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I LOVE HARVARD
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    Bang bang, he shot me down
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    Lien du postLun 27 Mar - 23:36
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    Maverick & LisbethBang bang, he shot me down
    Une nouvelle journée s’achevait sur Boston. Et quelle journée ! Lisbeth avait passé son après-midi à la salle d’informatique et à la bibliothèque de l’université à faire des recherches pour peaufiner son travail de doctorat. Puisqu’elle n’avait suivi aucun cours à Harvard, il lui fallait bien rattraper son retard dans les matières qu’elle étudiait. Heureusement pour elle, une mémoire photographique et auditive l’avantageait. La quantité d’informations qu’elle avait ingérées dans la journée était énorme ! C’est avec des petits yeux rougis qu’elle quitta l’enceinte du bâtiment pour rejoindre les rues animées de Boston. Sac en bandoulière, mains dans les poches de son blouson de cuir, elle marchait, perdue dans ses pensées. Sans s’en rendre compte, elle s’engouffra dans une ruelle beaucoup moins éclairée. En fait, il s’agissait du raccourci qu’elle prenait tout le temps pour rentrer chez elle. Comme la jeune suédoise savait se défendre, elle ne craignait pas de faire de mauvaises rencontres. Mais ce soir-là, à 21h32, elle était loin de se douter du déroulement du reste de sa soirée.

    Un bruit suspect la fit revenir à la réalité. Relevant la tête, elle scruta les environs mais ne vit rien d’inquiétant. Elle se remit en route quand elle entendit des pas rapides qui se rapprochaient. Apparemment, la personne courait. Lisbeth eut juste le temps de faire volte-face avant de se retrouver projetée au sol. Sonnée, elle envoya un coup de genou bien placé à son agresseur et profita de la surprise pour se remettre sur pieds. Prête à se défendre, elle leva les poings. Ses cours de boxe allaient une nouvelle fois lui servir ! Son assaillant se rua vers elle, prêt à la rouer de coups. Mais la hackeuse ne se laissa pas faire et envoya l’homme au tapis à plusieurs reprises. De nouveau parée à l’attaque, Lisbeth attendit que son agresseur se relève. Il le fit. Les yeux de la jeune femme s’écarquillèrent quand la lueur de la lune éclaira un objet métallique. Un flingue ! Lisbeth réagit au quart de tour : sachant qu’elle ne pourrait désarmer l’homme car se trouvant trop loin de lui, elle tourna les talons et détala comme un lapin. Elle entendit plusieurs détonations, dont une qui ricocha sur un mur de briques. Elle y était presque ! Bientôt, une grande artère s’ouvrirait devant elle et elle serait presque en sécurité !

    Pan !

    Une violente douleur envahit son épaule gauche mais la Suédoise continua à courir comme une dératée. Petit à petit, la douleur se propagea le long de son bras et son omoplate. Le sang coulait beaucoup mais elle n’avait qu’un objectif : arriver chez elle en vie. Après dix minutes de course, elle arriva au bas de son immeuble chic. Elle tapa le code d’entrée à la hâte et monta les escaliers quatre à quatre. Elle déverrouilla sa porte d’entrée et la claqua derrière elle. Elle se dépêcha d’introduire le code de sécurité et une fois fait, Lisbeth s’écroula dans le couloir.

    Deux jours plus tard :

    Lisbeth était clouée au lit avec 39°C de fièvre. Refusant d’aller à l’hôpital (les médecins l’auraient interrogée quant à l’origine de cette blessure par balle et aurait appelé la police) elle s’était soignée par ses propres moyens. Il lui restait une boîte d’antibiotiques datant de plus d’une année, du désinfectant et des compresses. Cela avait fait l’affaire jusqu’à un certain point. Apparemment, la plaie était bien infectée et les antibiotiques par voie orale ne suffisaient pas. Heureusement pour elle, la balle l’avait traversée et n’était pas restée fichée dans son épaule. Pâle comme un linge, la blessée se força à quitter son lit. Du sang frais maculait ses draps mais elle semblait ne pas s’en rendre compte. Elle se dirigea en titubant dans son spacieux salon et regarda son téléphone portable. De nombreux appels manqués et SMS de Maverick s’affichèrent sur l’écran. Apparemment, il s’inquiétait de son silence. La jeune femme lui répondit alors un truc bidon du style « Tout va bien, j’étais occupée, je t’appelle bientôt. ». Hors de question qu’il la voit dans cet état !

    En fin de journée, Lisbeth tenait à peine sur ses jambes. Si elle ne voulait pas crever, il fallait qu’elle reçoive des soins. Alors elle se leva, refit une énième fois son pansement et enfila des vêtements propres et chauds car elle gelait (gros pull sans rien dessous, training et baskets). Elle emporta son téléphone portable, ses papiers d’identité et sa carte de groupe sanguin (elle pensait à tout). Après avoir activé l’alarme, elle descendit les escaliers comme elle put avant de débouler dans la rue. Bon sang, il faisait moins huit mille ou quoi ? Frissonnant de tout son corps, elle replia son bras gauche contre sa poitrine, se tenant ainsi le flanc droit histoire d’alléger un peu la douleur lancinante. Et elle se rendit à pieds à l’hôpital. Les nombreux passants qu’elle croisa la regardaient bizarrement : on devait la prendre pour une SDF bourrée. Quand l’entrée des urgences fut visible, un grand soulagement envahit Lisbeth. Les derniers pas furent les plus difficiles si bien que quand elle arriva près du comptoir des infirmières, elle s’écroula, inconsciente.

    La blessée reprit connaissance quelques minutes plus tard. Elle était allongée sur un brancard et du monde s’afférait autour d’elle. Et elle voyait des aiguilles partout ce qui acheva de l’effrayer. Elle se débattit comme une diablesse, le spectre de son psy flottant au-dessus d’elle. Une infirmière réussit miraculeusement à la calmer en captant son attention et en lui expliquant chacun de leurs gestes. Quand on lui demanda si un de ses proches devaient être averti, elle prononça un « Maverick » faible. Mais ni d’une ni de deux l’infirmière chercha le portable de Lisbeth et trouva facilement le numéro en question. Lisbeth se laissa alors aller et sombra dans l’inconscience.

    Quand Maverick arriva aux urgences, il fut directement pris en charge par un membre du personnel soignant qui s’était occupé de Lisbeth. Le médecin lui apprit qu’elle avait reçu une balle à l’épaule gauche et que la blessure était très infectée. Lisbeth se trouvait aux soins intensifs et avait encore besoin de soins. Le médecin demanda alors au jeune homme s’il savait ce qui s’était passé. Voilà qui expliquait bien le silence de la jeune femme ces deux derniers jours.
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    Lien du postMer 29 Mar - 4:08
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    Maverick HorvathfeatLisbeth Larsson
    Tu avais un souvenir de l'hôpital à cause de ce tremblement de terre, un souvenir que tu te souviens encore toujours et qui n'était pas près de disparaître de ta mémoire. Tu avais dans ton dos en quelque sorte un souvenir de celui-ci cette cicatrice que tu avais peur de montrer parfois. Tu ne t'attendais vraiment pas de retourner encore à l'hôpital après les nombreuses fois que tu avais étés  là-bas pour de nombreuses blessures et autres. Mais cette fois-ci cela n'était pas pour toi, mais bien pour la personne que tu aimais. À chaque fois ta présence en ce lieu de nombreux souvenirs te revenais en mémoire. Mais de plus ce jour là tu avais appris une très mauvaise nouvelle qui t'avait mis hors de toi.

    Trois jours avaient passé, ses trois jours j'avais eu de très bonne journée d'entraînement et de sport. J'avais eu de très bonnes journées bien remplis que je n'avais pas eu le temps de m'ennuyer. Pendant tout ce temps je n'avais pas eu de nouvelle de Lisbeth j'avais essayé de la rejoindre et tout mais rien cela était vraiment bizarre. Mais après quelques heures j'avais eu enfin un message d'elle qui disait que tout allait bien, bon elle était sûrement juste très occupé elle aussi. Le soir même j'avais un match alors après celui-ci et que j'étais sorti de l'amphithéâtre, je me mis alors contre un mur et je regarde droit dans le vide en pensant à la jeune fille, j'espérais qu'elle ne lui était arrivé rien de grave. Quand tout d'un coup je reçus un appel c'était vraiment bizarre à cette heure. C'était l'hôpital et l'un des infirmiers m'informe alors qu'elle était à l'hôpital à l'urgence aux soins intensifs, je panique aussitôt pour ensuite lui mentionné que j'arrivais tout de suite. Je range rapidement mon téléphone, pour ensuite prendre mon sac de sport et je cours prendre ma voiture dans le stationnement intérieur. Je mis mon sac dans le coffre de celui-ci une fois près de ma voiture. Pour ensuite aller du côté conducteur et je me rends alors sur la route et je suis le chemin vers l'hôpital. Durant le chemin je me posais beaucoup de questions ce qu'elle avait eu si elle devait aller là-bas, aussi je me rappelais moi-même les moments que j'avais passés là-bas pour plusieurs raisons, cela n'était vraiment pas beau a repensé. Je soupire longuement et j'essayais de me changer les idées, je baisse un moment le regard j'avais vraiment hâte d'arriver.

    Après quelques minutes j'étais enfin arrivé, il était vraiment tant, alors j'allais me stationner dans le stationnement de l'urgence. Pour enfin sortie de la voiture je barre alors celle-ci. Je me rends alors à la course vers les marches pour ensuite les franchir, mais j'en manque alors quelques-unes alors je me plante assez solidement. Mais je me relève tout de suite légèrement en douleur et je continue. C'était cela qu'on faisait quand qu'on se dépêchait. Une fois dans le hale de l'établissement, j'aperçois alors un membre du personnel, qui avait l'air à me chercher, je lui dis alors que c'était bien moi Maverick. Ensuite il me dit ce qu'elle avait eu, je sursaute et je regarde autour de moi légèrement paniqué et je le regarde d'un regard froid. Je sentais que cela n'allait vraiment pas tout d'un coup. Une blessure infectées cela n'était jamais bon à savoir. Elle avait encore besoin de soins selon lui devant moi, je soupire j'espère une balle de fusil pouvais bien faire de sérieux dommages. Il me dit alors si j'étais au courant de ce qu'il était passé, non car je n'étais pas là quand cela était arrivé malheureusement et je n'avais jamais eu de nouvelle d'elle ou presque. Je lui dis alors de m'apporter la voir, il accepta alors de m'apporter vers elle je le suis alors. Enfin j'étais enfin arrivé ou la porte il me laisse alors, je soupire j'étais vraiment fatigué en ce moment car bon j'avais fini un match et de plus j'avais marché jusqu'à sa chambre.

    Je la regarde d'un regard légèrement froid et en silence j'hésitais vraiment m'approcher d'elle. Je regarde tous ses branchements sur elle et je tremble tout d'un coup et un frisson me passe soudainement, je détourne le regard pour enfin décider de m'approcher tranquillement. Une fois près d'elle je me mis à genoux près d'elle et j'approche tranquillement ma main vers elle et je viens tranquillement prendre son bras. Je regarde ensuite sa blessure et des larmes venaient couler sur mon visage tout d'un coup. Pourquoi qu'elle ne me l'avait pas dit avant pourquoi qu'elle ne m'avait pas informé la journée même quand cela c'était passé. Je baisse alors mon regard bleu et je lui dis d'un ton faible et vraiment triste et dans l'incompréhension.

    Bonsoir je suis là ça va aller... Cela va guérir je l'espère bien... Mais pourquoi tu ne m'avais pas informé avant ? Qu'est-ce qui t'as arrivée si tu veux bien me le dire !

    Je regarde alors la blessure de celle-ci pour ensuite touché un moment mon dos, des images de moi qui avais un fusil dans les mains dans le passé me reviennent tout d'un coup en regardant la blessure. Je détourne alors je regarde pour ensuite me mordre la lèvre. Je devais rester avec elle jusqu'à temps qu'elle soit guérie, au pire je reviendrais la voir de temps en temps, si cela était possible et si elle n'était pas sortie. Je la regarde droit dans les yeux et je rougis légèrement, pour ensuite passer une main dans ma chevelure j'étais si fatigué en ce moment. Tout d'un coup je rougis légèrement pour enfin regarde autour de moi, je me souvenais très bien des jours que j'avais passés ici cela était vraiment horrible et parfois, je croyais que je ne sortirais jamais d'ici tellement que je trouvais cela difficile parfois d'être dans ce lieu et voir les jours passés. De plus la nourriture dans celle-ci que j'avais été obliger de manger quelques fois, je ne mangerais plus jamais cela de ma vie, cela n'était vraiment pas bon au goût et pour moi non plus. J'attendais toujours la réponse de celle-ci je me demandais vraiment ce qu'elle allait me dire.



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    Lien du postMer 29 Mar - 19:55
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    @Maverick Horvath


    Maverick & LisbethBang bang, he shot me down
    Le médecin avait guetté l’arrivée de Maverick et quand ce dernier arriva, il se précipita vers lui en quête de réponses. Si sa patiente avait mentionné le nom de ce jeune homme, ça ne devait pas être pour rien. Malheureusement, il ne savait absolument rien de ce qui s’était passé. Le soignant poussa un long soupir et expliqua à Maverick l’état dans lequel Lisbeth se trouvait. Sa blessure à l’épaule était sérieusement infectée et n’était pas belle à voir. La jeune femme souffrait de forte douleur et avait beaucoup de fièvre. Elle était actuellement aux soins intensifs où le personnel soignant l’installait pour qu’elle soit étroitement surveillée. Lisbeth avait besoin d’un tas de médicaments qui devaient passer dans ses veines pour guérir. Quand le jeune homme demanda l’autorisation de la voir, le médecin le lui autorisa après s’être assuré que sa patiente était bien installée.

    Le service des soins intensifs était à la fois calme et bruyant. Calme car les patients étaient tous allongés dans leur lit et pour la plupart muets, chacun dans leur box respectif. Bruyant à cause des « bip » réguliers émis par les écrans diffusant toutes sortes de données comme le rythme cardiaque, la tension artérielle et autres. Lisbeth se trouvait dans le dernier box du service. Une infirmière contrôlait une dernière fois tous les branchements avant de laisser la place à Maverick. Lisbeth semblait dormir et avait les yeux fermés. Son épaule gauche était couverte d’un bandage volumineux et propre. Plusieurs cathéters étaient fichés dans les veines de ses bras dans lesquels coulaient toute sorte de médicaments dont des antibiotiques puissants. Les tatouages de ses avant-bras étaient bien visibles et c'était une parcelle de peau que Maverick n'avait jamais vue. Et le dragon de son dos n'était pas encore visible... La jeune femme ouvrit les yeux et sursauta quand elle sentit la main de Maverick toucher son bras. Ce simple mouvement réveilla une douleur lancinante dans son bras gauche si bien qu’elle dut se mordre la lèvre inférieure presque au sang pour ne pas laisser échapper un gémissement.

    « Ils ont réussi à t’appeler. »

    Un énorme soulagement l’envahit : elle avait fait exprès de ne pas verrouiller son téléphone portable pour que le personnel soignant puisse accéder à son répertoire. Elle expira alors lentement pour essayer de calmer la douleur qui avait du mal à s’apaiser. Une grosse boule se forma au fond de sa gorge quand Maverick lui demanda ce qui s’était passé et pourquoi elle ne lui avait rien dit. Elle ferma les yeux et parut encore plus pâle qu’elle ne l'était déjà. Elle prit alors conscience que tout ceci aurait très bien pu mal tourner. Elle aurait pu ne jamais se réveiller chez elle et qui l’aurait retrouvée en train de se décomposer ? Maverick ? Giulia ? Ou la police ?

    « Je suis désolée… »

    Décidément, elle ne faisait que s’excuser auprès de lui ! Elle rouvrit les yeux et posa son beau regard ambré et un peu brillant sur Maverick.

    « Je rentrais chez moi avant-hier soir et un type a surgi de nulle part. Je ne sais pas ce qu’il me voulait mais il s’est jeté sur moi. Il s’est ramassé une raclée mais il a sorti un flingue. J’ai bien essayé de fuir mais j’ai reçu une balle à l’épaule… »

    Parler de cette soirée lui faisait mal. Les mots avaient de la peine à sortir et sa voix tremblait. Elle se retenait de fondre en larmes, elle qui n’a presque jamais pleuré de sa vie.

    « J’ai cru que j’arriverais à me guérir… C’est toujours ce que je fais… »


    Elle osa soutenir le regard de Maverick alors qu’elle aurait voulu fuir. Mais elle avait tout juste la force de parler et de lever son bras droit. Lisbeth lutta contre l’envie de cligner des yeux par crainte qu’une larme ne s’échappe. Mais elle n’y tenait plus. Elle ferma les yeux et deux larmes creusèrent un sillon sur ses joues.

    « J’ai l’impression qu’on m’arrache le bras… »

    Apparemment, la dose d’antidouleurs n’était pas assez forte. Elle agrippa alors le bras de Maverick avec sa main valide et ouvrit des yeux plein de larmes.
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    Lien du postJeu 30 Mar - 4:01
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    Maverick HorvathfeatLisbeth Larsson
    Tu avais un souvenir de l'hôpital à cause de ce tremblement de terre, un souvenir que tu te souviens encore toujours et qui n'était pas près de disparaître de ta mémoire. Tu avais dans ton dos en quelque sorte un souvenir de celui-ci cette cicatrice que tu avais peur de montrer parfois. Tu ne t'attendais vraiment pas de retourner encore à l'hôpital après les nombreuses fois que tu avais étés  là-bas pour de nombreuses blessures et autres. Mais cette fois-ci cela n'était pas pour toi, mais bien pour la personne que tu aimais. À chaque fois ta présence en ce lieu de nombreux souvenirs te revenais en mémoire. Mais de plus ce jour là tu avais appris une très mauvaise nouvelle qui t'avait mis hors de toi.

    Oui ils m'avaient réussi à m'appeler heureusement qu'ils m'avaient appelé au bon moment et que j'avais pu venir la rejoindre, même à cela je serais venue tout de suite. Elle s'excuse alors auprès de moi je la regarde et je soupire, pour ensuite regarder autour de moi. Cela étais correcte maintenant mais disons-le que j'étais tout de même encore en colère, car elle aurait pu très bien y passé si sont état savaient aggraver. J'avais déjà assez perdue de personnes par ma faute cela n'allait certainement pas se reproduire une autre fois. J'allais tout faire pour elle maintenant, déjà que j'éprouvais des sentiments pour elle cela étaient une autre raison de plus pour quelle guéries.

    Oui ils m'ont appelé et j'ai pu répondre... C'est fini maintenant mais la prochaine fois ne fais jamais cela ! J'ai déjà perdu assez de personnes par ma faute je ne veux pas te perdre aussi !

    Elle m'explique enfin ce qu'il était arrivé, je l'écoute attentivement et des images de mon passé revenais en moi je soupire, et je baisse le regard au mot flingue. Elle aurait pu très bien mourir là-bas si elle l'aurait reçue à un endroit vital. Si j'avais été la j'aurais bien retourné l'arme contre ce gas, je savais très bien me battre moi. Mais bon parfois je m'étais ramasser avec certaines blessures, comme encore parfois aujourd'hui. Mais ont ne savais jamais quand la vie allait en finir avec nous, c'est pour cela qu'il fallait être toujours attentif à ce qui nous entour car parfois il avait des personnes comme ce gas malheureusement. Mais je me voyais encore très bien à la place de ce gas cela c'était bien moi. Mais j'étais toujours une autre personne en présence de celle-ci. Je la regarde droit dans les yeux et je tremble tout d'un coup, pour ensuite fermer mes yeux, j'en pouvais juste plus en ce moment, pour quoi devrai-je avoir le droit à cela devant moi encore, déjà que j'avais été à sa place.

    Une chance que tu es en vie enfin pour le moment... J'espère que tu vas guérir de cette infection, ça va maintenant tu es avec moi... Je suis prés à venir te voir et resté avec toi ici tout le temps que tu guéris. Je sais très bien ce que tu ressens tu sais que tu peux faire sortir tout cela...

    Je la regarde d'un regard froid d'accord c'était toujours ce qu'elle avait fait mais cette fois-ci cela n'avait pas fonctionné visiblement, je l'aurais perdu si elle ne s'était pas rendu ici dans cet hôpital. J'en revenais pas ce que les autres pouvaient faire pour eux même parfois. Mais bon moi j'étais encore plus pire parfois alors je ne sais pour quoi que je pensai cela en ce moment. Je me lève et je restais toujours près de celle-ci, je me demandais déjà si je devais dormir ici où non, mais il avait de très bonne chance que oui, je voulais être avec elle.

    Je peux voir que cela n'a pas fonctionné cette fois-ci, cela n'est pas toujours la bonne chose à faire crois-moi.

    Je la regarde d'un regard vraiment profond tout d'un coup quand que j'aperçois des larmes s'échapper de ses yeux. Pour enfin soupirer je savais très bien la douleur qu'elle ressentait avec cette blessure, surtout si la dose n'étaient pas assez forte. Je jette un moment le regard sur ce qu'elle avait de branché sur elle et je détourne le regard en silence. Pour ensuite aller me chercher une chaise qui avait dans la pièce et je la mis près du lit. Je m'assis alors sur celle-ci j'avais vraiment besoin d'être assis en ce moment, car je ne tenais presque plus debout j'étais trop fatigué et cela commençais à se voir tranquillement.

    Ça va aller tu veux que j'informe quelqu'un ou ça va ?

    Tout d'un coup je sentis la main de celle-ci me prendre mon avant-bras, je la regarde. Quand que je sentis des larmes coulé à mon tour sur mon visage, je baisse mon regard et je passe une main dans ma chevelure et je regarde longuement le sol. En silence je sentais que j'avais besoin d'être seul et d'aller prendre un peu d'air mais j'allais rester ici elle avait besoin de moi. Je me relève et je la regarde, j'espérais qu'elle n'allait pas avoir de séquelles ou je ne sais quoi d'autre. Je lui souris faiblement, pour ensuite essuyé mes larmes.

    Je vais rester ici avec toi inquiète-toi pas... Je suis là pour toi.

    Je rougis légèrement tout d'un coup pour ensuite me demander ce qu'elle allait me dire de tout cela. Tout d'un coup je ferme un moment les yeux et je me repose un moment, mais j'étais toujours attentif aux paroles de celle-ci.


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    Lien du postJeu 30 Mar - 18:02
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    @Maverick Horvath

    Maverick & LisbethBang bang, he shot me down
    Coincée au fond de son lit, Lisbeth n’en menait pas large. Elle était là, allongée, alors que Maverick se tenait debout à côté d’elle. Et il n’était pas du tout content qu’elle lui ait caché une chose pareille. Mais il fallait comprendre que personne n’avait vraiment fait partie de sa vie et elle était de nature indépendante. De plus, elle ne supportait pas qu’on la voit en position de faiblesse, et encore moins Maverick. La jeune femme rentra la tête entre les épaules et évita son regard alors qu’il l’enguelait. Il avait parfaitement raison et elle le savait pertinemment. Elle ferma les yeux et déglutit avec peine.

    « Tu as raison, j’aurais dû t’avertir. Je ne voulais pas que tu me voies dans un état pareil. Ce n’est pas une excuse, je sais, mais bon… »

    En ce moment, elle avait honte. Lisbeth avait envie de crier et de pleurer en même temps. Elle serra instinctivement le poing droit et inspira et expira profondément pour tenter de se calmer. Les larmes coulaient sur ses joues et elle n’arrivait pas à les arrêter. Pleurait-elle parce qu’elle se faisait disputer ? Parce qu’elle avait fait peur à Maverick ? Ou peut-être avait-elle simplement eu peur et qu’elle souffrait. Pourquoi ce type avait-il tiré sur elle ? Que lui voulait-il ? Pourquoi s’attaquait-on toujours à elle ? Qu’a-t-elle fait pour mériter tout ça ? Maintenant, le jeune homme lui faisait bien comprendre qu’elle n’était pas tirée d’affaire et il avait raison. Lisbeth posa son regard sur lui, un regard à la fois mouillé de larmes et dur.

    « Je suis parfaitement consciente que j’ai eu de la chance cette fois. Quand je me suis rendu compte que mon état empirait, je suis venue ici de mon propre gré. Je hais les hôpitaux ! Je hais les aiguilles et je hais les médecins ! Et par-dessus tout, je hais te rendre inquiet ! »

    Le moniteur s’affola et les « bips » devinrent de plus en plus rapides. Le regard de la Suédoise se posa sur ses avant-bras : les liquides coulaient lentement dans ses veines ressortant sous sa peau pâle. Elle eut un instant le tournis et cligna plusieurs fois des yeux. Elle frissonna, transie de froid. Sa main était toujours agrippée au bras de Maverick.

    « Maverick… Je te jure de ne plus te cacher une chose pareille. En espérant que ça n’arrive plus… »

    Elle remarqua la fatigue poignante du jeune homme. Avec le peu de force qu’elle avait, Lisbeth l’attira vers elle pour le forcer à s’asseoir au bord de son lit. Elle remonta lentement sa main pour la glisser dans la sienne et la serra doucement.

    « J’ai de la chance de t’avoir… Je… J’ai toujours été seule avant toi… »

    Une infirmière arriva alors dans le box et posa un regard inquiet sur Lisbeth. Elle lui demanda si elle avait mal et Lisbeth dut mettre sa fierté de côté et hocher la tête positivement. La soignante s’approcha des perfusions et augmenta le débit de la morphine. Remarquant que les jeunes gens se tenaient la main, l’infirmière proposa à Maverick un fauteuil beaucoup plus confortable que cette chaise et une couverture. Peu après, elle quitta le box pour leur laisser un peu d’intimité.

    « Tu as l’air fatigué… Tu devrais dormir. »

    Il fallait avouer qu’elle n’avait pas l’air plus en forme. Lisbeth lâcha la main de Maverick pour le laisser s’installer. Elle insista pour que le fauteuil soit près d’elle, quand même toujours angoissée par cette atmosphère hospitalière. Elle sombra à son tour dans le sommeil, terrassée par la morphine qu’elle recevait et par tous ses autres traitements.

    La nuit ne fut pas de tout repos pour notre jeune suédoise. Elle se réveilla à plusieurs reprises, en sueur. L’infirmière de nuit passa très souvent dans le box pour surveiller sa patiente, contrôlant entre autres sa température car cette dernière avait atteint les 40°C. Lisbeth eut droit à une prise de sang, une nouvelle perfusion et une réfection de son pansement. Tout ceci se produisit sans réveiller Maverick. Enfin, la jeune femme l’espérait. Et si c’était le cas, il ne s’était pas manifesté. Le lendemain matin, Lisbeth ouvrit des yeux encore fatigués. Son teint était très pâle et son épaule la faisait souffrir le martyr. Installée sur le côté droit pour éviter tout contact avec la partie de son corps blessé, elle observait Maverick avec un regard un peu absent. La morphine la rendait totalement apathique. Une nouvelle fois, une infirmière différente de celle de la nuit apparut, thermomètre en main. Lisbeth ne bougea pas d’un millimètre, comme si elle n’avait pas remarqué la présence de la soignante. 39,6°C. Sa fièvre baissait à peine malgré les perfusions et les poches à glace. Mais notre jeune patiente se sentait plutôt bien : elle avait l’impression de flotter sur un nuage cotonneux.

    « J’ai mal… »

    La morphine avait certes un super effet sur son psychique mais la douleur n’était pas très apaisée. Voyant l’état de presque catatonique de sa patiente, l’infirmière arrêta la perfusion. Elle allait la remplacer par un autre antidouleur pour éviter que Lisbeth ne soit trop « shootée ».

    « Je crois que je suis amoureuse de toi, moi aussi… »

    Au revoir, les filtres ! Une partie de Lisbeth s’insurgeait devant cet aveu mais celle qui flottait dans les airs était toute contente de ces mots.
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    Lien du postVen 31 Mar - 3:08
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    Maverick HorvathfeatLisbeth Larsson
    Tu avais un souvenir de l'hôpital à cause de ce tremblement de terre, un souvenir que tu te souviens encore toujours et qui n'était pas près de disparaître de ta mémoire. Tu avais dans ton dos en quelque sorte un souvenir de celui-ci cette cicatrice que tu avais peur de montrer parfois. Tu ne t'attendais vraiment pas de retourner encore à l'hôpital après les nombreuses fois que tu avais étés  là-bas pour de nombreuses blessures et autres. Mais cette fois-ci cela n'était pas pour toi, mais bien pour la personne que tu aimais. À chaque fois ta présence en ce lieu de nombreux souvenirs te revenais en mémoire. Mais de plus ce jour là tu avais appris une très mauvaise nouvelle qui t'avait mis hors de toi.

    Je la regarde d'un regard froid à ses paroles oui elle aurait bien dû m'avertir, j'en n'avais déjà assez déjà vue des personnes dans son état j'étais tout de même habitué, même si cela restait difficile à regarder. Exactement cela n'était vraiment pas une excuse mais c'était sûrement juste ce qu'elle avait trouvé mieux à me dire vue sont état et juste de parler cela devais être difficile pour elle aussi, vue sont état encore pas très bien. Je soutiens toujours le regard de celle-ci je la comprenais mais aussi je n'aimais pas cela, mais on devait tous passé ici un jour ou l'autre sans qu'on sache vraiment le moment. Elle m'aimait pas me rende inquiet bien qu'elle sache qu'elle n'a pas manqué sont coup j'étais plus qu'inquiet.

    Oui tu aurais dû m'avertir, mais bon tout cela et terminé maintenant tu es entre j'espère de bonnes mains, tu as bien fait de venir ici. Moi aussi je n'aime pas trop cet endroit, cela me rappelle des moments assez difficiles aussi. Tu m'as rendue plus qu'inquiet mais cela est fini je tes retrouvé...

    Tout d'un coup j'attendais alors des < ; Je regarde alors vers le moniteur tout d'un coup vraiment inquiet, pour ensuite regarder les réactions de la jeune fille. Je regarde alors sa main qui était toujours sur mon bras. Je ne sais pour quoi mais ses paroles quelle avait prononcés me fis verser des larmes, je la regarde de mes yeux bleus. On voyait bien que je voulais parler mais cela ne sortais visiblement pas. Je baisse un moment le regard, quand tout d'un coup je la sentis venir me porter sur son lit près d'elle. Quand qu'elle venait aussitôt porté sa main dans la mienne et la serrer je me mords la lèvre tout d'un coup et je rougis légèrement. Elle prétendait avoir de la chance de m'avoir, au fond de moi je ne le pensais pas tellement. Je pourrais juste au fond la nuire plus qu'elle le pense, mais ses paroles me touchèrent vraiment tout d'un coup, car je ne pensais vraiment pas qu'une personne allait m'aimer comme cela un jour. Mais au moins j'avais faite une heureuse et elle n'était plus seul maintenant.


    Moi je pense au fond que je vais te nuire mais finalement en y repensant, je ne penserai pas qu'un jour une personne comme toi m'aimerais. Je pensais toujours que je finirais mes jours sans rien sans personnes, même que j'y pense parfois à nouveau. J'ai tellement peur...

    Je me penche légèrement vers celle-ci et je retiens quelques larmes quand que j'aperçois alors l'infirmière arriver. Je laisse alors de la place alors à celle-ci pour qu'elle la soigne tout en restant près d'elle sur son lit, j'ai vue tout d'un coup qu'elle avait encore mal, moi aussi j'aurais vraiment mal à sa place. Je regarde l'infirmière qu'elle regardait aussitôt nos mains je rougis légèrement et je lui souris. Elle me propose alors autre chose que cette chaise et puis une couverture, j'accepte alors et elle m'apporte alors le tout, je la remercie et je la regarde sortir. Je regarde ensuite la jeune fille, Oui j'étais plus que fatigué je devais vraiment dormir et sûrement que j'allais bien dormir cette nuit, si mon sommeil était bon cette fois-ci car parfois cela arrivais que non. Je regarde vers la fenêtre à l'extérieur le ciel sombre et je soupire légèrement.

    Oui je suis vraiment fatigué j'ai eu une très grosse journée...

    Je me lève ensuite quand qu'elle lâche ma main, pour ensuite mettre le fauteuil près du lit. Pour ensuite enlever mon haut et mes souliers et je m'installe alors à mon tour pour ensuite regarder celle-ci dormir un moment. Je dors alors profondément la nuit se passait très bien pour moi, s'il avait de l'action dans la chambre je ne l'attendais pas j'étais trop plongé dans un sommeil profond. Le lendemain matin je dormais assez longtemps jus quand qu'elle avait mentionné son mal. Je m'assis alors dans mont lit et je regarde en direction de l'infirmière, au moins elle était là pour elle. Je souris à Lisbeth. Quand soudainement elle dit alors qu'elle était amoureuse de moi devant l'infirmière et de plus elle avait mentionné que j'étais amoureux devant celle-ci. Je deviens alors rouge tomate et je regarde la jeune fille d'accord moi aussi vraiment, mais pourquoi qu'elle avait dit cela maintenant. Je remis mon haut pour ensuite remettre mes chaussures. Je me lève alors pour être près ce sont lit et je regarde celle-ci.

    Oui moi aussi v... Vraiment, j'espère que tu vas mieux ce hum matin.

    Je laisse alors celles-ci un moment pour aller en direction de la salle de bain, me préparer. Après quelques minutes je revenais vers la jeune fille je me demandais bien si elle allait quitter aujourd'hui ou non l'hôpital. Je m'assis alors sur le lit à ses côtés et je la regarde pour ensuite me mordre la lèvre à nouveau et je détourne le regard tout d'un coup légèrement gêner. J'avais vraiment hâte de quitté cet endroit et être seul avec celle-ci bizarrement.


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    Maverick avait du mal à croire que quelqu’un puisse l’aimer ? Lisbeth aurait bien ri si cette maudite douleur ne la terrassait pas. Les paroles du jeune homme faisaient écho à ses pensées : si un jour elle s’était doutée qu’un homme (ou une femme) puisse tomber amoureux d’elle, elle aurait bien rigolé. Pourtant, le jeune homme qu’elle avait fait demander à son chevet avait répondu présent et, bonus, il l’aimait. Lisbeth s’était longtemps demandé si elle n’avait pas fait une erreur en sortant se balader près de Charles River ce fameux jour mais plus le temps passait et moins elle se posait la question. Si elle n’avait pas rencontré ce jeune homme exceptionnel, que ce serait-il passé il y’a deux jours, hier, aujourd’hui ? Nul ne le saurait jamais. Quant à se nuire l’un l’autre, c’était une autre histoire.

    « Je pense que dans toute relation, on se nuit obligatoirement l’un l’autre. Je suis loin d’être une pro dans les relations avec autrui mais j’observe beaucoup. Déjà rien qu’en avouant qu’on tient à l’autre, on commence à nuire à l’autre… Et personnellement, ça ne me déplaît pas trop… »

    Elle se voulait rassurante déjà parce qu’elle avait besoin d’un Maverick fort et surtout, elle voulait faire paraître qu’elle-même l’était. Mais c’était loin d’être le cas : Lisbeth était terrifiée à l’idée d’entrouvrir son cœur et elle y allait avec la plus grande prudence. La théorie, elle la connaissait, mais quant à mettre en pratique toutes ces choses qui font qu’une relation démarre, avance, se développe et fonctionne, c’était une autre paire de manche.

    Le lendemain matin, notre Suédoise était sur son petit nuage et elle n’eut aucun scrupule à avouer à Maverick qu’elle était également amoureuse de lui. Le tout devant l’infirmière, qui fit semblant de ne rien avoir entendu pour ne pas gêner encore plus le pauvre Maverick. Vive les effets de la morphine ! Mais sa patiente n’aurait jamais dû se trouver dans un état pareil et la soignante craignait un surdosage. Alors elle arrêta la perfusion et alla en chercher une autre un peu moins forte et qui s’éliminait plus vite dans le sang. Une fois le tout branché, elle s’en alla, laissant les amoureux ensemble.

    « J’ai encore mal mais je me sens super bien… »

    Une partie bien enfouie en elle était consciente d’avoir gêné le jeune homme et elle en rougissait intérieurement. Mais celle qu’elle laissait paraître affichait un léger sourire et un regard lointain et brillant de fièvre. Lisbeth eut alors l’idée de génie de se remettre sur le dos un peu trop rapidement ce qui lui arracha un cri de douleur et la ramena violemment à la réalité.

    « Putain de merde ! »

    Très élégant, Lisbeth ! Elle se mordit la lèvre et grommela quelque chose d’incompréhensible. Les trois objectifs principaux de cette hospitalisation seraient simples : faire disparaître la fièvre et la douleur et surtout soigner cette blessure.

    Malheureusement pour Maverick, sa belle dut rester encore deux jours aux soins intensifs avant de pouvoir monter dans un étage de l’hôpital pour le reste des soins. Heureusement pour eux, elle avait droit à une grande chambre et surtout, elle n’avait aucune voisine de chambre. Vive la division privée de l’hôpital et surtout son assurance-maladie ! La fièvre avait presque disparu (elle pouvait revenir en soirée ou durant la nuit mais elle n’était plus aussi élevée et ces épisodes devenaient rares) et les douleurs s’étaient apaisées bien que toujours présentes. Quant à sa blessure, elle guérissait lentement mais sûrement. Mais Lisbeth resta plusieurs jours alitée : impossible de se lever car de violents vertiges ainsi qu’une terrible nausée la prenaient à chaque mouvement. Le premier lever fut fastidieux et elle envoya le pauvre physiothérapeute sur les roses à plusieurs reprises. Ça prouvait qu’elle était sur la voie de la guérison. Quant aux exercices de rééducation pour son épaule… Un cauchemar. La jeune femme était encore contrainte de prendre une grosse dose d’antidouleur avant chaque séance de physiothérapie et quand elle faisait elle-même ses exercices (elle avait un caractère de merde mais elle faisait tout pour sortir de là au plus vite).

    Son hospitalisation ne dura pas moins d’une semaine avant que son médecin la déclare apte à sortir. Lisbeth trépignait d’impatience (et Maverick, très certainement). Il arriva le moment où elle dut s’habiller et là, elle entra dans une colère noire. Elle était enfermée dans la salle de bain, Maverick attendant dans la chambre, et elle se battait avec sa chemise d’hôpital : impossible de l’enlever. Alors elle fit quelque chose de stupide : elle déplia lentement son bras gauche pour le faire passer dans la manche.

    « Bordel de… »

    Elle se tortilla dans tous les sens pour achever d’enlever ce vêtement encombrant et crut fondre en larmes de désespoir quand elle posa son regard sur son sweat. Elle recommença tout ce cirque mais ce fut plus simple pour enfiler son pantalon. La jeune suédoise ne resta pas moins de vingt minutes dans la salle de bain et quand elle en sortit, ses cheveux étaient en bataille, comme si elle avait fait un effort physique intense (ce qui était bien le cas). Son regard mécontent se posa sur Maverick avant qu’elle ne s’effondre assise sur son lit.

    « Je suis mal barrée… »


    Il était certain qu’elle ne pourrait pas vivre seule dans cet état. Le médecin lui avait répété à de nombreuses reprises qu’elle devait trouver quelqu’un avec qui vivre un certain temps. Lisbeth avait parié qu’elle n’aurait besoin d’aucune aide à sa sortie de l’hôpital. Comme tu t’es gourrée, ma pauvre fille ! Elle n’était pas du genre à demander de l’aide : la preuve, elle n’avait pas averti Maverick qu’un mec fou furieux lui avait tiré dessus. Mais lui demander de l’aide… Sa dignité en prenait un coup. Son regard se posa alors sur ses baskets et elle les enfila sans problème (facile, les lacets étaient attachés et les chaussures assez larges pour qu’elle n’ait pas besoin de les toucher pour les enfiler). A ce moment, le médecin arriva pour lui donner son ordonnance et voir comment sa patiente s’en était sortie pour s’habiller. Voyant sa tête, il comprit qu’elle avait compris : il fallait qu’elle bénéficie d’une aide durant sa convalescence. Le médecin et Maverick avaient abordé le sujet en privé (ça aurait été une catastrophe de le faire devant Lisbeth). La patiente surprit leur regard et elle se leva en secouant la tête.

    « Vous deux… Vous êtes bien malins ! »


    Et elle envoya un léger coup de pied à son sac posé au sol. Personne ne pipa mot et Lisbeth récupéra son ordonnance. Elle remercia quand même son médecin et promit de faire ses exercices tous les jours et d’aller à ses séances de physiothérapie. Une fois seuls, elle posa son regard sur Maverick.

    « Je ne veux pas t’imposer ma présence… »

    Elle avait deviné que les deux hommes avaient discuté de sa situation et qu’ils avaient trouvé une solution. D’un certain côté, Lisbeth préférait ça plutôt que de discuter de ça avec elle. Elle aurait protesté, ce serait énervée et ça l’aurait bouffé toute son hospitalisation alors qu’elle devait se concentrer sur sa guérison. Son regard devint un peu triste : elle n’avait envie que d’une chose, que Maverick la prenne dans ses bras pour la rassurer.
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    Lien du postSam 1 Avr - 5:03
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    Tu avais un souvenir de l'hôpital à cause de ce tremblement de terre, un souvenir que tu te souviens encore toujours et qui n'était pas près de disparaître de ta mémoire. Tu avais dans ton dos en quelque sorte un souvenir de celui-ci cette cicatrice que tu avais peur de montrer parfois. Tu ne t'attendais vraiment pas de retourner encore à l'hôpital après les nombreuses fois que tu avais étés  là-bas pour de nombreuses blessures et autres. Mais cette fois-ci cela n'était pas pour toi, mais bien pour la personne que tu aimais. À chaque fois ta présence en ce lieu de nombreux souvenirs te revenais en mémoire. Mais de plus ce jour là tu avais appris une très mauvaise nouvelle qui t'avait mis hors de toi.

    Oui elle avait bien eu raison pour ses paroles, moi cela me déplaisait tout de même, mais je devais clairement vivre avec cela. Moi aussi j'observais assez tout de même mais pas toujours. Au moins je ne la déplaisais pas trop, cela était bien le principal. Après quelques minutes je soupire quand celle-ci quitte la pièce, je regarde la jeune fille quand qu'elle avait parlé j'étais toujours dans son lit. Si elle se sentait bien cela allait l'aider pour le mal, celui-ci allait tranquillement partir d'elle enfin je l'espérais. Je la regarde alors se repositionner à nouveau, quand celle-ci avait hurlé je m'étais levée rapidement du lit et je m'étais reculé. Non mais quelle idée quelle avait eu pour cela, je reviens tranquillement vers elle mais je laissais une certaine espace entre nous.

    Tout va bien tu ne t'es pas fait trop mal, il faudrait mieux que tu bouges le moins possible...

    J'avais du resté encore deux jours avec elle, car elle avait dû monter d'une étage pour avoir d'autres soins. Cela était tout de même difficile de la voir comme cela pour moi, de plus avoir su j'aurais pu m'apporter d'autres vêtements, mais les circonstances ont faites que je n'avais que ses vêtements à me mette sur le dos. Mais au moins nous avions enfin une très belle chambre pour la jeune fille et pour moi, j'espérais de jour en jour qu'elle avait de moins en moins mal. Voilà que maintenant on devait rester plus longtemps, car celle-ci n'arrivait pas à se lever et elle n'allait pas trop bien. J'essayais de la soutenir à chaque fois du mieux que je pouvais, mais cela était difficile pour moi. Pendant l'un de ses séjours elle commençait plus en plus de voir le physiothérapeute, cela était vraiment un bon signe qu'ont n'allait bientôt quitté et que celle-ci allait bien. Une semaine passait vraiment rapidement, enfin on pouvait enfin sortir j'étais vraiment soulagé. Avant enfin de quitté cet endroit j'attendais Lisebeth car elle était en train de se changer dans la salle de bain. Cela semblais vraiment difficile vue la longue attente, ce n'est qu’après quelques minutes que je pue vraiment constaté que cela avait été difficile pour elle. Je la regarde vers elle quand qu'elle était assise, elle aurait une me demander mais encore la je la comprenais et de plus, je n'étais pas si alaise que cela aider les autres, déjà que je n'aime pas trop me faire aider.

    Ça va bien aller...

    Ont n'allais enfin récupéré sont ordonnance aussitôt, le médecin arrive et explique à la jeune fille que c'était moi qui allais l'aider. Je m'étais proposé, même si cela n'était pas dans mes habitudes mais il fallait bien que quelques-un s'occupe d'elle aussi. Elle n'avait pas trop l'aire à apprécier cela, je regarde un moment dans le vide. Au moins elle allait vivre chez moi pendant tout ce temps, cela allait bien l'aider être avec une personne. De plus j'avais arrangé mes horaires et tout en conséquence, car bon j'avais du hockey et tout aussi. Je vais avoir tout le temps pour elle quand qu'elle va avoir besoin de moi. C'était pour son bien qu'ont n'avait faite cela et rien d'autre. Je marche à ses côtés quand tout d'un coup je la regarde d'un regard froid et je soupire.

    Ça va, il faut bien que je sois là pour toi non ?

    Je remarque alors sont regard, je viens alors contre elle et je pris sont bras valide. Je la regarde droit dans les yeux, tout allait bien aller je me mords la lèvre tout en me reculant légèrement. Je sortis enfin de la bâtisse, pour ensuite la diriger tranquillement vers ma voiture. Une fois arrivé près de celle-ci, j'allais du côté passager je lui ouvre alors la porte et je la referme. Pour ensuite aller du côté conducteur. Je pris alors la route vers chez moi je reste en silence, je me demandais si elle allait me parler ou non.



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    Lien du postSam 1 Avr - 19:59
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    Lisbeth était consciente de la charge qu’elle représentait pour le personnel soignant et Maverick. Elle était furieuse et avait honte à la fois. Elle détestait quand l’attention se portait trop sur elle alors se faire ainsi assister dans ses tâches de la vie quotidienne lui en coûtait. Surtout quand elle n’arrivait pas à se lever et tournait presque de l’œil quand elle s’asseyait au bord du lit. Heureusement pour elle, son état s’améliorait et elle retrouvait son autonomie. Par contre, elle galéra pas mal pour simplement se vêtir. L’énervement l’avait gagné et elle affichait une moue contrariée quand elle sortit enfin de la salle de bain. Maverick tenta de la rassurer et Lisbeth lui répondit par un léger soupir. Mais oui, tout irait pour le mieux, n’avait-elle avait pas vécu pire ? Bon, il fallait penser à sortir de ce lieu sordide. Le personnel soignant était gentil, certes, mais on n’est jamais mieux chez soi. Mais la jeune suédoise était loin de retrouver son chez-soi. Apparemment, son médecin et Maverick avaient discuté entre eux pour monter un plan d’enfer : trouver une solution pour sa sortie. Comme elle était à peine capable de se vêtir, Lisbeth n’avait d’autre choix que d’accepter cette proposition. Voilà qu’elle passait du statut de solitaire, célibataire, bizarre, froide et tout le bazar à la femme qui allait vivre quelques temps chez Maverick, qui était… Un ami ? Plus que ça ? Ses joues prirent une belle couleur rouge quand elle y pensa et elle préféra détourner le regard pour attraper son sac.

    « Tu n’étais pas obligé… Mais merci. Jamais personne n’avait pris la peine de s’intéresser à moi et encore moins pour s’occuper de moi… Faut avouer que je n’ai jamais facilité la tâche aux gens non plus. »

    Son ordonnance en main et son sac sur son épaule valide, la patiente quitta enfin sa chambre d’hôpital. Elle se laissa guider par Maverick jusqu’à sa voiture. Elle le remercia quand il lui ouvrit la porte passager et s’installa prudemment. Elle prit garde à ne pas trop s’appuyer contre le siège pour ne pas réveiller sa douleur. Ils firent un crochet par la pharmacie (sans antidouleur, elle ne survivrait pas bien longtemps) avant d’arriver enfin chez le jeune homme. Lisbeth était un peu mal à l’aise mais il allait bien falloir qu’elle s’y fasse. Et elle s’y ferait.
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