Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityvive le vent, vive le vent, vive le vent d'hiver (Erin)
I LOVE HARVARD
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  • vive le vent, vive le vent, vive le vent d'hiver (Erin)
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    Lien du postMar 16 Mai - 23:01
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     Erin. Sulfureuse petite blonde. Vierge. Suffisamment naïve pour croire qu’un club de chasteté allait vraiment voir le jour sur le campus. Hum hum, merci la fausse annonce, merci Malicia pour l’idée, les infos, l’enquête. Mon amie m’avait bien aidé sur ce coup, parce que j’avais en tête de faire d’une pierre de coup en concluant avec mini Strudwick, mais en lui posant la question sur son formspring, j’avais été très déçu d’apprendre qu’elle n’était plus vierge. Pas de bol. Y’avait quand même un enjeu très grand pour ce nouveau jeu avec Nina. Je pouvais gagner le droit de lui interdire de parler à qui je le voulais pendant un mois. Alors il me fallait une vierge dans mon lit, à tout prix. Je m’étais donc rendu à la BU, m’étant renseigné sur les habitudes de la studieuse Erin. Une Dunster appliquée, discrète, sage comme une image. Du moins, c’était la réputation qu’on lui prêtait à la fac. J’étais loin de me douter de l’autre versant de sa personnalité. Je repérai la demoiselle installée quelques tables plus loin en train de potasser. J’ajustai le col de ma chemise, m’armer de mon plus beau sourire et je me lançais. « Cette place est libre ? » demandai-je en désignant la chaise adjacente à la sienne. Quand elle eut confirmé, je pris place, ouvrant un livre, attrapant un bloc, faisant mine de réviser également… De la bioch, hein, parce que j’étais un malin, je m’étais renseigné. J’avais ma tactique. Avec les dunsters, y’avait que les cours qui comptaient. Ces intellos en oubliaient parfois de vivre. Alors hop hop, après quelques soupirs, j’enfouissais mon visage entre mes mains en prenant un air désespéré et je lâchai : « Je vais me planter c’est sûr… Je savais que j’aurais du prendre chinois en études majeures, ça aurait été plus clair que ça je crois. » Allez miss, zieute mon bouquin et prends toi en pitié pour le pauvre étudiant en galère que je faisais mine d’être.  

    Hj : qui s'en va, soufflant soufflant, dans les grands sapins verts vive le vent, vive le vent, vive le vent d'hiver (Erin) 1116103942 si on le chante avec conviction, ça peut peut être nous rafraîchir vive le vent, vive le vent, vive le vent d'hiver (Erin) 3997999705
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    Lien du postMer 17 Mai - 16:59
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    « vive le vent, vive le vent, vive le vent d'hiver. »
    Cole & Erin


    La colocation à cinq s’était super, mais un peu trop bruyante pour pouvoir y réviser comme il fallait. J’avais déjà mon année avec mes autres examens. Mais je visais toujours plus haut, je visais les meilleurs notes possibles. Cela me permettait aussi d’obtenir la meilleure bourse possible pour continuer mes études. J’aurais très pu mettre un terme à se supplice d’être dépendante de ma bourse pour continuer mes études en acceptant mon héritage. Pour l’instant, c’était hors de question. Et j’avais autre chose à penser qu’un simple voyage à Paris pour signer des papiers. Il me restait cet examen à boucler pour demain, et je serais enfin délivrer des révisions. Evidemment, je ne lâcherais pas mes livres pour autant, même en détente dans un parc j’adorais lire.
    J’étais partie jusque la bibliothèque universitaire, un endroit où j’étais sûr d’être au calme. Il me restait mon plus gros partiel de biochimie. J’avouais que je n’avais pas pris la matière la plus simple, beaucoup de formules, de choses à savoir sur les différents mélanges, comment les être fonctionnaient autour de nous pour mieux s’en servir. Seulement, c’était une vraie passion pour moi. Voulant être créatrice de ma gamme de cosmétique, je devais en savoir un maximum pour être sûr de faire de cette gamme, une gamme d’exception.

    La bibliothèque n’était pas pleine, mais il y avait quand même un bon nombre d’étudiants. Pour les trois quart des stressés qui s’y prennent à la dernière minute et qui ne sont absolument pas prêt pour la dernière ligne droite. Pas pour moi, j’étais juste en train de peaufiner ce que j’avais retenu pour compléter mes connaissances. J’étais en troisième année, et j’avais entre les mains un livre de quatrième année. Histoire d’impressionner un peu le jury de correction. Une petite voix venait perturber ma phrase en court en me demandant pour s’installer à côté de moi. « Bien sûr, installe-toi. » répondant à son sourire en retour puis je retournais dans mon livre. Il fallait savoir qu’il était rare qu’on dérange un ou une dunster en pleine révision. Je ne prêtais pas spécialement attention. J’étais juste là pour réviser, rien d’autres. Je l’entendais soupirer, avant de dire à voix haute qu’il allait se planter. Je jetais un coup d’œil rapide sur son livre avant de comprendre qu’il était aussi étudiant en biochimie. Etrange, il ne me semblait pas le connaitre. Sûrement un étudiant d’une autre année. « La biochimie, c’est tout un art. Qu’est-ce que tu ne comprends pas ? » lui demandais-je. En bonne dunster, et ayant un peu d’avance sur mon programme, je me la jouais amicale prête à tendre la main pour l’aider et pourquoi pas réussir son examen. « Tu es en quel année ? » Car oui, j’avais commencé le programme de quatrième année, j’aurai été incapable d’aider un cinquième année par exemple. Après la biochimie n’était pas si complexe une fois qu’on en avait compris le principe. Un art, c’était exactement ça. « Je veux bien t’aider si tu veux. » Je proposais mon aide, ma bonne foi me perdrait à coup sûr.



    Emi Burton

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