WINTHROP.
Quel camp pourrait mieux le définir que les Winthrop ? On ne va pas se le mentir, Eros et le genre de personnes sur lesquels on se retourne. Un magnifique visage, un torse taillé comme dans du marbre, une carrure d'athlète... Il est difficile de ne pas prendre la grosse tête dans ces conditions. Mais à défaut de s'en venter, il sait l'utiliser. Ce corps d'Apollon est couplé à un naturel calme et réfléchi, lui permettant de sortir le meilleur d'une situation. S'il n'arrive pas à séduire avec son corps, il y arrivera avec sa tête. Il ne forcera jamais qui que ce soit, cependant. Coureur de jupons, certes, mais il ne faut pas oublier qu'il est aussi flic. Malgré ça, ses conquêtes amoureuses ne se comptent plus sur les doigts d'une main depuis un bon bout de temps. Son tempérament de dragueur, il le mérite et en a fait les preuves.
DUNSTER.
En mettant de côté le plus évident des choix, les Dunster semblent tout indiqué en tant que remplacement. Il a le corps d'un Winthrop mais l'intelligence d'un Dunster. Il s'adapte à toutes les situations, analyse, décompose et reproduit. Chacun de ses choix sont étudiés minutieusement et chaque manquement est considéré comme une erreur, une faute. Mais il ne faut pas croire qu'il soit aussi sérieux que ça tous les jours durant : il lui arrive d'être décontracté, même si ce n'est pas facile avec la responsabilité qu'il endosse en ce moment. Et quand je parle d'intelligence, ne comptez pas sur lui pour faire vos devoirs de philo' à la dernière minute. Rusé, certes, mais pas Superman.
APRÈS LA BOMBE.
Si de tels menaces ont été proféré, pourquoi de plus grandes mesures n'ont pas été prise ? Un tel manque de préparation l'affligeait. La si grande université se retrouvait maintenant à genou, un flingue sur la tempe. Restant prudent, il fut cependant piégé quand le vacarme retentit. Il couru vers une table, hurlant pour prévenir les personnes les plus proches, afin de s'abriter en dessous. Il n'y avait pas assez de temps pour quitter la zone à risques, mais assez pour au moins ne pas finir écraser sous un morceau de toit, si encore nos jambes étaient suffisamment rapides. Les explosions, il se boucha les oreilles pour ne pas les entendre. Aucune peur dans ce mouvement, il commençait à en avoir le sentiment, le sentiment que tout cela allait arriver, ainsi ce ne fut que par reflex. Il ferait mieux de ne pas avoir les oreilles bouchées à cause du bruit pour s'assurer que tout le monde va bien. Son calme, bien plus présent que sa sérénité, s'étant envolé, lui permit de s'assurer que le maximum de personnes soient saines et sauves. Ce n'est seulement qu'à la fin, quand il passât de l'eau sur son visage, qu'il réalisé tout ce qu'il venait de se passer.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
C'est surement très égoïste de sa part, mais il fut beaucoup plus énervé par les évènements de Janvier que de la bombe. Pourquoi donc, me diriez vous ? Et bien tout simplement car l'idée même que sa propre sœur aurait possible été touchée. Rien que d'y penser, il avait la chair de poule et son poing le démangeait. Il lui interdisait presque de sortir tant il était inquiet à son sujet, mais en tant que grand frère, c'est normal après tout. Le reste, il le vécut impuissant. Cette même envie. Son poing qui démange, mêlé cette fois-ci à un gout de vomi dans la bouche. Il s'en voulait à lui même de n'avoir strictement rien put faire pour empêcher, anticiper ou atténué ça. Pourtant, qu'aurait-il put faire ? Pas grand chose si le résultat excluait le faire de se faire fusiller. Lui d'un naturel si calme et pragmatique, était cette fois-ci en rage. Où était sa sœur ? Il voulait hurler son nom, la voir, lui caresser la joue, lui dire que ça va aller. Il la chérissait plus que tout au monde, et se sacrifierait sans aucun remords pour la sauver. Cependant, il ne fit rien jusqu'à ce que tout le monde commence à être évacué. Il se foutait royalement d'avoir failli mourir, il voulait retrouver sa sœur. Il courut vers les sorties indiqués tel un forcené, il courut vers les faits qu'ils attendait : sa petite sœur n'était pas là. L'un des plus gros soulagement de sa vie, peut-être. Enfin, elle était à l’hôpital à cause de sa maladie, donc ce n'était pas forcément mieux, mais moins pire que sa présence ce jour-ci. Rejoignant son frère resté à l'extérieur pour lui apprendre la nouvelle, il se posa un moment pour reprendre ses esprits. Toute sa famille était sauf, mais l'école elle, n'en sortira certainement pas sans séquelle.
● Le Grec est sa langue maternelle, qu'il complète avec un Anglais fluent surmonté d'un léger accent, on ne se refait pas. Il sait aussi parler un peu de Français, par pure curiosité, ainsi que le langage des signes, qu'il connait sur le bout des doigts pour l'avoir pratiqué toute sa jeunesse et même encore maintenant en compagnie de sa sœur.
● Il possède un frère jumeau, Hadès, ainsi que deux sœurs, Megara et Nausicaä.
● Malgré son statut de personne riche, il déteste ceux qui s'en vantent, menant à son dégout pour les Elliot.
● Il renie pas complétement le femmes, et admet que leurs courbes sont tout à fait attirantes, mais il ne nie pas non plus une plus forte préférence pour les hommes.
● Malgré ses capacités de manipulateur, et même plus généralement ses capacités intellectuelles, il ne les utilise jamais à mauvais escient ou a des fins purement personnels. Il se l'interdit.
● Il est très attaché à son patrimoine, ayant même hésiter à partir en histoire pour son cursus.