Dans les plus beaux pays scandinaves, j'ai grandi dans la capitale de la Suède qui est Stockholm. Mon père était un professeur d'histoire à l'université de Stockholm et il adorait me raconter des histoires concernant les Vikings. J'étais fasciné par les histoires de mon père. C'était un homme brillant et surtout très heureu avec nous. Ma mère lui a donné cette chance pour aimer encore une fois. Ayant perdu son ex femme dans un accident de voiture, mon père en a toujours été bouleversé. Ma mère travaillait fort pour que mon père puisse oublier ce qui s'était passé et je faisais la même chose pour lui permettre d'être un père présent et attentionné. C'est bien grâce à mon père que ma mère est devenue une grande écrivaine comme ses grandes amies J.K Rowling et Stephanie Meyers. Mon enfance était rempli de belle surprise et de belle histoire pour m'endormir la nuit. Ma mère s'inspirait beaucoup de ma personnalité et surtout de ma propre personne pour trouver ses personnages. Elle incluait mon père et s'était encore plaisant de nous voir dans le travail de ma mère. Parfois, ma mère pouvait rester debout jusqu'au petites heures du matin, car son inspiration était au-delà de son sommeil. J'étais toujours privilégié avec ma mère et parfois, je laissais mes professeurs lires mes livres bien avant les autres. Un secret que je gardais avec eux et s'était drôle, car même le directeur de l'école voulait lui aussi lire les grandes lignes de mes nombreux livres.

Aujourd'hui, c'est grâce à ma mère que je suis vivante et en pleine forme. Mon père est décédé quelques mois après la fin de ma rémission. J'ai été atteinte du cancer du sang vers l'âge de huit ans. Au début, je croyais que s'était à cause de moi que mon père est décédé. Je me blâmais, car mon père était très important pour moi et je vivais une grande souffrance dans mon coeur. Je voulais moi aussi quitté et rejoindre mon père, mais ma mère m'avait donné une raison claire pour que je reste près d'elle. J'ai enduré mon cancer a trois reprise. Le plus difficile était lorsque j'avais 14 ans. Mon corps ne réagissait pas correctement avec les traitements. Je recevais des transfusions presque tous les jours et je n'avais jamais ressentie une aussi grande faiblesse. La perte de mes cheveux fus un grand découragement. Je ralentissais toutes mes chances de guérison, car j'étais en dépression et ma peine était trop grande. Tous les jours, ma mère venait me voir et travaillais à mon chevet d'hôpital. De jour en jour, ma mère m'aidait à passer au travers de tout ça. Elle me disait sans cesse que j'étais belle et forte. Je la croyais et je reprenais des forces sur moi-même pour battre mon cancer. J'aidais ma mère dans son travail. Elle m'avait appris à comment peindre et elle s'inspirait de mes peintures et même de mes dessins. J'étais toujours fière lorsque ma mère me demandait si elle pouvait utiliser mes croquis et mes peintures comme personnage. Je ne refusais jamais rien à ma mère.

J'ai terminé ma dernière année de secondaire avec mention d'honneur et surtout avec beaucoup de succès. On m'a donné tout le support nécessaires pour que je puisse réussir et avancer jusqu'à cette nouvelle étape que j'ai entrepris il y a deux ans lorsque j'ai reçu mon acceptation à l'université d'Harvard. Avant de recevoir mon acceptation, je combattais pour la dernière fois mon cancer. J'étais beaucoup plus en forme que les deux premières fois et aujourd'hui, ma rémission est presque terminé. Lorsque j'ai commencé ma première année à Harvard, je me sentais pleine d'énergie et déterminé à entreprendre mes études au sérieux. Oui, je m'ennuie de ma mère, car elle est mon plus gros support moral depuis le décès de mon père. Je ne suis pas du genre à oublier personne et surtout pas ma famille. Comment ne pas oublier d'où est-ce qu'on vient aussi. C'est un souvenir les plus important dans notre vie. Elle vient me visiter souvent et parfois, elle organisait beaucoup de conférence avec les professeurs du campus. Je la remercie tous les jours et je fonce dans tout ce qui me rend passionné et heureuse. Je ne m'empêche pas de sortir pour avoir du plaisir. La seule chose est que je ne bois pas à cause de ma rémission, mais ceci ne m'empêche pas d'avoir du plaisir. Lorsque j'ai reçu mon acceptation par la poste, ma mère était surprise et elle m'avait demandé pourquoi Harvard. Pour moi s'était évident. Je n'aime pas les choses simples. J'aime ce qui est différent et je n'ai pas peur d'essayer de nouvelles choses. Partir à l'aventure et de rencontrer de nouvelles personnes. Mon père avait cette qualité-là qui impressionnait les autres. Je voulais faire pareil comme mon père et d'être heureuse sur mon propre chemin. Être à Harvard, c'est un grand privilège et surtout que je peux entreprendre un chemin nouveau vers mon future.