How are u doing bro ?Franchement tu continuais de regarder la maison prendre feu sous tes yeux, tu te demandais réellement comment les autres allaient faire, heureusement que tu avais ta propre maison parce qu’il était juste hors de question que tu ailles vivre dans une autre confrérie. Tu soupiras doucement sachant que tu venais de te prendre la tête avec Ariana après l’avoir ignoré et pour ensuite qu’elle se fasse pardonner, parce que ce n’état pas à toi de le faire, clairement pas. Mais tu étais heureux, tu avais eu ce que tu voulais et c’était ça en moins sur les épaules. Tu n’avais plus besoin de te dire que tu ne pouvais pas aller lui parler, que tu devais te retenir parce qu’elle était une des seules qui connaissaient tout de ta vie, qui connaissait tes erreurs et ce que tu pouvais faire. Tu pensas encore et encore à ça, à ce que tu étais en train de faire dans ta vie pour ne pas reprendre du poids et tes yeux se posèrent sur Hadès. Tu savais qu’il n’était pas au courant, qu’il ne le serait jamais parce que tu ne savais pas comment il pourrait le prendre, parce que tu ne savais pas du tout et tu n’avais pas envie de le savoir. Hadès avait été celui qui t’avait aidé, qui avait fait en sort que tu fasses du sport pour maigrir alors, il pourrait clairement te voir comme un faible à faire une telle chose alors, autant retenir ça pour toi. Mais tu allas quand même vers lui parce que tu avais envie de savoir comment il allait après ce qui venait de se passer, tu savais que les bizuts étaient dans la maison, qu’ils étaient obligés de vivre dedans. « Hadès ! » Tu continuas d’avancer vers lui avant de reprendre la parole. « Tu vas bien ? Rien de très grave pour toi ? »

How are u doing bro ? Les flammes encore bien présentent de la destruction continuent de ravager la maison des Eliots, la maison symbole de l’élitisme du monde, symbole des futurs conquérants. La maison, première touché quand l'arbre est tombée dessus, est entrain de se décomposer et de tomber en cendre. Et moi je vois ça sous le choc alors qu'un pompier est entrain de me soigner le bras et que j'ai un putain de masque sur la gueule pour remonter mon taux d'oxygène. Mes yeux ne quittent pas la maison et là, je dois le dire, j'en veux aux président et VP de la maison. A nous imposer à vivre dans la EH, j'ai des affaires qui ont cramés. Heureusement que j'avais laissé la plupart de mes biens dans ma maison avec Abélard. Pour un peu j'aurai perdu toute ma vie dans les flammes. Là, il n'y a qu'un costume sur mesure et quelques babioles qui sont devenus poussières mais pour un peu j'aurai perdu mes souvenirs d'Arthur, j'aurai perdu ce que j'ai mis du temps à acheter... Heureusement que j'ai eu le temps de récupérer mon cadre, avec une photo de Arthur, Clauclau, Abé et moi dessus. Cette photo ne pouvait pas mourir dans les flammes. Alors de mon bras valide, je le garde contre moi et mon regard ébène regarde le jaune ravager le reste de la maison des bleus. Non d'Hades, si au moins ce feu avait pu me débarrasser de deux trois parasites ... Mais non en plus ceux que j'aime pas s'en sont sortis. Vous pouvez faire un peu attention ? Je suis le prince de Belgique, je pourrai vous attaquer en justice si vous faites mal votre job. Odieux jusqu'au bout et alors ? Je viens de risquer de mourir et en plus je dois attendre pour être transporter dans un hôpital, si je m'appelai un taxis, je suis persuadé que j'irai plus vite. Un regard noir et je repars dans mes pensées, mais putain cette brûlure n'est pas un cadeau. Je sors à peine de l'hôpital bordel. Retour à la case départ, triste ironie. Mon attention est détourné par une voix et voila Ael qui arrive, tout beau tout propre, tu m'étonnes, cet ahuri n'était pas forcé de vivre au milieu de ce brasier vivant ! Ah Cole va en entendre parler et Oksanna pareil ! Cette bande de bras cassé et leurs règles stupides ont faillit me coûter la vie. Je lance un regard assassin à Ael et reprend en retirant mon masque J'ai une gueule à aller bien ? Il est bien lui, pas blessé, pas brûlé, queudale. Moi je suis d'une humeur excécrable. Mon cadre serrer contre moi, j'ajoute Putain quel brasier de malade. en désignant du regard la maison. Mon masque revient sur mes lèvres pour respirer quelques secondes, je le retire et ajoute T'as rien toi ? Bon j'ai au moins un pote qui va bien quoi.

How are u doing bro ?Cette maison représentait beaucoup de choses et au fond de toi, tu savais que beaucoup de monde allait être heureux de voir que les bleus n’avaient plus de maison, qu’ils allaient devoir se montrer, en quelque sorte, sympa avec les autres pour pouvoir avoir un toit au-dessus de leur tête enfin pour les bizuts. Tu ne savais pas comment les choses allaient se passer pour eux, en tout cas tu étais heureux de ne plus l’être, de ne plus être obligé de vivre dans cette maison même si cette nuit tu avais décidé de passer la nuit dedans. Tu ne savais pas trop pourquoi, peut-être que tu avais besoin de t’éloigner un peu de ta propre maison, d’Aymalyne que tu avais mis enceinte sans réellement le vouloir, juste te retrouver seul dans un endroit que personne ne penserait pour venir te chercher. Tellement de possibilités et tu n’avais que très peu de réponses, pour le moment tu regardais le bordel autour de toi, la fumée qui montrait clairement ce qu’il y avait eu durant cette soirée, comment cette maison avait disparu aussi soudainement. Tu regardais aussi autour de toi, regardant si tu connaissais quelqu’un ou pas sachant que tu savais aider Braxton à sortir de cet enfer. Puis tu voyais Hadès ou plutôt tu étais en train de l’entendre, tu étais soulagé de le voir en quelque sorte bien. S’il était capable de parler comme cela, c’était qu’il allait bien enfin qu’il n’avait pas quelque chose de si grave que ça alors, tu devais être soulagé de le savoir bien. Tu retiens un rire sortir de ta bouche en entendant sa remarque, typiquement du Hadès ça personne ne pouvait le nier, personne même pas toi qui le connaissais depuis des années maintenant. « Non, mais tu n’es pas si mal que ça tant que tu peux envoyer chier les autres. » Tu passas ta main dans tes cheveux avant de regarder autour de toi, avant de le voir tenir ce cadre contre lui qui était important pour lui. Tu pouvais le comprendre, parfois on se rattachait à des petites choses, à des choses qui peuvent paraître sans importance pour les autres, mais qui représentaient beaucoup pour soi. « Ouais, c’est clair. » Tu soupiras encore sur le cul de voir ça devant toi, de voir que cette maison n’était plus et tu ne savais pas du tout ce que Cole et Oksanna allaient faire maintenant puis la question était de savoir si tout le monde était sorti ou pas. « Quelques brûlures, mais rien de très grave. J’dormirais plus jamais dans cette maison. Abélard il va bien ? » Tu reposas ton regard sur le prince de Belgique se demandant où se trouvait son jumeau étant donné qu’il devait lui aussi dormir dans cette maison.