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I LOVE HARVARD
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    « Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin. » w/Elyas
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    Lien du postDim 2 Juil 2017 - 21:02
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    « Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin.»
    Elyas & Erin


    Nous n’étions là que depuis quelques jours que j’adorais déjà le peu que j’avais vu. L’architecture, la culture, tellement loin de nous et de tout ce qu’on pouvait avoir de plus assisté à la vie. Je rêvais de découvrir le monde. Et c’était parce qu’on partageait cette même envie avec Katherine qu’on avait décidé de partager la même chambre d’hôtel, avec Absolem. Une colocation de Dunster. Même loin de ma confrérie, je l’emmenais avec moi dans mon cœur. En même temps, ma confrérie était une des rares choses que je ne souhaitais pas changer dans ma vie. Tout comme mon amitié avec Elyas. Je n’avais pas été des plus honnête, depuis ce baiser furtif je l’avais fui, alors que par message je lui disais vouloir être son amie. Regardant un peu les dépliants dans ma chambre d’hôtel, nous avions quartier libre en ce deux juillets, autant en profiter.
    En regardant sur le listing des équipes, Elyas n’y était pas. Pourtant je le savais au Laos, il n’avait peut-être pas décidé de rejoindre une équipe, et plutôt de venir en vacances. En fait, nous n’avions même pas pris le soin d’en parler. C’était là que je réalisais qu’il me manquait beaucoup. L’avantage, c’était que nous, étudiants d’Harvard, étions réunis dans les mêmes coins, je n’avais donc aucun mal à le retrouver sur ce lieu de vacances. Je me renseignais sur la location de vélo, j’avais exactement une idée en tête de ce que l’on pourrait faire. J’appelais et je les réservais. Avec le nombres d’étudiants que l’on était, je ne souhaitais pas que les vélos me passent sous le nez. « Abso, Kath, je pars en balade ! On se retrouve ce soir ? » Je criais à travers la chambre car l’une était dans la salle de bain, l’autre à côté de moi, mais fallait bien me faire entendre. Bien sûr, les jeunes femmes ne seraient pas forcément là ce soir. Ça me permettait de profiter et de prendre mon temps avec Elyas.
    Je prenais la direction de sa location de vacances à pied, me permettant de découvrir les rues, les habitants, un peu plus profondément. L’inconnu ne me faisait pas peur. Du moins dans qu’il n’était pas derrière moi prêt à me poignarder. J’étais vêtue d’un jean, d’un haut long légèrement coloré et un chapeau dans les ton beige. Je me retrouvais devant son logement et je sonnais. Elyas ouvrait la porte, je sentais une fois de plus mon cœur faire un bon. Je lui souriais timidement avant de parler. « Surprise ! » dis-je en levant les bras en l’air comme une warrior. « J’espère que je ne te dérange pas ? » Il pouvait bien avoir autre chose de prévu pour cet après-midi. « Je pensais pouvoir t’emmener le long de la rivière si ça te dit, j’ai réservé des vélos. » Je lui donnais un aperçu rapide du programme. Mais le dépliant disait que le long de cette rivière, le paysage était magnifique, tout comme un endroit pour se poser si le besoin se faisait ressentir. Cette rivière traversait d’un côté le Laos, de l’autre la Thaïlande. Cela permettait une merveilleuse balade s’il acceptait.



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    Lien du postLun 3 Juil 2017 - 16:39
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      On ne peut pas vraiment dire que je suis parti souvent en vacances dans ma vie. Que ce soit avec mes parents, ou seulement l'un d'entre eux une fois qu'ils se sont séparés. Mon père préférait clairement aller bosser et ma mère, elle n'avait pas les moyens avant qu'elle ne trouve son nouveau copain riche. Donc lorsqu'on m'a dit que cette année Harvard et ses habitants avaient gagné le droit d'aller au Laos et que beaucoup de personne étaient invitées à venir, sur le coup, je ne voulais pas y aller, j'aurais laissé ma place à un autre, mais c'est là qu'entre en jeu mon meilleur ami, Elijah. Il m'a proposé non seulement de venir avec lui, de ne pas travailler pour mettre des sous de côtés ses vacances-ci, mais en plus de tout prendre en charge puisqu'il est riche. Sur le coup, j'avoue que je ne savais pas trop si je me voyais partir avec lui, je veux dire, il veut tout prendre en charge et à deux, même en prenant le strict minimum pour manger, sortir et tout ça c'est déjà un gros coût. Mais lui et sa richesse en ont prévu autrement pour moi. Ils sont comme ça les riches, ils dépensent sans compter et je me sentais gêné de le laisser tout payé, mais vraiment, il a insisté pour que je m'amuse sans compter cette année. Ce n'est pas pour sa richesse que je suis ami avec lui, mais surtout parce qu'il remarque quand j'ai besoin de quelques choses, et cette année des vacances ne sont pas de trop alors je me suis laissé guider par ses soins et je n'ai pas du tout à m'en plaindre.

      Je suis donc dans notre petite villa qu'il a louée pour qu'on soit bien, il y a deux grandes chambres une cuisine tout équipée, une grande salle de bains et à l'arrière de cette beauté de villa, se trouve une piscine et un jacuzzi. Que demande le peuple vraiment ! On est bien placé ici, et ce sera vraiment cool d'y séjourner, j'ai déjà hâte de faire la fête avec lui et qu'on s'amuse à la superbe console que j'ai remarquée dans le salon de la villa. Je suis au salon actuellement, depuis qu'on est arrivé, je me suis demandé ce que j'allais bien pouvoir faire des journées de libre dans cette ville magnifique de ce que j'ai pu en voir jusqu'à présent. Je regarde Elijah et alors que je suis en train de lui demander ce qu'on pourra bien faire, j'entends la porte qui sonne. Je me redresse d'un seul coup et j'accours au plus vite pour ouvrir. Je suis au salon actuellement, depuis qu'on est arrivé, je me suis demandé ce que j'allais bien pouvoir faire des journées de libre dans cette ville magnifique de ce que j'ai pu en voir jusqu'à présent. Cela devait bien faire un bail, je ne l'avais pas vu. En fait, depuis ce café échanger à se raconter nos vies et son départ précipité. On s'était échangé des sms, mais rien de plus. Je l'observais un instant et je lui lançais un sourire rapidement.

      « Tien salut toi, je te savais ici au Laos, mais je suis vraiment surpris de te voir sur le pas de ma porte, je t'avoue. Surprise comme tu dis ! Non, tu ne me déranges pas Erin, et je n'ai rien à faire avec la masse qui s'endort à moitié sur le canapé là-bas alors pourquoi pas. Je vais chercher les affaires et j'arrive. »

      Je lui souris, me retourne et je gueule un coup à Elijah pour lui dire que je m'en vais et que je reviens ce soir pour faire ce qu'il veut, que je ferme la porte derrière moi. Je regarde la jeune femme devant moi et je dois dire que je la trouve changée. Je ne sais pas encore pourquoi, mais j'arriverais peut-être à mettre le doigt dessus plus tard qui sait. Je lui souris et je mets mes mains dans mes mains en commençant à marcher vers là où elle me guidera. Que peut bien nous réserver cette journée
      .
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    Lien du postMar 4 Juil 2017 - 15:09
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    Elyas & Erin


    Je me remettais doucement du décalage horaire, la fatigue se faisait moins présente bien que j’enchainais les soirées. Ce Summer Camp ne commençait que très bien : j’avais enfin eu mon explication avec James, bien que je n’avais toujours pas vu Elizabeth, j’avais fait connaissance avec les membres de mon équipe, on s’était même fait une journée shopping entre nanas de celle-ci. Bref, j’attendais avec hâte le début des premières épreuves pour qu’on puisse se donner à fond. En attendant, j’avais une journée de libre dans cet emploi du temps de ministre et je décidais de revoir mon Winthrop favoris. Je voulais revenir en septembre avec l’esprit libre, et ma distance avec Elyas était une chose à laquelle je voulais remédier. La villa était superbe où résidait Elyas. Je ne le connaissais pas aussi fortuné, mais après tout il était en médecine, c’était un autre confort de vie tout de même. J’étais contente de savoir qu’il était au Laos, sans même être dans une équipe. Je ressentais le besoin de le voir. A notre rendez-vous, on s’était promis de ne plus se quitter. Nous étions de jeunes personnes de parole, nous avions même réussi à tenir des promesses de nos années de lycée. Alors me voilà devant sa porte, sonnant, espérant qu’il y ait quelqu’un.
    Par chance, Elyas était là et c’était lui-même qui ouvrait la porte de cette immense maison. Je m’essayais à mon plus beau sourire qui soit, tellement heureuse de le voir. Je n’avais pas vraiment assumé ce baiser avant de partir. D’ailleurs, par message, je lui avais dit que je souhaitais oublier cet épisode, que je ne voulais pas le perdre pour ça. Et au final, c’était mon comportement qui aurait pu pousser à cette perte. « Disons que j’ai fait quelque recherche pour te trouver. » Elue meilleure enquêtrice de l’année. Je lui souriais de plus belle, ça faisait un peu bizarre dit comme ça, mais j’avais eu besoin de chercher où les étudiants d’Harvard logeaient en fait. Je comprenais du coup qu’il partageait sa location avec une autre personne. En même temps une immense villa juste pour lui seul, ça faisait gros et ça ne lui ressemblait pas vraiment tout ce luxe. « Je t’attends là alors. » Je patientais qu’un instant sur le pas de la porte le temps qu’il prenne ses affaires. Elyas ne mit pas longtemps, et je l’entendais crier le nom de son colocataire, un homme. Dans le fond, cela me ravit, je n’aurai pas à subir une crise de jalousie d’une petite amie jalouse.

    « Tu es prêt ? J’espère que tu as préparé tes jambes, on a de longs kilomètres qui nous attendent. » Moi-même je n’étais sur de tenir la cadence en fait, mais j’étais certaine que ça en valait la peine. [color=crimson] « J’espère que tu n’as pas encore eu l’occasion de passer le long de Mekon River ? »[color] Car si c’était le cas, ma surprise tombait totalement à l’eau. C’était le cas de le dire. Nous marchions un petit peu pour aller rejoindre le lieu de location de vélo. « Quoi de beau depuis notre café ? » Car oui, je supposais que depuis le café il s’en était passé des choses. Je commençais simplement avant de m’excuser pour mon comportement des derniers temps. Elyas ne méritait pas que l’on agisse comme cela avec lui. Après quelques minutes de marche, on se rapprochait tout doucement du lieu de location de vélo. On y avait été à pied, toujours pour voir un peu ce qui nous entouré au Laos. C’était la première fois que je voyageais, je comptais en profiter autant que possible.


    Emi Burton
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    Lien du postMar 4 Juil 2017 - 16:52
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      Je l'observais un peu avant de me retourné pour aller cherche ma petite sacoche où était mon porte feuille et mes papiers dont je ne me séparait jamais. Je me demandais comment agir avec elle maintenant, je veux dire c'est clair que c'est légèrement bizarre. On s'est quitté il y a longtemps pour des raisons nulles et qui nous ont blesser, on se retrouve on en parle on se dis clairement qu'on regrette ce choix elle m'embrasse, peut-être sans le vouloir et par message elle me dis qu'elle veux oublier ça. Je m'était dis que c'était de ma faute, je devais ne pas être le genre de personne dont elle avais besoin sentimentalement parlant et c'est pour ça que je souriait doucement en la regardant. Je resterais amis avec elle, un point c'est tout. Je souris encore et toujours face à elle en me disant que cette après midi me permettrai de passer un bon moment avec une amie de longue date que je ne souhaite certainement pas perdre après tout ce temps. Quand elle me dis qu'elle espère que j'ai préparé mes jambes parce que sa risque de faire mal avec tout les kilomètre que l'on doit faire et j'en ris légèrement.

      « Pas de soucis, au pire, ce soir je serais trop crever pour aller faire la fête et voilà ! Et pour répondre à ta question, non je n'ai pas encore eu le temps d'aller au bord de Mekon river. Merci de prendre de le faire avec moi, Erin. »

      Je lui affiche une nouvelle foi un grand sourire, finalement je suis content de la revoir et de partager un moment avec elle. Elle me demande ce que je raconte de beau depuis le café de la dernière fois et là je sais pas trop comment lui dire, lui dire qu'avec la fille pour qui je pensais avoir des sentiments ça à capoter, que j'ai retrouver la fille de ma première fois et aussi qu'une fille de mon passé a refais surface, que j'ai couché avec elle, que visiblement j'ai pris sa première fois alors qu'on était bourré que j'ai agis comme un connard avec elle et qu'elle semblais avoir des sentiments pour moi, depuis qu'on est gosse. Je gonfle mes joues un instant avant de me tournée vers elle et je grogne un coup comme pour lui faire comprendre que c'est dur à dire.

      « Hm, C'était très dur, j'ai vécu de gros trucs... J'ai pas agis en gentlemen comme tu me connais mais plutôt en connard. Et.. Et toi Erin, quoi de neuf, depuis le café ? »

      Je gratte ma nuque alors qu'on s'approche d'un stand où on loue des vélos et je souris grandement, on faisait déjà ça avant que j'entre à l'université et j'adorais sentir le vent sur moi quand on faisait la courses en rigolant grandement comme si nous avions fais des bêtises, Je m'approche du comptoir en devinant aisément qu'elle à loué et je souris en regardant simplement impatient de monté dessus et retomber en enfance, ou en tout cas plus tôt dans ma vie. Cette vie ou j'avais encore aucun problème. J'avais clairement qu'un envie, et je venais d'en prendre la décision ici au Laos, j'allais m'amusé et rien de plus, pas de place pour les soucis et je laisse au placard mon intelligence.  

      « Je me demande bien ce que tu as bien pu pouvoir prévus de plus, que ces vélos que je suis sûr tu as pris soin de réservé avant de passer me prendre n'est-ce pas ? »

      Je ne suis qu'impatience de m'en aller sur ces vélos sur tout les deux face a des paysages des plus beau les uns que les autres face à nous éblouis par tant de beauté naturelle.
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    Lien du postMar 4 Juil 2017 - 17:57
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    « Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin.»
    Elyas & Erin


    La situation aurait pu être bizarre, un baiser lors de nos retrouvailles, une danse interrompu au bal par deux étudiantes qui avait tout gâchées. Et depuis je n’avais pas revu Elyas, juste quelques messages. Mais non, je tenais à agir avec lui le plus naturellement du monde envers lui, faire abstraction de ce qui s’était passé pour repartir de l’avant. Elyas aurait pu me correspondre, mais il se passait beaucoup de chose autour de moi en ce moment pour m’investir dans une quelconque relation. Puis comment le prendrait-il quand je lui dirais que j’avais offert ma première fois à mon colocataire à Boston ? J’appréciais Kurt on se cherchait comme chien et chat, mais il n’y avait pas de réellement sentiment entre nous. Cela m’avait beaucoup perturbé. Je ne souhaitais pas faire d’Elyas un amour d’été, il méritait bien mieux que ça, bien mieux qu’une femme perturbée qui devait d’abord se soigner avant d’être capable de prendre soin de quelqu’un. En attendant, je souhaitais juste retrouver mon ami le temps d’une balade, et rattraper ce dernier mois passé. « Avec plaisir de faire cette balade avec toi ! Le paysage est réputé comme étant magique, je ne pouvais faire cela qu’avec toi. » Et non je n’étais pas dans la catégorie beau-parleur , je le pensais sincèrement. Je ne pouvais pas rêver mieux que lui pour ce type de balade. « Je te rassure, je pense que cette balade va m’achever aussi que je risque de rester à l’hotel ce soir. » dis-je en plaisantant. De toute façon, j’enchainais tellement qu’une soirée à l’hôtel même si les filles n’étaient pas là ne me ferait pas de mal.
    Je profitais de cet instant pour lui demander ce qu’il s’était passé depuis. Et sa réponse me surprit. Enfin après je me demandais ce qu’il appelait par avoir agi en connard. Cela ne lui ressemblait absolument pas. Je connaissais un Elyas, galant, très gentleman, posé. Je le regardais, attendant un peu plus de précision sur ce qu’il me disait, mais non. Il passait à moi pour me demander ce que j’avais bien pu faire ses derniers temps. « Comme toi, j’ai déconné, des choses que je regrette, ou du moins que je n’avais pas prévu de faire comme ça. Pour te donner une idée, tu as été mon plus beau moment durant ce bal de fin d’année. » Et clairement, c’était vrai. La danse avec Elyas était mon dernier meilleur souvenir de cette soirée. Je ne pouvais pas dire que je n’avais pas apprécié la soirée avec Kurt, à l’appartement. Au contraire, il m’avait remonté le moral, je n’avais plus pensé à rien. Mais tout avait si vite dérapé. Nous avions bu et voilà.
    Je le voyais se gratter la nuque, un signe que j’avais déjà vu lors de notre café. C’était un geste qu’il faisait dès que quelque chose le tracassait. Mais pas le temps de s’attardait dessus que nous arrivions à la location des vélos. Je m’adressais à la personne qui s’occupait de la location. Je donnais mon nom et nous patientions sur le côté le temps qu’il ne ramène nos vélos. Je rigolais avec Elyas. « Evidemment que j’ai réservé les vélos tu ne me connais que trop bien. Bon par contre pour le reste, au risque de te décevoir, je n’ai pas préparé plus. Je voulais préparer un goûter, mais j’ai oublié de commander ce qu’il fallait à l’hôtel. Ça sera juste moi et mon grand sourire. » Je me sentais tellement idiote d’avoir oublié ce détail. J’espérais qu’il y ait des petits stands pour se rafraîchir et se poser. Nous verrions bien.

    Quelques minutes après, nos vélos étaient fin prêts. Je prenais le mien et j’enjambais pour monter sur le mien. « On sera plus tranquille que dans les rues de Bostons. » En souvenir de nos balades plus jeunes. « C’est partiiiiiiiiiiiiii. » dis-je en donnant les premiers coups de pédales. On arrivait à se synchroniser avec Elyas, côte à côté même en roulant. Après avoir pris le pli avec nos nouveaux vélos, je me décidais à en connaitre plus sur les derniers événements. « Alors dit moi en plus... en quoi tu n’as pas été très gentleman ? Tu sais très bien que je ne te jugerais pas. » lui dis-je pour le rassurer. En même temps, je n’avais pas été une sainte non plus que je serais des plus mal placés pour le juger. Je l’écoutais tout en regardant devant moi, et les paysages autour. Enfin je faisais attention, la chute pouvait être rapide, et je ne souhaitais pas finir avec un plâtre pour le Summer Camp.


    Emi Burton
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    Lien du postMer 5 Juil 2017 - 12:36
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    Quelques minutes voilà les vélos devant nous et le type nous prête même des casques, histoire qu'on ai la classe internationales sur ces vélos de compétition. Je prends la casque et je le met sans rechigner qui sait peut être que sa me donnera un style. Enfin quand je passe à côté de se qui ressemble à un miroir ce que je vois c'est un touriste tout ce qu'il y a de plus normal, et j'en souris. Elle ressemble aussi à une touriste que moi et je prends mon portable pour prendre une rapide photo en souvenirs et je le range quand on se met en route, le vents, le bruit de la nature, le fin parfum d'Erin qui arrive jusqu'à moi et je suis déjà conquis par la balade. Elle me dis que par contre, je serais déçus par qu'elle n'a rien prévus de plus pour cette ballade et je la regarde un instant avec une moue boudeuse exagéré.

    « Quoi ?! Comment oses-tu ! Tu n'a rien prévus d'autre pour le super touriste que je suis là ? Avec mon super casque de vélos, je suis déçus ! »

    Je la regarde un instant gardant ma moue, je croit que si j'avais pu j'aurais croiser les bras sur ma poitrine et j'aurais taper du pieds, mais après quelques seconde je relâche ma moue et je me prendre d'un léger fou rire.

    « Mais Erin ne fais pas cette tête, je rigole voyons, ce n'est pas grave, je suis sûr qu'on trouvera un endroit pour s'installer et boire un coup en terrasse. Où alors si on tombe sur une petite échoppe pour manger ce sera tout aussi bien, et comme tu as payé pour les vélo pour la gourmandise c'est moi qui paie. »

    Je souris d'avantage et je continue de rouler tout en regardant un peu partout, la vie ici n'a absolument rien à voir avec notre vie de Boston, sa change et sa me dé-paysage, j'en suis content parce que j'en avais vraiment besoin de rire, voir d'autres personnes que les têtes connues d'Harvard, j'avais vraiment besoin de faire la fêtes et d'oublier. Elle me demande ensuite d'en parlé avec elle, ça ne m'étonne même pas, elle a toujours été des plus curieuse et voulais savoir ce qui se passais dans ma vie, mais je sais déjà ce qu'elle va faire, me remonté le moral et je ne veux pas vraiment alors je la regarde un instant.

    « Je te raconte si tu ne me remonte pas le moral, tout le monde essaie de le faire et ça me fais passer pour faible. Tu sais que je n'aime pas ça. Il s'est passé que cette fille de mon passé à déboulé a une soirée ou j'étais, elle avais beaucoup bu et moi aussi je m'amusais quoi. Le lendemain, elle était dans mon lit, c'était sa première fois et j'était bourrée quand ça s'est passé. Au lieu de m'en excuser je l'ai regarder un instant et j'ai fui. Je l'ai laisser seule en lui faisant comprendre que c'était une connerie. Et tu sais quoi quand on s'est revus et qu'on en à parlé elle m'a pardonné, mais tu sais que même si elle me pardonne je l'ai blessée. »

    Je soupire un grand coup après avoir tout cité d'une seul traite, je la regarde et je tiens son regard un moment avant de tourné mon regard sur le paysage à côté du quel on passe et je m'arrête au bout d'un moment.

    « Amusons-nous ici, Erin. Cet après midi je ne veux pas parler de mes histoires qui sont des plus nulles. juste passons un bon moment tout les deux comme au bon vieux temps.»
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    Lien du postSam 8 Juil 2017 - 15:04
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    « Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin.»
    Elyas & Erin


    Je rigolais en voyant nos têtes avec nos casques, pour le coup, on avait l’air beaucoup moins fins que quand nous étions des adolescents. A nous voir, ils ne nous manquaient plus que les coudières et genouillères et c’était bon comme si on apprenait à faire du vélo. Elyas prit une photo de nous en selfie. Je souriais tel un ange. Cela ferait un sacré souvenir dans son téléphone. Et franchement, la photo serait culte, j’espérais qu’on en rirait encore dans quelques années en regardant cette photo. J’hésitais à le retirer, je venais de m’embêter à faire tout un lissage pour au final avoir un casque qui m’abimerait cela. Mais mon ami le gardait, j’allais faire un effort de le garder aussi. Cette balade sous ce soleil, en merveilleuse compagnie n’annonçait que du bon. Bien sûr, on aurait des petites choses à rattraper, le principal étant de passer un moment ensemble. Même si je n’avais rien prévu de plus, pas de goûter, rien du tout. Juste cette balade. « Je … heu… et bien … » bafouais-je quand Elyas me reprocher le fait de n’avoir rien préparer d’autres. On n’avait pas la classe avec nos casques je le savais, mais j’étais attristée qu’il réagisse comme ça. Enfin, avant de comprendre qu’il se moquait de moi, et que non tout lui allait comme ça. Je lui donnais une tape sur l’épaule en guise de protestation à sa mauvaise blague. « Déjà de une tu n’es pas drôle sache-le. » dis-je en tirant la langue comme une enfant. « Etant donné que la balade se fait sur des kilomètres, il doit bien y avoir des choses le long du chemin oui. » J’espérais aussi, parce qu’avec la balade, nous finirions déshydrater ou mort de faim, allonger à même le sol en train de demander de l’aide. Intérieurement, je rigolais à la bêtise que je venais de penser. Après tout, avec Elyas avions vécu plein de chose, nous n’étions plus à ça prêt. « Et ne te sent pas obliger, j’ai loué les vélos avec plaisir tu sais. » Elyas connaissait ma situation, il savait très bien que je ne roulais pas sur l’or, que ma mère se démenait pour moi, que j’étais à Harvard grâce à une bourse. Il devait également savoir que je ne faisais pas ça pour avoir un retour ou pour que l’on m’offre autre chose. Je lui souriais à sa proposition, nous verrions ça sur le chemin de toute façon.

    Nous avions commencé à pédaler tout doucement. Les paysages sous nos yeux étaient bluffant. Un mélange entre les montages et l’eau de la rivière, je me sentais presque comme Pocahontas en accord avec la nature. Pocahontas en blonde, ça ressort bien non ? Les étoiles dans les yeux que j’écoutais en même temps Elyas. Je venais de lui demander ce qu’il y avait eu de bien nouveau dans sa vie. Après tout, depuis le bal, il devait bien y en avoir des choses. Dès le départ, Elyas me demandait de ne pas lui remontrer le moral. Je ne savais pas trop quoi lui répondre étant donné que c’était dans ma nature, mais je savais aussi être honnête avec un franc-parler quand il le fallait. « S’il le faut je t’engueulerais si tu veux. » le rassurais-je. Alors voilà, il partait dans son discours sur cette fille de son passé avec qui il avait eu une aventure durant une nuit pendant qu’il était ivre. J’étais surprise de sa révélation. Je ne m’attendais pas à cela venant de lui. Et je devais avouer une pointe de jalousie également. « Tu ne veux pas que je te console donc je ne le ferai pas, j’avoue que cela ne te ressemble pas du tout. Je ne sais pas qui elle est mais si elle te dit t’avoir pardonné, pourquoi remettre sa parole en doute ? » Après tout si cette jeune femme lui avait dit pardon, pourquoi se torturait-il l’esprit ? Je savais qu’Elyas avait beaucoup trop de conscience pour lui, que son acte allait le marquer. Seulement ces derniers temps, j’avais appris à ne pas trop regarder en arrière et avec ce summer camp, j’allais de l’avant. « Tu as l’air de beaucoup tenir à elle non ? » lui demandais-je alors qu’il était lui-même en train de reprendre son souffle. Alors que l’on pédalait encore un peu, Elyas s’arrêta net et nous proposer de nous amusait. Un programme que je mettais à exécution depuis ce début du cet été, ici au Laos. « Je suis d’accord avec toi, amusons-nous. On est trop jeune pour se prendre la tête pour tout cela. C’est l’été de tous les changements. » Il n’imaginait même pas à quel point était au centre de mes préoccupations. Je voulais revenir en septembre, plus sûr de moi, plus charismatique, plus libre… plus femme tout simplement.



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    Lien du postDim 9 Juil 2017 - 14:51
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    Erin pouvais très bien me remonter le moral et ce n'était pas ce que je lui avais demander alors que je lui parlais des chose qui m'était arriver ces derniers temps. il fallait dire que je ne voulais plus être ce si gentil garçon que tout le monde connait et voulais pour confident, non moi je voulais être cet homme dont tout le monde parler pour ces montagne russes dans sa vie. Je voulais pas qu'on penses que j'était quelqu'un de naïf avec on finit toujours par s'ennuyais. Alors pendant ce summer camp j'avais déjà fait plus de choses que je ne l'aurais faire en tant normal, je voulais que ces vacances me changent pour que je ne soit plus la même personne quand on rentrerais en Septembre. Et j'avais beau sourire avec Erin parce qu'elle avais cet effet sur moi en rentrant de ces vacances je ne serais plus le même. Je souris alors qu'elle fais des moue sous mes mots. Avant qu'elle ne me dise qu'on trouvera forcement un truc à manger en chemin, je hochais la tête.

    « J'espère bien parce que je commence déjà à avoir faim je t'avoue, je n'ai pas déjeuné ce matin, je me la joue petit rebelle qui déjeune pas ! »

    Je pouffe de rire sous mes mots et je continue de pédalé sur mon vélo avec mon super casque sur la tête et je regarde le paysage prenant une photo que je posterais ensuite sur mon instagram souvenir d'une merveilleuse après-midi passait à faire des bêtise comme lorsque nous étions plus jeune.

    « Je ne sais pas pourquoi je remet sa parole en doute, et si j'avais causer plus de tristesse qu'elle ne me l'a avouer ? j'en sais rien, Erin. Je suis à un moment de ma vie ou je sais que plein de choses vont changer et je penses que ce n'est pas plus mal non plus, tu comprends ce dont je parle ? »

    Je pensais bien sûr qu'elle pourrais comprendre ce dont je parlais, nous avions déjà changer autant elle que moi, et je penses que nous allions encore changer tout en gardant contacte pour pouvoir se remettre sur pied au cas ou nous irions trop loin. Je m'arrête et pose alors mon vélo et je m'installe face à ce paysage de folie j'en prends une nouvelles photo content d'être là et je guide Erin pour qu'elle s'installe prêt de moi. Nous regardons le paysage et je souris grandement.

    « Je suis vraiment content d'être ici avec toi Erin, sa me fais plaisir que tu ai pensée à moi pour cette petite balade, nous somme jeunes comme tu dis, allons plonger nos pieds dans l'eau de cette rivière, d'accord ? »

    Je me lève et je retire mes chaussures remontant mon pantalon comme un pantacourt et je plonge mes pieds dans cette eau qui est plutôt froide qu'on se le dise, mais c'est supportable.
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    Lien du postLun 10 Juil 2017 - 16:07
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    « Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin.»
    Elyas & Erin


    C’était la première année où je participais officiellement à un Summer Camp. Les autres années, je m’étais contentée de voir les autres partir faute de moyen. Mais cet été, je me serais endettée sur dix ans pour y participer s’il le fallait. J’avais besoin de souffler, de prendre l’air. Et le Laos était juste parfait pour cela. Plus les jours passaient plus je me dépaysais un peu plus. Je ne pensais plus à Boston, à ces bouchons, les gens qui râlent, qui ne réalisent pas la chance qu’ils ont dans leur vie, le bruit, la pollution, ces murs qui se ressemblaient tous sans aucune vie. Je me voyais bien emménager ici en fait. L’état d’esprit du Laos était bien plus ressemblant avec mon propre état d’esprit à moi. J’étais plutôt une jeune femme simple, qui profitait des instants de la vie. Seulement, Boston avait décidé de m’en faire voir de toutes les couleurs depuis quelques mois. J’étais le genre de femme qui croyait au destin plutôt qu’à un dieu. Et j’avais l’impression en ce moment que le destin me défiait, et me remettait en question. Je pouvais cacher tout ce que je voulais, je n’en restais pas moins une jeune femme, fille d’un noble français avec apparemment des responsabilités dans ce nom. Comment pouvais-je être responsable alors que je n’avais jamais mis les pieds dans ce pays ? Je n’étais pas totalement responsable aux Etats-Unis. C’était trop demandé pour une jeune étudiante comme moi.

    En parlant de la culture locale, quand Elyas évoquait l’idée d’avoir déjà faim, cela me donnait une idée. « Tu sais ce qu’il mange ici d’ailleurs ? Je t’avouerai que depuis que je suis ici, je préfère manger des choses que je connais. » avouais-je. Ce n’était pas très dunsters pour le coup, mais j’étais arrivée ici avec l’estomac en vrac à cause du stress de l’avion. J’avais peur d’être malade en mangeant quelque chose d’autre. « Qui sait, on trouvera peut-être des snacking à base de petits insectes grillés. » dis-je en fronçant le nez. Je n’étais pas sûr que ça soit une bonne idée, mais il me semblait que c’était des choses qui se faisaient ici. Puis j’imaginais bien Elyas qui avait le ventre vide et le remplir avec ça. Mon air renfrogné se transformait en petit rire, un peu moqueur je devais l’avouer. Chose qui ne dura pas quand Elyas me parlait de ses soucis avec cette jeune femme. Une femme triste ça se ressentait à une puissance qu’on n’imaginait même pas, et connaissant Elyas, il l’aurait deviné. Il était beaucoup trop gentleman pour laisser cela passer. Surtout s’il tenait autant qu’il le disait à elle. Puis il parlait de changement, je ne comprenais que trop bien. Bien plus qu’il ne pouvait le penser. « J’ai cette même sensation que toi, qu’on va rentrer en septembre différent de quand on est parti. Et comme toi, je pense que ce n’est pas plus mal. » J’approuvais en regardant le paysage un peu perdu dans mes pensées à ce moment-là. Il était encore trop tôt dans l’été pour dire ce qui aurait réellement changé chez moi, mais je savais que je rentrerais différente.
    Nous arrêtions nos vélos, ce qui avait eu le don de me sortir de mes pensées. Nous posions les vélos au bord de cette rivière. J’en profitais pour retirer ce casque qui m’avait totalement décoiffé. J’en rigolais pensant que je ne ressemblais à rien, me servant de mes doigts en guise de brosse à cheveux pour remettre un peu d’ordre. Puis je m’installais proche d’Elyas, je l’écoutais. Il était un des seuls qui me permettait d’être une jeune femme simple sans être jugée. Il me proposait de mettre les pieds dans l’eau. Je tentais un coup d’œil quand même voir l’état de l’eau, ou si un crocodile n’était pas présent. Je n’avais pas les plus beaux pieds du monde, mais je tenais à garder les deux. Cet air pur permettait d’avoir la rivière propre. Alors je retirais mes chaussures et je mettais les pieds dedans. J’eus un sursaut par le contraste entre l’air chaud et le froid de l’eau, avant de réussir à mettre les pieds dedans pour de bons. « J’étais obligée de penser à toi. Je m’en veux d’avoir fait la morte aussi longtemps. Alors je me devais de me faire pardonner, de remettre les compteurs à zéro, de reprendre sur de bonnes bases entre nous. » Je lui avouais enfin le pourquoi essentiel de cette proposition de balade. Oui je me sentais coupable. Je fixais mon regard au loin, perdu sur la montagne devant nous. J’inspirais un bon coup, profitant de ce lieu assez magique en soit.


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    Lien du postMer 12 Juil 2017 - 17:12
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    J'était vraiment trop content quand Elijah m'a appeler pour qu'on se voit et qu'on parle du Summer Camp. quelques temps après qu'on ai était au courant que des élèves pourraient partir en vacances j'avais pris la décision de faire comme chaque année et me trouver un job pour me mettre le maximum de côté mais il faut croire qu'Elijah ne le voyais pas de cet œil. Il m'a tanné pendant au moins deux jours en me disant qu'il prendrais une grosse partis en charge et que je n'aurais pas à m'en faire. Il m'a vendu sa comme un vendeur de vacances, il me parlais de faire la fête et de ce faire des nanas. Comme ça je ne pouvais pas refuser, j'avais accepté non pas pour les filles mais bel et bien parce qu'en partant de Boston je voulais laisser mes petits soucis là-bas et faire la fête jusqu'à en perdre connaissances. Pourtant depuis que j'était arriver au Laos et qu'on ce soit installer dans la villa, la magnifique villa je n'avais pas encore eu l'occasion de passer une fête avec Elijah. Introuvable. Je ne m'empêchais pourtant pas de faire des choses de mon côté et de le laisser faire les siennes. Quand la blonde en face de moi me parlais nourriture je me reprenais et je lui souriant écoutant ce qu'elle me disait.

    « Oh, euh je n'ai pas encore eu l'occasion de goûter des choses locales, je m'en suis tenus a des plats que je connais par peur de devoir manger des insectes. Beurk, je ne veux même pas goûter, tant pis je laisse ma virilité au placard et je passe mon tour. »

    Une mine de dégoût sur le visage je secoue la tête comme si l'insecte était prêt de nous et même un frisson remonte le long de ma colonne vertébrale. Vraiment je n'aime pas trop les insectes alors en manger brrru.. je regardais le paysage en fermant parfois les yeux pour profité du soleil qui se posait sur nous. On aurais clairement faire partis d'un photo de carte postal tant on devais ressemblé a des touriste sur le coup. Je souriant et je faisait bouger mes pieds dans l'eau plutôt fraîche de ce début d'été. je la regardait un nouvelle fois et je penchais la tête sur la côté.

    « Tout sera différant une chose est sûre. On dis bien souvent que les voyages font la jeunesse, nous sommes en train de faire la nôtre et j'ai déjà hâte d'être un papi, me posais dans un coin, dire que toute cette technologie me dépasse et rire de nos vieux souvenirs »

    Je ris, déjà fatiguer e ma jeunesse ? Pas du tout, je suis juste déjà perdu dans mes souvenirs passer à me dire que j'aime l'homme que je suis en train de devenir, à me dire que toute les bêtises que j'ai pu faire je les ai faites en fonçant tête baisser et que j'en regrette aucune miette. Soudain elle me dis qu'elle s'en veux d'avoir faire la morte, qu'elle voulais mettre les compteurs à zéro et qu'on repartes sur de bonnes bases.

    « Je comprends bien que tu l'es fait en faite. J'ai changer je ne suis plus l'homme que tu as connu et même si tu m'a voler ce baiser tu le regrette parce que tu ne veux pas que je me fasse de fausses idées sur t'es intentions. Et en fait... Je ne t'en veux pas, je peux comprendre même. Nous sommes des amis c'était ce que nous nous étions dis avant qu'on ne se sépare à l'époque et même si j'aurais bien imaginé un truc comme dans ces films que tu me faisait voir, ou les amoureux séparés finissent par ce retrouver, je suis bien content qu'on en soit encore à être des amis qui étaient ensemble avant et qui ont pu dépassé ces clichés et qui le sont encore. Voilà. Les compteurs sont remis à zéro. »

    Je lui souris doucement avec néanmoins un pincement au cœur parce qu'elle est mon ex pour qui j'avais des faiblesses qu'on se le dire, mais si moi j'ai pu faire mes choix voir d'autres femmes je penses qu'elle mérite de faire ces choix et voir d'autres hommes. Elle mérite tout le bonheur du monde et si je suis son amis et que je fais parti de son bonheur alors sa vaux tout l'or du monde.
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