A. Hades de Belgique-S. & Danneel M. Sullivan → ADENEEL
Nos vies ne sont pas ce qu’elles devraient être, simple, avec des bons moments, et parfois des chagrins, quelques embrouilles à juste dose. Non, nos vies sont des tempêtes de tourments, de rage, de colère, la trahison cours dans nos rues, la corruption envahis chaque goute de notre sang. Rien n’est bon en nous, rien ne nous permet de rester des enfants innocents. LE mal nous pousse chaque jours un peu plus vers le diable, nous poussant à nous détruire les uns les autres, comme si il y avait une quelconque délectation à tout cela, a  ce massacre sans nom. Mon corps était étendu là sur mon lit, las de tout le mal qu’il avait pu subir. Je soupire, le bal de fin d’année, la remise des diplômes, et depuis, plus rien, enfin nous n’étions plus esclaves des longs couloirs sanglant, où moquerie, amour, violence, amitié, trahison et bien d’autre venez s’entrelacer tel un porno endiablé. Je passe ma main lentement sur mon visage. Il était temps que je sorte et que j’affronte le monde. Je suis une fille sauvage, cruelle, avec une froideur implacable, mais quand la société vous manque, vous n’y pouvez rien, je n’y pouvais rien. Je prends la décision de sortir de ma chambre, enfin ! J’enfile une petite robe blanche, légère, printanière. La chaleur extérieure ne serait alors pas gênante.

Dehors, j’allume une cigarette, je fumais, oui, tirant une taffe sur ce tube mortel, je laisse la fumée s’échappée de ma bouche, laissant flottais avec elle mes idées les plus sombres, tuer quelqu’un ? J’en serais incapable, mais j’en avais une terrible envie. Vegas, quelle ville de merde ! Sloan y avait trouvait le moyen de se marier … Avec son ex ! Mon meilleur ami avait fait la connerie de sa vie, et moi protectrice comme jamais, je n’avais qu’une envie, faire la misère à cette pouffiasse qui n’avais pas sus se tenir. Une certaine Rhiannon une Mather, une fois de plus, une vulgaire fêtarde en chaleur. Mon opinion sur les Mather était bien bas, très bas même, et il ne faisait qu’empiré depuis mon ex, depuis cette fille qui se marie à mon BFF … Non les verts ne savaient décidément pas se tenir à carreau, et sa il fallait bien que quelqu’un le leur apprennent, quitte à taper du poing sur la table. Je fini par aller en ville.

Installer à la terrasse d’un petit café implanté dans le quartier chic et bourge de Boston, je bois une gorgé de l’expresso que j’avais commandé juste avant. Je soupire, boire chaud quand il fait chaud n’est pas l’idéal, mais tout de même indispensable pour avoir sa dose de caféine. J’étais perplexe quant à ma relation avec certaine personne, cherchant à me dédouaner de remord insoutenable. Mon regard se pose sur l’horizon, je me demande de quoi sera bien faite mon après-midi. Après avoir finalement terminé mon café j’interpelle le serveur qui vient rapidement à ma table. « Un thé glacé bio à la menthe s’il vous plait. » Le serveur souris et part dans le bâtiments, ancien, me chercher le verre que j’ai commandé. Une bonne boisson fraîche me ferrait le plus grand bien après avoir bus un café bien chaud.

A. Hades de Belgique-S. & Danneel M. Sullivan → ADENEEL
Journée de merde et verre trop vide. Voila ce que j'ai envie de vous dire. Je suis là, comme un con, allongé sur le sol de ma chambre. J'ai pas dormi de la nuit parce qu'il y a bien longtemps que le train du sommeil ne fait plus de détour pour les démons de la nuit. J'ai la tête à l'envers, les yeux rouges. Vitreux. Je suis dans un sale état et c'est la venue de Al qui m'oblige à me bouger qui me pousse à aller prendre une douche glacé pour me remettre les idées en place. Je l'entends dans ma chambre alors qu'il range grogner que je fais n'importe quoi, que j'abuse, que je devrais vraiment arrêter parce que ça va mal finir. Si il savait. La vie est laide. Faut arrêter l'optimisme. Moi, je suis un player, un de la pire espèce. Je n'arrête de jouer que quand j'ai gagné, pour passer à un autre jeu sordide, morbide. Je torture l'espèce humaine avec sa bêtise, je pervertie les personnes les plus gentilles et je m'en prends à tout le monde, tout le temps, mais toujours dans l'ombre, parce que le diable ne cris jamais sur tous les toits qu'il l'est. Je suis incontrôlable, réaliste quant-à ma valeur et celle des autres. Je suis Anastase Hades Thaddeus de Belgique-Schueller. Prince de Belgique. Future empereur de l'empire L'Oréal. J'ai tout. Je suis tout. N'importe qui rêverai d'être à ma place.

A force de me gonfler, Al a réussi à me faire sortir. J'ai enfilé une tenue du dimanche comme je l'appelle, un jogging noir, des chaussures Adidas, un Tshirt et une veste noire. Je suis vêtu de noir, probablement parce que je suis en deuil, du moins, je suppose. Je sais plus vraiment. Lunettes de soleil vissées sur le nez, j'arrive dans le café que je fréquente le plus. Les princes DBS ont leurs habitudes ici. Je pousse la porte et regarde le patron Je vais en terrasse Ted. Un café, allongé, bien noir. les formules de politesses ne sont pas dans mon habitude, mais Ted n'en a que faire, au début, il était prêt à me virer de son bar, maintenant ça l'amuse. Je pose un Benjamin Franklin sur le comptoir pour régler mon café d'avance et sors dehors. Mais là, mauvaise nouvelle : ma table est prise. Une jeune femme est assise à ma place. Je fronce les sourcils, mécontent et tourne le regard vers Ted qui hausse les épaules. Je lève les yeux au ciel, il le devine probablement en dépit de mes lunettes de soleil car il sourit amusé et je vais m'asseoir en face de la charmante brunette Bonjour. elle est à ma table, alors elle va avoir le droit à ma compagnie, c'est une sacré chanceuse, je l'envie. Partager la compagnie d'une personne comme moi, c'est pas commun.

A. Hades de Belgique-S. & Danneel M. Sullivan → ADENEEL
J’étais vaguement plongé dans mes pensées, sans savoir comment m’en échapper. Cigarette allumée, je tirais quelques taffes dessus pour évaporer un stresse que je ressentais. Alors que le serveur me déposé la boisson, il laissa un sourire se dessiner sur ses lèvres. Sourire que je lui rendis en retour. J’avais beau être dans mes pensées, je restais attentive au monde qui m’entourait. Après quelque instant, la cigarette enfin terminée, je laisser mon regard ce redressais lorsqu’un jeune homme pris place à ma table, dans la plus grande des simplicités, tout en lâchant un bonjour. Je fronce les sourcils avant de finalement soupirer. J’avais l’impression de ne plus avoir de moment tranquille depuis peu. Je fini par lui sourire timidement. « Bonjour. » Quitte à être en compagnie autant être amicale avec la personne qui allait partager ma table. Je lance un regard sur le patron qui semble perplexe et amusé de la situation. Je hausse les épaules. Mon regard ce plonge sur le beau jeune homme.

J’allais pour boire une gorgée sur mon thé glacé bio, mais finalement la politesse me rattrapa de façon fulgurante, j’allais finalement attendre que le jeune homme soit servis pour boire. Mais pourquoi étais-je prise si soudainement de tant de politesse envers le jeune homme ? Après un soupire amusé, je lui souris tendrement. « Je m’appelle Danneel. Enchantée. » Sans jamais lui demander pourquoi il c’était installé à ma table je me contente des coutumes de rencontre habituelle, comme si je parlais avec une personne comme une autre.

A. Hades de Belgique-S. & Danneel M. Sullivan → ADENEEL Je suis un genre d'asociale, j'aime pas les gens, je les trouve terriblement ennuyeux, terriblement chiant, comment peut-on encore croire en l'espèce humaine quand on voit quelle connerie a la seconde certains sont capables de nous sortir ? Enfaite, pour dire vrai, je ne crois plus en rien. Je ne crois plus en personne. J'ai envie d'un verre. J'ai envie de me foutre la tête à l'envers pour oublier le côté pathétique de ce monde. Une chose est claire : je suis trop bien pour ce petit peuple, trop bien pour ces ingnards insignifiant. Je voudrai m'endormir et ne me réveiller que quand les gens auront enfin arrêté de croire au père noel et en la paix dans la monde parce que c'est particulièrement chiant et emmerdant ces gens là. La paix n'arrivera jamais car le pouvoir montera toujours à la tête du plus bête d'entre nous. C'est ça la vie. C'est triste, c'est moche mais c'est la vie après tout. L'être humain est une abomination et peu de monde est aussi intéressant que moi et capable d'être du même réaliste. Alors en entrant dans ce bar, j'ai envie d'aller à ma table, mais elle est occupée, par une blonde qui semble dans ses pensées. Je ne sais pas ce qui me prend de m'installer en face d'elle, lâchant même un mot de politesse après avoir commander. Qu'elle se plaigne pas, la voila en compagnie d'un gars indispensable dans son entourage. D'abord surprise, elle soupire et j'ai envie de lui rabattre le caquet mais me ravise quand elle se décide à me saluer d'un petit sourire. Un hochement de tête, je regarde Ted le patron qui est entre l'étonnement et le rire parce qu'il me connait je suppose et qu'il apprend encore une fois qu'il ne faut pas se fier aux apparences, parfois quand je suis dans de bonnes dispositions, je sais me tenir. Parfois quoi. Elle finit par se présenter auprès de moi Danneel qu'elle s'appelle. Pf, un prénom de mec pour une fille, c'est ridicule. C'est bien une idée de riche. Je me demande alors quel est son patrimoine à la brune car elle en a forcément un, même si elle n'a visiblement aucune éducation pour venir réellement de ce monde. Je daigne néanmoins lui adresser un regard avant de lui faire un signe de main et reprendre Thaddeus. quoi ? Je mens pas vraiment, je m'appelle comme ça, en quelques sortes on va dire. C'est mon troisième prénom. Et après tout, on m'appelle bien Hadès, mon second prénom, alors pourquoi pas le dernier ? Enchanté de même Danneel. Que fais tu en terrasse par un si beau temps ? à ma place qui plus est, mais ça je me retiens de le dire.