Je me sentais seule, ne trouvant pas ma place à cette soirée. William était parti, et je me retrouvais avec Anna et Erin. En somme je les adorais ces deux filles. J’avais pris Erin sous mon ailes à ces première sortie, et Anna ne me semblais pas méchante. Après un nombre incalculable de shooter, je me retrouvais proche de mon seuil de résistance à l’alcool. Je voulais prendre une sage décision, arrêter et partir, mais c’était sans compter sur l’enthousiasme débordant de mes deux acolytes. Alors je reprends un verre, et un autre, et pendant plusieurs heures, nous allions enchaîner les verres, le cap ou pas cap, et toute sorte de défis enfantin et gamin. Soudainement, notre défi relativement innocent commence à prendre une toute autre tournure, surprise de ma propre sagesse, je refuse d’aller plus loin, pour moi hors de question d’embrasser un mec au hasard. Voyant les choses tournée de cette manière, je décide de prendre mes clics et mes clacs. J’ai beau chercher mon véhicule, je ne le trouve pas, je air donc sans but dans les rues, sur les parkings. Au loin une silhouette d’homme apparait. Je panique, que va-t-il m’arriver ? Finalement la personne me demande si je vais bien, je réponds que oui, même si je suis clairement arrivée au bout de mes limites et que un ou deux shooter de plus et c’était le coma éthylique. Je repousse la personne qui semble vouloir me retenir de tomber. JE ne veux que personne me touche. Je fini donc par attraper mon portable. Je ne retrouverais visiblement pas mon véhicule se soir, et une certaine personne m’avais foutu un jolie vent quant à ma demande de lui parler durant la soirée. Je prends donc mon portable et cherche le contact de William, je plisse des yeux pour essayer de ne pas voir tout flou. Je ne suis pas certaine que mes sms est une quelconque cohérence, mais tant pis. Difficile d’appeler au secours quand tant de drame nous oppressent … Je me sentais presque ridicule de devoir faire appel à William après ce qui c’était passé ce soir. Comme un fou qui se jette à la mer pour y cracher son dernier souffle de vie, je me lance dans les ruelles, toutes plus sombre les uns que les autres. « Will répond sale chauve ! » premier message vocale. « Oui-oui putain je suis perdu dans ton pays de jouet sos ! » second message vocale. « Répond chou ! » troisième message vocale. « Hooo me touche pas le mendiant !! Ha Will viens s’il te plait ! » Quatrième message vocale. « WILLIIIIAAAAAAM !! JE CROIS JE SUIS DANS LES QUARTIER DE MERDE AU SECOURS ! » Cinquième message vocale. « William spencer, 25 ans, pouvais-vous répondre ! » Sixième message vocale. « Hey le mather de mes fesses, viens croquer les mienne. Ha bonjours monsieur, non y’as que mon chéri qui a le droit de toucher à mes fesses. Désolée William un vieux pervers voulais me toucher, aller viens me chercher. » Septième message vocale, et bien entendue une bonne dizaine de sms.

Je fini par activer la localisation gps de mon portable, de façon à ce que le jeune Mather puisse me retrouver si jamais il prenait le volant pour venir me chercher. Finalement après avoir tant marché, je termine ma course sur un banc, je m’allonge et regarde le ciel étoilé. Je ne suis plus capable de garder les yeux ouvert plus longtemps, et je fini par fermer les yeux sans réellement dormir. Je me sens simplement trop faible pour garder les paupières ouvertes. Je me pose tout un tas de questions dans ma tête, questions que je voudrais poser à William. Alors que dans ma tête je refais le tour du monde à coup de questions, toutes diverses, des idiote, des triste, des dramatique. Et Soudain je sens une main qui me pousse. J’ouvre les yeux et voix à côté de moi, un homme âgé, sale, et certainement que je suis sur le seul banc potable de la rue. J’aurais eu envie de l’envoyer chier, de lui dire de partir ailleurs, mais j’ai le cœur bien trop lourd pour cela. Je fini simplement par me lever et je titube jusqu’à un muret ou je pose mes fesses, Je reprends mon portable, toujours pas de signe de vie du Mather, je soupire. Je commencer à voir flou, l’alcool commencer à agir de plus en plus sur mon organisme. J'envois un ultime sos à William lorsque je vois deux jeune s'approcher de moi, j'avais peur, peut-être qu'il allait être gentil, qui sais,
mais j'avais peur, surtout dans ce quartier là de la ville.

William P. Spencer & Danneel M. Sullivan
Une fois de plus je n'aurais pas du sortir ce soir. Mais cette fois si je n'est pas bu une seul goute d'alcool car il faut dire que je n'ai même pas eu le temps de mettre les pieds a cette soirée que ma sœur me téléphone paniquée. Il arrive parfois que celle ci ne se sent pas très bien du coup on a convenu que lorsque cela arrive elle m'appelle et je cours a son secours. J'ai tout de même cru apercevoir Dann a la soirée mais j'ai pas vraiment eu le temps d'aller la voir. Aussi vite arrivé aussi vite repartie, Je rentre a l'appart ou ma sœur m'attend assise dans le fauteuil. Je me dirige vers elle puis pose mes fesses a ses coté. Nous allons avoir une discutions durant plusieurs heures, elle s'installe posant sa tête sur mes jambes. Je joue avec ses cheveux tels un petit couple d'amoureux sauf que notre amour l'un pour l'autre est bien plus fort que ça. Je l'écoute, puis elle m'écoute. Nous partageons souvent ce genre de moment qui nous rapproche toujours un peu plus. Une complicité immense qui nous lie et qui ne se brisera jamais.
C'est alors que mon smartphone sonne plusieurs fois. J'aime pas être dérangé lorsque ma sœur va mal. Finalement elle me dis d'aller voir c'est surement urgent. Je vois que c'est Dann qui m'harcèle encore une fois. Mais non elle abuse la, j'écoute ses messages vocale puis lie ses sms avant de lui répondre. Ma sœur a quittée la pièce pour aller prendre une douche du coup avant de partir je lui dis que je m'absente un moment. Puis quitte mon appartement me dirige vers ma voiture. J'écoute les message vocal de la jeune femme en mode Bluetooth de la voiture pour entendre la voix de la jeune femme dans mes haut parleur. Je frotte mon visage avec ma main et tente de ne pas m'énerver. Elle a encore bu ….elle a vraiment rien dans la tête la sérieux elle m'énerve !! j'accélère un peu puis localise Dann non loin de ma position actuelle. Je m'arrête brusquement puis sort de ma voiture. Elle est la devant moi de l'autre coté de la route assise sur un petit muret. Deux mecs s'approche d'elle et commence a la pousser et rigoler comme des idiots. Je me rapproche d'eux puis tape sur l'épaule des deux mec. L'un se retourne et me prend mon poing sur la gueule qui l'envoi au tapis puis l'autre fait de même et se rapproche de moi pour me broncher. Je souris puis lui explose le nez avec mon front … un coup de boule mémorable qui va lui faire ding dong dans sa tête. Je prend la main de Dann puis la tire avec moi et la force de me suivre « toi j'ai deux mot a te dire !!! » genre le papa qui va punir sa jeune ado pas sage … oui Dann réagi par fois comme une ado sans trop réfléchir plus loin que le bout de son nez. Les deux type me gueule dessus je me retourne vers eux puis finalement ils prennent leur jambes a leur coup et disparaisse. Je me dirige avec Dann vers ma voiture puis la déverrouille et conduit la jeune femme jusqu'au siège passager. «  tu vomie dans ma voiture tu m'en achète une autre !! » Je prends place derrière le volant puis ne démarre pas le véhicule. « mais Dann … t'es encore une fois ivre … t'es enceinte MERDE !!! je te jure si le bébé a quoi que ce soit a cause de t'es connerie je vais te rendre la vie impossible !! » Je soupire puis regarde devant moi. Il fait noire dehors normal c'est la nuit. « ce soir tu dors a l'appart hors de question de te laisser seul dans un tels état mais c'est la dernière fois, si tu recommence ça tu m'oublie … clairement ok ? » je tourne mes yeux vers les siens. J'espère que ses bêtises ne vont pas faire du mal a notre future enfant

Bien entendue les deux jeunes hommes sont loin d’avoir des intentions louable. Et rapidement l’un d’entre eux comme à vouloir me bousculer, histoire certainement que je me lève de mon muret, choses que je fini par faire. J’avais peur. Durant les agressions d’Harvard je m’étais faite violée, et là j’avais terriblement peur lorsque l’un des deux jeunes hommes me bouscule à nouveau au moment où je repousse sa main qui me touche les fesses. Je commence à paniquer, cherchant une solution du regard. La solution finie par se présenter tel un héros justicier. Bien entendue le jeune boxeur, ne fais qu’une bouchée des deux voyous. Alors que mon regard se pose sur William, on peut lire de la peur dans mes yeux, les hommes violents me font tout aussi peur que les violeurs et autre misérable vermines. Lorsque William cherche à attraper ma main, je retire ma main une première fois. Finalement William fini par réussir à attraper ma main et me tire de force, m’obligeant à le suivre. Je suis vraiment au plus mal, et l’alcool me tourne la tête. Mais je le suis. « Deux mots ? C’est tout. Dit les moi et je suis à toi. » Deux mots, sept lettre, il lui suffisait de les dires, et je lui appartiendrais à tout jamais. Mais bien sûr ce n’étais pas ces mots là qu’il voulait me dire, mais l’espoir fais vivre comme on dit. Le Mather m’installe sur le siège passager de sa voiture, me signalant par la même occasion que si je rendais le contenue de mon estomac dans le véhicule, j’étais bonne pour lui en acheter une neuve. « Même pas en rêve, je te paye pas un éléphant ! » Oui l’alcool avait bien atteint mon petit cerveau, et me faisait dire certaines choses incompréhensible, mais vous l’avez compris l’éléphant c’est une voiture.

Si le bébé à quoi que ce soit ? Mais je n’en revenais pas ! D’où il pouvait se permettre de dire ce genre de choses. « Tu me rend déjà la vie noire ! T’es même pas venu à ma première séance de trifouille ! T’a même pas entendue son petit cœur faire bam-bam. Je t’ai attendu dans cette salle d’attente, je t’ai appelé une trentaine de fois, je t’ai laissé je ne sais pas combien de message ! Pauvre con va, tu nous as abandonné. » Je me mets à chialer comme une gosse, sans plus de raison que cela. Et voilà que maintenant il parle de l’oublier. Mes pleures devienne silencieux, mais les larmes elles continuaient de perlaient le long de mes joues. Le simple fait d’avoir entendue ces mots, de savoir que e pouvais le perdre, m’avais broyé le cœur, comme si on l’avais passé dans un mixeur. « Je ne veux pas dormir chez toi, je veux rentrer à la villa, mes colocataire vont ce faire des soucis si je ne rentre pas. Et puis tu sais parfois j’ai l’impression que tu attends que ça, que je fasse un faux pas pour t’oublier … Je ne peux pas vivre sans avoir de tes nouvelle William, trois semaine que tu m’ignore, depuis que je suis sortie de l’hôpital, tu m’ignore. » Je soupire avant de plonger mon regard azure dans son regard. « Tu a toujours pas capter que je fais sa pour attirer ton attention, que je cherche juste une réaction de ta part, peut-importe laquelle. Pendant trois semaine j’ai eu l’impression de ne pas exister, de n’être que l’ombre d’une ombre d’un sanglier. » Je commencer à avoir du mal à parler correctement. J’avais des nausées en temps normal à cause de la grossesse, mais là le fais d’être totalement ivre, de ne pas avoir mangé en ayant autant bus, d’être triste, et d’être enceinte. Ça n’avait fait qu’un tour dans mon estomac. J’ouvre donc la portière, je sors, fais deux pas et fini par me tenir du mieux que je pouvais mes cheveux, et par me pencher un peu en avant pour pouvoir vomir sans m’en foutre partout. Heureusement je ne sortais jamais à des soirées sans ma brosse à dent dans mon sac à main et un dentifrice. Je fini par pleurer comme un môme qui vomis pour la première fois. J’avais perdu ma veste dans la soirée, et donc bien entendue, j’avais terriblement froid. Une fois de plus j’étais en maillot de bain, une soirée bien trop hot encore … Je lance un regard vers la voiture, observant si William aller en descendre ou non.