Dunster House
    J'ai toujours été un homme curieux. Mon désir d'apprendre épatait tout le monde. Lorsque je voyais mon père, jouer au hockey, s'était pour moi une fascination. Je voyais un des meilleurs joueurs de sa génération compter des buts, remporter des victoires, souffrir sous diverses blessures, faire des miracles sur la patinoire et surtout, remporter la coupe Stanley. J'ai appris à jouer au hockey lorsque j'étais tout jeune. Mon père jouais encore au hockey lorsque j'ai décidé d'enfiler mes patins et que je voulais devenir un grand joueur comme mon père. Il était mon mentor, mon entraîneur et jamais il n'était déçu. Il était rare de me voir faire des devoirs à la maison. Je les terminais à l'école, car je voulais jouer au hockey. Ma mère était un peu frustrée parce qu'elle voulait que je ramène des devoirs à la maison, mais en retour, j'aidais ma petite soeur avec ses travaux scolaires. Ce qui dérangeais le plus les gens, c'est que j'ai appris l'anglais par moi-même. Mes travaux scolaires ont toujours été plus facile que d'autre. Ont essayais de m'intimider pour me déconcentrer, mais lorsque mon père venait me chercher à l'école, c'est une situation complètement différente. Le fais d'avoir habité aux États-Unis pendant une bonne partie de ma jeunesse, ceci m'a beaucoup aidé. Les matières qui mon toujours fascinée ont été les sciences, l'histoire et les sports. Je ne suis aucunement difficile dans ce que je désire apprendre et même si on me dit que je serais un très bon avocat, malheureusement, ce n'est pas du tout dans mes cordes. J'ai choisi la médecine comme étude, car après avoir été blessé gravement simplement au hockey, j'ai réaliser que j'étais à ma place en voyant les physiothérapeute prendre soin de moi et en me donnant des conseils, j'ai amélioré ma vie et mon état de santé.

    Winthrop House
    J’ai grandi avec le hockey. Mon père est le grand Mario Lemieux, champion de la coupe Stanley, champion médailler d’or pour l’équipe de hockey Team Canada et surtout un homme qui a une place au temple de la renommé à Toronto. Ce n’étais pas une question à me demander si je désirais aller voir une partie de hockey ou même d’aller au jouer au hockey. Ce sport fais partie de moi et lorsqu’on dit que ce sport attire les filles, c’est aussi une vérité absolu. Il n’y a pas simplement que le hockey, ça je le sais très bien. Mon père m’a souvent essayer de me le faire rappeler, mais parfois, s’était un peu trop difficile. J’ai rencontré ma première copain lors d’un championnat canadien à Vencouver. Je n’aurai jamais imaginé que ma copine serais aussi une joueuse de hockey, mais notre relation n’a pas été un succès, car la perfection de sa part était trop présente et moi, je ne recherche pas la perfection. Faire partie des Winthrops, ne signifie pas toujours être attirer par les femmes. C’est aussi de jouir emplement de ce qui nous passionne le plus. On n’a pas besoin d’être un monsieur muscles pour en faire partie.

APRÈS LA BOMBE.
    Après la bombe, ça été difficile pour moi pendant quelques mois. Je n’aurai imaginé une chose pareil lors de ma première année d’étude à Harvard. Ayant impessionné beaucoup de professeur ici sur le campus, j’ai mérité ma place sans problème. Ce n’était pas à cause de mon père parce que je voulais me démarquer le plus possible. Je me suis retrouvé à l’hôpital avec d’autre que j’ai appris à connaître. J’ai passé plusieurs mois en physiothérapie et ceci m’a ramener dans mes mauvais souvenirs lorsque j’ai été blessé gravement lors d’un championnat de hockey. Aujourd’hui, je m’en remet pas trop pire. Il m’arrive d’avoir des cauchemards, mais ils ne sont pas lourd comme ils étaient, mais quand même, c’est encore difficile.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
    Parce qu'un malheur ne vient jamais seul. Entre septembre 2014 et janvier 2015, plusieurs agressions sexuelles ont eu lieu à Cambridge, principalement des étudiants d'Harvard et des maisons qui étaient les cibles. Ton perso a forcément été touché par l'ambiance morbide et oppressante qui régnait sur le campus alors dis nous tout, comment tu te sentais à cette période de l'année. Pire encore, te trouvais-tu sur le campus le 17 janvier ? Quand les quatre agresseurs ont pris en otage les étudiants et autres civils présents ? (5 lignes minimum)
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !

ITEM LIBRE (FACULTATIF).
    Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D