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I LOVE HARVARD
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    ABRAHAM BETHLEHEM ROSENBAUM ► jordan barrett
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    Lien du postSam 1 Juil - 14:37
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    Abraham Bethlehem
    Rosenbaum
    feat Jordan Barrett
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    Nom ; Rosenbaum Prénom ; Abraham Bethlehem, généralement appelé A.B.  âge ; 18 ans orientation sexuelle ; Homosexuel statut social ; Milieu populaire, ancien enfant placé aux Services Sociaux date et lieu de naissance ; Nouvelle Orléans, Louisiane, 2 mainationalité ; Américaine, Israëlienne statut amoureux ; Célibataire études majeures ; Russe études mineures ; Chinois groupe #1 ; Mather House groupe #2 ; Quincy House crédits ; Soy

       

       
    Mather House
          Crocheter des serrures, soulager les bourgeois de leur porte-feuille, faire le mur et susciter un incendie avec un élastique et trois chewing-gums : telles sont les compétences fondamentales d’un gamin des bas-fonds de la Nouvelle Orléans et malgré sa spectaculaire réussite scolaire, A.B. ne s’est jamais départi d’une conception toute personnelle de la loi et de l’autorité. S’il ne compte pas faire fortune en devenant un baron du crime, le jeune homme aspire à mener sa vie comme il l’entend, ce qui n’est pas sans lui poser quelques problèmes avec le reste du monde. Il trouvait à Mather House le cadre idéal pour faire des pulls avec le mauvais coton qu’il file.

          Quincy House
         Quand on grandit dans la misère, on développe soit un sens aigu du darwinisme social, soit une conscience particulière des maux de la société. A.B. tombe plutôt dans la seconde catégorie et, pour lui, agir pour les autres ne se limitent pas à voter Obama — d’ailleurs, il était trop jeune. A.B. a peut-être une conception parfois bien personnelle de la charité et de la redistribution active des richesses (surtout celles des autres) mais ça ne l’empêche pas de s’impliquer dans toute sorte d’organisation, avec une nette prédilection pour les petites associations de proximité.
    APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
        A.B. n’était pas encore à Harvard à l’époque : trop jeune. Et il était loin de songer à intégrer un jour une université aussi prestigieuse mais, surtout, aussi coûteuse. Pour lui, les agressions faisaient alors partie du quotidien et, un peu naïvement, il se représente le monde de l’élite comme un univers civilisé, peut-être un peu coincé mais au moins préservé des maux qu’il affronte tous les jours dans les ruelles sombres et les foyers mal famés de la Nouvelle Orléans.
    APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
       C’était l’été avant l’arrivée d’A.B. à Harvard et il ne manquait pas de suivre les actualités concernant sa future école, tout en dévorant tous les livres au programme en un temps record. Pour lui, le tremblement de terre au Chili fut un événement observé de loin, à la télévision, puis de plus près, quand il a commencé à arrondir ses fins de mois en traduisant en hébreu quelques articles américains sur le sujet. Il a donné une partie de ses recettes de cet état-là à une ONG pour aider les enfants chiliens. C’était ça ou acheter une nouvelle paire de baskets.
    TON ADMISSION A HARVARD
     A.B. a toujours été un élève brillant et il le doit sans doute plus au hasard de la biologie et à la nature qui lui a donné un gros cerveau qu’à un environnement social favorable. Petit génie des mots, et à vrai dire petit génie tout court, A.B. a survolé sa scolarité secondaire malgré une tendance certaine à l’absentéisme. Il saute rapidement une classe puis, à quinze ans, une professeure plus impliquée que les autres commencent à lui parler des bourses offertes aux enfants victimes de Katrina, à la Nouvelle Orléans, par certaines ONG. A.B. commence à étoffer son dossier en travaillant dans différentes initiatives caritatives et finit par obtenir l’une de ces bourses complètes. Après un score presque parfait aux SATs — selon lui, ses erreurs indiquent que les SATs sont mal conçus —, il est admis à Harvard, où il commence à suivre des cours sur les langues étrangères.

       
    Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Soy et j'ai 27 ans. Je suis Français et j'ai connu le forum grâce à un top-site.  Il était beau, clair, actif et avec un background ouvert alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Jordan Barrett comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi-même. Je fais environ 600/800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

       
    Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
        adhérer un flood d'intégration (?)
        je veux être parrainé si oui, par Sloan Bushnell (ou quelqu’un d’autre, j’suis pas sectaire)
        je participe au summer camp  si oui, équipe

       Je recense mon avatar
       si personnage inventé:  
       
    Code:
    [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7517]►[/url] ► <span class="pris">JORDAN BARRETT</span> ♦ “ A.B. Rosenbaum ”[/size]
       si scénario:
       
    Code:
    [size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] [url=URL DU SCÉNARIO ICI]►[/url] <span class="pris">AVATAR</span> ♦ “ Pseudo ”[/size]
       


       
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    Lien du postSam 1 Juil - 14:38
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    CHAPTER ONE
       A.B. Rosenbaum eut la chance de naître de parents aimants : en effet, son père aimait la bouteille et sa mère la télévision. Quelque part dans un quartier de la Nouvelle Orléans, là où les maisons en bois étaient bâties à la va-vite en attendant le prochain ouragan, dans ce qui tenait le milieu entre un abri de jardin et un caban des années 1920, les Rosenbaum vivaient des aides sociales, c’est-à-dire de pas grand-chose.

    Jadis, Abraham Rosenbaum, le père, avait été un mécanicien plutôt doué dans son domaine mais, un jour, une pompe hydraulique défectueuse avait eu raison de sa jambe gauche et, depuis, il refaisait le monde, en plus déprimant, sur le perron de sa maison, une bouteille de bière à la main. Sarah Rosenbaum faisait les ménages le matin et, le reste de la journée, elle regardait le téléachat à la télévision, pendant qu’A.B., le fils unique, découvrait la vie par lui-même, bon an mal an, un peu chez les voisins, un peu chez lui.

    A.B. ne comprit jamais grand-chose de ce qui se tramait dans la tête de ses parents et il est probable que l’ouragan, in fine, lui évita bien des questions. Il ne comprit jamais, par exemple, comment ses parents pouvaient concilier les bouteilles de bière dans le frigo avec les enseignements rigoristes que le rabbin dispensait à la synagogue, ni comment ils pouvaient être aussi racistes, quand on les traitait eux-mêmes de tous les noms, au détour de la rue. De temps en temps, son père parlait de rentrer en Israël — ou d’aller pour la première fois en Israël, A.B. n’était pas bien sûr — mais, pour lui, c’était comme retrouver du travail ou le Père Noël : quelque chose dont on parle mais qu’on ne voit jamais.

    Tout changea quand un jour d’août 2005, quand ses parents, et sa maison, et une bonne partie de sa ville à vrai dire, furent emportés par l’ouragan Katrina. A.B. ne sait pas bien comment il a survécu. Il se souvient juste confusément d’avoir rouvert les yeux à l’hôpital, blessé et orphelin, et d’avoir réfléchi du haut de ces six ans à cette vérité pendant de longues minutes : qu’il n’avait plus de père, qu’il n’avait plus de mère, et qu’au fond, ça ne lui faisait pas grand-chose.


    CHAPTER TWO

    Les services sociaux, c’était l’enfer, sans doute parce qu’il n’en restait pas grand-chose. Des orphelins à la pelle, des hôpitaux en ruine, des décombres pour écoles, et tous les jours, les adultes qui parlaient de l’aide de gouvernement, qui ne venait jamais. Les années qui suivirent, A.B. apprit beaucoup de choses : à crocheter une serrure, à faire les poches des gens, à se faufiler partout et à faire le guet pendant que des types plus âgés revendaient un peu de drogue à d’autres pauvres types.

    Les autres gamins rêvaient d’être adoptés mais A.B. n’était pas si sûr que ça. Ses propres parents ne lui avaient pas donné de la vie de famille une image très idyllique et, au bout du compte, entre ça et le foyer, il ne savait pas ce qui valait mieux. Une ou deux fois, il fut placé, une ou deux fois, retiré. Il y en avait pour frapper plus fort que d’autres, ou boire plus que d’autres, mais les différences étaient subtiles et il essayait de ne pas trop y penser.

    Comme il n’était toujours pas très grand, et pas très fort, avec les autres, A.B. essayait de se faire apprécier et, le cas échéant, de ne rien voir, de ne rien entendre, surtout de ne rien dire, et puis de courir très vite. Dans l’ensemble, ce n’était pas une trop mauvaise tactique. Il était malin et il le cachait bien : c’était l’essentiel dans ce genre de situations. Hélas, tout se compliqua le jour où il se découvrit des professeurs vigilants.


    CHAPTER THREE
    A.B. avait toujours estimé que dans les écoles publiques de la Nouvelle Orléans, il était plus sage d’être un cancre. Les premiers de la classe avaient tendance à utiliser les toilettes tête la première et il tenait à sa coiffure. À treize ans cependant, par maladresse sans doute, il excella à un ou deux contrôles, et la spirale infernale des regards pénétrants et pleins d’espoirs de ses enseignants commença. On le poussa un peu ici, on le poussa un peu là, et on finit par se rendre compte que le petit Rosenbaum n’était pas doué que pour s’attirer des ennuis.

    La suite fut un grand jeu d’équilibriste social, pour A.B. Il avait une réputation de mauvaise graine à entretenir, qui impliquait une consommation industrielle de boules puantes et une habitude consommée de visiter les casiers des autres élèves, et en même temps une aura grandissante de petit génie qui écrasait avec une facilité déconcertante la compétition la plus besogneuse. Il consacra beaucoup des ressources de sa vaste imagination à ourdir les bêtises les plus élaborées pour éviter d’être pris pour un intello.

    Il commença aussi à courir. Pour de vrai, sur une piste, contre d’autres gens — pas pour fuir les flics ou les gangs rivaux. Au fond, il attendait avec impatience l’adolescence qui, espérait-il, lui ferait pousser des pectoraux comme des champignons et dessinerait ses épaules comme les gars dans les films, un espoir condamné à être déçu. Il aurait bien aimé jouer dans l’équipe de football ou quelque chose comme ça. Mais la course, c’était bien, et puis surtout, ça ne coûtait pas trop cher.

    Il finit même par intégrer l’équipe d’athlétisme. Grossière erreur.


    CHAPTER FOUR

    À quinze ans, A.B. dut se rendre à la pénible évidence : de plus en plus, ce qui l’intéressait, dans cette histoire d’athlétisme, c’était le moment où, à la fin de l’entraînement, tous les garçons se réunissaient dans les vestiaires pour se changer. Toute cette odeur de sueur et puis ces fesses musclées lui inspiraient des idées peu catholiques. Ça tombait bien, il était Juif, mais quelque part, il se doutait que cette excuse ne suffirait pas.

    Les hormones aidant, A.B. se mit à penser aux garçons le matin en se réveillant, le soir en se couchant, et toute la journée entre les deux, ainsi qu’une bonne partie de la nuit. L’essentiel de ses cours se passait à fantasmer sur les biceps de Machin ou à spéculer sur ce que renfermait le jeans de Bidule. Ce n’était pas trop mal, comme activité, à ceci près qu’il n’était pas certain de savoir comment s’y prendre pour concrétiser toutes ces intéressantes inspirations.

    Il ne devait pas avoir une très bonne poker face parce que rapidement, la rumeur de ses penchants se répandit à l’école et au foyer. Même son aura de mauvais garçon ne suffit pas à le prémunir contre les insultes peu imaginatives et bien ciblées et, quitte à devenir un souffre-douleur, A.B. se résolut à en profiter pour étudier : puisque ses anciens amis ne voulaient plus lui parler, autant se perdre dans les bouquins. Eux au moins étaient intéressants.


    CHAPTER FIVE

    L’avantage avec une réputation, c’est qu’elle sert de cartes de visite. A.B. approchait de ses seize ans quand d’autres garçons commencèrent à lui proposer des séances de gymnastique non-réglementaire dans les placards à balais, à condition de ne rien dire à personne. Comme A.B. ne parlait pas à grand-monde, ces conditions lui parurent bien faciles à accepter et, de placard à balais en box de toilettes, il finit par considérer que ses préférences, finalement, n’étaient pas qu’une malédiction et qu’elles conduisaient à des activités très enrichissantes.

    Pendant ce temps, ses études payaient et les professeurs redoublaient d’intérêt pour lui. L’une d’entre elle finit par le pousser à rédiger des dossiers de candidature pour diverses bourses universitaires, des fondations privées, des ONGs, de riches philanthropes qui aidaient les enfants de l’ouragan, comme on disait parfois, un nom qui en jetait pour une réalité plutôt sordide. Sans grande conviction, A.B. s’attela à la tâche.

    Il se souviendrait sans doute longtemps de cette année, la dernière au lycée, qui fut rythmée par une série de succès. Sans parler de Josh, le type de la ligue de baseball qui le fréquentait en secret mais qui, en secret, se montrait très, très démonstratif, il y eut la bourse remportée, et puis les SATs, et puis l’admission à Harvard et au MIT. A.B. choisit le premier et il passa cet été-là à lire, en plus des petits boulots de traduction, l’esprit plein de rêves plus ou moins naïfs.



    CHAPTER SIX

    La première année à Harvard fut comme une petite montagne russe. D’abord, il y avait les cours. Passionnants, pour la plupart. Certains offraient même à A.B. quelque chose qu’il avait rarement connu : un défi intellectuel. Et puis, il y avait la ville. Les nouveaux amis. Le redémarrage à zéro. Les homophobes, en général, ils pouvaient les éviter, le campus était grand. Pour la première fois, il embrassa un garçon en public et personne ne vint lui réagencer les rotules pour autant. C’était un vent de liberté.

    Un vent qui soufflait parfois dans le sens contraire. Harvard, c’était quand même plein de gosses de riches, des types dont les parents étaient à Harvard, et les grands-parents à Harvard, et ainsi de suite, jusqu’à Adam et Eve. Certains ne perdaient pas une occasion pour lui rappeler qu’il était boursier, un gamin de la Nouvelle Orléans, un « petit Yupin déshérité », comme lui avait dit un jour une fille à une fête.

    A.B. ne se sentait pas tout à fait à sa place. Lui ne savait pas ce qu’on donnait à l’opéra, ses parents n’avaient pas une maison dans les Hamptons et, même si sa bourse et ses petits contrats de traduction lui permettaient de vivre dans ce qu’il considérait être une certaine opulence, il ne vivait pas dans le même monde que nombre de ses nouveaux camarades. Parfois — il n’aurait jamais cru cela possible — sa ville et son monde lui manquaient.

    Mais il faisait des efforts. S’intégrer, apprendre les nouveaux codes ou, à défaut de les apprendre, se tailler une place. Il s’était même inscrit au camp d’été et il avait économisé toute l’année. Avec un peu de chance, il y aurait de jolis garçons.

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    BIENVENU ICI ABRAHAM BETHLEHEM ROSENBAUM ► jordan barrett 4205929361
    Ta fiche est merveilleuse, réserves moi un lien! hanwii
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    Bienvenuuuue ABRAHAM BETHLEHEM ROSENBAUM ► jordan barrett 3850463188
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    Lien du postSam 1 Juil - 15:26
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    Bienvenue, bon courage pour ta fiche ABRAHAM BETHLEHEM ROSENBAUM ► jordan barrett 2511619667
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    Lien du postSam 1 Juil - 15:28
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    bienvenuuuuuue ABRAHAM BETHLEHEM ROSENBAUM ► jordan barrett 2109348208 .
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    Bienvenue sur ILH :heaart:
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    Bienvenue sur ILH ! :)
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    Lien du postSam 1 Juil - 16:44
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    Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche ABRAHAM BETHLEHEM ROSENBAUM ► jordan barrett 3850463188
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    Bienvenue ici ABRAHAM BETHLEHEM ROSENBAUM ► jordan barrett 3850463188
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