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I LOVE HARVARD
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    Lien du postDim 5 Fév - 21:08:41
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    Mexique. Ils y étaient enfin ! Paris avait passé l’heure précédente à installer tout le monde dans leurs chambres respectives avant de s’assurer que tout était prêt pour le pot de l’amitié ou de bienvenue -c’était à vous de voir dans quel sens, vous vouliez le prendre. Quoiqu’il en soit, il était en route pour retrouver sa femme et leur chambre. Oui, vous avez bien vu la lueur conquérante dans son regard, le Dunster était partie en chasse et rien ni personne ne pourrait l’arrêter. Son cerveau ? Il était down. A un moment donné, même junior pouvait faire un coup d’Etat et réclamer la tête de ce grand dadais. Il en avait marre de cette situation, marre de se retenir alors que Summer lui lançait tous les signaux de la planète. Oui, sa mère écartait les cuisses pour son père mais grand bien lui fasse car sur cette planète, si quelqu’un devait pieuter avec un Wingfield, ce serait lui et personne d’autre, quitte à foutre du bromure dans le café de son beau-père pour lui calmer ses ardeurs. Vous ne pouvez pas savoir combien il était malheureux de cette situation car sa femme lui manquait non mieux sa meilleure amie lui manquait. Summer était tout cela à la fois : une amante, une amie, la mère de sa fille et de leur chienne. Il avait besoin de tout cela et s’il adorait le fait de se confier à elle, de faire des activités tout ce qu’il y a de plus banales, le contact physique lui manquait. Il en avait marre de se retenir, marre de faire semblant d’aller bien alors que ce n’était pas le cas. Même la nuit n’était plus reposante pour lui, trop source de stress à l’idée d’avoir un geste déplacé ou mal interprété. Paris en avait recommencé à faire des insomnies, tentant de le camoufler en se couchant plus tard qu’elle et en se levant beaucoup plus tôt. Ses cauchemars avaient recommencé à le poursuivre, le laissant faible et impuissant. Alors oui, il s’était plongé dans le boulot, avait commencé à cesser de boire des bières pour passer à un alcool plus fort. Il perdait le contrôle tout simplement.

    La solution était venue de Bonaventure : passer du temps avec Summer loin de l’appartement, loin de Boston histoire de pouvoir se libérer. Ce type avait beau avoir une tête de petit con qu’il rêvait de boxer de temps en temps, il ne pouvait pas nier que sur le coup, il s’était montré d’un bon conseil. A y bien réfléchir, tout son entourage le poussait à s’éloigner avec sa femme comme Kacy. Ce voyage était l’occasion rêvée et Paris n’allait pas attendre d’être dans un gite avec tout le monde pour lui sauter dessus. Prends garde à toi Summer Maconahey car ton homme est bien décidé à reprendre ses droits et surtout à reprendre sa vie en main. « Putain mais pourquoi faut que ce soit le seul hôtel où l’ascenseur est une feignasse » grommela-t-il en enfonçant le bouton comme un forcené jusqu’au moment où il sentit une main se faufiler sur le roi de Paris Land à savoir junior. « Heeeey » lâcha-t-il en partant légèrement dans les aigus. Oh non, pas de folle furieuse maintenant ! Il manquerait plus que de demi-frère, sa femme le range dans la catégorie des connards infidèles. « ça va pas la… bébé ?! » lâcha-t-il étonné de se rendre compte que la responsable de cette agression n’était autre que sa femme. « Ouah… qu’est-ce que tu fous » s’écria-t-il en attrapant son poignet telle une vierge effarouchée. C’est pas qu’il disait non mais euh… on lui explique ?!

    @C. Summer Maconahey



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    Lien du postDim 5 Fév - 21:32:19
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    J’avais attendu ce voyage avec impatience. Au-delà du fait que cette aventure au Mexique serait ma première aventure avec la confrérie en tant que véritable Dunster, je misais beaucoup sur l’impact que ce voyage aurait sur mon couple. Cela allait faire un mois que Paris et moi passions par un stade difficile, et j’avouais avoir lancé tous les signes possible pour lui faire comprendre que je commençais à avoir envie de plus que ces incessantes soirée où l’on ne faisait rien d’autre que discuter de tout ou de rien, ou encore de passer directement par la case « dodo ». Cette situation était devenue pesante, vraiment pesante !!! Grace – la mère de Paris – et mon père commençait réellement à foutre notre mariage en l’air. Dès les premiers jours, je m’étais sentie bloquée – autant que Paris – par cette notion de potentiels « demi-frère/demi-sœur », trouvant l’idée de m’accorder une intimité avec mon mari comme quelque chose de malsain. Et puis les jours ont passé, et c’est la frustration qui avait fini par me gagner : je faisais passé le manque d’affection, le manque de câlin et le manque de sexe par la bouffe. Oh les petits plats, ça j’en avais fait ! Des tas !! Sur ce point, Il était clair que je m’étais vraiment appliqué à satisfaire mon mari ; comme si la culpabilité de ne pas pouvoir lui faire l’amour me poussait à lui offrir tout autre forme de plaisir. Le problème ? C’est que la nourriture était devenue mon lot de consolation au point que je commence à m’inquiéter par ses deux kilos et demi de pris pendant le mois !

    C’en était trop pour moi ! Les semaines s’étaient écoulées et petit à petit, je ne me focalisais plus sur la relation de mon père avec ma belle-mère. A la place, je me concentrais sur mon mari : il était là, non loin, sans que je puisse le toucher, ou l’embrasser et cela devenait insupportable. J’en avais parlé à mon meilleur ami Bonaventure, et ce dernier m’avait conseillé de partir avec Paris loin de Boston, loin de notre famille surtout, pour nous retrouver…Le Mexique avait été la solution toute trouvé. Quelques jours plus tôt, j’avais montré quelques signes évidents de mes intentions envers Paris. J’avais fini par me reprendre un peu, à jouer à nouveau la carte de la séduction subtile, usant de robe tout en abandonnant le pyjama complet dans le lit – une simple chemise de Paris avait fait l’affaire ; puis j’avais à nouveau user de marques d’affection, cherchant instinctivement un contact, se traduisant par un main posé ci-et-là sur Paris, puis parfois une accolade légère, et finalement quelques bisous sur la joue ou le cou….mais cela n’avait finalement pas suffit à donner le top départ pour Paris. Il semblait encore et toujours bloqué. Je désespérais. Le pire c’est que je le voyais changé d’état d’esprit, d’humeur : il semblait encore plus fatigué qu’avant, avait abandonné les bières pour autre chose de plus important, et se tuait au travail comme pour chercher intentionnellement à perdre le contrôle de son corps et de son esprit….sans doute pour cela qu’il était encore plus épuisé.

    Il fallait que cela cesse. Je devais retrouver Paris, et jouer mon rôle d’épouse avant de jouer mon rôle d’ami. J’adorais notre complicité - qui n’avait jamais cessé d’exister – Mais je cherchais surtout à retrouver notre passion. Dès notre arrivée au Mexique, les choses avait démarré très vite : Aéroport, valise, prise de place dans les chambres bien guidé par le Président Dunster lui-même…et déjà là, je me sentais frustrée. J’avais peur que ce voyage se termine en simple excursion dynamisante, sans que je ne puisse profiter de mon mari qui serait malheureusement bien trop occupé à gérer tous les Dunster de par son statut de Président. Pour tout dire, j’en éprouvais même une certaine jalousie. C’est d’ailleurs pour cela que j’étais monté bien vite dans la chambre qui nous appartenait pour fuir et me permettre de calmer ma frustration. Mais alors que j’avais fini de défaire quelques affaires de ma valise, j’avais été prise d’un énorme élan de possession. J’avais besoin de Paris, de son corps, d’un contact. LA. MAINTENANT. TOUT DE SUITE !! Je quittais la chambre pour me diriger vers l’ascenseur, mais celui n’arrivait pas assez vite pour moi – apparemment bloqué au rez-chaussé – alors au final j’avais pris les escaliers pour descendre à toute vitesse dans l’espoir de trouver Paris là où je l’avais laissé, avec les autres Dunster dans le hall d’entrée. Mais en ouvrant la porte de la cage d’escalier du rez-de-chaussée, je vis Paris qui pénétrait tout juste dans l’ascenseur. Ni une ni deux, je me précipitais à sa suite, et au moment où l’ascenseur allait se fermer, j’entrais à l’intérieur en bousculant légèrement Paris dans ma course. Il me tournait le dos, et je faisais fi de cette position pour assumer mon envie de possession, passant un bras devant lui pour directement poser ma main sous son bas ventre, par-dessus son jean, empoignant sans préambule Junior encore emprisonné dans son étau. Le cri aigu de Paris me fit rire mais je tentais de cacher ce dernier en me mordant l’intérieur de la joue. Le Dunster tournait enfin la tête, suffisamment pour se rendre compte qu’il s’agissait de moi. « Oui ? Tu en attendais une autre peut-être ? » Lui demandais-je d’une voix suave, tandis que ma main relâchais son emprise pour venir se refermer sur le bouton du jean de mon mari, et l’ouvrir. Qu’est-ce que je faisais ? La réponse semblait couler de source pourtant, nan ? Mais bon…vu les circonstances, et les dernières semaines d’abstinence, je peux comprendre que Paris ait complètement perdu ses repères. J’allais lui répondre mais sa main sur mon poignet me stoppa dans mes réflexions et pire encore, dans mes convictions. Après un bref moment de silence où je restais immobile, je finissais par abandonner tout type d’offensive envers Paris. Je soupirais en capitulant…il n’était pas prêt. « Euh, rien !  Laisse tomber, pardon. J’ai…je suis désolée, je… t’es pas encore prêt, je comprends ! Je m’excuse de t’avoir…enfin… » Je brassais nerveusement de l’air avec mes mains, en même temps que je parlais, signe évident de mon malaise. « D’avoir été un peu pressante pour le coup. » concluais-je en me grattant la tête, tout en regardant partout, et surtout le sol de l’ascenseur avant de me retourner et de me concentrer sur le panneau digital des étages, prête à appuyer sur le bouton qui nous mènerait là où Paris avait eu à la base l’intention d’aller « Tu montais à quel étage ? » demandais-je en me raclant un peu la gorge histoire de reprendre bonne contenance.

    Au fond de moi, j’avais envie de hurler….Qu’on me rende mon mari bon sang !!! J’en peux plus à la fin. Y’a rien de plus frustrant que de ne pas pouvoir toucher l’être aimé alors qu’il se trouve si proche de vous pourtant…


    @Paris A. Maconahey



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    Lien du postDim 5 Fév - 21:51:06
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    Paris avait bien entendu grogné quand une personne l’avait bousculé dans l’ascenseur mais il n’y avait pas prêté plus d’attention que cela, trop plongé dans la liste des Dunster et des invités. Son but était évident : s’occuper de tout cela une fois pour toute pour retrouver sa femme avant le pot de l’amitié. Il en avait marre de cette situation, de cette distance entre eux alors qu’elle le veuille ou non : dans quelques minutes, elle allait passer à la casserole foi de Maconahey ! Cette situation n’avait que trop duré de toute de façon, il était temps qu’ils se retrouvent et mettre toute cette connerie derrière eux. Summer avait été plus réceptive ces derniers temps. Il avait bien cru voir des signes mais les avaient-ils rêvés ?! Putain c’était pas le moment de douter de sa faculté à faire rendre les armes à sa femme sinon, il n’avait plus qu’à se noyer dans l’alcool ou à se la mettre derrière l’oreille. Puis, sans qu’il ne comprenne ce qui se passait, il sentit une main se plaquer contre junior, lui arrachant un cri fort peu masculin. « Une autre que toi ? Dans tes rêves Maconahey » grommela-t-il avant de l’attraper par le poignet car si elle continuait comme ça, il n’allait jamais pouvoir se retenir ! Or, il y avait plus romantique qu’une cabine d’ascenseur pour se retrouver n’est-ce pas ? Sauf que lorsqu’il la voyait se décomposer sur place, sa patiente et son romantisme foutaient le camp. « STOP ! » dit-il en lui attrapant à nouveau la main pour l’empêcher d’appuyer sur le moindre bouton. « La ferme, je suis plus que prêt et si je t’ai arrêté, c’est pour une seule et unique raison : si tu dois crier de plaisir ça sera dans notre chambre et pas ailleurs » répliqua-t-il en faisant preuve de cette assurance sensuelle qui lui avait tant fait défaut depuis le nouvel an. « J’espère que toi tu es prête parce qu’il est hors de question que j’attende une seule minute de plus avant de t’embrasser Maconahey » souffla-t-il avant de tout simplement l’attraper par la nuque pour la ramener à lui et capturer ses lèvres dans un baiser passionné. Il était temps l’un et l’autre d’oublier et de se retrouver.



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    Lien du postDim 5 Fév - 22:26:06
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    J’étais en train de m’engueuler comme du poisson pourri intérieurement. Et tout y passait ! ** Putain mais t’es con ! Vas-y viole-le sur place pendant que tu es ?! T’as aucune manière, t’es une saleté de perverse ??! Tu lui as fait peur, il va se sentir pressé, puis va culpabiliser. Je ne te félicite pas Wingfield. Oui, oui, tu m’as bien entendu : WINGFIELD !!! Il n’y a que ce nom que tu mérites en ce moment ! ** Je commencçais à bouder légèrement, honteuse, alors que j’allais appuyer sur les boutons quand Paris m’attrapais à nouveau par le poignet en me demandant de la fermer. Je me virevoltais sur place pour le fixer droit dans les yeux avec un air interrogateur quand finalement il m’expliquait être tout aussi prêt que je l’avais espéré depuis le départ. Un énorme soupir de soulagement s’échappait de ma gorge avant que je lui dise « Bah oui, mais quand tu hurle comme ça, et que tu retires ma main, comment veux-tu que je le prenne… » Lui déclarais-je tout en me détendant un peu. On sentait mes traits s’adoucir sur mon visage, et un sourire apparut « A ca près, j’ai cru que tu allais appeler SOS mari traumatisé » plaisantais-je enfin, commençant déjà à enrouler mes bras autour de la taille du Dunster. Si j’étais prêt à embrasser ?? « Là c’est à toi de la fermer…AGIS !! » avais-je réussi à dire alors que sa main se plaquait sur ma nuque pour m’attirer à lui. LI-BÉ-RA-TION ! Y’a pas d’autre mot. Je laissais échapper un gémissement de satisfaction, profitant de ce baiser passion pour etreindre un peu plus Paris contre moi, passant moi aussi une main derrière sa nuque, tandis que l’autre s’agrippait désespéremment au bas de son dos. « Oh tu m’as tellement manquéééé !! » avais-je réussi à articuler contre les lèvres de Paris « Un mois, c’est trop ! Plus. JAMAIS. CA !! »



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    Lien du postDim 5 Fév - 22:34:00
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    « J’ai pas hurlé » se défendit-il en toute mauvaise foi mais c’était du Paris tout craché. « Pas ma faute après tout, ça fait un moment que personne n’a chopé junior à part ma main droite » grommela-t-il toute en finesse et délicatesse. Le romantique était de sorti, tous aux abris ! Un petit rire secoua ses épaules avant qu’il ne l’attire à lui pour l’embrasser passionnément. Sa tigresse lui avait foutrement manqué en y repensant bien. D’ailleurs, il ne comptait pas rejoindre les autres avant de l’avoir à nouveau dompté. Un mois, comme elle l’avait dit, c’était bien trop long. « Quand on rentre du Mexique, fais-moi penser à donner du bromure à ton père et du Xanax à ma mère » marmonna-t-il tout contre ses lèvres avant de l’embrasser à nouveau pour mieux la soulever dans ses bras de sorte qu’elle entoure sa taille de ses jambes. A l’aveuglette, Paris tâtonna jusqu’à trouver le panneau de contrôle de l’ascenseur et appuya frénétiquement sur le bouton de leur étage. Hors de question que de perdre une seule minute de plus. « J’ai cru devenir dingue durant ce mois… être si près de toi et ne pas pouvoir te toucher, c’était une torture » avoua-t-il alors que ses lèvres quittaient les siennes pour tracer une ligne imaginaire le long de sa mâchoire, descendant progressivement dans son cou. « Bébé… je veux que tu arrêtes de prendre la pilule, je veux un bébé de toi. Je sais qu’on est encore étudiant mais je m’en balance ! Je veux te faire un bébé » dit-il en la plaquant contre la paroi, ses mains se glissant sous son haut pour caresser son dos, cherchant déjà à détacher l’attache son soutien-gorge. Ils n’étaient peut-être pas encore dans leur chambre mais rien n’interdisait de gagner du temps n’est-ce pas ?!


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    Lien du postDim 5 Fév - 23:12:45
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    La remarque de Paris concernant sa main droit me fit hausse un sourcil, bien que dans le fond j’avais envie de rire « Ah bah sympa ! Je suis ravie de savoir qu’au moins, tu te soulageais comme ça ! » Le principal finalement, c’est que lui et moi étions sur la même longueur d’onde. Et à en voir la volonté que Paris avait pour me faire comprendre qu’il était prêt, il n’y avait plus de doute possible. Mes jambes s’enroulaient sur sa taille, au moment où il me soulevait de terre. Je plaquais mes deux mains de chaque côté de son cou, mes ongles grattant sensuellement la peau de sa nuque alors que j’approfondissais notre baiser, tout en affirmant être d’accord avec Paris concernant nos parents et notre frustration « HHmmm, j’ai cru que j’allais mourir. Sentir la chaleur de ton corps dans le lit. L’odeur de ton parfum…Et ne pas pouvoir faire quoique ce soit !!! J’avais envie qu’on m’achève » avouais-je à mon tour, la tête relevé et les yeux fixant le plafond de l’ascenseur pour laisser libre accès à Paris sur mon cou. Dieu que j’aimais quand il marquait ma peau de ses lèvres ou de sa langue. Je fermais les yeux, me délectant de cette sensation qui m’avait manqué, quand soudain, les paroles de Paris résonnaient dans l’ascenseur. J’écarquillais dans un premier temps les yeux, surprise et immobile avant de me sentir plaqué contre la paroi de la cabine. C’est à ce moment-là que je plantais mon regard dans celui de Paris, cherchant dans ses yeux un signe, un quelconque détail qui me permettrait de comprendre la portée des paroles de mon homme. Il était sérieux ? Il voulait un enfant, maintenant ?? Je sais que ce genre de sujet mériterait que l’on prenne le temps d’en parler mais…je le regardais intensément, ne trouvant rien d’autre qu’une entière sincérité et une détermination sans faille. Alors, je ne réfléchissais même plus, souriant jusqu’aux oreilles à mon mari avant de prendre son visage a deux mains et de m’emparer de ses lèvres avec ferveur. Je sentais bien vite les mains chaudes de Paris sous mon haut, me caressant le dos. Je gémissais contre ses lèvres et commençait à gesticuler contre lui, remuant du bassin pour lui faire comprendre mon impatience avant de lui répondre « Tes désirs sont des ordres, mon cœur !! » Et encore plus si ses désirs étaient semblables aux miens.

    Manière très bizarre de prendre une décision, mais allez c’est toujours comme cela que lui et moi avions agis jusqu’ici : à l’instinct, avec spontanéité, et cela nous avait plutôt pas mal réussi.
    Je m’agrippais maintenant au col de son haut, devenant trop pressée, prête à lui déchirer ses vêtements si l’ascenseur ne se dépêchait pas ! Un ding retentit, et je m’écriais « ENFIN !! Bordel, sors nous de là au plus vite j’en peux plus, là ! » Ordonnais-je alors que je resserrais encore plus mes jambes autour de sa taille, mes ongles se plantant sur ses épaules tandis que je quittais ses lèvres pour m’attaquer à son cou. Je la mordillais soudain tout en étouffant mes mots « Vite, vite vite….dépêche toi mon cœur…ça urge » et c’est maintenant son épaule que je mordais par-dessus le tissu. Je crevais d’envie pour mon homme, j’avais un mois à rattraper. Pas sûrs qu’on tienne sur l’endurance, mais sincèrement je m’en fous. Je veux juste qu’il me libère de toute cette tension sexuelle.




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    Lien du postDim 5 Fév - 23:24:46
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    Sérieusement, elle allait lui faire croire qu’elle était un ange et qu’elle ne s’était pas accordé un petit moment de détente en solitaire ?! « Fais-moi croire que tu ne l’as pas fait de ton côté… tu crois que j’étais dupe quant à la longueur de certaines douches ? » la taquina-t-il. Après tout, ils pouvaient en rire à présent parce que sur le moment, Paris n’avait pas été à la noce. Son corps réclamait une jouissance que son esprit était incapable de lui accorder réellement. A un moment, il s’était même interrogé de savoir si sa mère ne l’avait pas castré avec sa putain d’annonce à la con. Là, il n’avait plus aucun doute : junior était bel et bien au garde à vous et emmerdait quiconque voudrait le voir rabaisser le pont levis.

    N’empêche, il y avait plusieurs façons de demander un enfant à une femme et celle qu’il avait choisi n’était ni la plus douce, ni la plus romantique et encore moins la plus réfléchie. Paris en avait marre de patienter, marre de prendre des pincettes : il avait envie de cet enfant ou plutôt il avait envie de la voir enceinte. Après, si cela devait se faire dans 15 jours comme dans un an, il laisserait le Destin se jouer de lui, d’eux. La seule chose qu’il désirait, c’était d’exprimer son envie. « C’est vrai, c’est ce que tu veux aussi ? » lui demande-t-il un large sourire aux lèvres. Il ne voulait pas qu’elle se force pour lui mais putain qu’il était heureux. Heureusement qu’elle était bien calée dans ses bras sinon il aurait sauté de joie. A la place, il l’embrassa passionnément, ses doigts faisant sauter l’attache de soutien-gorge. « A vos ordres » marmonna-t-il en sortant de l’ascenseur pour retrouver leur chambre. « Putain, elle est où cette clé » grogna-t-il en fouillant fébrilement ses poches. Le sésame en main, il courut presque à leur chambre dont il ouvrit la porte avant de la refermer d’un coup de pied pour mieux jeter sa femme sur leur lit. « Déshabille toi… maintenant » lui ordonna-t-il tandis qu’il faisait passer son T-shirt au-dessus de sa tête pour mieux laisser apparaitre son torse nu. Paris ne voulait perdre aucune minute, s’attaquant déjà à son jean sans quitter du regard sa femme. Il y avait quelque chose d’érotique dans cette passion, dans cette urgence.



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    Lien du postDim 5 Fév - 23:52:01
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    Avais-je succombé au plaisir solitaire ? Je n’allais pas y répondre. De toute façon, Paris connaissait suffisamment mon appétit concernant la chose qu’il est clair que même avec toute la volonté du monde, j’aurais fini par craquer à un moment où à un autre. A la place, je préférais me concentrer sur mon homme et lui faire comprendre que je ne voulais pas débattre sur les alternatives pendant l’abstinence, mais plutôt sur ce qu’on allait enfin se permettre après un mois de diète !

    Bien évidemment, j’étais loin de me douter que cette abstinence avait permis à Paris de réfléchir sur son envie d’être père à nouveau, mais je ne pouvais pas cacher mon plaisir. Il semblait déterminée et moi ? Prête à lui offrir cette opportunité. Je rêvais d’être la mère légitime de ces enfants, de pouvoir expérimenter cette nouvelle aventure avec lui qui n’était finalement qu’une suite logique. Alors même si je lui disais maintenant que j’allais me plier à ses désirs, il avait tout de même le droit de savoir que ces derniers étaient aussi les miens « Oui, Paris…oui c’est ce que je veux aussi…je pensais que tu…enfin… » Était-ce vraiment le moment de discuter de ça maintenant ? Mon esprit avait envie de parler en tout confiance avec mon mari, mais mon corps lui ? Il me hurlait de la fermer…du moins jusqu’à ce que je me mette enfin à crier de plaisir. « On en parle tout à l’heure, ou demain mais…juste : OUI, je le veux aussi ! » Cela avait le mérite d’être clair et donnait le ton quant à mon excitation





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    Lien du postLun 6 Fév - 20:55:49
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    Lien du postLun 6 Fév - 22:43:15
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