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I LOVE HARVARD
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    Someone like you, someone who will rattle the cages.
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    Lien du postDim 3 Sep - 10:57
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    « Septembre 2017
    " Someone like you, someone who will rattle the cages.  "
     Aaric & Clay

    23h00 et c'est à peine sorti du grand hall qu'un subalterne me hèle sans se soucier de l'heure qu'il est.  J'étais sur le point de partir, rentrer afin d'oublier cette journée les doigts enserrant un martini bien tassé lorsqu'il me confie avoir été témoin d'un appel radio qu'il n'a pas vraiment compris. Encore un qui se paluchait au lieu de s'acquitter de sa tache convenablement. Le propriétaire d'un bar attenant à une armurerie vient de signaler le début d'une altercation entre deux piliers de comptoirs, ce qui est dans tous les cas un motif valable pour justifier d'un déplacement et vérifier sur place si l'un des deux n'aurait pas eu la miraculeuse idée, dans son état d'ébriété, de profaner la vitrine voisine afin de terminer pour de bon leur discussion.  

    C'est seul pourtant que je me dirige vers l'adresse mentionnée, se situant sur Chinatown, lieu de perdition qui laisse suggérer que ce n'est, comme 90% des cas, qu'un règlement de compte entre dealer. Le véhicule à l'arrêt, j'entame l'introspection des ruelles voisines l'arme dissimulée sous le pan de ma veste, parfait citoyen venu se perdre ici et en quête du bar à problèmes. Il est là, l'enseigne illuminée n'est pas des plus difficiles à trouver: le Pangalin. L'un des barmans d'ailleurs se tient à la porte d'entrée, surveillant les lieux des ses yeux bridés comme un chien de garde à l'affut du danger et me tient la conversation quelques secondes, pas mécontent à la vue de mon insigne. " Ils sont partis l'un après l'autre mais dans la direction. " Il lève son index rachitique et boudiné, le pointe dans une direction donnée. " Pour la casse, on verra plus tard. " L'état des lieux n'est mon principal problème et pour l'heure, il m'incombe de retrouver les deux protagonistes de la rixe.  

    Quelques pas, quelques carrefours plus loin et le bruit de verre brisé suffit à me guider. Ils ne sont plus très loin, il suffit de les entendre parler et c'est sur un curieux tableau qu'il m'est donné de tomber: L'un à moitié vautré se fait molester par le plus hardi des deux et qui le menace d'un tesson de bouteille à la main. D'instinct l'arme de service est empoignée afin de le mettre en joug avant de le mettre en garde sur ce qu'il risque d'arriver. " Lâche-le. " Un ordre plus qu'un conseil. " Et la bouteille à terre. "
    MAY

    @Aaric Bushnell
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    Lien du postDim 10 Sep - 6:17
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    Ça y est j'ai enfin réussis à avancer dans l'histoire de ma petite soeur. Après des jours de recherche sur mon ordinateur, j'ai mis la main sur un mec qui connait l'agresseur de Raina. Mes talents de Hacker sont vraiment meilleur de jour en jour, j'arrive maintenant à faire pratiquement n'importe quoi. J'ai réussis à entrer dans la base des flics, trouver le dossier de ma soeur et de cette histoire et ce que j'y est vue m'a beaucoup plus. Le nom d'un suspect ou d'une connaissance de l'agresseur apparait en gros, mais rien n'indique que c'est lui et les flics l'on même relâché après l'avoir interrogé. Mais je veux en avoir le coeur net et m'assurer qu'il ne s’agit pas de ce salopard. C'est donc avec son nom et prénom que j'arrive à savoir ou il habite. Je me suis dans un premier temps rendu chez lui, un endroit miteux pas du tout digne d'un bon mec bien au contraire. Mais aucune traces de ce mec, je sors du bâtiment et par chance je vois un mec au pied de l'immeuble, je lui demande alors s'il sais ou se trouve ce fameux type. Je lui donne un joli billet et sans se faire prier il m'indique l'endroit ou il passe le plus clair de son temps.
    J'arrive au bar et commande un bière, je veux d'abord trouver le mec en question avant d'agir et il faut surtout que j'ai une attitude normal. Mes yeux parcourt ce bar qui n'est à mon avis pas bien fréquenté et lorsque je tombe enfin sur lui, mon poing se serre machinalement. Je l'imagine en trin de profiter de ma petite sœur sans défense et encore vierge. Peut être que je me trompe, mais en tout cas il a la gueule pour. Sans attendre je me précipite sur lui et commence à le ruer de coups, mais je ne pensais pas qu'il serait si réticent et surtout qu'il sache autant se défendre. Notre conflit prend beaucoup d'ampleur et le bar en fais les frais. Le types arrive à se dégager de mon emprise et se tire en courant du bar, je décide de le suivre, je n'en est pas fini avec lui.
    Je ramasse au passage une bouteille de whisky que nous venons de casser et le suis à pas de course. C'est arrivé dans une ruelle qu'il s'arrête afin de me faire face. Le plus bizarre c'est qu'il ne me demande pas pourquoi j'en est après lui, a mon avis il doit souvent être dans ce genre de situation. La encore ça m'encourage à croire qu'il s’agit de lui ou qu'il sais quelque chose. Je ne réfléchis plus et j'ai qu'une envie c'est de le tuer, mais avant ça je veux qu'il crache le morceau. Je suis tellement envahis par la colère et l'envie de la venger que j'en oublie le reste. Rapidement je prends le dessus sur lui et la bouteille en l'aire, je suis sur le point de m'en servir quand j'entends, " Lâche-le. ". Je tourne la tête et aperçois un mec aux allures de flics une arme à la main pointée sur moi. Tout ce que j'aime. " Et la bouteille à terre. " Je ne le quitte pas du regard ma main droite sur la gorge de ce mec et l'autre en l'aire qui tien la bouteille. J'hésite quelque seconde avant de me rendre, j'ai pas envie de me prendre une balle et puis c'est quand même un flic. Je dépose la bouteille au sol, mais reste sur le mec ma main serrant sa gorge.
    CODE BY RESSAPANDA.

    @Clay Fitz. Cooper
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    Lien du postDim 10 Sep - 15:18
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    « Septembre 2017
    " Someone like you, someone who will rattle the cages.  "
     Aaric & Clay

    Le gars obtempère et libère doucement de ses doigts son arme d'infortune aux reflets étincelants. Mais il reste tout de même un détail qui pèse lourdement dans la balance: sa main qui n'a pas daigné bouger du cou de l'étranger ce qui a plus forte raison me contrarie. " Lâche-le "  Je le répéterais une autre fois, pas deux. Mes pas me conduisent irrémédiablement vers les deux corps étroitement liés dont l'un aux joues rosies par le contact du parvis glacé. La terreur s'échappe au travers de sa voix, tremblante et plus aiguë que je ne l'aurais imaginée. " Aidez-moi! " Chaque chose en son temps et pour l'heure, c'est son assaillant que je souhaite voir s'éloigner. Obsédé par le besoin de le recadrer, j'ai l'impression d'entendre les secondes s'égrener au gré de mes pas, le canon pointé sur celui qui se tient au-dessus de sa proie. D'un geste du pied, le tesson est envoyé parmi les poubelles et cartons détrempés qui trônent non loin tandis que d'une main ferme et forte à la fois, j'agrippe sans délicatesse le suspect pour l'écarter du témoin. Pourquoi rendre compliqué ce qui pourrait n'être qu'une formalité? Il aurait suffit de m'écouter. Il est malmené jusqu'à l'acculer dans un coin, la face flanquée contre les briques de ce mur décrépit d'où suinte les vices de la société. Exaspéré par ce manque de civisme, je lui récite machinalement ses droits comme par un automatisme pendant que je rengaine mon arme pour aller récupérer à ma ceinture ce qu'il vient de s'offrir: " T'as le droit de garder le silence. " Les deux bracelets, plus pratiques qu'esthétiques, sont placés l'un après l'autre sur ses poignets pendant que l'autre à terre continue de gémir, se malaxant la gorge encore sous l'emprise d'une main fictive.

    " Tout ce que tu diras pourra et sera retenu contre toi lors de ton procès." S'il on en arrive jusque là et si ta victime se prête à une plainte déposée, ce qui ne saurait tarder. Dans un moment de concentration reportée sur mes mouvements, l'homme allongé en profite pour se redresser et pointe du doigt son agresseur impuissant avant de lui déclarer: " On se reverra." Manquait plus que çà. Voilà que la proie se met à narguer son poursuivant avant de repartir en courant. Les deux bras repliés dans son dos, le suspect est tiré du mur d'où il reposait pour prendre la même direction vers ma voiture à pas mesurés " Tu m'expliqueras " plus par obligation pour mon rapport que par intéret.
    MAY

    @Aaric Bushnell
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