Je voulais décompresser un peu de mes cours, mais aussi faire taire les rumeurs qui vont de bon grès sur le campus. Je n’en pouvais plus, heureusement demain je déménageais ! Adieu le campus, j’allais vivre chez Roman en colocation. Après avoir pris une bonne douche, et m’être vêtue de ma robe favorite, une robe sobre, blanche, qui tombe juste au-dessus des genoux, j’empoigne ma veste part de ma chambre. Une fois sortie du bâtiment de la Lowell House, je lancer un regard sur l’édifice, j’avais passé de très bon moment ici, mais cette année, ce n’était pas pareil, mes récente amitiés m’avait offerte de drôle de réputation. Je fermais les yeux, laissant un soupire s’échapper de ma bouche. Je ne voulais pas rester une seconde de plus ici, certains Lowell allait et venait, et je ne voulais pas leur parler, après tout entre Lowell on se connait tous, et beaucoup savent que je ne vais pas très bien en ce moment et essaye de m’aider de façon très maladroite. Je me diriger vers mon véhicule. J’adorais ma voiture, par moment elle été mon sanctuaire, mon lieu de refuge. Quelque temps plus tard, dix minute exactement, je me retrouver moteur éteint sur un parking. Face à moi ? Un bar, oui, un bar ! Je ne voyais que ce lieu là pour me changer les idées. Je fini donc par pousser la porte de cet endroit et d’y entrer.

Un petit coup d’œil rapidement sur mon portable, non aucun message. Une nouvelle fois un soupire. Je m’approche du bar, cherchant en vint une place au comptoir, que je fini par avoir. Un homme venait de me laisser sa place, pas étonnant. Je le remercier. Le barman me demander ce que je prendrais ce soir. « Un Martini s’il vous plait. » Le serveur apporta rapidement le verre. Je bus une légère gorgée. Un jeune homme me bouscula, et bien entendue il s’excusa. Je lui lancer un regard froid, tout en acceptant ses excuse. Il chercha à me parler, et comme à ma plus sombre habitude, je l’ignorais. Après plusieurs tentative du jeune homme, je fini par être agacée. « Je vous prie de me laisser tranquille ! » Je bus une seconde gorgée dans mon verre. Soudain une conversation un peu mouvementée attira mon attention, je lâcher don mon verre des yeux, erreur ! Le jeune homme que je venais d’envoyer dans les rose, mis une substance dans mon Martini sans que je ne m’en rende compte. Et sans que je ne sache pourquoi, il s’éloigna d’une siège ou deux. Une fois que j’aurais bus mon verre il attendrait certainement que le produit fasse effet avant de ne m’accoster à nouveau.

Un léger sourire sur les lèvres de voir que la dispute plus loin venait enfin de ce calmer, je reposais mes yeux sur mon verre. Le serveur était en pleine conversation avec une personne à l’autre bout du comptoir. Je ne voyais personne que je connaissais pour une fois. Et tant mieux, j’avais réellement besoin d’air en ce moment, qu’on me lâche la grappe ! Je posais ma main sur mon verre, le soulevant du comptoir. J’allais le porter à ma bouche pour boire une gorgée une fois de plus. En voyant cela le jeune homme revient une fois de plus à la charge. Pour ce faire pardonné il voulait trinquer avec moi, certainement pour s’assurer que je boive mon verre. Je hausser les épaules et soupirais en laissant mon verre trinquer sur le sien. Mes lèvres se posait sur le verre transparent, j’allais enfin pouvoir boire mon verre tranquillement cette fois ?

Finalement mon verre atterri entre les mains d’un second jeune homme. Qui contre toute attente déverse le contenue de mon Martini au sol. Agacée je me lève brusquement de mon siège. Et je ferme les poings. Alors que j’allais prendre la parole pour exprimer ma colère et mon mécontentement, le jeune homme pris la parole avant moi. Je croiser les bras en l’écoutant, pour une fois je laisser à une personne la chance de s’expliquer, choses que je ne faisais jamais habituellement. Il m’explique alors que l’homme qui été un peu trop accroché à moi était peut-être pas une bonne personne. Je le vois alors ce mettre face à ce sale type en question. Je sens que la tension monte, et que mon ‘sauveur’ est pas très loin de mettre son poing dans la figure de l’homme abjecte qui nous fais face et semble en rajouter une couche pour justement déclencher une bagarre. Ma main se pose délicatement sur l’épaule du jeune homme, je lui fais un sourire et un petit geste de la tête en guise de négation. Je lui passe devant et écris sur une serviette de bar un numéro de téléphone. Je le tends à l’homme cruel face à nous. « Tenez c’est le numéro du meilleur psychanalyste de la ville, elle est en relation avec un très bon chirurgien, vous devriez opter pour une castration chimique voir une castration tout court. » L’homme commence alors à s’énervé et s’approche furieux de moi. « Je vous le déconseille. Un être aussi abject et méprisable que vous ne survivrez pas une nuit en prison. » L’homme fini par s’éloigner de moi, il crache au sol dans notre direction, médisant le jeune homme qui m’as sauvé la mise. L’homme fini par sortir, je me retourne alors vers le jeune sauveur. Je demande un nouveau verre, je me rassois, le siège c’étant libéré à côté de moi je fais un petit signe de la tête pour inviter le jeune homme à prendre place à mes côté. « Merci beaucoup de votre aide. Je me présente Danneel Sullivan. » Je lui offre un sourire angélique. Avant de finalement prendre une gorgée de mon Martini qui cette fois n’as aucune substance dans son contenus.

Le jeune homme semblait bien timide, il ne voulait pas me déranger et il avait peur que je pense qu’il en profite, j’étais loin de penser ce genre de chose. Un sourire se dessine sur mes lèvres, et un léger rire s’échappe de ma bouche. Ce n’était vraiment pas mon genre de pensée du mal d’une personne qui me vient en aide. Je le vois finalement prendre place face à moi. Le jeune Elyas qui viens tout juste de se présenter, fuit légèrement mon regard, et laisse le siens vaguer sur les personnes présentes dans le bar. Ce comportement me faisait sourire. J’étais une personne avec un caractère très fort, et j’avais tendance à me montrer un peu trop directive et froide avec les personnes, et encore plus avec les personnes timides, je ne supportais pas les gens qui me montraient que je pouvais leur être supérieurs. Je soupire légèrement, et prend ensuite une grande inspiration, je ne devais pas me montrais comme à mon habitude avec ce jeune homme, car sans lui qui sais ce que j’aurais vécu. « Enchanté Elyas. » Dis-je avec douceur, je me surprenais moi-même à être si douce avec lui, à croire que ma grossesse me changer en bien. Elyas propose soudainement de me payer un verre après tout il avait bien renversé le précédent. J’arque un sourcil et le regarde avec curiosité. Quel étrange personnage, il m’avait aidé, et il voulait s’en faire pardonner ? Je secouer légèrement la tête un rire discret sortie une nouvelle fois de ma bouche. « En effet sa manquais cruellement de classe, ne le nions pas, mais je ne vais pas vous en vouloir, ça partais d’une intention tout à fait louable ! Alors oui pour le verre, mais disons que c’est par pure gentillesse et non pas par soucis de ce qui a été fait. » Je lançais un regard au jeune homme. Je voulais le rassurer, lui faire comprendre que mes paroles n’étais pas faite pour le mettre mal à l’aise, bien au contraire, mais je ne trouvais pas facilement les mots pour m’exprimer de façon gentille, alors je faisais mon maximum pour ne pas être désagréable. Je me demandais bien ce que ce jeune homme pouvait bien faire dans la vie. Il avait l’air jeune, peut-être un étudient de notre belle université Harvard ? Je m’en fichais dans le fond, mais je ne pouvais pas me monter désagréable après ce qu’il avait fait pour moi. « Vous êtes à Harvard ? » Mon regard se détacher enfin de celui du jeune homme et se poser sur mon verre. Je pris une gorgée tout en me culpabilisant par rapport à ma grossesse qui pour le moment, ne ce voyais pas du tout. Je pose mon regard sur le jeune homme une fois de plus. Je pris l’initiative de reprendre la parole. « Je suis étudiante à Harvard, Architecture en cursus majeur et droit pour le cursus mineur. » Je lui souris à nouveau.

Je souris au jeune homme. Médecine alors. Très bon choix de cursus. « Très bon choix de cursus. Pour ma part j’ai choisi Architecture car c’est un domaine familial, une passion aussi. Je voudrais plus tard crée des endroits de retrouvaille, des endroits cocooning où il fait bon s’y retrouver entre ami. Et le droit c’est pour avoir des notions, des bases. Après tout on ne peut pas poser sa pierre partout, il faut savoir les droits que l’on a ou pas. Et toi Elyas ? Pourquoi la Médecine ? Désormais je saurais qui venir embêter quand j’aurais un petit bobo.» Un rire franc sort de ma bouche, par moment je pouvais être d’une sympathie, comme si j’avais toujours connue la personne, et lancer une petite blague à Elyas ne me semblais pas déplacer. Je le fixe, avant de finalement boire une gorgée du liquide présent dans mon verre. Je ne savais pas encore si nous avions quelques points commun, mais pour le moment, et du peu que ‘avais pu observer et en juger, Elyas est un jeune homme droit dans ses basquette, et surtout d’une gentillesse époustouflante, bien que peut-être un peu trop curieux. Je ne voulais cependant pas aborder un sujet avec le jeune homme, celui des confréries. A mes yeux ce sujet mettait bien des personnes en désaccord. Alors pour une fois pourquoi ne pas tenter d’apprendre à connaître la personne avant de chercher à savoir de quel confrérie il pouvait être. Mon regard bleu azure se posa dans le sien. Je lui souriais simplement et bêtement, nous étions à l’aise l’un envers l’autre bien que de la timidité semblais nous envahir de toute part. Mon regard fuit, et je chercher un point de repère dans la salle.

Finalement je fini par graver ma timidité naissante pour replonger mon regard dans plus profond de celui de mon interlocuteur. « Les études doivent te prendre pas mal de temps ? » Après tout la médecine ne s’apprend pas aussi facilement que l’architecture, on ne parle pas d’un bâtiment mais du corps humain, de vie potentiellement en jeu. Quoi que un bâtiment mal construis, peux aussi causer de très gros dommages et de forte pertes humaines. A chacun son lot de danger dans nos études, mais surtout de forte responsabilité. « Si ce n’ai pas indiscret, pourquoi venir dans un endroit pareil, à cette heure-ci de la soirée ? J’imagine que tu as pourtant beaucoup de choses à faire avec tes études. » Ma curiosité commencer à reprendre le dessus sur ma sagesse. Je ne chercher pas à le mettre mal à l’aise mais à apprendre à le connaitre, après tout ce sont souvent les rencontre hasardeuse qui sont les meilleures.

REGARDE ICI ♥ :

fais moi confiance, juste pour cette fois.

Une chose est sûre, c'est que cette fille est intelligente. Avoir des personnes capables de penser pour les autres et pas que pour soit même ça ne court plus les rues. Elle veux crée des endroit de partages, de regroupement, pour que les gens fassent des rencontres. Un peu comme ce bar où l'on s'est trouvé et ou sans même se connaître apprenons à en savoir plus sur l'autre. Je lui souris avant de lui faire part de mon compliment.

« C'est tout à fait louable, et je trouve ton futur métier, très... Utile ? De nos jours, les gens se rencontrent par internet, par le biais d'application de rencontre mobile, je trouve sa triste parce qu'on perd cette faculté à discuter de tout et de rien. Avec ces applications, on sait déjà tout d'avance, avant même d'aller en rendez-vous avec la fille, ou le gars. Tu n'es pas d'accord ? J'espère que je pourrais dire plus tard que je connais la personne qui a créé un si bel endroit de rencontre réel. »

J'avoue, je me suis un peu perdu dans les applications mobiles, mais je trouve que c'est vrais ce que j'ai dis. C'est de belles rencontres que tu peux faire parfois, mais sinon, c'est aussi déjà tout prévu d'avance. Il n'y a plus le frisson de savoir comment se finira cette soirée, comme là avec elle. Quand elle me demande pourquoi j'ai choisi médecine, je souris. Tout le monde me pose cette question, tout d'abord parce que c'est un métier, compliqué et avec son lot de problème ainsi que de mauvaises nouvelles parfois !

« Hm, je t'avoue que tout le monde me demande pourquoi j'ai choisi cette filière, ma réponse reste la même, qui ne voudrait pas apporter du propret dans la médecine ? Qui ne voudrais pas sauver des gens en faisant un métier aussi fascinant que celui-là ? Qui est-ce qui le ferais si personne ne prend le courage de faire un métier aussi dur que celui-là. Parce que pour être un métier difficile, ça en est un, c'est sûr ça. »

J'espère avoir répondu à sa question, j'espère lui avoir prouvé ma conviction à réussir à avoir mon diplôme, mais avant tout, c'est mon père qui m'a poussé à faire ses études. Quand j'étais plus jeune et que je ne savais pas encore quel métier faire, on est tombé sur cette émission de télé qui parlaient de la réussite a trouver des solutions pour sauvé les gens, j'ai regardé mon père et j'ai dit très furieusement que je ferais ce métier, il a souris et il m'a poussé à faire ça depuis toutes ces années. Je ne peux pas le décevoir.

« Oh que oui, les études prennent pas mal de temps, en effet. Mais elles n'en sont que valorisante, je trouve. Je travaille à l’hôpital quand ils ont besoin d'aide, comme des stages, tu vois. JE m'occuper des petits bobos comme tu dis si bien, d'ailleurs, tu viens quand tu veux si tu as un bobo ! »

Je ris un peu, et je bois une gorgée de l'alcool qui prône dans mon verre, je me détends peu à peu, la timidité va au placard, et je sens que je pourrais parler des heures avec cette demoiselle. Elle me demande pourquoi je suis ici, à une telle heure et je souris en coin pouvant lui poser la même question.

« Hm, j'ai eu de mauvaises nouvelles à annoncer a une famille aujourd'hui à l'hôpital, un exercice important pour la validation de mon diplôme. Tu comprends, on doit pouvoir annoncer à une mère et son fils qu'il ne pourra pas être sauvé. Ça fait partie des règles de ce métier, tu sais... Ce n'est que plus dur de ce dire que toi, tu rentres chez toi, tu t'allonges dans ton lit et tu te réveilleras le lendemain... Je n'ai pas réussi à trouver le sommeil, mon but premier et d'aider les gens, mais je dois pouvoir m'endurcir pour ne pas que cela me touche de trop sinon j'y arriverais jamais. Et toi alors ? Pourquoi être venu dans un tel endroit, seule qui plus est ? Pourquoi tu es toute pale ? »

Parce que, ouais, on allait pas cacher que j'étais futur médecin et que je sais reconnaître certains symptôme quand je les voits.

Codage par Libella sur Graphiorum

Elyas me souris, et son sourire fait naître ma timidité la plus secrète. Je rougi légèrement, baissant la tête cherchant à fuir son regard troublant, perçant. Je ne suis pas le genre de fille à être timide, et pourtant je m’affaiblie sous l’influence de son carme, de son physique avantageux. Etait-ce si louable que cela ? Ou uniquement profitable ? Mais il n’avait pas tort sur un sujet, les applications avais tendance à nous pourrir la vie plus qu’autre choses, car en effet il n’y avait plus le gout du risque de l’aventure, tout était déjà planifié. Un peu telle une carte géante, on choisit son menu et on le bouffe au dessert du dîner. Je me mordille la lèvre inferieur en pensant à tout cela. Il fallait que je me sorte une telle idée de la tête. Je plonge mon regard dans le sien, cherchant à en décelé la moindre faille. Un léger rire s’extirpe de ma bouche avant que ne je prenne la parole.

« Je ne sais pas si c’est louable, mais c’est une évidence que sa aidera beaucoup notre génération à ce sortir les doigts du cul, désolée pour la vulgarité, mais les voir tous scotcher à leur smartphone, alors qu’il pourrait comme nous en ce moment, passé un bon moment en agréable compagnie autour d’un petit verre. »

Verre que je portais à ma bouche pour en boire une gorgée. Me demandant comment aller bien pouvoir ce terminée la soirée. Mais pour le moment, nous étions là face à face à chercher une façon noble de nous connaître, parler était pour le moment la seule chose que nous pouvions faire. Alors que je plonge mon regard dans le sien une nouvelle fois après avoir reposé mon verre sur la table, je sens mon portable vibrer. C’était un sms d’une amie, qui venait de recevoir mes résultats suite à l’accident de voiture. J’avais bel et bien perdu le bébé. C’était un soulagement, et une déchirure à la fois. Un sentiment de profonde peine, mais de joie si intense, des sentiments opposés et pourtant que je pouvais en ce moment même ressentir en même temps. Je verrouille mon smartphone et souris au jeune homme face à moi. J’écoute chaque mot qu’il prononce quant au choix de son cursus, je me mordille à nouveau la lèvre inferieur, puis le fixe droit dans les yeux avec un sourire angélique.

« Pour le coup ce sont tes intention qui sont louable, les mienne ne sont que superflu à côté de ce qui te motive à faire la médecine, personnellement je trouve que c’est un métier très difficile. Je n’aurais jamais autant de courage pour faire ce genre de métier, jamais. Vraiment ? Quand je veux ? D’accord, ne t’attend pas à me voir souvent, mais à la sortie pour t’inviter à boire un verre de temps en temps. Tu sais ce qu’on va faire, dès que tu passes une mauvaise journée ou une journée difficile tu m’appel, et on ira boire un verre entre personne qui demain changeront le monde. »

Je note mon numéro sur la serviette qui accompagne nos verres et la lui tends. Espérant qu’il accepte et ne perde pas la serviette en cours de route. Je souris en voyant Elyas rire et puis boire une gorgée de son verre. Je fais de même laissant le liquide alcoolisé couler dans ma gorge. Nos regard se croise à nouveau, cherchant à se dompter, s’apprivoiser mutuellement. A mon tour de devoir répondre à la question qui fâche, au fameux pourquoi du comment je suis là, assise à cette table avec lui, quels sont les raisons de ma présence. Je cherche un moyen de me subtiliser à la question, mais je trouve cela fortement malhonnête de ma part, en sachant que lui m’as répondus sans rien me cacher. Le détail qui me chiffonne c’est qu’en faisant des études de médecine, il à remarquer ma pâleur inhabituelle.

« J’essaye d’oublier que parfois la vie te met des obstacle si grand qu’on en croiraient des montagnes. Je suis tombée enceinte, et suite à un accident de voiture, je viens d’apprendre que j’ai perdu le bébé, une fausse couche. Ce qui explique que je sois pâle, en plus du fait que j’ai légèrement froid. En revanche pour la raison de ma présence ici, c’est que le mec qui m’as mise enceinte à voulue de ce bébé, mais il m’a complètement tourné le dos dès que j’ai eu mon accident. Un gars vachement bien une fois de plus. »

Ma dernière phrase était tournée sous le sens de l’ironie. Je buvée alors quelque gorgée cul suc de mon verre, le terminant par la même occasion. Cette fois ce serais à mon tour de payer ma tournée. Lorsque Elyas eu fini son verre je fis signe au serveur qui en apporta deux autres et leva nos verre vides. Très légèrement sous l’emprise de l’alcool sans pour autant être bourrée, je me lève de mon siège, et viens me placer au côté d’Elyas. Je ris légèrement, comme une enfant qui s’apprête à faire une bêtise. Et effectivement je prends le menton d’Elyas délicatement dans ma main et lui dépose un petit baiser sur la joue. Je reprends ma place face à lui et lui offre un sourire angélique avant de rire tout en faisant un clin d’œil. « Ça c’est pour m’avoir sauvé. » Lui disais-je avec malice et espièglerie.