On a dans nos bagages plusieurs histoires à nous faire rougir de colère ou à nous couper le souffle quelques fractions de secondes. Chacun le sien, on le customise à notre manière, en adéquation avec ce caractère qu’on a forgé au long de notre courte vie. Il a ouvert les tiens, s'est servi, et a juste envoyé quelques sms dans la semaine pour que le silence qui a suivi son éclat ne soit pas l’unique fait qui anime leur couple. Aujourd’hui, il s’attèle à remplir mon sac de quelques habits. Dégât des eaux et tout le bordel qui s’en suit. Impossible de dormir dans ces conditions. Bien qu’il soit dégoutté de l’état déplorable de son appartement, il y voit surtout l’opportunité de renouer avec Maxym. Le destin dira-t-on. Encore faut-il croire en cette notion. L’homme enfile sa veste, prend ses clés et laisse son habitat derrière lui. Trajet en voiture, la ville est calme. Les étudiants se préparent aux examens. Au bal aussi, probablement. La panique de ne pas trouver de robe ou de cavalier. Puis il arrive chez elle, sur le palier, n’hésite qu’une seule seconde avant de frapper deux coups sur la porte. La chance lui sourit lorsqu’il la voit, bien présente dans sa maison, et non chez une quelconque connaissance, ailleurs. Personne ne semble partager le salon non plus, il n’y a pas un bruit derrière la silhouette féminine. Il n’y a donc pas d’obstacle à ce qu’il rentre à l'intérieur. « Hey. » Ouai, ce n’était pas prévu qu’il débarque chez elle à l’heure-là, ni même dans les jours à venir. « J'ai un léger soucis. », un air inquiet et désolé sur le visage. Il n’est pas doué pour réceptionner les surprises, mais il espère soutirer un sourire lorsque c’est lui qui débarque à l’improviste.

Je sais, il y a quelque-chose d'idiot dans cette lubbie à garder cette maison. Comme si Maxym espérait qu'un jour ses meilleures amies reviennent, qu'elles remettent des rires entre ces murs. L'avantage, c'est pour les soirées. Le jardin, le grand salon. Et, quand ils quittent la pièce, le silence revient. Quand ce dernier devient trop pesant, elle retrouve son ancienne chambre à la Dunster House. On lui a foutu une nouvelle coloc, bien plus sympathique que Zoïa. Bien plus chiante, aussi. Je n'aime que les tempéraments dont le cœur bat plus vite que la moyenne. Au sang agité, aux nerfs craquelés. Des gens comme toi, qui vient frapper à ma porte, à qui j'ouvre. J'm'étonne. Un vague sourire me trahit, mais il est vite rappelé à l'ordre par la rancoeur. Nous sommes deux beaux idiots. On joue encore à savoir qui craquera en premier, qui apaisera nos egos débordants. Faire passer le 'nous' avant le 'je'. On sait pas encore bien faire. « Hey. » Le sourcil s'arque, réceptionnant sa présence. J'attends la suite. J'me fais quelques scénarios, dont quelques agréables, à base d'excuses et de manque. « J'ai un léger soucis. » L'espèce de moue tirant sur le sourire se fane. Les  prunelles vrillent vers le haut. « Evidemment. » La malchance te sert de moteur, plus que l'envie. Forcément, j'aurai préféré l'inverse. « Qu'est-ce qui t'arrives ? » Quand à l'espace pour te laisser rentrer, je ne l'ai qu'à peine agrandit. L'invitation est timide. Les billes vont sur le sac. Le sourire se souligne à nouveau, et la voix se teinte d'une légère moquerie : « Tu me demandes asile ? » J'n'aime pas cet air inquiet.

Je te l’accorde, j’aurais dû me présenter bien plus tôt. Dès que j’ai compris l’idiotie de notre scène. Ça aurait été le scénario utopique. Que c’est ennuyant lorsque l’un s’écrase face à l’autre. Pourtant, c’est notre seule issue. On s’en est assuré la dernière fois. Je n’étais pas prêt à le faire, ni à affronter tes yeux satisfaits de mes excuses. Aujourd’hui encore, ça m’irrite de m’imaginer prononcer les mots qui te plairont. « Evidemment. » Je me mords légèrement l’intérieur de la joue, encaissant l’expression faciale de la demoiselle. « Qu’est-ce qui t’arrives ? Tu me demandes asile ? » Trahis par le sac n’est-ce pas ? Ce n’est pas comme si je voulais le cacher après tout. J'en serais venu à ce sujet bien assez rapidement. « Il y a de ça. » J’te mentirai pas. Je compte bien passer le seuil de ta porte quand t’auras décidé de me faire entrer. Comme je compte partager ton lit et non le matelas des autres pièces. Je veux qu’on n’ait un sens. Pas qu’on soit deux idiots qui attendent quelque chose de l’autre sans le dire à voix haute. Plus maintenant. Plus après tout le temps qu’on a mis pour en arriver à ce stade. « J’ai surtout besoin de te sentir près de moi.. » Il me suffit d'un pas pour être proche, pour pouvoir approcher ma main de la tienne. L'effleurer. Un contact. « de prendre ta main.. » Je lève le visage, marquant mon assurance. Les sourcils légèrement haussés. Les pupilles rivées sur Maxym. « et de t’embrasser. » J'reste proche, je ne fais rien. Ce n’est pas ce qui arrangera les choses. Les envies ne sont pas les solutions. « Peut-être qu’une bonne soirée te fera oublier l’idiot que je suis. »

A la fin de la bataille, l’un d’eux abdiquera. Ils le savent dès le début des mots hasardeux, ceux qui blessent. Le plus coupable, le moins certain, ou juste celui qui aura l’intelligence de le faire. On se taira sur le motif, on ne cherchera pas qui a remporté le plus de points. A la fin, ils sont juste heureux de se retrouver. Vous pouvez vous moquer, même ouvertement, ils ne sont pas naîfs sur leurs erreurs. C’est juste qu’ils ont la gorge qui brûle, l’ego se tordant d’agonie, quand il s’agit de le formuler à voix haute. C’est plus simple de baisser les yeux, d’ignorer l’effort que nous faisons. « Il y a de ça. » Parfois, je ne suis pas encore à jour. Pas mise à jour dans l’avancée de notre relation. Restée bloquée dans ce jeu, a oubliée qu’il est devenu sérieux. Garde de vieux réflexes de demoiselle qui a peur de perdre. « J’ai surtout besoin de te sentir près de moi.. » Les traits s’adoucissent, tout de suite. Le sourire trouve sa place sur son visage de conquise. « de prendre ta main.. » Il s’accentue, s’affirme, quand ton regard remonte jusqu’au mien. « et de t’embrasser. » J’ai le ventre qui se serre, comme si c’était inédit. Comme si j’y avais pas déjà goûté une centaine de fois. « Peut-être qu’une bonne soirée te fera oublier l’idiot que je suis. » Puis comme j’ai trop attendu, c’est moi qui me hisse sur la pointe des pieds, capture tes lèvres des miennes, ma main qui s’impose dans ta nuque. « Si ça te suffit pour oublier l'idiote que je suis. » Qu'elle répète, le sourire sincère, répartissant les culpabilités. On le sait, qu'on ne vaut pas mieux l'un que l'autre. Que c'est toi qui gagnes, quand tu es celui qui a le courage. Souffle contre ses lèvres : « Rentre. » Le débarrassant de sa présence pour lui laisser l'espace de la porte. Qu'il entre et qu'elle suit, refermant derrière lui. « Je sais que.. » Se mord l’intérieur de la joue. Je déteste ça. « Je sais que j’ai pas à te dire quoi faire de ta vie, mais.. » Quitte la poignée de sa main, pour les cacher dans les poches arrière de son jeans. Pas dans son rôle le plus maîtrisé. « Je m’inquiétais pour toi, c’est tout. » Prend ça pour des excuses, je peux pas servir mieux. Et j’te serre ma tête inclinée de côté, ma tête la plus mignonne et innocente qui soit.

Tu m'embrasses et j’trouve du réconfort dans ce geste. T’es là, pas assez amochée pour refermer la porte devant moi. J’te rends ce que tu me donnes, souriant, heureux de cette suite que je ne pensais pas aussi glorieuse. « Si ça te suffit pour oublier l'idiote que je suis. »  Il passe une main sur son visage, fin sourire. « Je l’ai jamais pensé. » Maxym est tout un tas de choses, mais certainement pas une idiote. Wayans comprend totalement la réaction qu’elle a eu la dernière fois. Vis-à-vis de la clope tout comme vis-à-vis de Ricardo. Si elle lui avait parlé de son ex comme il a pu le faire, Antwan aurait eu des mots bien plus violents que ceux de sa copine. Le seuil de la porte passé, il jauge la salle principale comme si c’était la première fois que qu’il visitait les lieux. Il ne fait que vérifier ses pensées : aucun parasite ne va les déranger. Toujours le sac sur l’épaule, une main qui le tient, il se retourne vers elle. « Je sais que.. Je sais que j’ai pas à te dire quoi faire de ta vie, mais.. Je m’inquiétais pour toi, c’est tout. » C’est dur de l’dire n’est-ce pas ? Ca brule la gorge d’admettre ses torts. C’est en connaissance de cause qu’Antwan peut d’avantage apprécier l’effort de la dunster. « Je sais. » C’est normal. Si ca n’avait pas été le cas, il se serait posé des questions. Pourtant, c’est l’idée qu’elle puisse l’influencer et qu’il ne puisse pas prendre ses propres décisions, qui l’a énervé. Besoin de sentir la liberté. « Je suis désolé d’avoir sorti le passé. J’ai le pouvoir de parler et j’en oublie de me taire. Ce n’était pas juste, c’est pas ce que je suis censé faire. » Au contraire. C’est des choses qu’on doit accepter, enterrer et ne plus déterrer. « On tourne la page ? » Ouai, faisons ça. Même si la dispute restera ancrée dans les esprits, on peut le recouvrir de bons souvenirs. Comme celui de nous deux, dans ce couloir, admettant nos erreurs.

J'commence à comprendre qu'on est plus que ça, qu'un échange de coups, de blessures puis de pardons. On vaut mieux que ça. On l'oublie souvent, on l'oubliera encore, j'en doute pas. Mais le silence permet aux idées de se mettre d'accord. Et tu vois, on est d'accord pour rencontrer les lèvres d'en face. « Je l’ai jamais pensé. » Esquisse un fin sourire. Un sourire qui se renouvelle quand une fois entré dans la demeure, tu recueilles mon semblant de justification d'un : « Je sais. » Alors tu sais que j'aurai toujours du mal à contenir mes excès de contrôle, mon envie de voir le monde tourner selon mes désirs. Et détester qu'on m'impose le même sort. Mais j'apprends, jour après jour. A ton tour. « Je suis désolé d’avoir sorti le passé. J’ai le pouvoir de parler et j’en oublie de me taire. Ce n’était pas juste, c’est pas ce que je suis censé faire. » Hoche la tête, doucement, de haut en bas. C'est vrai, t'aurai dû te taire. T'avais pas le droit. « J'te le fais pas dire. » Qu'elle se contente de commenter, mais les ressentiments ne se sentent pas dans les syllabes, la bouche est trop tendre. C'est dur de prononcer ces mots, et j'ai pas besoin de frapper, je sais que ça serre déjà le ventre. « On tourne la page ? » On fait que ça, on devient des experts. Les spécialistes de la fermeture de paupières. « On tourne la page. » Va s’asseoir sur le bord du canapé, sur l'accoudoir. Désigne le sac d'un geste du menton. De quoi passer la nuit, je suppose. Les lèvres sont amusées : « T'avais déjà anticipé ma réponse ? ». C'était pas gagné, ça l'est jamais. J'saurai pas dire si on est plus fragiles, ou plus solides, à chaque dispute. « C'est que je deviens trop gentille, faut que je me ressaisisse. » J'ai le cœur ramolli, ça me joue des tours.

« J'te le fais pas dire. » Une petite claque derrière la tête. Ça lui tire une grimace. Garde un fin sourire pour ne qu'ils ne retombent pas dans les mauvais souvenirs de cette matinée. « On tourne la page. » Mentir serait d’affirmer qu’il n’a pas eu de doutes sur la réponse de Maxym. Il y avait plusieurs issues possibles. Et même si celle-ci semble la plus apaisante, dans le fond, ça n’est jamais bon de se taire. Ils devraient reparler de ce passé qu’ils utilisent comme armes. Sauf que la facilité est dotée d'une plus belle façade. « T'avais déjà anticipé ma réponse ? » Son attention se tourne vers le sac qu’il pose à côté du canapé. « J’aurais essayé de me faire pardonner jusqu’à ce que tu me fermes la porte au nez. » Ce qu’il raconte est sincère. Peut-être même qu’il se serait imposé malgré les propos de Maxym. Ils avaient besoin de se voir assez longtemps pour renouer. « C'est que je deviens trop gentille, faut que je me ressaisisse. » Bien ou mal ? Il n’en a aucune idée. Dans cette situation, il ne peut y voir que du bien. Ne veut y voir que ca. Wayans s’avance près de la demoiselle assisse, attrape sa main pour imposer le contact. « Je vais encore devoir tester ta gentillesse. » Un semblant d’air grave sur le visage. « Je peux dormir avec toi ce soir ? » Je ne précise pas dans cette maison, ni dans un lit. Avec toi. Peu importe où on sera. « J’aime bien être la dernière personne que tu vois avant de t’endormir. » qu’il souffle, un petit air malin sur le visage.

On a trop erré dans les difficultés, trop insisté sur nos erreurs, pour ne pas s'accorder quelques pauses. S'accordes des guerres moins longues, pour mieux se préparer pour la prochaine. Retrouver son souffle, voyez. « J’aurais essayé de me faire pardonner jusqu’à ce que tu me fermes la porte au nez. » Ton entêtement me fait sourire, d'un fin sourire touché, celui qui montre que j'aime quand tu te bas un peu pour moi, pour nous. « T'aurai pas été jusqu'à défoncer la porte, j'espère. » J'peux pas m'empêcher d'ironiser doucement, c'est bien trop tentant. Mais tu peux voir à mes traits, que tu as gagné cette bataille, que je suis conquise par ta démonstration. Et que ça continue. « Je vais encore devoir tester ta gentillesse. » Fronce les sourcils, plisse les yeux. Un service, c'est ça ? « Je peux dormir avec toi ce soir ? » Le visage se détend. Oh, ça, ça va, j'peux l'assumer. « Sacré test que tu me proposes. » Qu'elle répond avec un petit rictus amusé, aux coins des lèvres. Ses doigts enlacés à ceux masculins. « J’aime bien être la dernière personne que tu vois avant de t’endormir. » Arrête, après je souris comme une idiote. C'est mon côté jeune demoiselle amoureuse, toussa. J'suis pas encore très à l'aise avec cette tangente de ma personnalité. « Toi, je t'ai vraiment beaucoup trop manqué. » J'tire sur nos mains et je tire sur ma colonne, comme si j'étais pas foutu de lever mes fesses de cet accoudoir, pour atteindre ta bouche une nouvelle fois. Quand j'la laisse tranquille, c'est pour que la mienne glisse un : « Mais j'sais pas, j'suis pas sûre. » Feint l'hésitation, exagérant ses traits. Et profitant qu'il soit à sa hauteur, lui souffle un semblant de secret à l'oreille : « T'as pas oublié de me demander quelque-chose ? » Un truc qu'un petit-ami demande à sa copine, à cette période, t'sais.

« T'aurai pas été jusqu'à défoncer la porte, j'espère. » Dans mon imagination, cette porte ne résiste pas à ma détermination. J'm'en suis imaginé des scénarios sur le trajet. Même avant, lorsque j'n'avais pas encore l'intention de dormir dans ta maison. Dans chacune de mes histoires, j'arrivais à rentrer. Parfois en t'imposant ma présence de force. Têtu jusqu'au bout. « Ne me sous estime pas. » La réalité aurait été différente. Je me connais mal dans ces moments où quelque chose me résiste. « Sacré test que tu me proposes. » Ah oui, terrible. « Je comprends si tu refuses. » Légère grimace et haussement d'épaules. Il connait déjà la réponse de la belle, il ne fait qu'entrer dans le jeu. « Toi, je t'ai vraiment beaucoup trop manqué. » C'est mes mots, mes yeux qui brillent en te voyant, ou mon large sourire qui te le font croire ? « Mon quotidien est moins rayonnant sans toi. » Pas un jour sans que je pense à cette dispute, à ce que j'aurais dû dire et ce que je devrais te raconter lorsque je te reverrai. Ce baiser, je le prends comme l'acceptation de ma présence dans ton lit. Jusqu'à ce que tu viennes me souffler un « Mais j'sais pas, j'suis pas sûre. » qui creuse mon visage en un fin rictus.  « T'as pas oublié de me demander quelque-chose ? » La surprise de la demande n'est pas contenu. L'impression d'avoir oublier quelque chose d'énorme assaille l'homme qui reste sans mot.  « J'ai oublié de te demander quelque chose.. », répète-t-il doucement, pour lui. Ca vient pas, et elle doit bien le voir par son regard presque inquiet.  « Ais-je le droit à un indice mademoiselle ? »

« Ne me sous estime pas. » Les dents mordent la lèvre, et demoiselle ne camoufle qu'à peine ce sourire. J'te sous-estime pas. Tu m'as appris que c'était une erreur de le faire. Dans le meilleur, et dans le pire. Dans les recoins, quand j'ai l'attention qui saute, quand je crois la situation sans solution. T'es pas là où je t'attendais. « Arrête j'ai presque envie de te mettre à la porte, maintenant. » Le malice aux commissures, qui regretterait quasi de n'avoir pas d'avantage résisté, juste pour voir son épreuve de force. « Je comprends si tu refuses. » Allez, je n'en crois rien. Tu l'sais, que t'as gagné. T'as gagné dès que je t'ai laissé rentrer dans l'appartement, dès que je me suis faite berner contre ta bouche. « Mon quotidien est moins rayonnant sans toi. » C'est mieux quand t'es là, quand t'es à côté de moi. Les choses ont moins de saveur quand t'es loin, regarde, j'ai même pas réussi à aimer le Spring Break sans toi. « J'dois dire que ça manque d'un homme qui râle, quand t'es pas là. » C'est bien pour ça que j'ai décidé d'en prendre pour toute la vie, en faisant de toi mon meilleur ami. Plus, maintenant. Mais on était déjà parti sur de la longue durée. « J'ai oublié de te demander quelque chose.. » Hoche la tête, doucement, comme une gamine. Le sourire d'idiote qui s'amuse de le voir chercher, en plus. « Ais-je le droit à un indice mademoiselle ? » La tête hoche de l'autre côté, de gauche à droite. Mais j'suis sympa, j'finis par lâcher un : « Je peux juste dire que.. » J'essaye de pas te lâcher un indice trop facile. Malicieuse : « T'arriveras encore moins à me quitter des yeux, là-bas. » Parce que je serai sublime. Et aussi, que si t'en regardes une autre, c'est tout le seau de punch qui atterrira sur ton beau costume. « Un autre indice te coûtera de jouer au cuistot. » Qu'elle rajoute. Allez, galère, j'ai pas envie de cuisiner.