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C'est le 27 septembre 1992 à Londres, que les membres de la famille Hamilton m'ont accueilli dans leurs bras. Ils m'ont prénommé Eden, Alaska. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de littérature anglaise en majeur et histoire de l'art en mineur depuis six ans -actuellement en sixième année donc- et travaille en parallèle de mes études en tant que guide au musée des Beaux-Arts. Et pour terminer, je fais partie des Mathers.
Yeux → Bleu/Vert, tout dépend de la lumière.
Couleur de cheveux naturel → Châtain.
Poids → 55 kg
Taille → 170 cm
Style vestimentaire → Décontracté, mais elle peut se montrer très classe. Elle a par contre un côté garçon manqué.
Piercing → Aucun piercing, juste les oreilles de percées.
Tatouage → Elle en a plusieurs, très discrets. À vous de les découvrir. #zbaf
Cicatrice → Aucune cicatrice. Elle a cependant des os fragiles et a souffert d'un retard de croissance plus jeune.
JE SUIS PLUTÔT...
Plutôt fêtard ou pantouflard ? → Fêtarde.
Plutôt assidu(e) ou sécheur(se) pro ? → Assidue.
Plutôt romantique ou réaliste ? → Romantique.
Plutôt sympathique ou déplaisant(e) ? → Sympathique.
Plutôt altruiste ou égoïste ? → Altruiste à tendance égoïste.
Plutôt extraverti ou introverti ? → Extravertie.
Plutôt pacifiste ou bagarreur ? → Bagarreuse.
JE CROIS...
Aux fantômes ? → Non. Elle en a trop peur, donc elle ne préfère pas y croire.
À l'apocalypse ? → Non.
Aux coups de foudre ? → Non.
À l'amitié fille/garçon ? → Oui.
Aux sexfriends ? → Oui.
À une religion ? → Non.
À la magie de Noël ? → Oui.
Au destin ? → Oui.
Aux fins heureuses ? → Non.
J'AI...
Déjà fait un threesome → Oui.
Une voiture → Non.
Bois de l'alcool → Oui.
Fume → Oui.
Prend de la drogue → Elle prenait du cannabis et de l’héroïne. Son sevrage a débuté en novembre 2015.
Veux me marier → Oui.
Veux des enfants → Oui. Pas d'idée précise sur le nombre.
Une maladie grave → Non.
Un lourd secret → Enfant maltraitée.
Mens souvent → Non, elle en est incapable.
Beaucoup d'expérience au lit → Oui. Mais, elle ne s'en vente pas, loin de là.
Beaucoup d'expérience en amour → Elle a eu plusieurs petits amis. De là à dire qu'elle a de l'expérience ? Pas vraiment.
Eu beaucoup de déception en amour → Oui, malheureusement.
Eu beaucoup de déception en amitié → Pas vraiment non.
De la facilité à me faire des amis → Oui, elle est sympathique et bavarde.
Des envies de meurtres → Pas particulièrement, personne ne mérite de mourir.
Peur du noir → Un peu oui.
Peur de la solitude → Oui, même si elle a tendance à se rendre solitaire quand rien ne va.
De bonnes notes → Oui, elle est à Harvard tout de même !
Alaska a beaucoup évolué depuis mon inscription le 30 avril 2015. Voici ma fiche de présentation (qui n'est donc plus à prendre en considération) :
Oh my god. On parle de moi là ?! Ok. Sentez-vous privilégier les gars. Ma vie est un secret. Je n'ai aucune raison valable pour mon silence, je l'avoue, c'est juste que parler de moi, ce n'est vraiment pas ma tasse de thé. D'ailleurs, autant commencer par ça, je suis née à Londres en Angleterre il y a vingt-trois ans de cela. Rien à dire jusqu'à mes cinq ans. Non vraiment. J'étais une petite fille absolument normale avec des parents normaux. Bon je n'aime pas ce mot. Qu'est-ce que la normalité au fond ? BREF. À cinq ans, mon père s'est barré pour les USA, apparemment, il ne supportait plus ma mère. En même temps, je n'avais que cinq ans, alors à cette époque, je comprenais pas vraiment ce qui se passait dans le monde des adultes. J'ai tout de même souffert de cette absence, il me manquait mon connard de père, surtout en grandissant, quand j'ai compris que ma mère était bizarre, grincheuse et violente et qu'il m'a laissé dans la merde. Ma mère n'était pas vraiment facile à suivre et je me sentais désespérément seule. Je n'avais pas d'autre famille, juste une poignée d'amis, le genre à ne pas avoir peur des pétages de plomb de ma mère dans le quartier. Je me faisais régulièrement taper dessus, tout de monde le savait, mais personne n'en a jamais rien n'eu à foutre. J'ai grandi encore, en faisant attention à mes résultats à l'école, parce que je savais que les études me feront sortir de cette merde. En grandissant, n'ayant rien d'autre que ma mère en modèle, je n'ai pas eu un comportement très agréable avec les autres. La violence m'habitait. La colère, parfois je pétais les plombs moi aussi. En grandissant, j'ai connu l'alcool et la drogue, c'était mon moyen à moi de m'évader. Puis un jour, bien plus tard, ma mère m'a frappé et je lui ai collé un retour en échange. Après ça, elle m'a mis dehors. C'est à ce moment que j'ai décidé de quitter mon pays natal pour retrouver mon père. Me voilà arrivée à Boston. Je le découvre dix ans plus tard avec une femme et deux enfants. J'ai brièvement expliqué la situation, il s'en voulait tellement, qu'il n'a pas réussi à me mettre dehors. J'ai toujours eu autant de rancœur, mais je prenais sur moi quand je rentrais à la maison, je voulais surtout pas, être à la rue. J'ai été agréablement surprise quand j'ai été accepté à Harvard. Je savais depuis le début que mes bons résultats me sauveraient la vie. J'ai emménagé sur le campus et j'ai pu reprendre mes activités -qui ne m'ont jamais vraiment quitté-, c'est-à-dire la fête, l'alcool et la drogue la nuit et les études le jour.
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