus rien n’aurais d’importance, que je serais enfin en paix avec moi-même, que la pauvre fille qui sert à rien serais plus qu’une souvenir pour beaucoup de personne. Voilà où m’avais poussé la dispute avec Sloan, voilà où j’en était après cette goutte d’eau qui avait faite déborder le vase, j’en était au portes de la mort.

« Adieu »

C’était donc ça mon dernier mot ? Oui sa résume bien la situation, un adieu sanglant. Dans un élan de mes dernières forces, je sors les bras de l’eau et je la pose sur le rebord de la baignoire le sang dégouline le long des parois, et je lâche la lame de rasoir qui tombe au sol. La porte entre-ouverte laisse désormais le trop plein d’eau s’échapper dans le salon. Le bruit de l’eau avais couvert le son de ma voix, car oui s’entailler les veines, sa fais mal, et donc j’avais poussé un petit cris sourd de douleur. Les deux bras à vif, j’attendais avec douceur la mort.

Dès que j'avais eu son message je la sentais mal cette soirée. Elle venais tout juste de m'envoyer sur les roses, elle devais en avoir marre de mes mots gentils et de toute cette protections que je voulais pour elle. je le comprenais en fait, elle qui avais tant de soucis. J'en avais aussi de mon côté mais quand elle avais besoin de moi je me doit d'être là pour elle après tout sa fais longtemps qu'on se connais et puis je ne laisse pas tomber un amis dans le besoin. Par contre, je m'était sentis mal qu'elle me lance toutes ses choses à la figure. Elle avais toute ces choses qu'elle avais besoin d'évacuer, toutes ses tristesse qu'elle garde pour elle pour avoir l'air d'être forte, et elle l'était mais tout le monde avais besoin d'un moment pour se reprendre et ne plus être forte pendant un temps. Ce temps c'était celui de Danneel, ce soir elle avais besoin d'être faible, elle avais besoin de gueuler un bon coup pour évacuer toutes ces choses qui lui font du mal et je voulais être cette personne alors je la suivais dans la pièce d'à côté et quand je voyais que l'alcool qu'elle buvais était aussi fort, je prenais la bouteille et que je l'envoyais balader de l'autre côté de la pièce pour qu'elle comprenne que c'est pas avec ça qu'elle ira mieux... j'avais autre choses à faire que de l'emmener à l'hôpital, en plus avec Athénaëlle qui m'envoie des messages pour que je rentre à la maison le plus rapidement possible.. Elle se met en colère me gueule qu'elle se fiche des conséquence et qu'elle m'aime et qu'elle ne voulais pas me faire subir tout ça. je soupirais et je baissais la tête la laissant aller prendre une bonne douche froide. Je commençais à ranger un peu la maison sans faire trop gaffe quand finalement je m'arrête me disant que sa douche dure plus longtemps que prévus. Je m'avance dans le couloir et là je voit de l'eau par terre. Je m'approche encore mais l'eau du sol est plus rosé que la normal, je frappe à la porte avant d'entendre un « Adieu» Et merde Dann qu'est-ce que ta foutu putain !

J'entre à la volais j'examine les faits et j'éteint l'eau, je secoue Dann pour savoir si elle est encore consciente mais non, ce n'est plus le cas je m'empare de mon portable, j'appelle les pompiers tout en la sortant de l'eau à présent toute rouge. Je l'allonge a même le sol et je prends une serviette que j'arrache en lambeau.

« Oui, allo ! Je m'appelle Amaël, je suis chez mon amie Danneel, qui vien de tentée de se suicidé dans sa baignoire, elle avais bu et n'allais pas bien, elle à été prendre une douche froide il y a à peine 10 minutes et je viens de la retrouvé dans sa baignoire, elle n'est plus consciente, je viens de mettre des bout de serviette autour de ses deux poignets, s'il vous plais faites vite elle perds encore beaucoup de sang je sais plus quoi faire... »

Une fois l'appelle fait je m'accroupie a côté d'elle et je la regarde les larmes au bord des yeux, putain Dann pourquoi tu as fait ça... Reviens moi vite, je t'en pris me laisse pas seul...

Nous sommes des anonymes, des oubliés, nous n’appartenons à personne et personnes de nous appartiens. Nous n’appartenons même pas l’un à l’autre. Et pourtant Amaël est là chez moi à supporter mes crises de nerfs. Je ne suis pas une femme si forte que je le laisse paraitre. J’ai dans le cœur des tempêtes, des noirceurs, que seul mon geste de désespoir à sus apaiser tout juste assez pour pouvoir partir s’en un mot, partir avec lâcheté. Oui je suis lâche, égoïste, je préfère tout envoyer voler et laisser tout le monde avec le poids de ma mort sur les épaules que d’affronter mes démons, ma solitude. Je me sens seule parmi mon entourage, ma mère est morte, mon frère vis en Australie, et mon père à claquer la porte de la maison familiale pour aller broyer la peine de la perte de ma mère loin de tout le monde. Mes amis ne m’ont pas plus aidé hormis Sloan qui s’est dépêché en Suède pour me rejoindre. Qui suis-je, une personne parmi des milliards, un grain de sable sur la plage, je ne suis pas importante, je ne suis rien, juste une héritière à un trône, une princesse au cœur sombre. Je me sens traquée, et je suis traquée par les paparazzis, le moindre de me geste est décortiqué, j’en ai marre de devoir faire attention au moindre de mes faits et geste, alors oui je m’en vais pour un monde meilleur. Je sens alors les mains d’Amaël se posé sur mon corps, il me soulève et me sort de l’eau, j’aurais voulus le supplier de me laisser, de m’abandonner, je me laisser à mon sort, mais Amaël à une grandeur d’âme, et pour lui se serait une épreuve terrible de voir sa meilleure amie d’enfance fuir la vie aussi injustement. Je l’entends appeler les secours, mais putain non Amaël ne fais pas ça, ignore moi. Dans le peu de force qu’il me reste mon corps se met à bouger. Je convulse, je tremble. J’ai des problèmes de santé dont je n’ai parlé à personne, j’ai tait mes soucis, les cachant à tous, seul mon père et mon grand-père sont au courant. Et alors que les secours arrivent sur place, les paparazzis film, photographie tout ce qu’il se passe. Un secouriste arrive et prend le relais. Je suis très rapidement pris en charge. Et mon corps couvert d’une couverture est pris en photo sous tous les angles possibles. Les secouristes de hâte, ils ne veulent pas que les parasites de la société people est trop de clichés de moi. Un secouriste empoigne Amaël et le monde avec lui dans l’arrière de l’ambulance. Une fois le véhicule fermé, et le jeune homme installé prêt de mon corps, qui se refroidi, mes convulsions ont été traitées par les secouristes. Le pompier lance un regard sur Amaël « Vous connaissez ses antécédents médicaux ? » demande-t-il sans trop d’espoir de réponses positives.

« Vous connaissez ses antécédents médicaux ? » Tout s'était passe si vite avant que le médecin en charge de Dann que je savais pas quoi faire. Les médecins, les paparazzi, les gens inutile ils sont tout arrivé au même moment et je me lui laisser dépassé par la situation. Elle avais commencer à convulser et j'en viens à pensée qu'elle à peut être caché des choses à son entourage et à moi par la même occasion ! Je regarde le médecin perdu quand il me repose enfin la question je tiens son regarde.

« Elle a dû nous cacher son état de sante, je vous jure que je sais pas ce qu'elle pourrais avoir et j'ai pas comprit pourquoi elle à convulser... Elle va s'en sortir ? S'il vous dites moi qu'elle va s'en sortir.. »

Je suis encore plus perdu, j'avais déjà eu assez de soucis avec Athénaëlle qui a perdu la mémoire je pouvais pas me retrouver avec Danneel au bord de la mort, ce serais trop d'un coup, je vais aller chez les fou si sa continuais comme ça. Je suis encore plus inutile que lorsqu'on s'est tous retrouvé à l'hôpital avec Athé. Je regardais Dann, allongé ses bandages autour des poignets, je me demandais pourquoi elle m'avais fais ça, je sais plus quoi faire. Pourquoi, j'ai tout autant de problème et au lieu de me foutre en l'air je bois un coup j'insulte la vie de merde que j'ai et je me remet sur mes pieds, mais elle ell semblais vraiment au bord du précipice. Je sais pas ce qu'il se serais passer si je n'avais pas été là.

«Je comprends pas pourquoi elle m'a envoyer ce sms si c'était pour ce foutre en l'air en suite. Monsieur, elle qu'elle va aller mieux rapidement ? Il faut vraiment que je m'engueule avec elle pour la remettre dans le bon chemin parce que maintenant j'ai cette image d'elle morte dans l'esprit. »

Je soupire un coup et je passe ma main dans mes cheveux elle à vraiment intérêt à ce réveillé et vite... Putain dann t'abuse.

Je me suis laisser sombrer sans histoires, j’ai pas sus sentir les signaux de détresse et l’indifférence c’était installer dans ma vie, j’avais claquer la porte de ma vie, comme si je n’avais plus rien à dire ou plus aucuns moments à partager, je ne comprenais plus les mots des personnes qui m’aime encore. Les paparazzis avaient eu quelque cliché. Mon amour était en cavale, et je me retrouver presque seule. J’ai fait le tour de la question plusieurs fois, alors mourir me semblais être la meilleur solution. Finalement après plusieurs soins médicaux, les convulsions avaient pris fin, et mon état se stabilisé. Mince voilà que pour la deuxième fois je me loupe. J’arrivais tout juste à ouvrir les yeux, rapidement arrivée à l’hôpital, je suis prise en charge par des médecins. J’étais rester au bloc pendant une bonne heure, le temps de faire des points de suture, et surtout une perfusion sanguine, car j’avais perdue beaucoup trop de sang. Après presque deux heures d’attente, Amaël fut conduit dans la chambre d’hôpital ou je dormais paisiblement. La porte grince un peu quand le médecin la referme pour me laisser seule avec mon ami. Je me réveil avec beaucoup de difficulté, et il y avait cette choses dans le regard de mon ami, je crois qu’on appelle ça l’espoir. L’espoir de me voir vivre, l’espoir que je sois une personne forte, je comprenais donc que j’avais bel et bien une fois de plus échoué, je ne comprenais pas pourquoi la vie s’acharnais à me tenir à ses côté alors que voguer au côté de la mort me semblais terriblement attirant pour mon âme vagabonde. Je croise le regard d’Amaël. « Hey. » Lançais-je avec une toute petite voix. Je ne voulais pas qu’on s’engueule mais visiblement cela semblais inévitable.

Enfin dans la chambre de ma meilleure amie, je la regarde endormis. Elle semble toute calme, paisible et peut être même que pour elle c'était mieux ainsi mais pas pour moi non pas du tout même. Je me sentait en colère et terriblement triste qu'elle ne se sente pas de rester en vie au moins juste pour moi. C'est un geste terriblement égoïste qu'elle a eu et je voulais vraiment lui faire la gueule ou lui en vouloir pour ce geste plus que déplacer. Je soupirais passais mes mains dans mes poche et après avoir rassurée Athé,ma petite copine je la regardait elle, à nouveau. Je soupire un bon coup et j'entends sa voix, enfin elle est réveillée et moi je l'observe toute ma colère s'en va en un instant, je sais plus ce que je pourrais lui dire ou quoi lui raconter. Comme si pour le coup je lui répond la même choses que ce qu'elle me dis elle semble attendre que je l'engueule choses que je ne vais pas faire. Je suis terriblement épuisé et la seule choses que je trouve à lui dire c'est ça.

« Pourquoi moi Dann ? Pourquoi tu m'a appeler moi pour venir chez toi ce soir si tu avais prévus de te donner la mort ce soir, tu te rend compte que tu viens de me forcer à vivre cet instant ? Est-ce qu'au moins tu t'en rend compte. Non parce que moi je t'aurais jamais forcer à faire ça. Jamais. Depuis tout le temps que je te connait tu as toujours était une battante et là je te retrouve prête à te planter ou à te tailler les veines comme ses fans qui n'arrive pas à vivre après la carrière d'un chanteur. C'est ridicule. Et tu m'a blesser tu sais, franchement tu croit pas que j'ai assez de ma mère qui à tenté de ce suicidé en direct de la prison, ou de mon père qui me supporte pas. Et tu aura bien comprit que je parle de mes véritable parents là. Franchement c'est égoïste parce que moi j'aurais toujours cet image de toi quand tu était à même le sol en train de convulser parce que là aussi je suis pas assez bien pour que tu me parle de ce qui va pas. Franchement je suis en colère contre toi, j'arrive pas à faire le contraire j'ai voulu, je voulais même pas être là a ton réveil mais moi j'arrive pas à te laisser tomber parce que je sais que tu va recommencer alors, soit tu te reprends soit tu me perd. J'ai pas besoin de souffrir comme dans mon enfance, dann. J'ai pas besoin de souffrir parce que les gens ne m'aiment pas. »

Je penses que pour le coup j'ai vider mon sac, sa va la blesser, c'est certain mais je peut pas faire autrement pour qu'elle se reprenne et qu'elle bouge son cul de reprendre gout à la vie. Ce qu'elle vie elle n'est pas la seule à vivre des choses similaire et pourtant on en ai pas au point de faire venir chez soit une personne pour l'obliger à nous voir tenté de mourir. Je me lève croisant les bras je vais face à la vitre et je regarde dehors, blessé au plus profond de moi-même.

Je venais tout juste de me réveiller, du repos ? Non ce n’étais pas du repos pour moi d’avoir ‘dormis’ mais à mon réveille je trouvais Amaël dans la chambre d’hôpital, je savais que la discussion à venir n’allais pas être de tout repos, je savais que le jeune homme face à moi, mon meilleur ami, n’allait pas me louper. Je vois sa colère dans son regard, et puis soudain plus rien. Je ne comprends pas, pourquoi sa colère se dissipe aussi rapidement, mais sincèrement, je suis soulagé, je n’aurais pas eu la force de devoir me prend la tête avec lui, pas ce soir, pas ici, et encore moins dans mon état. Cela dit, le jeune homme ne comptait tout de même pas en rester là avec mon cas. Je l’écoute, chaque mot qu’il prononce s’encre en moi comme une lame de couteau. Mon âme se tord et mon cœur ce brise littéralement lorsqu’il prononce : soit tu me perds. Non pas lui, je ne veux pas le perdre, je crois bien que de tous mes amis, il est le seul à toujours avoir sus me comprendre. Nous avions eu tellement de fous rires, de délires, de moments d’amitié magique ensemble, alors non je ne pouvais pas me résoudre à le perdre. Bien que j’étais faible, blanche comme un linge, je n’avais qu’une idée en tête, être une battante et me lever. Je m’agrippe au rebord du lit silencieusement alors qu’Amaël est face à la fenêtre. Et dans un élan de force que je puise au fond de moi, je me lève. J’ai un petit vertige, mais dès qu’il passe enfin je rejoins Amaël et je me mets à côté de lui. Je mets une main sur la vitre en observant les gens qui sont si petits vus d’ici.

« Tu vois Amaël comme les gens semble si petit et insignifiant vus d’ici ? Leur vie ne semble être qu’un long fleuve, une lit de rivière, et il le suive tout simplement. Si j’avais suivis le lit de ma rivière, la rivière de ma vie, je ne serais jamais venue dans ce quartier étant enfant, je parle du quartier où je t’ai rencontré alors que je n’étais qu’une môme. Depuis ce jour tu as toujours été là pour moi et inversement. Je me souviens le jour de mes dix ans, tu étais triste car mes parents ne voulaient pas que tu viennes à ma fête d’anniversaire. Et j’ai débarqué chez toi, j’ai planté tout le monde à ma fête et je suis venue te voir toi. Et tu te souviens ce que je t’ai dit ce jour-là ? Je t’ai dit : ‘Je préfère être avec toi qu’avec n’importe qui d’autre. Et si un jour je te fais souffrir Amaël, je te promets de tout faire pour guérir ta souffrance.’ Amaël, tu es la personne la plus importante à mes yeux. Aller viens par là. »

Je le prenais dans mes bras, déposant un bisou sur son front comme je le faisais déjà quand nous étions enfants. J’observe un peu le monde en bas, et je fini par soupirais. J’avais totalement renfermé ma tristesse depuis déjà des semaines, je n’avais jamais rien dit à personne, je ne m’étais confié à personne, il était temps que se soir je m’ouvre à nouveau, surtout pour Amaël qui avait terriblement besoin d’explications. Le jeune homme ce sentais trahis, blesser, et je pouvais totalement le comprendre. J’avais eu ce soir, un façon de me comporter que je n’aurais jamais dus avoir, surtout vis-à-vis de lui. Je prends sa main dans la mienne et je le conduit à mon lit d’hôpital. Je le pousse amicalement sur le fauteuil à un pas de mon lit d’hôpital, puis je m’assoie sur le lit, face à mon ami installé dans le fauteuil. Espérant qu’il n’allait pas partir. Il voulait que je m’ouvre à lui ? Très bien alors autant commencer par le début, le moment où j’ai réellement commencé à emmagasiné sans plus jamais me confier.

« Je vais tout te dire. J’ai commencé à ne plus parler de mes problèmes après les agressions sur le campus, tu te souviens ? J’en ai parlé que à mon frère, mais à cette période j’ai était agressée sexuellement, depuis j’ai plus vraiment été la même. J’ai eu un fils aussi, il est mort, j’ai eu un accident de voiture avec lui, et nous avons fahi mourir tous les deux, sauf que j’ai survécu et lui non. Après je suis tombée amoureuse d’une fille, Julian, sauf que je n’assumé pas ma bisexualité, je suis donc partie à une soirée et après avoir trop but, j’ai couché avec un mec, William, dont je suis tombé enceinte, mais là encore une fois un accident de la route m’as arraché mon bonheur, j’ai perdu le bébé. Après il y a eu Roman dont je suis tombé très amoureuse, sauf quand sans dire un mot il est rentré au Pays-Bas. Et puis ma mère est tombée malade pendant le Summer Camp. Summer Camp durant lequel j’ai rencontré Tate qui peu à peu me fait oublier Roman. Sauf que Tate a été pris en photo en train d’embrasser une meuf, et je sais qu’on est pas officiellement en couple, mais j’aurais aimé représenter un peu plus à ses yeux qu’un vulgaire passe-temps. Et alors que je n’étais pas au top, la nouvelle qui m’as achevé moi la jeune femme battante, sa a été le décès de ma mère … c’était hier. »

Je fonds littéralement en larme, me prouvant alors à quel point cela peut faire du bien de se confier, et que finalement tout garder pour soi n’ai pas la meilleure des solutions, mais en même temps j’avais mis un mur entre moi et les confidences après la mort de mon fils, j’avais appris à ne plus rien dire et à ancrer ma peine au plus profond de moi pour ne jamais avoir à me confier. Oui j’avais appris à fermer ma gueule ses mes souffrances et on voit le résultat ! Je sanglote, je suis totalement et littéralement entrain de pleurer toute les larmes de mon corps, et sincèrement sa fait du bien.

Elle me rejoint alors que je regarde a travers la fenêtre elle me raconte des choses et d'autre surtout concernant le fait qu'elle n'aurais pas dû faire ça et qu'elle s'en veux de m'avoir fait souffrir volontairement. Elle ne voulais pas me faire du mal mais seulement me faire comprendre à qu'elle point elle souffrais et surtout comment elle n'avais aucun autre choix que de le faire comme ça et pas autrement pour montré à quel point elle était désespérée. Je hoche la tête et elle me prends dans ces bras, elle semble vraiment désolé et sa me permet de m'apaiser même si je me sens encore triste qu'elle ai choisit ce moyen ci pour me montré sa peine. Elle ajoute que je suis l'une des personnes les plus importante de sa vie et qu'elle n'a aucune envie de me perdre. Je soupire un coup avant qu'elle ne me dise qu'elle va tout me dévoilé, toutes ses cachoteries. Elle me raconte alors ses peines de cœur, sa manière d'essayais de se reconstruire et aussi qu'elle souffre d'avoir perdu un enfant, j'avais entendu des rumeurs sur cet enfance mais comme elle ne m'en avais encore jamais parler de n'allais pas lui imposer de le faire je voulais qu'elle le fasse elle même mais elle n'a jamais rien dis. Je penses maintenant que je comprend totalement son acte de folie cette nuit et j'en suis désolé qu'elle arrive à se point là. Je suis désolé qu'elle ai dû faire appelle à moi pour que je la sauve ce soir. Je penses cependant que ce n'était pas du tout le bonne solution a adopté.

«Écoute Dann, si tu vis c'est que le destin le voulais ainsi, et je penses vraiment qu'il faut que tu reprenne ta vie en main et surtout que tu penses à toi avant les autres. Ne deviens pas une garce insolante parce que tu souffre ok, reste toi même et brille pour tous les éblouies ces cons qui t'ont abandonné mais surtout pour cet enfant que tu as perdu, montre lui ce qu'il a raté, vis pour sa perte.»

Je la regarde et finalement je viens lui faire un câlin pour qu'elle comprenne qu'elle ne me perdra pas.